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Gradualité

Chapitre 1

Première partie.

Avec plusieurs hommes
Je m’appelle Ysaline Rougon mais mon nom de jeune fille est Macquart, et j’ai 36 ans vu que je suis née en Septembre 1985. J’ai deux enfants, Mathis venu au monde en Août 2004 et Sarah en Octobre 2006, qui ne prendront que peu de place dans mon récit même si je les adore, étant donné qu’ils sont encore mineurs. 
 Je suis persuadée que vous avez envie de savoir à quoi je ressemble, alors je vais essayer de me décrire en espérant que vous ne serez pas trop déçus. Pour commencer je mesure 1 mètre 69, je pèse 65 kilos et je chausse du 40, ce qui signifie que j’ai des rondeurs. 
 Mes cheveux sont auburn autrement-dit bruns avec des reflets roux-sombre, et ils m’arrivent aux épaules. Mes yeux sont marron en tirant sur le vert, mon nez est fort, ma bouche grande avec des lèvres moyennement pulpeuses ainsi que des dents blanches régulières, et mon menton est légèrement prononcé. Je porte également des lunettes à l’occasion car je suis atteinte depuis toujours d’une légère myopie, qui heureusement pour moi ne s’est pas aggravée avec l’âge. Malgré tous ces défauts, les gens que ce soit pas politesse ou avec sincérité, s’accordent à dire que j’ai du charme.   Quant à mon corps comme vous le savez déjà je suis de taille moyenne, j’ai de gros nichons pendants mais pleins avec de grandes aréoles ovales plus hautes que larges, et des petits tétons demi-sphériques faisant à peine sept millimètres de diamètre. Un ventre légèrement bombé avec un nombril creux, des fesses bien rebondies et moelleuses heureusement pour moi sans cellulite. 
 Mon sexe est pourvu de grandes lèvres charnues qui cachent leurs courtes petites sœurs, le capuchon de mon clitoris étant le seul à dépasser en haut là où elles se rejoignent, si mes cuisses ne sont pas écartées. Quand je suis debout on ne voit que lui étant donné que ma vulve est épilée, et ma toison pubienne de la même teinte que mes cheveux, qui a la forme d’un ticket de métro le surplombe. Pour terminer je n’ai aucun tatouage, et je ne suis pas percée mis à part aux oreilles. 
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 Sauf que ça c’est maintenant car un jour comme tout le monde j’ai eu 18 ans, et vu que c’est à cette époque que débute mon récit, imaginez-moi avec des seins encore fiers mais déjà de belle taille, une silhouette plus fine et des fesses qui n’avaient pas attendu la maturité pour être bombées, ainsi qu’un ventre plat. Mes cheveux qui étaient la plupart du temps attachés en queue de cheval ou nattés, m’arrivaient au milieu du dos quand ils pendaient librement. À cette époque je ne m’épilais pas mais me rasais si bien que ma vulve était déjà lisse, en tout cas la plupart du temps, ma toison pubienne étant bien plus étendue et de forme triangulaire. 
 Nous étions donc en 2003, n’ayant pas vraiment goût pour les études mon bac en poche j’ai commencé à travailler dans une grande entreprise, dans le bureau des ressources humaines, et au mois d’Octobre je me suis mariée avec Benjamin de trois ans mon aîné, car nous nous fréquentions depuis déjà quelques temps. 
 Nous avons après avoir officialisé notre union emménagé dans la villa qu’il avait achetée à crédit, entourée d’un terrain sur lequel se trouvait à l’arrière une piscine de taille moyenne, dans laquelle nous pouvions nous baigner en toute intimité, notre propriété étant abritée des regards des voisins par une haie vive. 
 Quand elle a débuté notre relation était pleine de tendresse cependant Benjamin a bien caché son jeu, car dès que nous avons entamé notre vie conjugale il est devenu plus exigeant. Ce qui ne m’a pas perturbée car je l’aimais, et il n’y a pas eu de cassure par rapport à la manière dont elle avait commencé, étant donné que les choses ont évolué progressivement. Ce qui explique le titre de mon histoire. 
