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J'ai gouté a ma petite fille comme une friandise

Chapitre 3

Inceste
J’ai passé plus de 15 jours chez ma fille aînée à Alger, je me suis bien régalé en baisant ma petite fille et ma fille. Mais j’étais très marqué par la baise avec ma petite fille. C’était vraiment bien. Comme je tenais à la revoir une deuxième fois. C’était un peu difficile, car sa mère, était toujours la, quand je voulais m’isoler avec elle. Mais la veille de mon départ, elle est venue me dire, devant ses parents :
— « Papy, tu veux bien m’aider, sur une dissertation, je dois la rendre demain, au lycée ! »— « Pas de problèmes, si je peux t’être utile…, pourquoi pas ! », lui répondis-je.
Je me levai et la rejoignis dans sa chambre. Dès que je fus rentré, elle me sauta dessus, elle m’embrassa, goulûment. Ses belles lèvres me dévoraient les miennes. Puis elle me dit :
— « Faisons vite, j’ai tellement envie de ta gigantesque bite, de ton pieu de chair ! »
Je sortis ma queue, en érection et très raide, elle enleva le pantalon de son pyjama et retira son string. Je la défonçai avec mon pieu. Je la pilonnai, elle jouit fortement et moi, également, je me déversai complètement à l’intérieur, sachant qu’elle prenait la pilule. Puis après, on s’habilla rapidement de peur que quelqu’un rentre dans la chambre.
Le lendemain, je les quittai, en direction d’Oran, pour rendre visite à ma deuxième fille, Nouara, ma cadette.Ma fille, Nouara, est une enseignante, elle est très conservatrice, elle porte le foulard. Son mari travaille au sud. Il travaille un mois et récupère pendant un mois. Elle a un garçon, Mounir de 18 ans, c’est son ainé et une fille, Leila de 16 ans.
Quand je suis arrivé, son mari était toujours au sud. Je fus bien accueilli par ma fille et mes petits enfants, qui ne m’avaient pas vu depuis plus de quatre ans. Ma fille habitait un F3. Ils n’avaient pas beaucoup d’espace. Elle décida, exceptionnellement, que je devais partager la chambre avec ma petite fille et mon petit fils dormira, comme à l’accoutumée sur un canapé, au salon. Ma fille me mit, à même le sol, un bon matelas, ce qui me permit d’être à l’aise. Leila dormait sur un lit, pas loin de moi.
Ma fille s’occupait bien de moi. Le matin, elle me réparait le petit-déjeuner, avant qu’elle ne parte au lycée où elle enseigne. À midi, comme c’est loin, elle ne rentre pas. Le soir on mange ensemble et on veille, en évoquant certains souvenirs d’enfance. Ma fille, très fatiguée, va toujours se coucher et nous laisse, les enfants et moi, continuer la soirée.
Une fois, Mounir a branché son PlayStation sur la télé et s’est adonné à son jeu. Leila, assise sur le canapé, à côté de moi, nous avons continué de discuter. Elle avait mis sa tête sur mes jambes, la tête relevée vers moi. Ses jambes allongées sur le canapé. Sa tête reposait directement sur mon sexe. J’ai eu une brève image d’Inès, ma petite fille d’Alger, mais cette image je l’ai vite chassée de ma tête, rapidement.
Leila, tout en discutant, avait posé sa main sur mon entrejambe. Ce qui m’électrisa. Elle commença à passer sa main sur mon sexe, au dessus de mon pyjama. C’était plus fort que moi, je commençai à bander. Elle sentit cette érection. Ce qui l’encourageait à insister, avec une pression sur mon sexe.
Ma bite devenait très raide, j’épiais Mounir, il était très concentré sur son jeu.
— « Papy, tu as du bon matériel… ! », me chuchota Leila.

