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Le goût de la ciorbà

Chapitre 2

Hétéro
C’est donc tout naturellement, et sans laisser passer trop de temps, que je programmai un petit week-end de trois jours dans la région de Guérande. Non seulement elle donna son consentement mais elle se montra très enthousiaste. Je réservai donc deux nuits d’hôtels dans des établissements top.
Je l’appelai au téléphone au boulot sur son poste interne pour l’en informer. Mais également pour lui donner mes consignes :
« - Ça y est, j’ai réservé. Tu vas voir, tu vas aimer les lieux où je nous ai pris une chambre. C’est la classe.— Ah chic, merci ! C’est où ?— Ça sera la surprise. J’ai tout organisé. Je pense que ça va te plaire. »
En réalité, je ne connaissais quasiment rien de ses goûts, et je prenais quelque risque. Mais tant pis, après tout elle me faisait confiance, j’étais son guide, et elle semblait le genre de filles qui aiment que l’homme prenne tout en main, et que la femme suive, quitte à faire après ses critiques.Pas grave. De toute façon, si elle n’était pas contente… On n’était pas mariés - ni même pacsés - et pour tout dire il n’était écrit nulle part que nous avions une relation. Je partais en week-end avec une femme, une collègue, avec qui j’avais couché une fois. Le reste de l’histoire restait à écrire.
Mais puisque j’avais senti qu’elle était ce genre de femmes à se conformer aux désirs de l’homme et à sa volonté (en tout cas, tant qu’elle y trouvait son compte), je n’hésitai pas à lui signifier mes exigences, et je rajoutai :
« - Par contre, Livia, pour ce week-end, j’aimerais que tu fasses quelque chose pour moi…— Oui, quoi donc ?— Je voudrais que tu portes tes bottes et une jupe un peu courte. Tu sais, une jupe au-dessus du genou. — Ah… Je ne sais pas si j’en ai…— Et bien tu en achèteras une.— Bon… OK.— Et également : tu ne porteras pas de culotte. »
Elle pouffa, visiblement étonnée.
« - Ah bon… ?
— Oui j’y tiens absolument.— Ah… mais…— S’il te plait, Livia. Tu peux faire ça pour moi.— Bon, d’accord. — Et tu porteras des bas auto-fixants, tu vois ce que c’est ? Eventuellement pas de bas, s’il fait chaud. Mais pas de collants.— Oui, d’accord » avec son accent unique. Le ton de sa voix reflétait une gravité nouvelle. Peut-être un peu d’inquiétude.« - Et puis bien entendu… tu raseras entièrement ta chatte, j’aime !— Ah… OK » rajouta-t-elle avec un léger sourire amusé dans la voix.
« - Au fait : bien entendu, c’est moi qui t’invite, j’ai tout payé.— Ah… Merci. — Je t’en prie. C’est normal. En France, c’est l’homme qui invite et qui paie. »
J’espérais simplement qu’elle n’en prendrait pas systématiquement l’habitude. En même temps, si nos week-ends s’avéraient moins plaisants qu’escomptés, je pourrais toujours les espacer voire les suspendre, au prétexte d’être à sec.
Le vendredi du dit week-end, elle était chez moi comme convenu de très bonne heure, afin que nous prenions la route.Elle avait insisté pour prendre sa voiture, un joli petit coupé allemand qu’elle bichonnait particulièrement. Aussi, quand elle sonna, je sortis immédiatement avec mon sac de voyage et la trouvai qui m’attendait devant chez moi, un sourire radieux (ce qui veut dire un sourire discret, chez elle) : elle portait ses jolies bottes marron et une jupe qui lui arrivait à une dizaine de centimètres au-dessus du genou, ce qui lui donnait un air franchement sexy, sans être provocateur.Ses genoux et ses cuisses étaient moulés de nylon brun foncé, et pour le reste, j’estimai inutile de lui en poser la question : au vu de ce que j’avais vu, j’étais certain qu’elle s’était conformée à mes désirs.
Je l’embrassai sur la joue (elle n’était pas coutumière des effusions) et nous prîmes la route.
Le chemin fut agréable, d’autant que je me laissai conduire, et que sa jupe remontait, laissant voir la moitié de ses cuisses. Par ailleurs, elle portait au-dessus un sous-pull, qui, bien qu’étant totalement démodé, avait l’avantage de bien mouler sa généreuse poitrine.
