Quand je me suis réveillé le lendemain matin, je n’avais pas contrairement à mon habitude d’érection matinale, ce qui ne m’a pas vraiment surpris, étant donné que j’avais eu mon content de plaisir la veille. De plus si j’étais parfaitement reposé dans ma tête ainsi que dans le reste de mon corps, je sentais mon sexe engourdi comme encore plongé dans un profond sommeil. Cependant cela ne m’a pas inquiété, car j’étais convaincu qu’il finirait par donner à nouveau des signes de vie, et que ce ne serait qu’une question de temps avant qu’il soit en mesure d’y arriver. C’est par conséquent parfaitement serein que je me suis levé, j’ai juste enfilé mes nu-pieds alors que j’avais dormi sans pyjama, puis je suis sorti de ma chambre afin de me rendre dans la cuisine. Émilie qui s’y trouvait en train de siroter un thé m’a accueilli d’un sourire, que j’ai trouvé chargé de tendresse. Elle était assise à l’un des tabourets haut uniquement chaussée de ses mules à talons plein, et m’a demandé toujours de la douceur dans la voix : ― Tu as bien dormi, Mon Sucre D’orge ? J’ai répondu en ne rougissant que légèrement, car comme elle l’avait présagé je commençais à m’habituer à sa nudité : ― Oh oui Maman Cochonne, comme un bébé. Et toi ? ― Moi aussi. Tu ne viens pas me dire bonjour ? Je me suis un peu plus empourpré, ne sachant pas vu l’évolution de la situation de quelle manière me comporter, et alors que je m’étais approché d’elle dans le but de lui faire chastement la bise, après avoir pivoté sur son siège afin de me faire face tout en écartant ses cuisses l’une de l’autre, elle a pris ma tête entre ses menottes pour l’empêcher de bouger, a posé ses lèvres sur les miennes et m’a embrassé. Sa langue a tourné quelques secondes autour de la mienne, puis elle s’est reculée et m’a annoncé : ― À partir de maintenant, ce sera notre nouvelle manière de nous montrer qu’on est content de se revoir. ― Même quand mon père sera revenu ?
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J’avais posé la question sans réfléchir, et je suis devenu carrément écarlate en entendant mes propres mots. Si Émilie a à nouveau souri je n’ai décelé aucune moquerie sur son visage magnifique, et elle m’a déclaré au contraire très sérieusement : ― Je te rappelle que m’occuper de ton éducation, c’était son idée à lui et pas la mienne. Moi je me suis juste contentée d’y adhérer dans le but de te venir en aide, même si je ne te connaissais pas encore, et que je ne savais pas si tu le méritais. Mais à présent je suis heureuse, et ce qui au départ n’a été qu’un acte dévoué de ma part, s’est transformé en acte d’amour. Mais ne te trompes pas sur le genre de passion que je te porte, car si ce n’est plus seulement ma nature libertine qui me permet de me comporter de cette manière, je suis surtout motivée par l’affection que tu m’inspires. Je te considère comme mon beau-fils et pas mon amant, car cette place revient de droit à Emmanuel. Tandis que j’écoutais religieusement ses paroles, elle a continué : ― Maintenant tu as soulevé un point important. Il est possible que deux semaines ne suffisent pas pour résoudre ton problème, donc je discuterai dès ce soir avec lui, afin de savoir de quelle façon nous devrons nous comporter toi et moi l’un envers l’autre, quand il sera de retour. En attendant, je pense que le mieux c’est que nous nous rapprochions autant que possible, pour que tu puisses te sentir de plus en plus à l’aise en présence d’un corps de femme dénudé. Et même que tu arrives à prendre des initiatives, allant dans se sens.
Son raisonnement était logique, et joignant le geste à la parole sa menotte a enserré mon poignet, afin de guider ma propre main jusqu’à sa vulve en grande partie exposée. Puis tandis que mes doigts sans que j’aie besoin d’y réfléchir se sont mis à la palper, ce qui a provoqué à ma très belle-maman un soupir de contentement, elle a ajouté : ― J’aimerais que le matin quand tu viendras me dire bonjour, tout en m’embrassant tu me touches de cette manière, afin de montrer à mon abricot que tu es aussi content de le revoir. Je me suis contenté de bafouiller piteusement : ― Je… oui… Maman Cochonne.
