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Gradualité

Chapitre 2

Deuxième partie.

Avec plusieurs hommes
J’attendais docilement mais pas tranquillement,me balançant légèrement grâce au ressorts du pouf et lorgnant les deux hommes sans vergogne, car toute appréhension envolée, il ne restait à présent en moi que l’excitation causée par la situation dans laquelle je me trouvais, une douce chaleur s’étant logée dans mon bas-ventre. J’ai souri probablement d’un air gourmand, quand Benjamin a suggéré à Mathieu :
 ― Si tu veux, tu peux te faire sucer avant d’aller l’enfiler par derrière, car ma Bichette adore avoir une queue dans le gosier. 
 Notre invité que je fixais des yeux m’a d’abord regardée timidement, mais il s’est enhardi quand j’ai ouvert la bouche en grand, s’agenouillant sur la moquette avant de s’approcher lentement de moi. Dès qu’il a été à ma portée j’ai attrapé son membre avec ma main gauche pour l’attirer un peu plus, puis j’ai frotté ma langue sur son gland ce qui lui a provoqué un petit geignement. J’ai trouvé son goût en même temps semblable et différent de celui de mon mari, qui était le seul jusqu’à présent dont j’avais pu profiter, et cela signifiait que j’appréciais sa saveur comme je pense toutes les amatrices de fellation.
 Tandis que je m’appliquais à passer mon organe râpeux sur toute la surface de son champignon rose-sombre, l’enroulant autour avec une agilité acquise au fil d’années de pratique, mon mari à précisé à notre invité :
 ― Ce qu’elle préfère, c’est que je pose mes paumes sur ses tempes avec mes doigts à l’arrière de son crâne pour lui maintenir la tête, et qu’ensuite je la baise par ce trou comme je le fais avec les autres.  ― Je… tu crois que… je peux faire pareil ? ― Bien entendu, elle n’attend que ça. 
 Notre ami a alors placé ses mains comme ça lui avait été expliqué, puis il a avancé progressivement son gland entrant dans ma bouche, alors que j’en avais sorti une partie de ma langue pour la plaquer contre le bas de sa hampe. Quand arrivé au fond le bout de sa saucisse est passé entre ma luette et mon épiglotte, qui l’ont caressée au passage, il a ouvert de grand yeux qui m’ont amusée car je le fixais toujours, et il a poussé un deuxième geignement quand j’ai dégluti. 
 Ensuite, s’enfoncer lentement dans mon œsophage alors que mon larynx s’était déjà refermé par réflexe, pour éviter que ma salive ne me fasse tousser, n’a été pour lui comme pour moi qu’une simple formalité. 
χ χ

 Après que mon nez soit venu s’écraser contre son pubis, les poils de ce dernier le chatouillant et tandis que le bout de mon appendice buccal s’était plaqué contre ses bourses velues, Mathieu s’est exclamé :
  ― Putain, c’est trop bon !! Émilie ne m’a jamais fait ça ! Je croyais même qu’il y avait que dans les films de boules que ça arrivait, que ces meufs avaient un truc spécial. ― Ce sont des femmes comme les autres, et n’importe laquelle est capable d’apprendre la technique, même si certaines le font avec plus de facilité. ― Mais comment elle respire ? ― Là ma Petite Pute est en apnée, et elle ne tiendra pas plus d’une minute avant de commencer à étouffer. Pour faire une bonne gorge profonde, le secret est dans le rythme. Car quand ton gland va se retrouver dans sa bouche elle expirera une petite goulée d’air par le nez, et la fois d’après elle inspirera la même quantité, si bien qu’elle arrivera à s’oxygéner jusqu’à ce que ça soit terminé. 
 Je n’étais pas du tout choquée que mon mari m’appelle de cette manière tout en fournissant ces explications, car il me donnait des noms d’oiseaux lorsque nous faisions l’amour, et je redevenais sa Bichette une fois nous avions pris notre plaisir. Mais j’ai tout de même rougi, étant donné que ça n’était encore jamais arrivé devant une troisième personne. 
 Quant à notre invité qui était resté planté au plus profond de moi quelques instants, il a aussitôt fait marche arrière, enfin façon de parler vu qu’il a basculé sont bassin pour que le bout de sa queue se retrouve entre mon palais et ma langue, très certainement de peur que je suffoque pour de bon. 
 Après une courte pause il a replongé, savourant la caresse d’un genre particulier que le lui prodiguais, puis prenant de l’assurance il a fait plusieurs allers retours me laissant le temps de souffler, puis mon homme lui a proposé :
 ― Tu peux juter dans sa bouche si tu veux, car ma Grosse Cochonne adore le goût du foutre. Mais si tu préfères tu peux aussi te vider dans son trou du cul, car elle est une Salope ouverte à tout. 
χ χ