Elle était volubile et, comme à son habitude, m’assaillait de questions sur tout, montrant sa soif de tout savoir, de tout connaître.Je comprenais que depuis qu’elle était en France, étant peu enclin à aller vers les autres, et gênée au début par la barrière d’une langue qu’elle maîtrisait alors peu, et également un peu craintive, elle avait mené une vie plutôt solitaire, réfrénant en particulier ses envies de sorties.Par ailleurs, dotée de peu de force de caractère, et se connaissant bien, elle devait avoir en permanence la peur de se faire avoir.
Etant accompagnée d’un homme d’ici, qui par ailleurs avait pas mal voyagé et visité un peu tous les coins de son pays, elle devait se sentir rassurée et beaucoup plus à l’aise, ce pourquoi elle était manifestement très détendue.
Avec moi je la sentais en confiance. Je lui étais reconnaissant de cette confiance, et j’éprouvais à son égard, sans bien vouloir me l’avouer, une tendresse croissante.
Aussi, tandis que nous faisions la conversation, je m’étais tourné vers elle et la regardais sans cesse. A un moment donné, je posai ma main sur sa cuisse gainée de nylon, en dessous de la jupe, et la laissai.Elle ne sembla pas gênée par cette présence permanente.
J’avais pour ma part une envie de faire remonter cette main et d’aller vérifier ce que je subodorais, à savoir qu’elle devait normalement rencontrer de la peau nue et douce au-dessus de la lisière de ses bas. : car j’étais certain qu’elle m’avait obéi et mis des bas. Ne souhaitant pas l’effrayer ni la perturber dans sa conduite qui était très prudente et attentive - à la façon de tout ce qu’elle faisait, je gardai cette main possessive sur sa cuisse droite, presque immobile, m’autorisant de temps à autre un petit mouvement de caresse affectueux.
Vers la fin de la matinée, je lui fis quitter l’autoroute pour lui faire prendre une route pittoresque en bordure de la Loire en direction de Saumur où j’avais l’intention de l’emmener déjeuner. Cette petite ville est tout à fait charmante et j’étais sûr qu’elle lui plairait.
Néanmoins, il n’y avait pas que la faim qui montait en moi au fur et à mesure que midi approchait. Et j’avais bien envie de nous offrir un petit apéritif du genre sensuel. Je me lovai un peu contre elle, lui caressant la cuisse par-dessus sa jupe, puis son bras, et lui susurrai :
« - Tu peux t’arrêter dès qu’il y a un coin tranquille. J’ai envie. » Sans préciser, bien entendu de quelle envie, il s’agissait.« - Oui bien-sûr » répondit-elle avec sérieux.
Elle proposa à plusieurs reprises de stopper sa voiture sur des toutes petites aires de parking, en renfoncement de la route, mais à chaque fois je lui fis comprendre qu’il nous fallait un coin vraiment tranquille, et je lui demandai de bien vouloir trouver une petite route qui s’enfoncerait dans la forêt. Elle prit un air empêtré, rougit un peu, et emprunta finalement une petite route de traverse, déserte, qui s’enfonçait dans une zone boisée.Je lui fis suivre un petit chemin sur 1 ou 2 km. Le sol était relativement sec mais elle s’inquiétait pour sa voiture, ayant peur de l’abîmer, de l’embourber.
Elle l’arrêta finalement dans une petite clairière, et tout joyeux et heureux de me dégourdir enfin les jambes, je sauta de son roadster et lui lançai :
« - Si tu as envie de faire pipi c’est le moment. Moi j’y vais ! »
Je m’éloignai de quelques mètres pour me soulager, et je l’aperçus qui cherchait d’un air inquiet où aller s’installer.
« - Va-s-y, ne t’inquiète pas » lui criai-je, « il n’y a personne ! »
Je la devinai en train de s’accroupir derrière la voiture, pudiquement cachée de ma vue, et de se libérer de son envie naturelle.
