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Gourmande à Sali

Chapitre 2

Hétéro
A peine rentrée à la villa Christine alla se rincer sous la douche et en ressortit au bout de quelques minutes passées à se caresser les seins, les fesses et son abricot renflé. Sans même s’essuyer elle enfila une liquette noire qu’elle laissa déboutonnée et un string de la même couleur avant de descendre dans la cuisine ouverte sur le jardin. Elle se prépara une salade puis sortit sur la terrasse pour la manger. Elle aperçut dans le fond du jardin Mamary et son cousin Traoré qui déjeunaient aussi en parlant fort. Elle leur fit signe de la main et s’installa pour manger aussi. Puis elle se prépara un café dans la cuisine et revint le boire à l’extérieur.Les deux cousins avaient terminé aussi et se dirigeaient vers elle tranquillement. Elle les laissa arriver et leur proposa un café qu’ils acceptèrent en la remerciant et Traoré disparut dans la cuisine la laissant seule avec Mamary qui tira une chaise pour s’asseoir face a elle il lui souriait sans un mot tout en effleurant les cuisses du bout des doigts. Elle le laissa faire quelques instants et lui demanda s’il avait des regrets pour le matin. Il rit
— ah mais pas du tout madame !
Ce faisant il fit glisser ses doigts et doucement se mit a caresser le renflement intime à peine voilé. Elle ferma les yeux en frémissant, la caresse était douce, précise et appuyée et lui fit impudiquement ouvrir les cuisses et se cambrer en sentant un doigt glisser par le coté et accéder à sa féminité en écartant le string. Elle soupira, il la massait lentement ouvrant les lèvres mouillées, remontant sur le clitoris tendu, glissant des les replis humides pour s’enfoncer dans l’étroit fourreau qui se contractait de désir
— Hummmmmmm Mamary ! Ton cousin est dans le coin arrête !
— Ah ben justement Madame....
elle ouvrit les yeux surprise le regardant se racler la gorge
— il vous trouve aussi très belle Madame et..... je me suis dit que...
Il s’arrêta et lui désigna la porte de la cuisine.... Elle tourna la tête pour apercevoir le cousin Traoré dans l’encadrement, short a mi cuisses, exhibant un sexe qui lui parut démesuré non pas par sa longueur mais pas son épaisseur. Elle ouvrit la bouche. Il l’avait aussi grosse qu’un poignet ! Elle en était la de son observation en se disant que c’était comme un beau concombre qd elle sentit les mains de Mamary saisir son string par l’élastique et commencer a le descendre. Fascinée par ce qu’elle voyait elle leva les hanches pour l’aider
— Il ne trouve pas de femme madame.... elle est bien trop grosse pour la supporter!
Traore se rapprocha et s’assit en face d’elle tout en se caressant sans un mot, gêné sans doute mais très fier aussi d’exhiber une telle virilité. Elle le regardait fascinée sentant son ventre couler aidé par Mamary qui la caressait toujours et écartait ses doigts en elle. Traoré les regardait. Il avait envie de cette femme blanche depuis qu’il l’avait vue la première fois, mais aucune femme, blanche ou noire ne voulait de lui sauf des prostituées a Dakar... et encore pas toutes ! Il regardait Mamary caresser cette femme qui ouvrait les cuisses devant lui en gémissant. Il en avait mal a la queue tellement il la désirait. Il la voyait embrasser son cousin a pleine bouche puis elle se leva et s’allongea sur la table les cuisses ouvertes devant lui. Il se leva, la positionna sur le bord de la table et posa son membre sur le ventre offert. Lentement elle le caressa le rendant encore plus dur et soupira
— enfonce la moi... je la veux !
Elle commença a réaliser quand, se tenant toujours le membre il le présenta a sa chatte et lentement commença a ouvrir le fourreau, petit à petit par petites poussées. Le visage crispé, les lèvres entrouvertes sur ses dents et se tenant le manche il appuyait de tout son poids sur elle regardant son gland se faire avaler par la chatte distendue : elle gémissait en secouant la tête les mains crispées sur le bord de la table pour résister a cette masse qui l’envahissait

1dans un râle il vit son gland disparaître dans la chatte l’en serrant tellement étroitement qu’il comprit qu’il ne tiendrait pas longtemps sous cette pression autour de son pieu et il lui tarda de jouir dans cette femme qui tétanisée sous lui s’ouvrait largement en gémissant. Baissant la tête il cracha sur sa hampe puis la tenant fermement aux hanches poussa en elle en marmonnant dans sa langue
chaque centimètre qui s’enfonçait en elle déclenchait comme des décharges électriques, des vagues qui parcouraient son corps. Elle avait déjà essayé un concombre mais la en plus c’était chaud... elle leva les cuisses pour les poser sur les épaules de son partenaire
— Encore... oh oui ! Rentre tout !! baise moi toute !
Fasciné, Mamary les regardait en oubliant même de se caresser en n’osant traduire ce que murmurait son cousin par pudeur vis a vis de la femme blanche et Traoré tout en la traitant dans sa langue de salope et de pute voyait son membre s’enfoncer de plus en plus ds l’étroit fourreau...
un dernier coup de reins plus brutal que les autres la faisant pousser un cri, un long râle et tétanisé il se vida sans se retenir au plus profond de la grotte la faisant gémir et râler sous la pression de ces giclées en elle, chaudes et épaisses. Il se voyait enfoncé en elle jusqu’à la garde l’ensemençant sans retenue je cœur cognant dans la poitrine de tant de plaisir
Le souffle court elle le sentit au bout de longues secondes se retirer lentement et aussitôt le sperme couler de son ventre. Elle glissa immédiatement la main entre ses cuisses pour récupérer le divin nectar puis s’en passa sur le visage et les lèvres se léchant les doigts au passage. Elle se redressa étourdie et murmura «  faut essuyer la table, je vais me laver ». Puis elle fila dans la salle de bains reprendre une douche de se faire un lavement et d’aller se reposer

