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J'ai goutté a ma petite fille comme une fiandise

Chapitre 3

Inceste
J’ai passé une semaine à Oran chez ma fille Nouara. J’ai baisé deux fois ma petite fille. Je me suis senti rajeuni, voire ressourcé. Je suis rentré en Kabylie, chez moi, dans ma maison où mon beau jardin m’attendait.
J’ai repris mes réflexes habituels, mais la pensée de mes deux petites filles ne me quittait pas. La nuit, je me branlais, quand je me remémorais mes parties de baise avec elles.Les jours passèrent, après un mois de mon retour d’Oran. Je vois un jour, débarquer a la maison, ma jeune sœur, Djamila qui a 40 ans. J’ai deux sœurs et un frère. La sœur aînée et mon frère plus jeune que moi vivent en France depuis longtemps. Djamila, est mariée, elle vit à Béjaia. Mais elle n’a pas eu de chance, dans la vie, elle n’a pas pu enfanter, elle est stérile. Son mari s’est remarié pour avoir des enfants, mais il ne l’a pas répudiée.Elle vit avec lui, mais elle est un peu délaissée. Son mari accorde beaucoup plus d’importance à sa seconde épouse âgée de 26 ans qui lui a donné deux enfants.J’étais très content de la voir. Elle me dit qu’elle est venue passer un mois chez moi. Le lendemain, elle commença à faire le grand ménage. Le soir, on mange, puis on veille dans le salon, on discute de beaucoup de choses et surtout de ce qui lui arrive.
Un soir, elle était assise à coté de moi, elle portait une robe légère d’intérieur, elle a enlevé son foulard kabyle, découvrant une belle chevelure blonde. Elle était très blanche de peau. Je ne sais pas ce qui m’a pris, une pensée me traversa et me rappela, la partie de baise avec ma fille aînée à Alger. Mais je chassai cette pensée, je connais ma sœur, elle est réservée. Mais en discutant, je fixais la poitrine de Djamila, elle doit faire facilement du 95D. Comme il faisait chaud, elle a dû enlever son soutien. Puisque ses tétons pointaient sous sa robe.
Elle me parla de sa chute dans les escaliers qu’elle a eu l’année dernière, dans sa maison. Elle a eu sa cheville avec le plâtre durant plus de deux mois. Elle me dit, qu’elle sentait toujours des douleurs et qu’elle s’est promis d’aller voir un spécialiste à Alger. Elle mit son pied sur le fauteuil pour m’indiquai l’endroit au niveau de sa cheville qui lui faisait mal Ce petit geste qui alla me transformer durant cette soirée, souleva sa robe, et découvrit le bas de sa cuisse du pied soulevé et l’autre cuisse, à partir du genou. Ces cuisses bien galbées ont fait de l’effet sur moi. À ce moment, je ne me retenais pas. Je devais trouver le meilleur moyen de l’approcher et lui faire comprendre qu’elle m’intéressait.
Je devais passer à l’action. Je lui dis je vais te faire un petit massage avec une pommade pour atténuer les douleurs. Quand je me levai pour aller chercher la pommade. Mon sexe, très bandé, apparaissait sous mon pyjama. J’ai mis mes mains devant pour essayer de dissimuler cette érection, mais je ne pense pas, que j’aie pu cacher cette scène .Je reviens avec la pommadé. Ma sœur Djamila avait toujours le pied posé sur le fauteuil. Assis a coté d’elle, je commençai à lui passer la pommade sur sa cheville. Puis, je remontai tout doucement le long des mollets, je lui dis « ça va, est ce que ça te fais du bien… ? » Je bandais comme un cerf. Elle remarqua, mon érection. Je continuai à monter ma main, maintenant, je suis entrain de caresser le dessous de sa cuisse. Elle se laissa aller, elle me dit : « continue..., c’est bon… ! »
Ma main atteignit sa culotte, je la touchai, elle était mouillée. Je frottai avec mes doigts, elle gémit légèrement « ahhhhh… » Je lui souffle dans l’oreille :
— « Depuis quand tu n’as pas baisé, ma douce sœur ? »— « Depuis plus de 3 ans ! », me répondit-elle.
Je lui demandai de me suivre dans ma chambre, comme ça, on va être à l’aise.Debout en face de mon lit, je la pris dans mes bras, approchant mon visage, je lui pris les lèvres, immédiatement je sentais sa langue dans ma bouche. Je la serrai très fort contre moi et je sentis qu’elle avançait son ventre contre le mien .je la plaquai davantage en lui prenant les fesses sur sa robe, c’est elle, maintenant, qui aspirait ma langue, elle embrassait bien, passionnément en émettant une plainte continue.
