Il disait vrai… il était bien meilleur que moi… Alors que mon pénis dégoulinait de sperme, il ordonna à Zoé de nettoyer ce gâchis. Elle s’exécuta aussitôt en lichant mon sexe jusqu’à ce qu’il n’ait plus une goutte. Inutile de vous dire que mon érection était revenue. Quand elle eue fini, elle lava ce qui était tombé sur le sol avec sa langue. Elle était devenue tellement docile, ça n’avait aucun sens. Une fois terminé, elle se mit à genoux à côté de son, ou plutôt, de notre maître. Gabriel, satisfait : — Bon, on en a fini… Avec elle. Qu’est-ce qu’il insinuait? J’étais si vulnérable, attaché au poteau, nu comme un vers, je ne me suis jamais senti aussi petit. Il s’approcha de moi tranquillement, son sexe encore bien dur. Il me regardait de haut en bas lorsqu’il me dit : — Zoé et toi avez jouis assez rapidement… comme tu peux le voir, il m’en faut beaucoup plus que cela pour me satisfaire. Je vais te montrer ce qu’est un vrai mâle. En terminant sa phrase, il mit son énorme sexe sur ma bouche. J’aurais dû être insulté, ressentir du dégoût au toucher du sexe d’un homme, mais au contraire, l’excitation montait en moi de plus en plus… Il avait peut-être raison, peut-être que j’étais une tapette, ou peut-être qu’il était tout simplement trop impressionnant pour que quelqu’un lui résiste. — Allez. Ouvre. Je sais que tu la veux. Après quelques secondes d’hésitation, j’ouvris la bouche et fit rentrer sa queue dans cette dernière. Ma langue entra en contact avec son gland avant que l’ensemble de son sexe soit loin dans ma gorge. Mon dieu que c’était bon. Zoé nous rejoint. Elle prit ma tête d’une main et fit des va et vient pour s’assurer que je le suçais correctement, tout en embrassant Gabriel. Son pénis prenait tout l’espace, j’avais mal à la mâchoire tellement ma gueule était grande ouverte pour permettre à cette création divine d’entrer. Je me surprends à commencer à lui lécher les couilles. Elles étaient également imposantes et lourdes. J’étais en train d’y prendre goût… Je pris sa grande queue à deux mains, la branlant tout en faisant des mouvements de va et vient avec ma bouche. Ça ne faisait même pas une minute que je l’avais en bouche et j’étais déjà accro. Elle était délicieuse et me faisait sentir minuscule face à cet étalon. Gabriel me frappa le visage à de multiples reprises avec son pénis, avant de le remettre dans son jouet, ce dernier étant ma bouche. — Ah regarde salope comment ton petit Alex aime avoir une belle grosse queue dans sa bouche… Il prend même des initiatives! Et pour être honnête, il est meilleur que toi pour sucer. Il a peut-être de l’expérience! Hahahahaha! Gabriel savourait ce moment. Il savait qu’il avait gagné, qu’à partir de cet instant précis, nous aurions honte de nous toute notre vie. Il avait gagné. J’étais à lui désormais, comme Zoé l’était avant moi. Alors que sa queue atteignait le fond de ma gorge, il l’enleva d’un coup et me prit par les hanches. Je savais ce qui s’en venait. Mon appréhension montait de plus en plus. Il me plaça à quatre pattes, sur le sol. Il m’indique de ne pas bouger. Je restai immobile, comme il me l’avait ordonné, lorsque je le vis faire enfiler à Zoé un strap-on. Il n’avait pas choisi le dildo le plus raisonnable, il devait mesurer dans les 16 pouces. Une grande queue noire. Zoé allait me défoncer le cul. Elle allait me dévierger. Des larmes coulaient le long de ses joues. Je ne pu m’empêcher d’essayer de la résonner, de la consoler. — Zoé, tu n’es pas obligée… Gabriel répliqua, étonné et souriant :