Quand je revins tranquille et détendu, vers sa voiture, elle se tenait debout contre elle et m’attendait en me regardant. Je la gratifiai d’un large sourire et lui lançai :
« - Eh bien, si tu montrais maintenant si tu as tenu tes promesses, si tu t’es habillée comme je l’ai demandé ? »
Et sans attendre sa réponse, la prenant doucement par le bras, je lui fis faire un demi-tour et l’invitai à s’appuyer contre son auto, à poser ses mains sur le toit. Bien docilement, elle s’exécuta, sans protester. Je crus même percevoir qu’elle frissonnait, sans savoir avec certitude à quoi était dû ce frisson.
« - Hummm… » lui fis-je, contemplant la partie de ses jambes pleines qui n’étaient pas emprisonnées par les bottes, et le bas de ses cuisses, « tu sais que je trouve très sexy comme ça ?! »Et joignant le geste à la parole, ma main remonta sur le nylon qui engainait le haut du mollet jusqu’au bas des cuisses, sans dépasser le bas de la jupe, passant d’une jambe à l’autre.
Enfin, je saisis le bas de la jupe et me mis à la remonter lentement. Je constatai avec ravissement que le haut des cuisses était nu ! Elle avait suivi ma consigne à la lettre. Et plus encore. Quand j’eus remonté la jupe sur ses reins et sa taille, j’eus une agréable surprise : non seulement ses fesses blanches m’apparurent dans toute leur splendeur et leur épanouissement, mais en plus, la petite allumeuse avait mis des bas et s’était équipée d’un porte-jarretelle ! Il était très élégant, de couleur lilas, et orné d’un liseré en dentelle noire du plus bel effet.
J’appris sans tarder qu’il était assorti à son soutien-gorge : Madame, manifestement, montrait qu’elle commençait à avoir du goût… et qu’elle s’appliquait pour me séduire !
Je grognai de plaisir en caressant et en malaxant les fesses larges et bien épanouies, passai mes mains entre ses cuisses, caressant la peau nue au-dessus des bas, effleurant les bords de la vulve pulpeuse.
« - Hummm… Tu as vraiment un beau cul, Livia ! De belles fesses, tu me fais drôlement bander… Tu me donnes vraiment envie de te fourrer. »
Elle ne répondit pas.
Je me mis à empaumer cette vulve charnue, découvrant avec plaisir une nouvelle preuve de sa docilité et de son zèle à se conformer à mes désirs : le mont, parfaitement glabre, était lisse et doux au toucher comme de la soie fine !Je me mis à le malaxer avec plaisir, mon bras passé entre ses jambes ; elle se mit à geindre de plaisir.
Ses reins ondulaient sous la caresse, elle se cambrait de plus en plus, me tendant sa merveilleuse croupe. Elle savait que je savais en faire bon usage, flattée sans doute, et heureuse de l’offrir à un connaisseur.
Reconnaissant de ce présent, je m’apprêtais à lui faire honneur et à lui rendre hommage. J’avais sorti ma queue dure et bandée comme un arc et l’avait placée dans son sillon fessier où elle glissait de haut en bas, de bas en haut, aidée dans ce mouvement par le liquide séminal qu’elle laissait perler en abondance. Je lui faisais reluire la raie des fesses, désormais toute brillante, lui astiquais et lui titillais l’anus au passage, et cette caresse vicieuse ne semblait pas être pour lui déplaire.
Finalement, je l’invitai sans un mot en la tenant aux épaules à rentrer dans l’habitacle et à s’installer à genoux sur le fauteuil passager, où, tout naturellement, et sans doute déjà mue par l’habitude déjà prise (même si ça n’était que la seconde fois), elle s’installa dans la position adéquate, à savoir à quatre pattes, pour une bonne levrette.Ses genoux reposant sur le rebord du fauteuil, ses jambes en dehors s’étaient écartées comme il faut pour me laisser passage.
Elle me présentait sa jolie fleur rose dont les pétales, tout brillants de rosée, s’étaient bien entrouverts : comment résister à un tableau aussi charmant ? Mes doigts constatèrent avec satisfaction son état d’émotion, et je les retirai tout luisants de sève et les portai à ma bouche : « humm… » fis-je en les léchant, me délectant du goût épicé de son nectar de femme toute fébrile.
Je présentai mon vit et le gland trouva son chemin, plongeant dans le jardin des délices, brûlant comme l’enfer.Quand j’arrivai en butée tout au fond de son bas-ventre, elle poussa un râle de plaisir.