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 La première instance de mon homme me concernant a été que comme il adorait me voir nue, et surtout mater mes gros seins bouger lorsque je me déplaçais, quand nous serions seuls à la maison je ne porterais qu’une paire de mules à talons aiguille de six centimètres de haut. Mais pas un de plus, car vu qu’il mesure 1 mètre 76 il n’était pas question que je le dépasse au niveau de la taille. 
 Bien entendu je me suis pliée à ce que j’ai pris au départ pour un caprice de sa part, car je n’étais pas particulièrement pudique et nous nous étions déjà baignés sans maillot de bain dans les calanques de Cassis. Par conséquent me faire bronzer sans rien sur moi au bord de notre piscine me convenait parfaitement, alors être dans cette tenue le reste du temps m’a semblé une chose assez normale. C’est la raison pour laquelle petit à petit le nudisme est devenu pour moi une seconde nature, même si la réciproque n’était pas vraie, étant donné que sauf quand nous faisions l’amour, Benjamin avait contrairement à moi le sexe toujours couvert. 

 C’est également à cette époque qu’il a commencé à me prendre en photo, y compris dans ce que nous appelions le jardin et en tenue d’Ève, ce qui ne me posait aucun problème même s’il le faisait avec un appareil numérique, et que ces images me représentant se retrouvaient ensuite sur notre ordinateur. Car j’avais une confiance totale en lui, et j’étais par conséquent persuadée que jamais elles ne se retrouveraient sur internet. 
 Mon époux n’a pas mis plus d’une semaine pour me convaincre de pratiquer la sodomie, alors que nous n’en avions jamais parlé avant de vivre ensemble. C’est lui qui m’a administré mes premiers lavements pour que notre hygiène reste irréprochable, étant donné qu’il a au départ utilisé un lubrifiant je n’ai pratiquement pas souffert, et j’ai même fini par adorer ça. 
 Ce que j’ai moins aimé par contre a été mon initiation aux gorges profondes, en parallèle du rodage de ma rondelle car toujours durant la même période. En tout cas au début, puisque après un dur apprentissage dont je vous passerai les détails j’ai fini par m’y faire, et même apprécier de donner à mon Amour du plaisir de cette manière. 
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 Comme vous l’avez sans doute calculé je n’ai pas tardé à me retrouver enceinte, et mon ventre rebondi ni mes nichons alourdis ne déplaisaient à Benjamin. Je dirais même que cela a augmenté ses envies sexuelles, ce qui ne m’a pas dérangée puisque les miennes n’avaient pas été mises entre parenthèses, bien au contraire.  
 C’est après que j’aie accouché que la donne a changé. Pas en ce qui concernait mon physique vu que mis à part au niveau de mes seins victimes de la pesanteur, d’autant plus que j’allaitais, j’avais retrouvé ma sveltesse grâce je pense en grande partie au fait que je n’avais que 19 ans. 
 Sauf que si mon mari me prenait où il en avait envie et comme il en avait envie, car la vue de mon corps dénudé en permanence ne le laissait pas longtemps insensible, cela a pu continuer tant que Mathis encore bébé restait confiné dans son berceau, et dans une autre pièce. Mais quand il a commencé à s’éveiller à ce qui l’entourait et demandé plus d’attention de notre part, ça nous est devenu impossible. 
 Cependant mon homme se rattrapait dès que nous nous retrouvions seuls dans notre chambre, alors que notre bambin dormait dans la sienne, et l’attente de ces moments avait pour résultat une certaine impatience, qui progressivement s’est transformée en une rudesse qui ne me déplaisait pas. Même si par moments j’avais le sentiment que nous nous comportions plus comme des animaux en rut, que des êtres humains. 
 Puis en 2006 il y a eu ma deuxième grossesse ce qui a rendu Benjamin fou de joie, mais principalement je pense à cause de ma nouvelle transformation physique, puisque mon ventre s’est à nouveau arrondi et que mes nichons se sont encore plus alourdis. Cela a à nouveau accru ses besoin sexuels, ce dont je ne me suis pas plainte, et après la venue au monde de Sarah j’ai retrouvé ma ligne parce que je n’avais encore que 21 ans, sauf au niveau de mes seins qui s’étaient mis à pendre un peu plus. Une deuxième allaitement ajouté au fait que je continuais à pratiquer le nudisme, n’étant pas étrangers au phénomène. 
