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Grand Frère (et les sorcières)

Chapitre 2

Inceste
Maman se leva et le plus naturellement du monde, comme si tout ce qui venait de se passer était normal, noua une serviette autour de sa poitrine pour « cacher » un minimum sa nudité et se dirige vers le salon. Il me fallut quelques minutes à moi pour redescendre un peu, tout ça, bien que très excitant et plus que plaisant, est déstabilisant.
Après avoir enfilé mon caleçon, je rejoins ma mère sur le grand canapé d’angle du salon sur lequel elle est lascivement installée. En temps normal sa position m’aurait plus qu’excité, mais après tout ce qu’il s’est passé aujourd’hui, elle me semble presque anodine.
— Alors, as-tu d’autres questions ?— Euh oui, je voudrais d’abord savoir pourquoi on regarde ça.— Tu n’aimes pas ?— Humm... ça fait un peu bizarre de mater un porno avec sa mère...— Je t’ai déjà fait deux fellations, je pense qu’on n’est plus à ça près.— C’est pas faux— Et puis ça me permet de te faire comprendre par l’exemple que ce qui pouvait sembler bizarre dans une relation familiale classique, va changer à partir d’aujourd’hui. Et ça ne demande pas trop de concentration, comme ça nous pouvons discuter. Tu as d’autres questions ? — Oui, il y a d’autres sorcières dans la famille ou il n’y a que toi ?— Pour l’instant, juste ma sœur et moi. Le don est très fort chez nous, donc tes sœurs le possèdent sûrement aussi. — Comment tu le sais ?— Il suffit de voir comment elles réagissent à ton don à toi. Tu sais, tu as fait très attention avec tes érections ces derniers temps, mais si tes sœurs ont tout capté, c’est parce que leur magie les a instinctivement orientées vers ton énergie. — Attends... donc je vais devoir ... avec mes sœurs ?— Tu ne DOIS rien du tout. C’est toi qui décides de le donner ou pas.— Et mes sœurs vont devoir me sucer alors ?— En fait pas forcément. Ton don peut être transmis dans n’importe quel orifice. Quand il est avalé, il est absorbé rapidement, mais il est aussi à utiliser rapidement. Si je l’absorbe par le vagin, je suis affectée moins rapidement mais les effets durent plus longtemps. C’est pour cette raison que j’étais, je te l’avoue, une peu anxieuse avant de te sucer. Cela va faire un an que je n’avais pas reçu le don et mes pouvoirs ont presque disparu.— Bon, je bande encore...— Oui je vois ça... Puis te refaire une fellationDit-elle en se débarrassant de sa serviette et agrippant mon sexe
— Pas la peine de demander... En fait, si. A moins que tu ne me demandes spécifiquement de le faire, je dois te demander la permission. Ça paraît étrange, certes, mais ainsi en décide la magie. — Alors si je te dis de le faire, tu dois le faire ?
— Ha ha, non, je ne suis pas ton esclave. Mais il sera très rare que je refuse.
Me dit-elle avec un clin d’œil et prenant en entier ma bite dans sa bouche. Qu’est-ce que j’aime les pipes de ma mère, c’est une experte et j’adore ça, ça ne va d’ailleurs pas tarder à produire l’effet voulu...
— Bon sang maman, c’est tellement bon ! Haaa... Ouais !!!

*Gloups Gloups* Une nouvelle fois, ma mère venait d’avaler tout le sperme que j’avais lâché dans sa bouche. Ou le don devrais-je dire.
— Merci pour ce don, Frère. Bon, je vais aller prendre un bain et m’habiller. Tu devrais faire pareil. Nous devons nous rendre à la clinique. — La clinique ? Pour quoi faire ?— Confirmation officielle.

Toute cette histoire est folle, énormément de questions se bousculent dans ma tête. Après m’être douché et habillé je pars retrouver ma mère. Elle avait laissé la porte de sa salle de bain ouverte, décidément, plus aucune pudeur entre nous. Elle était magnifique là allongé dans son bain à se relaxer, mon esprit s’évade...