 Mathieu s’est alors retiré complètement de moi, rougissant à nouveau probablement parce qu’il n’était pas habitué à ce que je sois traitée de cette manière, tandis que j’avais déjà dépassé ce stade. Il est resté immobile quelques instants comme indécis, jusqu’à ce que je lui sourie pour lui montrer que tout allait bien, puis rasséréné il m’a demandé en me caressant doucement la joue :
 ― Mais toi, tu préfères quoi Line ?
 Je lui ai répondu sans hésiter :
 ― Moi j’aime donner du plaisir avec ma bouche, mais ça se passera essentiellement dans ma tête. Alors que si tu me prends par derrière, celui que j’éprouverai sera beaucoup plus physique. 
 Il ne lui a pas fallu longtemps pour prendre sa décision puisqu’il s’est déplacé comme un pénitent, ne prenant pas la peine de se remettre debout, arrivé devant le sanctuaire il a posé son gland contre mon anus, et m’a attrapée par la taille pour m’annoncer avant d’aller plus loin :
 ― Comme Émilie n’a jamais voulu que je la sodomise, je ne sais pas encore ce que ça fait ni pour l’un ni pour l’autre. Alors s’il y a un problème, il ne faudra pas hésiter à me le dire.
 J’ai répliqué mutine :
 ― Il n’y aura aucun problème, juste une résolution.
 Suite à cette affirmation il a poussé lentement, ma rondelle parfaitement rodée s’écartant pour lui ouvrir le passage, et il a entrepris tranquillement de me besogner, en lâchant de temps à autre un : Putain, c’est trop bon. Le premier mot ne m’étant pas directement adressé car ayant de l’affection pour moi, il ne se le serait jamais permis. J’avais commencé tout comme lui à geindre de plaisir, quand Benjamin est venu à son tour s’agenouiller en face de moi, son gland se retrouvant à hauteur de mes lèvres, et il m’a demandé :
 ― Prête pour ta deuxième queue de la soirée, ma Grosse Cochonne ?
 Pour toute réponse j’ai ouvert la bouche, et il s’est enfoncé lui aussi. C’était la première fois que je me faisais enfiler par deux sexes masculins en même temps, et au moment-où je l’ai réalisé il y a eu comme une explosion dans ma tête. Je me sentais en même temps salope et fière de l’être, ce qui était pour moi une révélation puisque même si mon mari avait débridé ma sexualité, je m’étais tout de même considérée jusqu’à présent comme étant une femme assez sage. 
 Alors que là, tous les noms d’oiseaux dont il m’avait affublée prenaient leur sens, puisque j’étais passée du service privé au service publique. Loin d’en éprouver de la honte j’ai senti le plaisir monter en moi d’une manière fulgurante, et j’ai été prise d’un orgasme dont la violence m’a submergée. 
χ χ