Devant cette réflexion, je sentis mon souffle coupé. Je feins de bailler, je leur dis que j’étais fatigué et que j’allais dormir. Je relevais délicatement Leila de mes jambes, je la fis s’asseoir sur le canapé. Je me lèvai et me dirigeai vers la chambre. Je me suis mis au lit (sur le matelas posé à même le sol). Je me couche, je lis un peu le journal avant de dormir. Après un quart d’heure, Leila me rejoignit, elle me dit :
— « Mounir ne veut pas débrancher sa console de jeux pour que je puisse zapper un peu à la télé..., tant pis. Je préfère me mettre au lit ! »
Elle se déshabilla devant moi, elle laissa son t-shirt ample et assez long et elle enleva son pantalon, je découvris des belles jambes. Il faut dire que Leila a une taille de 1m66, avec des rondeurs et des fesses assez proéminentes, des seins fermes qui se dressent sous l’habit ample.
— « Papy..., je peux venir à tes côtés... ? Je veux te poser des questions... ! », me dit-elle.
Elle m’a tellement surprise…, que je n’ai même pas eu le temps de réfléchir à ma réponse…, je répondis sans hésitation : « oui… ! »Elle vint se blottir sous les draps à mes côtés. Elle commença à me caresser ma bite qui s’éveillait, je lui dis :
— « Arrête, Leila, ce n’est pas bien ce que tu fais…, tu sais que tu n’as que 16 ans… ! »— « Je rêve de toucher le sexe d’un homme, mes copines l’on fait, mais moi…, je n’ai personne…, y a que toi, Papy qui peut m’autoriser à le faire…, je n’ai pas de copain…, ma mère me surveille de très près… ! », me répond-elle.
Et elle continua à me caresser ma bite qui est déjà bien bandée, très raide…, c’était plus fort que moi…
— « Est-ce que je peux la voir…, papy ? », me demanda-t-elle.
J’étais consterné et intéressé en même temps. Je bandais comme un cerf. Elle me prit ma jambe entre les siennes. Là, je bandais de plus en plus. Je lui demandai :
— « Tu n’a jamais…, jamais..., vu un sexe d’un homme ? »— « Euuuh…, si une fois…, mais j’ai peur de raconter cette histoire… ! », dit-elle, en hésitant.— « Vas-y…, je suis ton papy…, confies-toi à moi… ! »— « Oui…, mais aà une condition…, que ça reste un secret entre toi et moi… ! Maman ne doit rien savoir… ! »— « Oui…, d’accord…, promis… ! »— « Et une autre condition, c’est que tu me laisses toucher ton sexe… ! »— « Accordé…, mais toucher, uniquement… ! », lui répondis-je.— « Écoute papy, une fois maman avait fait venir un plombier, on avait une sérieuse fuite à la salle de bain. Comme elle avait cours, elle a chargé Mounir de rester avec ce plombier, au cas où il aurait besoin de quelque chose. Le plombier était un homme de 35 à 40 ans. Moi j’étais à la chambre, j’entendais du bruit dans la salle de bain. J’y allai et la porte était entrouverte. Le plombier, était en train d’enlever le pantalon de Mounir, qui était devenu tout rouge. Mounir est un garçon timide, il est très gentil, un peu gros…, avec de grosses fesses… ! Le plombier lui disait : « écoute Mounir, ça va bien se passer…, laisse-moi faire…, tu verras… ! » Je n’ai pas compris de quoi il s’agissait. Mounir baissa son pantalon, son slip révélait un bon contour de ses fesses, à ce moment-là, le plombier sortit son sexe bien raide de son pantalon. J’ai eu le souffle coupé. Il descendit le slip de Mourir, il embrassa ses fesses…. Puis il cracha sur son sexe, qui s’est bien gonflé. Et il a commencé à l’introduire dans le petit trou de mon frère. Mounir a crié : "aie ça fait mal... !" "Tais-toi. Tu verras, ça va aller !". Il le poussa au fond de son cul, je l’ai vu, il est rentré, et Mounir s’est tu… ! Après, le plombier a commencé à bouger sa hanche et d’un coup, il s’arrêta… ! Il avait dû jouir ! Il retira son sexe du cul, il était tout blanc, certainement de son sperme, il donna son sexe à Mounir pour le sucer ! Moi j’ai eu peur, j’ai couru au débarras pour me cacher, de peur que le plombier ne pense faire ça, avec moi aussi ! »
J’étais atterré et sidéré, troublé serait le mot le plus juste.