— Maman, j’ai une autre question.— Entre, mon chéri— Qui était le Grand Frère, avant moi ? C’était papa ?— Non, c’est un peu... compliqué. Le dernier Grand Frère était le frère de ma grand-mère. Notre famille étant matriarcale, la lignée se poursuit par la mère. Comme dans beaucoup de famille de sorcières. Les enfants mâles sont rares et ils sont la plupart du temps des Grands Frères. Il n’en apparaît pas plus d’un par génération. Les grands Frères sont stériles parce que leur gonade s’est façonnée pour l’énergie magique, pas pour la reproduction.— Ca veut dire que je suis stérile ?— Si comme je le pense ton don est confirmé, oui mon chéri, je suis désolé— Ben je comptais pas spécialement avoir des enfants...— Nous devons donc nous accoupler à des amants humains normaux pour nous reproduire. Le problème est que notre énergie magique aspire l’énergie vitale de ces « hommes normaux ».— Comme un vampire ?— C’est un peu ça. Une théorie existe d’ailleurs qui dit que nous serions à l’origine du mythe des vampires. Certaines sorcières d’autres assemblées n’ont aucun scrupule à utiliser ces hommes jusqu’à ce qu’ils meurent. Passe-moi mon peignoir stp chéri
J’ai beau l’avoir vue nue à de nombreuses reprises aujourd’hui, ça me fait un effet wahouu de la voir se lever et sortir de son bain.
— Accompagne-moi pendant que je m’habille, je continue de t’expliquer... Moi je me refuse à utiliser les hommes au péril de leur vie, voilà pourquoi toi et tes sœurs n’avez pas le même père. Je les ai aimés et je n’ai pas voulu qu’ils meurent parce que je me serais servi d’eux égoïstement.— Alors mon père est toujours vivant ?— Eh bien oui. Mais il ne se souvient pas de moi, et donc pas de toi non plus mon chéri. Aucun ne se souvient de moi. Je m’en suis assurée. C’était le mieux à faire pour tout le monde.— Nah je comprends. Et je suis le seul grand frère ?— De cette assemblée, oui. Il est très rare que nous les partagions, bien qu’ils soient tout à fait libres de faire ce qu’ils veulent avec qui ils veulent. Nous les protégeons, nous nous occupons d’eux.— Comment ça ? — Une sorcière sans le don, si elle n’en meurt pas, se retrouve sans pouvoir et dépérit peu à peu. Les sorcières d’une assemblée prennent grand soin de leur Grand Frère. Et comme la magie nous permet de faire de grandes choses, et notamment de gagner notre argent grâce à elle, les femmes de l’assemblée font en sorte que leur Grand Frère ne manque de rien. C’est un juste retour des choses. La confirmation de ton don sera un grand bonheur pour notre assemblée. — Ah OK... Alors oncle Dave était Grand Frère ?— Oui. Et il a choisi de vivre avec ta tante Kira. Je l’ai à peine connu. Il a fallu que je continue. Quand tu es né, nous avons espéré que ton énergie se manifeste. Elle apparaît généralement à la puberté, alors comme tu l’as passée sans qu’il arrive quoi que ce soit, nous avons craint le pire. Mais quand tu as commencé à te retrouver constamment en érection, j’ai repris espoir. Et maintenant, même si je suis déjà certaine que tu es notre élu, nous devons faire le test officiel.— Il va faire mal, ce test ?— Ha ha, même pas un petit peu. Allez, je suis prête, il est temps d’y aller.
Nous nous retrouvons dans un cabinet médical que je ne connais pas. Une jeune est très belle doctoresse nous accueil.
— Salut, Max. Je suis le Dr Andréa. C’est moi qui vais te faire passer le test. Ta mère t’a-t-elle expliqué en quoi il consistait ?— Non, j’ai pensé que ce serait mieux si tu lui expliquais toi-même.— OK. Eh bien, c’est très simple, je vais avoir besoin d’un échantillon de ton sperme.— D’accord... Je dois aller dans une autre pièce ?— Non, car je dois te voir éjaculer— QUOI ?! Bon, ben ma mère peut le faire ?— Non en fait, elle va devoir quitter cette pièce.— Alors je vais devoir le faire moi-même ?— Chéri, tu l’as déjà fait.— Ouais, c’est sûr, mais...— Je serai juste dehors
Ma mère quitta la pièce et je me retrouve face à cette sexy doctoresse, et je vais devoir me branler devant elle...
— OK, vas-y, retire ton pantalon— Ca fait bizarre...— Je sais. Mais je suis docteur, tu n’as aucune gêne à avoir.