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Même si mon propre sexe qui n’avait pas encore retrouvé toutes ses facultés était resté inerte, le ton de cette nouvelle journée qui commençait semblait donné, et cela démontrait que ni Émilie ni moi n’éprouvions le moindre remord, par rapport à ce que nous avions fait la veille. Par conséquent tout était pour le mieux, dans le meilleur des mondes. C’est en tout cas ce que j’ai pensé en prenant mon petit-déjeuner, cependant ma sérénité s’est sérieusement étiolée, quand ma très belle-maman m’a ensuite annoncé : ― Bon, maintenant que tu t’es calé l’estomac on va aller dans la salle de bain, car je te rappelle que je dois te raser les boules. De boule, j’en ai senti une se former au niveau de mon estomac, et j’ai répondu d’une voix geignarde qui ne m’a fait me sentir minable : ― On est obligés… de faire ça… maintenant ? ― Non Mon Sucre D’orge, on n’est même obligés de rien. Mais tu as confiance en moi, pas vrai ? ― Je… oui M’man. ― Alors crois-moi sur parole, si je te dis que ça va bien se passer. Elle avait effectivement l’air sûre d’elle, par conséquent je l’ai suivie mais en traînant les pieds, et une fois sur place j’ai été encore moins rassuré, quand je l’ai vue sortir d’un tiroir de l’armoire de rangement, un rasoir de barbier dont je connaissais l’existence mais que je n’avais jamais vu en action. Mon père tout comme moi préférant utiliser un instrument plus moderne, dont on jetait la lame une fois qu’elle était émoussée. Cependant je ne me suis pas défilé m’asseyant docilement sur le rebord de la baignoire, quand mon esthéticienne de circonstances me l’a demandé. Et j’ai ensuite tenu mon sexe toujours flasque en hauteur, afin qu’elle puisse une fois agenouillée entre mes jambes, appliquer de la mousse sur mes bourses. Mes testicules encore plus effrayés que moi, s’étant recroquevillés au point qu’ils m’ont semblé deux fois plus petits que la normale. Cependant tout c’est bien passé car Émilie opérait avec des gestes assurés, et si j’ai frissonné au premier contact de la lame affûtée sur ma peau pas vraiment lisse, je n’ai pas tardé à être débarrassé de mes poils jugés inutiles. Ma très belle-maman semblait satisfaite de son travail, c’est la raison pour laquelle j’ai été très surpris, quand elle m’a ensuite demandé comme si elle s’adressait à un enfant : ― Tu as été un bon garçon Mon Sucre D’orge, et ta Maman Cochonne est très fière de toi. À présent mets-toi à genoux, comme si j’allais te mettre une fessée. ― Je… pour quoi faire ? ― Eh bien si tu veux que je puisse te lécher la rondelle, il faut aussi que je débroussaille autour d’elle. N’éprouvant plus aucune frayeur j’étais tout de même écarlate quand je me suis retourné, puis penché en avant, et elle m’a donné des précisions : ― Le mieux c’est que tu appuies ton ventre contre la baignoire afin de garder ton équilibre, car j’ai besoin de tes paluches pour écarter tes miches. Pas besoin qu’elle me fasse un dessin, après avoir ajusté ma position j’ai décollé mes fesses l’une de l’autre avec mes mains, pour que mon anus lui soit plus accessible, et une nouvelle giclée de mousse a été appliquée là où le rasoir allait commencer une nouvelle moisson, ce qui a duré encore moins longtemps que pour mes bijoux de famille.
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Ensuite Émilie a voulu que nous prenions notre douche ensemble, ce qui était envisageable étant donné que l’installation n’a pas de cloison, et que l’on peut facilement y tenir à deux, le pommeau étant même assez grand pour nous asperger en même temps. Et si j’ai été réticent c’est parce que j’avais deviné que nous allions nous laver mutuellement, alors que je ne me sentais pas encore prêt pour ça. Cependant là encore je me suis soumis à la volonté de ma très belle-maman, et c’est quand elle a savonné ma peau, passant sa main qu’elle enduisait régulièrement de savon dans les moindres recoins de mon corps, mouillé pour l’occasion, que j’ai senti mon sexe revenir à la vie. Au départ il ne s’est agi que d’un fourmillement, puis il a commencé à se gorger prenant lentement du volume, visiblement ravi de ces attouchements tout comme moi malgré ma réserve initiale. Et il a fini par se dresser quand un doigt taquin s’y est enfoncé, effectuant plusieurs allers et retours sous le prétexte de le nettoyer aussi à l’intérieur, après que la menotte auquel il était rattaché se soit insinuée entre la raie de mes fesses. Tandis que l’autre sans que ça ait une réelle utilité, caressait sans vergogne mes épaules, mes pectoraux et mes abdominaux. Ma laveuse de corps constatant mon érection s’est contentée de sourire, et de savonner mon membre tout en le laissant décalotté sa toilette terminée. Apparemment et malgré ses affirmations