Ses seins s’écrasaient contre ma poitrine. Tout son corps ondulait contre moi. Je soulevai sa robe et lui enlevai. Elle était nue devant moi, ses gros seins pointaient, bien dressés, je les pétrissais. Je sentais sa main sur moi, me saisissant ma verge sur mon pantalon de pyjama, je lui pris les fesses à nu et durant un long moment, nos corps se mêlèrent en tout sens. Les baisers qu’elle me donnait étaient très chauds, langoureux et témoignaient qu’elle en était privée depuis longtemps. Puis sans rien dire, elle s’agenouilla devant moi, elle me retira mon pantalon, mon sexe était tellement bandé et déformé sous mon boxer qu’elle arriva à le retirer et le faire descendre au bas de mes jambes. Elle découvrit mon sexe, une bite géante en grosseur et en longueur, bien raide, et dressée.
— « Hoo…, bon dieu qu’il l’est grand ton sexe…. C’est un vrai zob… ! »
Elle le prit dans la main, elle le contemplait. Elle passa sa main du haut vers le bas, elle s’attarda sur le gland.Elle pénétra ma bite dans sa bouche, elle l’empala, elle la fit rentrer au fond de sa gorge. Mais une grande partie restait en dehors de sa bouche. Puis, de sa langue, elle commença à lécher le gland, qui rougissait, elle descendit le long de la hampe bien raide, elle était émerveillée par cet engin, ce pieu de chair. J’ai senti la tiédeur de sa bouche, la moiteur de sa langue, la douceur de ses lèvres arrondies sur moi.
Sa langue tournoyait sur la partie de mon membre engagé dans sa bouche. Le bout pointu de sa langue frôlant mon gland, là où c’est sensible. Je gémissais, je sentais le plaisir. Cette salope de sœur, elle avait soif. Elle n’a pas baisé depuis longtemps.Puis, je la fit coucher sur le lit, je regardais son corps, ce ventre bien fait qui n’a pas pu enfanter.Je pris les seins, je les pétris, je suçai ces beaux tétons qui se durcissaient au fur et à mesure, elle gémissait :
— « Ahhhhhhhh…, je suis ta chienne…, nique moi… ! »— « Tu une vraie salope… ! », lui répondis-je.
Je descendis des seins vers le ventre, le nombril, puis j’atterris sur une chatte bien rasée, et mouillée. J’écartai bien les jambes, je commençai à déposer des bisous sur les cuisses bien galbées. Puis je plongeai ma tète sur cette vulve, qui était devenue un brasier. Je lapai cette mouille qui inondait son sexe, qui était à sec depuis bien longtemps. Ma langue pénétrait, à la recherche de son clito, je le découvris, déjà dur, je le suçai, je le léchai, elle criait :
— « Ahhhhhhhh…, c’est bien…, vas-y, nique moi ! »
Et d’un coup, elle s’agrippa a moi, elle coinça ma tête entre ses cuisses et elle retint ma tête sur son sexe qui était en éruption. Elle dégageait sa cyprine…, bien chaude que j’avalai avec volupté. Elle eut un spasme très fort. Elle s’était presque évanouie. Elle s’est ressaisie juste après, je lui écartai ses jambes et je présentai ma bite très raide, entre les lèvres de sa chatte baveuse, je l’introduits doucement, je sentis qu’elle était très serrée. Je le glissai doucement, jusqu’à ce qu’il rentre complètement. Je sentis que j’avais touché le fond de son utérus. Je commençai un mouvement de va et vient. Elle cria :
— « Vas-y…, défonce moi…, avec ton zob… ! »— « ouiiiiiiiiiiiiii, garce… Avaleuse de zob…, tu es une chienne... ! »
Et là j’accélérai mes mouvements de va et vient et d’un coup, je sentis qu’elle avait joui, encore une fois, elle cria :
— « Que c’est bon…, ton pieux est dans mon ventre… ! »
Moi j’explose…, je gicle à l’intérieur de ses entrailles, je vide mes couilles pleine à craquer. Puis, je me retire, elle saute sur ma bite et elle la lèche, elle avale tout le sperme dégoulinant.Elle s’étend à mes coté. Elle me dit :
— « Tu sais, je fantasmais sur toi depuis longtemps. Mais aujourd’hui, j’ai découvert ton pieu de chair. Je sais que c’est de l’inceste, mais ce sera toi qui me baisera quand j’aurai envie ! ».
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