« - Oui, c’est bon. Tu en avais envie autant que moi, ma belle, hein ?! »
Aussi peu loquace qu’à son habitude, elle ne me répondit pas, mais commença à caler son bassin qui appelait de ses vœux et de ses mouvements une visite approfondie et énergique de sa grotte d’amour.
Avec de longs aller-et-retour souples je pris mon temps pour la chauffer et faire monter comme il faut le plaisir tout au fond de sa chair.
Le soleil brillait dans la clairière, les rayons nous baignaient à travers le pare-brise de leur clarté joyeuse et printanière, les oiseaux gazouillaient gaiement dans le calme de la forêt, nous étions tout seuls, en paix, tout à notre plaisir.Personne, pas de témoin, comme seuls au monde.Ma Livia si réservée d’habitude, gagnée sans doute par la sérénité de l’endroit et en confiance, fermait les yeux, se mordait la lèvre inférieure, se laissait aller à son excitation, lâchait des cris rauques, tournait même sa tête vers moi pour m’offrir sa langue. Je prenais sa bouche, lui bouffais la menteuse, tandis que je commençais à la besogner plus vigoureusement, et qu’elle se mettait à haleter sérieusement.
J’avoue que j’étais moi aussi excité comme un diable, et ne pouvant plus me contenter de la seule vue de ses fesses splendides et de ses cuisses gainées de brun, je lui remontai brutalement le sous-pull au-dessus de la poitrine, dégrafai son soutien-gorge, et lui fis passer ses gros seins par-dessous.Ces beaux melons pleins et mous accueillirent mes mains avec un redoublement de râles de gorge, saccadés à cause de mes coups de boutoir.
Je faisais rouler ses mamelons durcis entre mes doigts, les étirant au maximum, pressant ses fruits comme un damné, et elle se mettait à beugler furieusement. J’avais la bite en feu, je lui éclatais l’utérus, deux doigts lui pressant le bourgeon, et c’était désormais des vocalises de toute sorte, des sons de toutes les octaves qui s’échappaient sans retenue de sa gorge, tandis que son cul venait à la rencontre de mon bassin en des ondulations brutales et bestiales : ma petite collègue roumaine montrait, outre un vrai talent pour la baise, une nature animale et déchaînée, et qui plus est, de vraies aptitudes pour le plaisir.
Se tenant tantôt au dossier du fauteuil, tantôt à la portière conducteur, elle essayait de s’amarrer, de se cramponner, coordonnant parfaitement mes coups de bite avec ses coups de reins qu’elle assénait en arrière en rugissant, tapant même à un moment donné sur le klaxon qui retentit plusieurs fois – ce qui ne sembla pas la déconcentrer le moins du monde. Elle jouissait désormais de manière continue, jurant dans sa langue, griffant tout ce qui se trouvait à sa portée comme une bête sauvage, criant, gueulant, hululant, tandis que je me disais que c’était heureux que nous soyons en pleine nature et pas dans une chambre d’hôtel (j’appris par la suite, qu’ayant reçu une éducation stricte, elle avait la jouissance plus retenue dans des lieux moins discrets.)
Ses cuisses se tétanisèrent puis firent pris de tremblements tandis que dans ma queue à vif, ma jouissance ne se décidait pas à monter.
Revenant un peu au calme et semblant reprendre ses esprits, et tandis que j’avais stoppé momentanément la cavalcade, elle se retourna, et dans un élan de tendresse subit, elle m’enlaça et m’embrassa ; puis, les yeux brillants, elle me roucoula de sa voix grave qui roule les « r » :
« Ah c’était bon, tu m’as vraiment fait du bien.— C’était bon aussi pour moi, ma chérie » lui répondis-je.
J’avais renoncé à jouir pour la matinée. Pas grave, j’avais eu aussi beaucoup de plaisir à la baiser, et la jouissance n’est pas toujours indispensable à prendre son pied, même si les femmes ont parfois du mal à comprendre ça.J’avais aussi comme ça des réserves pour plus tard.
« - Et toi, tu n’as pas joui ?— T’inquiète pas pour moi. Je te réserve de la semence en abondance. Tu en profiteras le moment venu » lui fis-je avec un clin d’œil égrillard.