 Ceci-dit cela ne me dérangeait pas outre mesure, n’ayant aucun problème au niveau de la colonne vertébrale qui soutenait leur poids sans effort. Sans parler du fait que mon époux adorait voir mes gros appâts se balancer quand il me prenait allègrement en levrette, où plus simplement et calmement quand je me déplaçais en marchant. 
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 Il est temps à présent que je vous parle de mon frère Cédric qui a 5 ans de plus que moi, même s’il n’intervient pas directement dans mon récit. Il est gendarme mais aussi homosexuel, ce qui vous en conviendrez n’est pas évident pour fonder une famille. C’est certainement la raison pour laquelle il est tombé raide dingue en premier de mon fils, dès sa venue au monde, et encore plus de ma fille deux ans plus tard. Il nous rendait de fréquentes visites quand ils étaient encore nistons, puis quand ils sont devenus assez grands pour se passer de leur maman, il nous a régulièrement proposé de les garder. Ce que bien entendu nous avons accepté, étant donné qu’il avait toute notre confiance. 
 Cela a eu pour conséquence que Benjamin et moi, avons pu renouer de manière temporaire avec la relation que nous avions avant la naissance de nos enfants. Autrement dit en leur absence nous avons recommencé à vivre notre sexualité sans aucune restriction, et il m’enfilait par un de mes trois orifices sexuels quand et où lui en prenait l’envie. 
 Nous sommes même allés plus loin étant donné que nous avons repoussé nos limites, lorsque mon mari m’a demandé un soir de Mai 2011 alors que nous étions mariés depuis 7 ans, si l’un de mes fantasmes n’était pas de faire l’amour avec deux hommes en même temps. J’ai d’abord été stupéfaite puis je lui ai répondu en rougissant, légèrement sur la défensive, alors que le ton qu’il avait employé était celui de la curiosité avec un pointe d’amusement :
 ―Tu es le seul homme de ma vie, et tu suffis amplement à mon bonheur. ― Sauf que là je ne te parle pas de sentiments mais de sexe, Bichette. D’un qui viendrait passer un moment avec nous, et qui repartirait ensuite.  ― Ça ne m’est jamais venu à l’idée. Mais puisque de toute évidence c’est une de tes envies, je vais y réfléchir mon Amour. 
 Nous en sommes restés là pour cette fois, et il semblait satisfait que je n’aie pas rejeté sa proposition à peine voilée.
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 En départ je me suis efforcée d’oublier cette éventualité car elle me dérangeait, mais la petite graine avait été plantée dans mon esprit et elle n’a pas tardé à germer, pour donner naissance à une fleur du mal. C’est pourquoi quand il m’a reposé la question une dizaine de jours plus tard, j’ai répondu :
 ― Ça dépend surtout, de la personne que tu penses inviter à partager notre intimité. Car je me vois mal accueillir en moi, un homme que je n’apprécierais pas. Je ne suis pas une traînée... 
 Il m’a aussitôt prise dans ses bras pour me cajoler, sachant être tendre en parallèle de la rudesse dont il pouvait faire preuve pendant nos ébats. Puis après m’avoir câlinée quelques instants, il m’a dit :
 ― En fait je pensais à Mathieu. Depuis son divorce il est un peu déboussolé, et tu t’es toujours mieux entendue avec lui qu’avec Émilie. 
 Cet homme était un ami d’enfance de Benjamin, et j’avais effectivement plus d’affection pour lui que pour son ex, qui se donnait des airs de bourgeoise parce que son mari était devenu avocat. Seulement je ne m’attendais absolument pas à un tel choix, et c’est la raison pour laquelle je me suis exclamée :
 ― Pour de bon ?!? Tu voudrais qu’on fasse ça avec un de nos proches ?! ― Eh bien, puisque tu ne veux pas te faire enfiler par n’importe qui, ce que je comprends parfaitement, il est le candidat idéal. Car tu l’apprécie, et en plus nous pourrons être certains de sa discrétion.  ― Mais… tu crois qu’il va accepter ? Tu lui en as déjà parlé ?  ― Pas encore, car j’attendais que tu te décides. Mais comme on mange ensemble tous les midis lui et moi, si tu es d’accord je le ferai dès demain. 