de la veille, elle n’avait pas l’intention de le faire dégorger dès que l’occasion se présenterait, ce qui ne m’a pas perturbé plus que je ne l’étais déjà. Quand est venu mon tour de m’occuper d’elle, alors que je m’appliquais à reproduire ses gestes j’ai trouvé les miens en comparaison maladroits, cependant cela n’a pas eu l’air de la déranger. Elle s’est juste contentée de me donner quelques indications, comme par exemple d’aller sous ses seins, là ou leur peau est en permanence en contact avec celle de son ventre, sauf quand elle se penche en avant. Si j’ai hésité quand est venu le moment de m’intéresser à son anus, je me suis motivé en me disant que ce n’était pas plus sale, que quand je l’avais fait pendant notre 69. Par conséquent j’ai commencé par le savonner, le trouvant beaucoup plus souple que le mien, ce qui m’a été confirmé quand j’y ai enfoncé mon index pour le faire coulisser quelques instants. J’ai fini par trouver ça assez normal, alors que n’avais jamais procédé de cette manière avec le mien en étant seul sous la douche, n’en ayant pas éprouvé le besoin ni la nécessité, me contentant de le frotter à l’extérieur avec du savon pour le nettoyer. Ce petit ramonage a provoqué un soupir de contentement à la femme de mon père, qui a été suivi par d’autres quand je me suis ensuite occupé de sa vulve, passant cette fois sans aucune hésitation mes doigts dans ses moindres recoins.
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Après nous être rincés on s’est séchés là encore l’un l’autre, alors que mon sexe pointait toujours vers l’avant car il n’avait pas faibli un seul instant, ce qui ne me dérangeait pas vraiment. Par contre, ne plus avoir un seul poil sur la peau fripée protégeant mes olives juste en dessous, m’a fait me sentir encore plus nu que je l’avais jamais été, d’autant que mon membre suspendu n’en cachait absolument rien. Je me suis alors dit que si Émilie avait décidé de prolonger la durée de mon érection, il s’agissait probablement d’un exercice, destiné à ce que j’arrive à exhiber en toute sérénité mes boules devenues chauves. Sauf que je n’étais pas encore prêt pour ça, étant donné que je me suis senti devenir progressivement écarlate. Cependant elle a fait mine de ne pas se rendre compte que mon état s’aggravait, et elle a mis fin à mon tourment en m’annonçant : ― On va aller dans le salon Mon Sucre D’orge, et là je te récompenserai de la confiance que tu m’as témoignée, en me laissant passer une lame aiguisée tout près de tes boules. Je ne l’ai pas contredite car j’avais hâte que ma quéquette pendouille à nouveau entre mes jambes, afin qu’elle cache mes coucougnettes en tout cas en partie, et tandis qu’elle avait enfilé ses mules à talons plein moi mes nu-pieds, on est ressortis de la salle de bain. Une fois sur place elle m’a indiqué le fauteuil dans lequel je m’étais installé la veille, en joignant la parole au geste : ― Installe-toi là Mon Bébé, ta Maman Cochonne va te cajoler. Bien entendu je lui ai obéi, en appuyant mes cuisses contre les accoudoirs du siège afin qu’elle puisse venir se mettre à genoux entre mes jambes, sauf qu’elle s’est carrément mise à quatre pattes. Quelques instants j’ai regretté de ne pas avoir un meilleur point de vue, car ses gros seins pendant librement sous son buste à présent à l’horizontale, devaient offrir un spectacle des plus attrayant, ce qui m’était en grande partie caché par ses épaules et sa tête. Cependant ma déception a été de courte durée, car tandis qu’elle me fixait du regard sa menotte s’est emparée de ma tige de chair tendue à la verticale, dans le but de l’y maintenir, et sans attendre elle s’est mise à lécher mes bourses, ce que j’ai trouvé plutôt agréable. Environ une minute plus tard elle a mis un de mes testicules dans sa bouche, arrivant malgré la peau protectrice le recouvrant à le caresser avec sa langue, et en toute honnêteté j’ai trouvé ça plus amusant qu’autre chose. Car s’il m’était arrivé de me les toucher seul dans mon lit je n’avais pas ressenti de réelle volupté, mais au contraire de la douleur dès que je les avais pressés un peu trop fort. J’en avais par conséquent déduit que leur fonction est uniquement utilitaire, puisqu’ils produisent mon sperme, mais qu’ils ne sont pas érogènes en tout cas chez moi. Pourtant ma très belle-maman semblait aimer ça et pas qu’un peu, si j’en jugeais ses yeux pétillants de malice qui n’avaient pas quitté les miens, donc je me suis dit qu’elle devait éprouver un plaisir cérébral à se comporter de cette manière. Probablement parce que la plupart des autres femmes n’osaient pas, ou qu’elle avait le sentiment de me tenir à sa merci, ce qui était on ne peut plus vrai, étant donné qu’elle n’aurait eu aucun mal à me mutiler en resserrant ses mâchoires.