Et nous reprîmes la route joyeusement, nous sentant plus légers, mais en même temps mus par un appétit féroce. Ça tombait bien : le petit restau où j’avais réservé la veille était à moins d’une demi-heure.
Nous déjeunâmes dans un endroit bucolique, en bordure du grand fleuve et de troglodytes creusant la craie des petites falaises. Livia était ravie, ses yeux pétillaient, et à la façon dont elle appréciait le petit blanc de la région, je me dis qu’il me faudrait prendre le volant après manger.
Juste après le repas je m’arrêtai dans une petite cave où j’achetai 3 bouteilles de ce délicieux vin que nous venions de déguster.
Nous reprîmes la route, et c’est moi qui conduisis. Heureusement d’ailleurs, car nous n’avions pas fait 10 kilomètres que Livia s’endormit, bercée par le ronronnement du moteur et les vapeurs de Val de Loire qu’elle n’avait jamais eu l’occasion de goûter auparavant et qui baignaient son cerveau comme la mer baigne le sable à la marée montante.Elle dormait comme une bienheureuse, son visage détendu et calme me faisait penser à celui d’un ange.
Elle se réveilla peu avant d’arriver dans une jolie petite ville près de Cholet où, comme le temps était au beau, je voulais lui montrer un parc ravissant et particulièrement bien arrangé selon un thème exclusivement asiatique. Le parc se situant en contrebas d’un château assez charmant, elle battit presque des mains quand elle découvrit cette vue, émerveillée comme une enfant. Je me disais qu’elle avait du temps à rattraper dans tous les domaines, et c’était un plaisir de l’initier à tant de choses nouvelles, en même temps que de faire connaître des endroits ravissants et nouveaux à une personne qui les appréciait tant.
J’avoue que j’aime bien jouer au guide amateur, et surtout, il est vrai, pour des femmes ; d’autant plus quand elles sont ravissantes et bien disposées à mon égard. Mêler tous ces plaisirs est pour moi plus qu’agréable, et constitue le summum de l’hédonisme.
Ce fut une agréable surprise de constater qu’en ce vendredi après-midi le parc était quasiment désert. Elle fut stupéfaite de découvrir cet endroit insolite et zen, ce parc oriental dans ce coin de France. Nous parcourûmes toutes ses allées, cheminant au hasard, dans une ambiance faite de sérénité et propice au recueillement.
Bien entendu nous marchions sans nous tenir la main. Je crois que ça n’était pas dans sa culture, ou pas dans ce que son éducation lui avait transmis, et je ne cherchai pas à lui transmettre cette mienne habitude, qui aurait aussi eu l’inconvénient de signifier peut-être plus que ce qu’il y avait dans notre relation.
A un moment donné, elle s’arrêta pour contempler un petit étang. Nous étions sur un sentier qui le surplombait, partiellement abrité par des pins, et bien entendu, sans personne dans les environs.Je passai ma main sous sa jupe courte et allai directement caresser ses fesses nues en grognant de plaisir : comme ces demi-sphères étaient douces, souples, pleines et élastiques !Elle tourna son visage vers moi avec un petit sourire mais sans protester ; elle n’en était visiblement plus au stade d’être choquée par mes manières libertines.Je flattai un bon moment sa croupe, descendant sur les cuisses convexes, les hanches pleines, toutes ces belles courbes que la nature avait offertes à son anatomie. Ma queue commençait à manquer de place dans mon slip mais je n’avais pas plus envie que ça de remettre le couvert, surtout ici, sans confort ; je suis assez bourgeois de ce point de vue-là, il faut bien le dire, surtout que je savais qu’une luxueuse chambre nous attendait pour le soir.
Mais je fus plus que surpris quand Livia, sans dire un mot mais me regardant d’un air entendu et coquin, me prit la main et m’entraîna à quelques mètres sous l’obscurité d’arbres plus étoffés. Là, elle s’accroupit, ouvrit ma braguette, en extirpa ma queue et la prit immédiatement en bouche. Je n’en revenais pas !