— Oh! Est-ce que tu pensais que…? Hahahaha oh mais ne t’inquiète pas, elle ne va pas te baiser dans le cul! Au moment ou je commençait à me rassurer, il ajouta : — Est-ce que ma queue est molle Alex? Zoé pleurait en me regardant. Ses lèvres semblaient bouger pour dire «Désolée», mais je ne comprenais pas pourquoi, avant que mon maître ne continue sa pensée. — Noooon… ce qui veut dire que je n’ai toujours pas terminé. Et je vais te l’enfoncer au plus profond de ton cul jusqu’à ce que ce soit satisfait. Je vais voler ta virginité sale pédo. Je tremblais de peur et d’inquiétude. Jamais un homme ne m’avait pénétré. Mon cul était imberbe, sans expérience sans… — AAAAAAAAAHHHH!!!! Je n’eut même pas le temps de finir ma pensée que Gabriel entra son énorme pénis dans mon anus. Il riait du cri de douleur que je venais de pousser. Il entrait et sortait de mes fesses à sa guise, je n’étais qu’un trou. Sans même un condom, je sentais la peau de son sexe se frotter aux parois de mon rectum. C’était immensément douloureux pendant la première minute. Une fois qu’elle est passée, j’ai commencé à ressentir du plaisir. Je sentais son gland se frotter à ma prostate à une vitesse folle, j’avais tellement honte. Honte d’y prendre plaisir. Honte d’aimer ça. Honte d’être une tapette. Je lâchai mon premier gémissement de plaisir, accompagné d’un sourire. Gabriel s’esclaffa de rire tout en continuant de me défoncer en me disant qu’il savait que j’aimais être un petit soumis. Il indiqua à Zoé de s’approcher de moi et de m’enfoncer son dildo dans la bouche, ce qu’elle fit. N’y comprenant rien, j’étais dans un moment d’extase. Je suçais Zoé pendant que mon ancien ennemi me déviergeait et j’adorais ça. J’eus un autre orgasme, laissant mon sperme tomber de ma queue flasque sur le sol. Gabriel s’en aperçut bien évidement et prit ma tête comme une vadrouille pour nettoyer le plancher. Il la releva vers Zoé. Mon visage était couvert de ma semence et mon air de plaisir et d’épuisement me donnait un air stupide. — Regarde comment ton ancienne flamme a fière allure!» dit-il ironiquement à Zoé. Après cette courte pause, il reprit de plus bel à m’enfoncer sa fierté dans mon orifice avec encore plus d’ardeur. Zoé aussi se mit à baiser ma bouche avec plus d’entrain, probablement après avoir vu que je ne pouvais pas résister à la sensualité de son copain. Je criais maintenant des cris de plaisirs : — Oh oui maître je vous en prie, continuez à me défoncer!!— T’aimes ça hein taffiole?— Oh oui j’adore! Venez en moi! Gabriel commençait à pousser des gémissements graves et assumés. Je sentais les veines de sa queue se gonfler, il allait de plus en plus vite, quand bien même que ma bouche était remplie du pénis de Zoé, je poussais des sons de plaisirs incommensurables. C’est alors que je sentis le liquide de Gabriel remplir mon cul. Il s’est vidé pendant dix bonnes secondes avant de retirer sa queue. Mon cul débordait de sa semence, je la sentais qui essayait de trouver une paroi à transpercer pour féconder. Alors que je pensais qu’il avait terminé, il se plaça en face de mon visage en poussant Zoé à terre avant de mettre son sexe dans ma bouche. Il m’a baisé la bouche pendant une minute avant de jouir à nouveau, me forçant à tout avaler. Ça m’a pris 5 bonnes gorgées pour en venir à bout. Le goût de son sperme chaud était délicieux, j’en aurais redemandé. Je le sentais couler lentement vers mon estomac. Lorsqu’il retira sa queue, je m’effondrai sur le sol, épuisé, vidé de toutes mes forces. Mon cul se vidait encore de sa semence qui coulait aussi à l’intérieur de mon corps, pendant que mon visage était recouvert de mon propre sperme. Il jeta Zoé, qui était plus qu’épuisée aussi, sur moi. Sa bouche dégoulinant encore de mon liquide reproducteur. Nous étions incapables de bouger, nos instincts de survie nous ordonnant de ne pas faire de mouvements pour reprendre nos forces. Gabriel nous avait drainé, mais lui, il semblait encore en pleine forme, sans la moindre goutte de sueur. C’est pendant ce moment que nous étions impuissants, faibles, soumis et honteux qu’il prit une photo de nous. Je n’eus même pas la force de réagir, ça m’a tout pris pour comprendre ses paroles : — Je suis sûr que vos amis facebook adoreront cette photo. C’est à ce moment que je compris qu’il n’y avait pas de retour en arrière. Il nous possédait. Nous étions devenus ses jouets.