le lendemain matin, en ouvrant les yeux a plat ventre dans le lit, deux choses attirèrent de suite son attention : son mari n’était pas a coté d’elle, ce qui ne la surprenait pas mais une main glissée par derrière entre ses cuisses lui prodiguait une caresse très précise et un doigt tendu faisait des allers et venues dans son intimitéelle sursauta en étouffant un cri et se retourna.
Nu et a genoux sur le lit conjugal, Traoré la caressait sans se gêner, lentement, en appuyant bien sa main.
— Mais tu es fou ! Arrête ça de suite !
Il lui sourit
— Non non tu es trop belle ! Je veux te faire plaisir encore et autrement
moins inhibé que la veille son membre était tendu avec son gland turgescent. Elle tenta de se débattre mais il la plaque a plat ventre sur le lit et appela Mamary qui était resté en retrait et qui grimpa sur le lit pour tenir les épaules de Christine. Il était lui aussi nu en bandé comme un cerf
— Laissez vous faire madame !
Et dans la seconde qui suivit elle senti Traoré commencer a lui caresser les fesses et a les ouvrir malgré sa résistance... des mains qui la tenaient ouverte et une langue qui dardait contre son œillet et l’explorait en s’y enfonçant la faisant gémir.... un concombre dans la chatte oui... dans les fesses c’était autre chose ! Elle se tortillait mais elle était trop bien maintenue. Elle donna de la voix, cria mais Mamary lui tenait la tête dans l’oreille lui disant de se calmer
Elle se cambra en sentant un liquide huileux que Traoré faisait couler entre ses fesses, liquide qu’il étala ensuite sur sa rondelle et s’en servit pour lui enfoncer 1 puis 2 doigts en les tournant en elle pendant quelques longues minutes puis elle l’entendit soupirer
— voilà ça va être bon comme ça...— et tu crois que ?.... commença a murmurer Traoré— Puisque je te dis que oui !! je te dis que ça va rentrer et qu’elle va aimer !
Elle frémit et trembla des pieds a la tête.... c’était donc ça ! Elle essaya vainement de se tortiller dans tous les sens quand elle sentit le gland chaud, décalotté, certes doux mais très épais, se frotter a ses sphincters . Elle gémit un non plaintif mais Traoré se positionna au dessus d’elle et lentement commença a appuyer tout en parlant à Mamary
-hummmmmm elle est très très serrée mais ça doit rentrer elle le mérite !
Elle sentait le gland forcer ses sphincters, les ouvrir, repousser petit a petit sa rondelle vers l’intérieur, le supplia des sanglots dans la voix lui promettant tout ce qu’il voulait, de l’argent mail il lui souffla a l’oreille
— ce que je veux ? Tu le sens ! Te donner le bonheur que tu as jamais eu ! Faire avec 2 vrais hommes qui s’occupent bien de toi, comme tu le mérites
dans un long râle elle sentit ses sphincters se relâcher et le gland s’enfoncer en elle
— regarde cousin !!! je te dis que ça rentre !!
versant encore un peu d’huile il continua de pousser lentement la faisant râler sous la brûlure et l’intromission massive en elle. Elle se sentait petit a petit remplie, dilatée jusqu’à la douleur poussant des gémissements entrecoupés de sanglots tant il lui paraissait énorme en elle jusqu’au moment ou elle fut complètement clouée sur le lit, prise jusqu’à la garde du pieu.....
Il se coucha complètement sur elle et lui souffla
— il faut faire plus pour que tu aimes bien
et il accompagne ses paroles d’un ample mouvement de va et viens
— hummmmmm je sens bien que tu aimes les hommes toi ! Les vrais !! tu es une bonne salope ! Tu aimes la bite ! La faisant râler et se cambrer malgré elle— ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii tu es bonne toi !! attends ! Attends tu vas voir !
La tenant enlacée il pivota sur le dos toujours planté en elle et lui saisit les cuisses pour les replier sur sa poitrine permettant a Mamary de se placer devant et de regarder la queue de son cousin en train de pistonner profondément l’anus dilaté
— VAS Y ! METS LUI AUSSI !
Elle cria plus qu’elle ne feula quand il lui enfonça la queue ds la chatte. Elle les sentait tous les deux comme deux énormes pistons de chair brûlante, 2 pistons qui alternativement la défonçait dans des bruits humides, cognaient dans le fond lui faisant perdre conscience de ce qui l’entourait a part ces vas et viens, ces frottements en elle, ces vagues qui la submergeaient
Ils se contrôlaient et ce fut elle qui lâcha prise la première jouissant sans retenue avant qu’ils ne crachent en elle la traitant de putain et la remplissant de sperme
Puis ils restèrent de longues minutes avant qu’ils ne se séparent et les yeux pleins de larmes de honte de tant de plaisir elle fila se laver sans dire un mot...
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