Elle se mit avec application à se livrer à une pipe en règle, et bien qu’un peu maladroite, elle me suçait avec méthode, et je me disais qu’avec son air naïf et un peu godiche, ça n’était peut-être pas la première fois. Mon vit gonfla immédiatement sous la caresse buccale de ses muqueuses soyeuses. Elle me jetait des coups d’œil entendus de temps à autres et elle se retrouva vite avec une tige d’une belle taille et particulièrement durcie entre les doigts. Ce membre dans sa main et la nudité de son entrecuisse sous sa jupe dut rapidement lui donner des idées (enfin : faire monter son désir) car elle se releva au bout de quelques minutes, retroussa sa jupe sur ses reins (dévoilant sa belle croupe blanche et nue), écarta ses cuisses comme pour s’ancrer dans le sol, se pencha largement en avant, s’appuya d’une main contre le tronc d’un arbre tandis que l’autre reprit ma queue et l’amena directement à l’orée de sa chatte… et elle s’empala avec un soupir de contentement !
Celle-ci devait être luisante de mouille car mon phallus glissa d’un seul coup et sans aucun effort. Hum, quel bonheur !
Bien naturellement, je lui saisis la taille de mes deux mains et l’aidai à tenir en équilibre tandis qu’elle s’assénait elle-même des coups de bite grâce des mouvements de bassin secs et voraces !
Hum, me dis-je, elle est vraiment affamée. Et je me demandai également si elle ne concevait l’amour que dans cette position ou si c’était sa préférée, voire même s’il n’y avait qu’avec celle-là qu’elle prenait son pied. J’étais en train d’y réfléchir quand j’entendis ses râles et ses vocalises rauques monter, en même temps que des vibrations et des spasmes dans son bas-ventre resserrer rythmiquement ma pine : une vraie machine à jouir, celle-là, me disais-je, et qui plus est, sans retenue aucune désormais. On aurait dit que je l’avais libérée. Etait-ce le fait d’être dans la nature, ou dans un endroit dépaysant, ou loin de son pays et de sa famille et du carcan de leurs tabous ?
Elle se cambra, son dos se révulsa, son ventre fut secoué de mini-convulsions, et elle explosa d’un « AAAH » libérateur, comme si elle évacuait une énergie trop longtemps comprimée en elle. Ses démonstrations d’excitation intense et de sa jouissance brutale qui venait de s’en suivre, ajoutées à la vue de sa croupe blanche que rehaussait son porte-jarretelle m’avait, je l’avoue, fait un effet bœuf, et je sentais ma queue tendue à fleur de peau.
Malgré ses jambes un peu flageolantes, elle se retourna et s’accroupit à nouveau et me reprit en bouche, et s’activa à un rythme soutenu, de telle sorte qu’il n’était pas de doute permis sur le résultat qu’elle voulait obtenir.
Elle l’obtint assez vite, et je me mis à pousser des grognements de bête, mes mains crispées sur sa tête, tellement le plaisir montait violemment, presque douloureusement.Elle ne s’inquiéta pas plus pour sa bouche, ne ralentit ni n’arrêta la fellation, et il arriva ce qui devait immanquablement arriver : je me répandis à longs jets entre ses lèvres qui me pompaient sans relâche.
Quand j’eus terminé, je me détendis – signal pour elle que le flot s’était tari, et elle retira ma queue et resta quelques instants l’air un peu empêtré, manifestement la bouche pleine et ouverte, me regardant d’un air interrogateur.
Je répondis avec tendresse à son regard et lui dis :
« - Tu peux cracher, si tu veux… »
Elle sembla hésiter quelques secondes, puis, avec étonnement, je vis ma Livia déglutir finalement (elle avait dû trouver que c’était moins sale que de souiller le sol de ce parc si bien entretenu : son éducation sans doute…)
Je l’aidai à se relever, la pris par la taille, elle redescendit sa jupe un peu froissée, et me dit avec un léger sourire un peu coquin :
« - Finalement, c’est pas mauvais. »
Je la pris tendrement contre moi et pressai mes lèvres sur les siennes pour lui témoigner ma gratitude.
Après cette brève effusion, nous reprîmes notre flânerie dans cet endroit magique. Livia avait les yeux brillants et semblait avoir les jambes un peu molles. C’en était beaucoup pour elle en une seule journée. Mais celle-ci n’était pas terminée...
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