 Je me suis alors rendue compte que j’avais déjà inconsciemment accepté cette possibilité, même qu’en dépit du choc initial cela me troublait dans un mélange d’appréhension et d’excitation, et c’est la raison pour laquelle je lui ai donné la permission pour qu’il tente une approche.
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 À peine deux jours plus tard, Benjamin m’a annoncé que Mathieu était partant pour un plan à trois, ce qui m’a grandement étonnée vu le caractère de ce dernier. Je ne me suis pourtant pas arrêtée sur le fait que mon mari m’avait très probablement menti, et que son ami avait dû être sollicité bien avant ma reddition, car il s’agissait d’un petit mensonge qui n’avait pas de grandes conséquences.  
 Il ne nous restait donc plus qu’à fixer une date, ce serait en fonction des jours de repos de mon frère Cédric qui garderait nos enfants, vu qu’étant célibataire il travaillait souvent le week-end, pour récupérer ses jours de congés dans les semaines qui suivaient.     
 Cela n’a pas tardé puisque le mardi suivant a été choisi, et à l’approche de l’évènement j’étais de plus en plus fébrile, d’autant que mon mari m’avait demandé pour mettre son ami en confiance, de le recevoir en tenue d’intérieur. Autrement dit, uniquement chaussée de mes mules à talons aiguille de six centimètres de haut. Car si accomplir des taches quotidiennes dans ma maison et dans le plus simple appareil, était pour moi devenu complètement naturel, c’est parce que justement ça se passait dans l’intimité du cadre familial. La seule exception étant quand je me retrouvais nue sur une plage, mais dans ces cas-là tout le monde faisait pareil. 
 Alors que me présenter sans aucun vêtement devant une personne habillée quelle qu’elle soit mis à part mon homme, s’apparentait à tort ou à raison dans ma tête à faire de l’exhibitionnisme, chose que je n’avais encore jamais pratiquée. 
 C’est la raison pour laquelle j’ai siroté deux verres de Côtes-du-Rhône, tout en préparant le chili con carne qui allait être le plat principal de notre repas du soir. Ce qui sans me saouler m’a mise dans un état euphorique, et cela m’a grandement aidée à anticiper l’arrivée de notre invité que nous connaissions de longue date, mais qui allait pour la première fois devenir notre partenaire sexuel. 
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 Quand Mathieu a sonné à la porte vers 19 heures 30 tout était prêt, et tandis que nous nous trouvions dans le salon où il était prévu que nous prenions l’apéritif, en entendant la mélodie du carillon pourtant douce j’ai sursauté. Benjamin contrairement à moi parfaitement serein est allé ouvrir, et après m’être levée moi aussi j’ai attendu bêtement en restant sur place, ne sachant pas quelle attitude adopter. 
 Mon mari est revenu environ deux minutes plus tard, et son ami qui bien entendu l’accompagnait a rougi encore plus que moi en découvrant ma nudité, bien qu’il avait la trentaine et avait vécu en couple pendant près d’une décennie. Par conséquent, ce n’était pas la première fois qu’il voyait une femme à poil pour de vrai.
 Quant à moi à 26 ans j’avais gardé une silhouette assez fine, mis à part mes gros seins toujours bien pleins continuant à pendre un peu plus de manière imperceptible jour après jour, ce qui au fil des années était tout de même visible. Cependant ils avaient encore fière allure si j’en jugeais les commentaires de mon conjoint, qui n’était probablement pas très objectif, et notre invité devait penser la même chose, puisque évitant de me regarder dans les yeux il louchait dessus. 
 Benjamin a décoincé la situation, en demandant sur un ton enjoué : 
 ― Et alors, vous ne vous faites plus la bise ?
 Bien entendu nous nous sommes exécutés légèrement gênés, et fort de cette petite victoire il a continué :
 ― Tu nous sers l’apéro, Bichette ? 
 Là encore j’ai obéi et même docilement, car jusqu’à présent c’était un des petits plaisirs que j’offrais à mon homme, qui sans être vraiment un voyeur aimait me regarder m’activer dans le plus simple appareil. Je n’avais aucun doute sur le fait, que le but de la manœuvre était que son ami puisse en profiter également. Cependant avoir une tâche à accomplir m’a permis de penser à autre chose, et ainsi de recommencer à me comporter avec mon naturel habituel. 