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Cependant j’avais une confiance totale en Émilie par conséquent tout allait bien, je me suis donc dit qu’il fallait que je l’encourage, et tendant la main afin de lui caresser affectueusement la joue, j’ai déclaré même si c’était un pieux mensonge : ― Hum, c’est très bon ce que tu es en train de me faire. Tu es vraiment la reine de cochonnes, M’man. Profitant qu’elle avait recraché mon pruneau pour s’occuper ensuite de son jumeau, elle m’a répondu visiblement contente d’elle : ― Je savais que tu aimerais ça, Mon Bébé. Je n’ai pas prétendu le contraire, la laissant s’amuser pendant environ cinq minutes avec mes bijoux de famille, d’autant que ce n’était pas non plus désagréable, jusqu’à ce qu’elle décide de passer à l’étape suivante. Elle s’est reculée enserrant toujours mon sexe dans sa menotte, et elle m’a annoncé : ― À présent, il faut que tu poses tes guibolles sur les accoudoirs de ton fauteuil, Lucky Bastard. Cette fois encore j’ai répondu à sa demande, ce qui a eu pour résultat que mes jambes se sont écartées l’une de l’autre, et que mes fesses se sont retrouvées projetées vers l’avant. Cependant cela ne devait pas être suffisant pour elle, étant donné qu’une autre directive a suivi : ― Ramène encore plus ton beau petit cul vers moi, et place tes mains sous tes cuisses pour les tirer vers arrière. Je suis devenu écarlate en comprenant que ma très belle-maman voulait que je lui expose mon anus, néanmoins je me suis exécuté, et quand j’ai été en position elle s’est rapprochée, ses yeux me fixant par dessus mes bourses. Elle a alors commencé une lente masturbation de mon sexe, qui s’était retrouvé quasiment à l’horizontale mon gland dirigé dans la direction de mon torse, et sans s’arrêter elle a baissé la tête, pour donner un coup de langue de bas en haut sur toute la hauteur de ma raie culière. Ces plaisir conjugués étaient tout bonnement délicieux, et quand les picots râpeux de son appendice buccal se sont frottés un bref instant seulement contre mon œillet fripé, je n’ai pas pu retenir un petit geignement de pur bonheur.
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Émilie qui me regardait à nouveau semblait très satisfaite de l’effet qu’elle venait de produire, et ses yeux clairs gris-bleu pétillants de malice, elle m’a précisé : ― Si tu n’en as pas le temps ça ne sera pas un drame, mais j’aimerais tout de même que tu essaie de me prévenir quand ton jus sera prêt à gicler, de manière à… ― Pouvoir t’en régaler. C’est ça Espèce De Salope mangeuse de foutre ? Non content de lui couper la parole je venais de l’insulter, le réalisant mon visage a pris la teinte d’une pivoine, pourtant bien que je ne voie pas sa bouche j’ai été convaincu qu’elle souriait de toutes ses dents, ce que n’ont pas démenti ses mirettes devenues encore plus rieuses. Je me suis alors rappelé qu’elle m’avait affirmé adorer se faire traiter pendant l’acte sexuel, ce souvenir m’aidant à retrouver un peu de ma sérénité. Ensuite elle a replongé pour une seconde caresse identique mais plus lente, ce qui m’a fait émettre une autre plainte de plaisir, puis ses attentions sont devenues plus précises en se concentrant sur mon anus. Contrairement au suçage de mes boules qui l’avait surtout contentée elle, j’adorais ce traitement qu’elle était en train de me prodiguer, car il se révélait des plus jouissif. Sa langue se faisait parfois cajoleuse, se frottant pendant une trentaine de secondes contre ma peau que je découvrais très sensible à cet endroit, parfois agaçante car elle me titillait venant au contact pour se retirer rapidement, puis revenir à la charge encore et encore, et parfois intrusive étant donné qu’elle tentait de forcer le passage. Ma très belle-maman a d’ailleurs fini par y arriver, puisque j’ai senti ma rondelle se défriper devenant probablement lisse pour former un anneau, lui ouvrant du coup le passage de mes entrailles ce qui n’avait pas l’air de la dégoûter, bien au contraire. Car elle prenait régulièrement le temps de regarder mon visage, afin de constater de quelle manière je réagissais, et elle semblait partager mes émotions, même si en ce qui la concernait cela devait être essentiellement cérébral. Pendant ce temps sa menotte très douce a continué sa lente masturbation, si bien que le plaisir montant en puissance, je n’arrivais pas à déterminer qui d’elle ou de sa langue me faisait le plus de bien. Car je partais du principe que si les femmes étaient en mesure d’avoir un orgasme anal, cela devait pouvoir arriver également à des hommes, même ceux qui sont hétérosexuels, étant donné qu’à cet endroit de notre anatomie nous sommes faits exactement pareil. Sur le moment l’étrangeté de la situation dans laquelle je me retrouvais n’avait pas vraiment d’importance, la seule chose qui comptait pour moi bien évidement mis à par ma volupté grandissante, était que même si j’avais perdu la notion du temps il me semblait que mon endurance s’était accrue. Autrement dit comme la femme de mon père l’avait présagé, j’étais en train de m’aguerrir à son contact.