 Mathieu s’il a très certainement été très surpris par ma réaction physique, et bien qu’ayant été immanquablement stimulé par mes contractions anales, ce qui était tout nouveau pour lui, a pourtant tenu le choc et il s’est immobilisé le temps que je me calme. Tout comme Benjamin qui n’étais pas moins étonné, ce que par contre j’ai pu constater vu que c’était lui à présent que je fixais du regard. 
 Ils ont attendu que je reprenne mes esprits, puis comme si de rien était leurs membres ont recommencé à glisser en moi, à la différence que le rythme s’est progressivement accéléré ce qui ne me déplaisait pas, bien au contraire. Mes gros nichons qui s’étaient contentés de se balancer doucement ont pris peu à peu de l’amplitude, jusqu’à venir s’écraser contre l’habillage du pouf en faisant des bruits mats, son assise m’accompagnant avec souplesse dans mes mouvements grâce à ses ressorts. 
 Mon mari qui me connaissait par cœur, car contrairement à son ami nous n’en étions pas à notre coup d’essai, s’arrêtait régulièrement son gland dans ma bouche afin de me laisser respirer. Je n’étais plus à ce moment-là une femme mais une machine à baiser, et ce qui m’épatait c’est que je n’en éprouvais aucun sentiment de dégradation mais au contraire de l’exultation, ce qui décuplait mon plaisir. Car après avoir provoqué mon premier orgasme ce dernier s’était tranquillisé brièvement, néanmoins il n’avait pas tardé à recommencer à gagner en intensité quoique bien moins rapidement, ce qui me convenait parfaitement. 
 C’est la raison pour laquelle ma deuxième jouissance à mis plus de temps à arriver, et j’ai été très satisfaite de constater que cette fois mes spasmes ont provoqué l’éjaculation de Mathieu, qui s’est écrié en déchargeant dans mon fondement :
 ― Putain, c’est trop boOOon !!!  
 La volupté étant moins frénétique et après que notre convive se soit retiré, j’ai eu la présence d’esprit de déglutir à chaque fois que le bout de la queue de Benjamin passait au niveau de ma luette, ce qui fait qu’il n’a pas tardé à atteindre le point de non retour, et a fini par éjaculer sur ma langue. Adorant le goût de son sperme j’ai avalé chaque giclée sans en perdre un goutte, et une fois vidé il est ressorti lui aussi définitivement de moi. 
 C’est ce dernier qui m’a ensuite aidée à me relever, et lorsque je me suis retrouvée debout bien que n’étant pas très assurée sur mes jambes, je me suis rendue seule dans la salle de bain. Quand j’en suis ressortie une dizaine de minutes plus tard après avoir pris une douche, j’ai constaté que notre invité n’avait pas traîné et qu’il était déjà rentré chez lui. Peut-être parce que l’excitation du moment retombée, à cause de son caractère il ressentait de la gêne par rapport à ce que nous avions fait.  
 Cependant je n’ai pas cherché à savoir si c’était vraiment ça qui avait motivé son départ, sans qu’il me dise au revoir, et n’échangeant pas de paroles plus que nécessaire, n’en ressentant pas le besoin, avec mon mari nous sommes allés dans notre chambre en nous tenant par la main. Une fois sur place nous nous sommes couchés pour une bonne nuit de sommeil, et je me suis endormie à peine mes paupières baissées.  
χ χ