 Une fois que je nous ai versé chacun un verre je me suis assise avec le mien dans un des fauteuils, Benjamin ayant pris place dans l’autre et Mathieu en face de nous sur le canapé. Refusant de serrer les cuisses comme une vierge effarouchée je les ai écartées jusqu’à trouver ma position de confort, si bien que notre invité avait une vue imprenable sur le haut de ma vulve parfaitement lisse, puisque rasée de frais.
 Nous avons ensuite commencé à discuter comme nous avions coutume de le faire dans ces moments-là, parlant de choses et d’autres, ce qui a eu pour effet que tout comme notre ami je me suis habituée progressivement à l’étrangeté de la situation, et elle a fini par devenir pour nous normale. Après tout c’était de cette manière que je vivais quand nous étions seuls, alors qu’il y ait une personne de plus ne changeait pas grand-chose aux circonstances, en tout cas pour moi. 
 En bonne maîtresse de maison j’ai fait le service quand nous sommes ensuite passés à table, dans la salle à manger, puis après avoir débarrassé je suis allée rejoindre les deux hommes dans le salon, où ils étaient allés boire un digestif. Je dois préciser car certains pourrait penser qu’il s’agissait d’une attitude machiste de la part de mon mari, que ça ne se passait de cette manière que quand nous recevions du monde, étant donné que le reste du temps il m’aidait à tout ranger.  
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 Quand je suis entrée dans la pièce ils étaient en train de discuter tranquillement, Benjamin en me voyant a souri et il m’a demandé :
 ― Si tu allais t’installer sur le Pouf, Bichette ?
 Le pouf en question est un tabouret bas haut d’environ trente centimètres, que je possède toujours. Je peux après m’être agenouillée devant me pencher en avant pour y poser mon ventre, et ainsi me retrouver à quatre pattes tout en étant soutenue. 
 Il a également la particularité d’être équipé de ressorts, cachés par un habillage de velours identique à celui qui recouvre son assise confortable, si bien qu’au lieu de me retenir il m’accompagne dans mes mouvements, quand par exemple je me fais prendre en levrette. Ce qui est à la fois amusant et pratique, même si au départ il n’a pas été prévu pour ça mais avait un but thérapeutique, étant donné qu’il est sensé éliminer le stress grâce à sa mobilité quand on est assis dessus. 
 Cette suggestion était par conséquent la confirmation, qu’avec Mathieu nous n’allions plus rester de simples amis très longtemps, et si c’est en rougissant que j’y ai répondu, je n’ai pas tardé à me retrouver dans la position attendue en leur tournant le dos. Exposant ma vulve cette fois en entier mais également mon anus à la vision de notre invité, car j’avais comme à mon habitude écarté suffisamment les cuisses pour que mes fesses se séparent l’une de l’autre. 
 Bien que je me sois offerte de cette manière, ils ne se sont pas précipités sur moi comme des chiens en rut, puisqu’ils ont pris le temps de se déshabiller sans se presser, ce que j’ai supposé en entendant le bruit qu’ils faisaient, et j’en ai eu la confirmation en tournant la tête afin de jeter un coup d’œil en arrière.
 Quand ils ont été nus ils sont venus se planter devant moi, j’ai constaté détail amusant qu’ils avaient toujours leurs chaussettes aux pieds, et ils étaient tous les deux en érection. Ce qui j’en étais convaincue était une réaction récente en ce qui concernait Benjamin, mais plus ancienne pour ce qui était de son ami, sans aucune certitude car je m’étais interdit jusqu’à présent de le regarder plus bas que ses épaules. 
 Leurs sexes déjà décalottés étaient de tailles similaires et mesuraient dans les dix-sept centimètres de long, évaluation approximative car je n’avais jamais éprouvé le besoin de jauger celui de mon homme, ni ne savais s’il était plus long ou plus court que la moyenne. La seule différence étant que ce dernier avait les bourses rasées par mes soins, car il adorait que je lui gobe les testicules pour les caresser avec ma langue, quand je lui faisais une fellation. 
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