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C’est probablement parce que je réfléchissais à ça tout en me laissant aller aux sensations que je ressentais, que j’ai oublié de prévenir Émilie, en sentant que pour moi l’instant de non retour n’allait pas tarder à arriver. Mon plaisir s’il était en effet monté très lentement en puissance, se trouvait sur le point d’atteindre son apogée, alors m’estimant face à une situation d’urgence car je ne voulais pas la décevoir, je me suis précipité. Mes mains ont plongé rapidement pour aller attraper ma lécheuse d’anus par la nuque, à travers ses cheveux longs encore humides, et la tenant fermement j’ai relevé sans ménagement sa tête, jusqu’à ce qu’elle arrive au niveau de mon sexe. Elle n’a pas résisté, et comprenant pour quelle raison je me comportais de cette manière, elle a redressé mon sexe avec sa menotte qui ne l’avait pas quitté un seul instant, puis elle a mis mon gland dans sa bouche. Ce dernier lâchant aussitôt ses premières salves de la journée, tandis que je geignais mon plaisir. Ma très belle-maman a avalé chaque giclée en déglutissant avec une satisfaction visible, puis la source s’étant tarie elle a passé sa langue sur le bout de ma queue, dans le but de lui faire une toilette symbolique. Ensuite ma monitrice de sexe-école s’est mise à genoux devant moi, tandis que je reposais mes pieds au sol, et elle m’a fait part de ses commentaires : ― Ça va que je n’ai rien contre une certaine rudesse pendant l’acte, mais avec une autre femme sauf si elle te le demande avant, il faudra que tu fasses preuve de plus de retenue Mon Sucre D’orge. Parce que la façon dont tu m’as secouée à la fin tu l’as peut-être trouvée virile, mais en réalité elle était dégradante, et plus pour toi que pour moi.
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Je me suis empourpré, tout en essayent de me justifier : ― Je suis désolé M’man… mais j’ai pensé que… ― Je sais parfaitement ce que tu as pensé. Tu t’es dit que je préférerais boire ton jus au tuyau, plutôt qu’en laper les flaques sur tes pectoraux. Et sur ce point tu avais raison, sauf qu’à l’avenir tu ne devras traiter une de tes copines de jeu de cette manière, que si elle t’en a donné la permission avant. J’ai gardé la tête basse, et tout en caressant ma joue avec douceur elle m’a expliqué : ― Un relation saine quelles que soient les pratiques sexuelles utilisées, doit avant tout être basée sur le respect mutuel. Par conséquent rien ne peut être fait sans l’accord de ta partenaire, et dans le doute tu devras en discuter avant avec elle, sinon il te faudra t’abstenir. Car les scènes de brutalité que tu as pu voir sur internet, c’était soit du cinéma soit du viol. Puis elle a précisé : ― Comme je te l’ai dit moi ça ne me dérange pas, alors tu pourras recommencer si l’occasion se présente. Mais n’oublies surtout pas, que chaque autre femme avec qui tu auras l’occasion de partager du plaisir, sera un cas particulier. Et que par conséquent, il sera important que tu tiennes compte de ses envies et ses besoins, qui dans certains cas seront différents de ceux que je t’aurai montrés. J’ai répondu penaud : ― Je… OK M’man. Visiblement satisfaite que je comprenne et accepte son raisonnement, Émilie s’est remise debout puis elle m’a annoncé sur le ton de la conversation : ― Je suis contente que tu m’aies écoutée avec attention Clément, et à présent je vais aller me brosser les dents mais aussi la langue. Car si je trouve ça super fun sur le moment, après ça me laisse un petit goût dans la bouche qui n’est pas des plus agréable.
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