— « Voila papy. C’est durant cette histoire que j’ai bien vu le sexe d’un homme ! »
J’étais abasourdi par cette histoire. Leila, me dit maintenant :
— « Papy, chose promise, chose due ! »
Je répondis, par un oui évasif. Elle introduisit sa main sous mon slip, ma bite était toujours raide. Elle l’empoigna. Elle me dit :
— « Waouh... Papy, ton sexe est énorme… ! »
Puis elle s’est mise à le caresser. Elle commença à descendre mon slip, arrivé au niveau du bassin, je l’aidai en me soulevant légèrement. Puis, elle prit ma bite, elle commença à la renifler, puis, elle passa sa langue sur le gland. J’étais fou, j’allais exploser, mais je me retenais. Elle me dit :
— « Papy, sens ma chatte... ! »
Elle se mit sur le dos, écarta les jambes, elle souleva son t-shirt, elle ne portait rien dessous. Sa chatte, légèrement poilue, s’offrait à moi. Je me mis à genoux, je plongeai ma tête vers ce brasier. Sa vulve coulait en abondance. Ma langue commença à sucer, à laper cette mouille avec un bruit de clapotis. Elle gémissait.
— « Puiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, papyyyyyyyy…, vas-yyyyyyyyy…, nique-moi… ! »
Je léchai ses lèvres et j’introduisis ma langue dans ses profondeurs, à la recherche de son clito, que je trouvai bien gonflé du plaisir ressenti par cette salope de petite fille. Elle me coinça entre ses jambes, elle me retint la tête et la poussa sur son puits d’amour. Et d’un coup, elle eut un orgasme profond, qui la fit gicler sa cyprine que j’avalai, mélangé à sa mouille.
Puis, je me positionnai, elle toujours sur le dos, je massai ses seins bien dressés, lèchai et suçai ses tétons dressés et bien durs. J’embrassai ses lèvres, ma langue rentra dans sa bouche, s’entremêla avec la sienne. Puis, je passai ma bite entre les lèvres de son petit vagin, je la frottai, ma mouille se mélangeait avec la sienne qui n’arrêtait pas de couler. Je fis entrer ma bite très raide, énorme en longueur et en épaisseur, le gland passa doucement, mais à un certain moment, je butai, elle me dit :
— « Vas-y papy…, continue, c’est bon… ! »
Je rentrai encore un peu, elle criait..., elle s’agrippait à moi… ! Elle me collait en me retenant par mes fesses. Elle me supplia de continuer, elle voulait connaître le vrai plaisir. Pour une fois, j’ai eu peur. Je voulais me retirer, elle ne me laissa pas.
Je fis progresser ma bite et d’un coup de rein, j’éliminai ce barrage qui causait bien des désagréments, je venais de la dépuceler. Je fis étouffer le cri de Leila par un baiser profond. Je lui bouffai les lèvres. Je fis rentrer, doucement, ma bite, je sentis que ma bite avait atteint ses profondeurs, je touchais au fond de son utérus. Je commençai à faire de légers va et vient. Elle me dit :
— « Que c’est bon, je te sens au fond de moi…papy ! »
Tout en la baisant, elle me disait :
— « Nique-moi…, je suis ta pute… ! Je suis une salope… ! Une vraie salope… ! Nique-moi avec ton zob… ! Heinnnnnn ! »
Et moi, j’accélérais mes mouvements de va et vient et d’un coup, elle s’agrippa à moi, en disant : « heinnnnnnnnnnnnn…. ! » Et elle jouit ! Moi, j’étais à bout, je me retirai et la première giclée atterrit sur son visage, puis je me vidai sur ses seins. Enfin je lui présentai ma bite à la bouche, elle reçut une giclée, en plein dans sa gorge, qu’elle avala avec volupté !
Elle me dit : « papy, tu as été un champion ! », elle se leva et rejoignit son lit.
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