 Après cette soirée inoubliable parce qu’elle avait été la première dans son genre, il y en a eu d’autres étant donné que j’étais d’accord pour que nous récidivions, et Mathieu également. Elles commençaient toujours de la même manière, puisque c’était moi à présent qui allais ouvrir à notre invité quand il sonnait à notre porte, nue sur mes mules à talons aiguille de six centimètres de haut, et le sourire aux lèvres. 
 Je leur servais ensuite l’apéritif à Benjamin et lui dans le selon, puis à manger les repas que j’avais concoctés en tenant compte de leurs goûts, et quand nous passions à un autre genre de plaisirs il y avait des variantes. La chose étant facilitée par le fait que j’avais trois orifices sexuels, et seulement deux partenaires pour les combler.  
 Je ne vais pas vous faire une liste exhaustive de ces déclinaisons mais laisser travailler votre imagination, me contentant de préciser que quand je me suis retrouvée pour la première fois avec une queue dans le con et une autre dans le cul, cela a été pour moi un autre moment mémorable. Nous nous sommes cependant installés dans une routine, ces soirées se succédant à intervalles plus ou moins réguliers et au rythme d’une par semaine, tandis que nos enfants étaient systématiquement gardés par leur tonton Cédric chez lui. 
 Ce dernier ne se doutant pas de ce qui se passait réellement, vu qu’il pensait que nous recevions des amis de manière plus conventionnelle, et que nous lui confiions nos petits pour éviter que le bruit que nous pourrions faire les réveille. 
 Cela a duré jusqu’à ce que notre compagnon de jeu nous tire sa révérence, au bout d’environ un an, car complètement remis de sa rupture d’avec sa bourgeoise et peut-être plus rapidement grâce à nous, il nous a annoncé un soir qu’il avait rencontré une autre femme, sur laquelle il fondait ses espoirs. Celui de devenir papa en particulier, puisqu’il n’avait contrairement à nous encore jamais éprouvé cette joie. 
 Il nous a fait part de sa décision avec tact, précisant que quand il la connaîtrait mieux il tâterait le terrain avec sa dulcinée, afin de savoir si elle était ouverte à de nouvelles expériences. Cependant nous n’avons pas été dupes, convaincus qu’à cause de son caractère il n’oserait jamais prendre de risque, et nous lui avons souhaité avec sincérité tous nos vœux de bonheur. 
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 La défection de Mathieu sans nous rendre malheureux a laissé un vide dans notre vie, même si nous avons continué à le voir sans qu’il soit question de sexe, et nous n’avons pas tardé Benjamin et moi à nous poser la question de savoir qui pourrait le remplacer. 
 Pendant que nous y réfléchissions une autre de nos habitudes à changé, puisque mon mari a réussi à me convaincre de faire des photos de nu en extérieur, autrement dit en dehors de notre propriété, parce qu’il n’avait pas attendu ce moment pour en prendre au bord de notre piscine ou sur le gazon. Au départ j’étais réticente à cette idée et je n’ai accepté que pour lui faire plaisir, cependant il m’a emmenée dans un endroit en même temps plein de charme et désert, si bien que je n’ai pas tardé à m’y sentir à l’aise. 
 Mon homme a réalisé toute une série de clichés au départ bucoliques, sur lesquels j’aurais pu passer pour une dryade évoluant parmi les arbres, ce qui ne me créait aucun désagrément puisque nous étions au printemps 2012, et que le fond de l’air était doux. Sauf qu’il m’a demandé de prendre des poses de plus en plus évocatrices, ce que j’ai accepté par jeu, et elles ont fini par devenir carrément provocatrices. 
 Sur la dernière j’étais à quatre pattes mes mamelles pendant sous mon buste, les reins cambrés et les pieds bien écartés l’un de l’autre comme si je voulais me faire prendre, exposant ma vulve et mon anus puisque j’étais de trois-quarts arrière, la tête tournée avec les muscles du cou étirés pour regarder l’objectif d’un air aguicheur. 
 Malgré l’aspect pornographique je trouvais cela marrant et en même temps excitant, et je n’étais pas la seule à l’être puisque Benjamin m’a demandé de garder la position. Ensuite il a posé son appareil, s’est déshabillé rapidement, puis ils est venu se mettre à genoux derrière moi pour me pénétrer avec fougue par le vagin, comme si j’étais une levrette pour de bon. 
 Ça a été mon premier orgasme en pleine nature et je l’ai grandement apprécié, fortement stimulée par la caresse inconstante de la brise ainsi que le risque de nous faire surprendre. C’est la raison pour laquelle quand il m’a demandé de renouveler l’expérience, mais dans un autre lieu remplissant des conditions similaires, j’ai répondu oui sans hésitation une séance photo servant toujours de prétexte. 
 Des endroits comme ça en même temps beaux et sans âme qui vive il y en a eu d’autres, et je n’ai jamais su comment mon mari arrivait à connaître leurs existences, tout simplement parce que je n’ai pas pensé à lui poser la question.    
χ χ