Je retire donc mon jean et mon caleçon, me dévoilant ainsi à elle. Elle fixa directement mon sexe, qui pour une fois depuis ces derniers jours, n’est pas bandé alors que c’est ce qu’on me demande,... sûrement le stress
— Je te confirme, tu n’as absolument aucune gêne à avoir, ton sexe à une très belle taille.— Euh, merci, mais je sais pas pourquoi là il veut pas monter alors que ces derniers jours c’était plutôt le contraire. Vous pouvez m’aider ? Il n’y a pas des magazines prévus à cet effet ?— Non désolé je n’en ai pas et les règles sont très strictes, je ne peux pas te toucher. Mais si j’ouvre ma blouse, ça pourrait te fournir un petit support visuel ?
Elle n’attend pas ma réponse et commence à déboutonner les premiers boutons, dévoilant ses dessous.
— Hmmm... ça m’aide déjà. — Je vois cela, hahaha— Alors vous êtes sorcière ?
Je tentais de faire la conversation pour éviter qu’elle ne se focalise trop sur les mouvements de ma main devant elle. Sa blouse est maintenant complètement ouverte. Son corps me fait grave envie, elle est grave sexy avec ses dessous en dentelle noire, ses bas et ses porte-jarretelles.
— Oui, en effet— C’est pour ça que vous pouvez pas m’aider ?— En partie. Pendant le test, aucune sorcière ne doit te toucher, sous peine de falsifier le résultat. Par ailleurs, c’est une entorse très grave aux règles de demander le don au Grand Frère d’une autre assemblée.— La mouise. Donc à partir de maintenant, j’ai plus le droit de baiser que les femmes de ma famille ?— En fait, non. Ce n’est pas ça du tout. Si tu lui demandes, n’importe quelle sorcière peut accepter ton don. C’est juste qu’elle ne pourra jamais te le demander. On dirait que tu y es presque, allé, petit cadeau, je retire tout, rince-toi l’œil ;)— Oh... Merci... Oui... ça va venir— Éjacule bien dans le récipient, hein ? Ma chatte te plaît hein, coquin, tu aimerais me faire un don hein ;)— OOOHH— Bon garçon !
Hop mon sperme est dans le récipient et ma docteure remet sa blouse, sans toutefois la boutonner.
— Alors, vous êtes toujours mon docteur ?— Ha ha, tu persistes ;) Pour l’instant, oui. Mais de ce que j’en sais, tu vas être très occupé ces prochains jours. Et j’ai déjà un Grand Frère, alors je ne suis pas en manque de don. — Mais vous n’avez pas dit non.— C’est exact. Ta mère a mon numéro. Maintenant je vais aller analyser l’échantillon et dire à ta mère qu’elle peut revenir. — Je peux me rhabiller ?— Pas encore, selon les résultats, je vais peut-être avoir besoin d’un autre échantillon.
Elle reboutonne sa blouse, sans prendre la peine de remettre ses dessous. Je reste là, sans pantalon, comme un couillon sur la table d’examen. Quelques minutes après elle est de retour avec ma mère.
— C’est confirmé : tu es bien un Grand Frère. Et sans doute le plus puissant depuis plus d’un siècle. Bravo. Ta mère a dit que ton pénis était en érection constante ? — Oui, regardez, ça revient en ce moment même— Je vois cela. — Je peux te soulager ?— Oui, s’il te plaît maman, si ça t’embête pas.
J’avais à peine terminé ma phrase que la main de ma mère s’activait déjà sur ma bite.
— Vu la puissance que tu as en toi, tu vas devoir être « soulagé » souvent.— Souvent ?— Combien de fois est-ce arrivé, aujourd’hui ?— Cinq fois— Non en fait neuf, maman— Quoi ?— Une fois ici, deux fois avant le petit-déjeuner, tu m’as soulagé une fois, tu m’as sucé trois fois et j’ai éjaculé deux fois de plus en te regardant prendre ton bain. Désolé maman.— Ha ha, ne le sois pas. — Tu es vraiment impressionnant, tu as une immense puissance en toi. — OOH... Et de dix— Et il n’est que 15h...— Humm... Je vous conseille d’impliquer ses sœurs dès que possible. A ce rythme, il va arriver dans les trente fois par jour, ça va durer deux trois jours. Après cela devrait baisser, mais à ce niveau de puissance, que légèrement et puis se stabiliser.— OK. Remets ton pantalon et rentrons. Je crois savoir ce que l’on va faire aujourd’hui...
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