 Puis une autre proposition m’a été faite par Benjamin, qui a été que Jérémy succède à Mathieu, puisqu’il avait le même profil ayant lui aussi la trentaine et étant célibataire. J’avais beaucoup moins d’affection pour le premier que pour le second, néanmoins j’ai accepté parce qu’il était tout de même un bel homme, et nos parties à trois ont recommencé. Toujours au rythme d’une par semaine mais de manière irrégulière, vu que cela dépendait des disponibilités de mon frère, qui par contre avait continué de garder nos enfants sans interruption. 
 Notre partenaire hebdomadaire me donnait satisfaction au niveau du sexe, d’autant plus que je n’étais pas obligée de l’aimer autrement que sur ce plan, et seules me dérangeaient ses blagues souvent graveleuses et également stupides, lancées au cours des repas que nous partagions. Si bien qu’une nouvelle routine s’est installée, et j’y trouvais cette fois encore mon compte. 
 Sauf que mon mari voyait les choses différemment, étant donné qu’à l’automne de la même année il m’a demandé si je serais partante pour introduire une quatrième personne dans notre trio. Je lui ai répondu immédiatement que j’étais d’accord s’il s’agissait d’une femme, car cela créerait un équilibre, sans lui avouer que mes horizons s’étant considérablement élargis depuis notre mariage, j’étais tentée par l’idée d’avoir une expérience lesbienne. 
 Malheureusement il m’a répondu qu’il ne connaissait pas de candidate mais un homme oui, alors je lui ai promis d’y réfléchir, et c’est finalement l’idée d’apprendre ce que ça faisait d’avoir un sexe dans chacun de mes trous, qui a emporté ma décision. 
 C’est ainsi que Benoît que je ne le connaissais pas encore m’a été présenté, avant que nous fassions quoi que ce soit sur le plan sexuel, et au cours d’une soirée au restaurant. Étant donné qu’il ne m’a pas déplu et qu’il avait un physique agréable, il a intégré la petite bande que nous formions déjà. 
 Là encore je n’ai pas été déçue, même si je n’ai pas tardé à constater que se faire enfiler par tous les orifices en même temps, peut se révéler assez inconfortable pour une femme. Les films que j’avais matés pour me faire une idée de la chose, ne révélant rien à ce sujet. Cependant je n’étais pas malheureuse car la possibilité d’avoir des orgasmes s’en trouvait accrue, si bien que je n’ai émis aucune objection au fait que nous continuions dans cette voie.  
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 Mon esprit s’étant considérablement ouvert, l’idée de participer à un gang bang autrement dit d’être la seule partenaire féminine au milieu d’un groupe d’hommes plus important, qui m’honoreraient de leur présence chacun leur tour ou parfois à deux en même temps, s’est lentement insinuée dans mes pensées. Cependant Benjamin ne me l’a jamais proposé, je n’ai pas non plus osé lui en faire la demande, et à la place c’est une douche glacée que j’ai reçue. 
 Bien que mon mari en était responsable il ne me l’a pas administrée directement, puisqu’elle est arrivée par le biais d’une amie commune, qui afin de m’ouvrir également les yeux m’a montré une photo prise avec son téléphone portable, sur laquelle se trouvait mon homme enlaçant et embrassant une autre femme. Plus belle, plus jeune que moi et par conséquent mieux foutue, ses seins pourtant de belles proportions sous son corsage, devant très certainement se tenir mieux que les miens. 
 Car si nous étions à présent au printemps de 2013 et que j’allais sur mes 28 ans, autrement dit je n’étais pas encore entrée dans ma maturité, mes nichons à moi avaient continué leur lente dégringolade. 
 Pris la main au panier le traître n’a pas nié. Il m’a avoué que la petite blondasse qui pouvait porter des talons aiguille de dix centimètres de haut sans le dépasser au niveau de la taille, était sa nouvelle secrétaire dont bien évidemment il m’avait caché l’existence, puisque je croyais qu’il travaillait toujours avec l’ancienne ayant dans les 55 ans. 
 Benjamin m’a demandé pardon, promis de ne plus jamais m’être infidèle, sauf que je ne l’ai pas cru. 
 J’ai par conséquent appelé Mathieu au téléphone étant donné qu’il est avocat, ce qui m’a facilité la démarche vu qu’il savait déjà que mes pratiques sexuelles sortaient de l’ordinaire. Ces dernières pouvant être déballées en public si un procès avait lieu. Notre ami a accepté de me représenter sans aucune hésitation, étant lui aussi choqué car il n’était pas au courant de mon infortune, et il n’a pas tardé à contacter mon mari pour lui faire part de ma volonté de divorcer à l’amiable. 
 Contre toute attente ce dernier a accepté sans faire d’histoire, prenant même tous les torts à sa charge, si bien que restant dans ma maison et ayant la garde de mes enfants, je suis redevenue célibataire au bout de dix ans de vie commune, en Octobre de la même année.
 Bien entendu si ma vie sexuelle a été mise entre parenthèses pendant cette période, enfin presque puisque je me suis achetés des jouets pour combler les vides que je ressentais,elle a repris au bout de quelques temps. 
 Je ne doute pas un seul instant que vous aimeriez savoir de quelle manière j’ai rebondi, cependant cela ferapeut-être l’objet d’un futur récit, car j’estime que je me suis bien assez dévoilée pour le moment. 
FIN

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