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grand mère

Chapitre 1

Avec plusieurs femmes
Mes cousines vont venir passer quelques jours chez notre grand-mère retirée à la campagne au milieu des bois. J’ai toujours en mémoires la parties de fesses que nous nous sommes déjà payées, particulièrement avec Monique l’ainée. J’ai encore son goût dans la bouche: qu’est ce qu’elle aimait les cunnilingus, au point de se faire sucer pas une autre cousine, Françoise, pendant que je l’enculais. Elle n’avais aucune pudeur, ce qui faisait son charme, toujours prête à donner son entre jambes au premier ou première venue. Notre grand-mère ne se doutais jamais de rien à moins qu’elle le fasse exprès en ses souvenant de son jeune temps. Je penche pour cette deuxième hypothèse. J’arrive le premier, la veille des autres. J’en profite pour faire un tour des endroits tranquilles de baise de l’an dernier. Je retrouve tout comme l’an dernier, sauf le toit d’une cabane qui s’est écroulé. Nous le réparerons ensemble. Je retrouve l’endroit où j’enculais toujours les filles. Je ne sais pourquoi ce lieu nous plaisait pour la sodomie. Elles y passait toutes les deux. Je ne savais pas quel cul était le meilleur. Je ne sais toujours pas. Je verrai cette année. Le soir en me couchant, je suis surpris des mots de ma grand-mère: fais attention elles sont charmantes, aiment bien l’amour, trop à mon avis, même si c’est bon. J’en garde de bon souvenirs. A mon âge il n’y avait pas toutes ces saloperies qui traînent.Elle savait bien que nous jouions ensemble et j’apprenais ce dont je me doutais: elle avait aimé baiser. Je n’arrivais pas à m’endormir, j’étais excité par ce qui allait se produire le lendemain. Je bandais trop pour m’assoupir. Je rejetais le drap, sortais ma bite, lentement de descendais le prépuce jusqu’aux couilles. Je restais ainsi un bon moment en appuyant ma main sur les couilles qui devenaient plus serrées. De la main gauche je prenait un peu de salive, enduisait le gland avec, je caressais le bout de ma pine comme un clitoris. Il me semblais bien que j’allais jouir comme une fille. Pourtant c’est le sperme qui jaillissait du méat. Il est des moments où j’aimerais être une fille qui parait-il jouit plus fort qu’un homme. J’étalais le sperme sur ma poitrine, je le goûtais même: il avait le même goût que l’an dernier. Je m’endormais en rêvant aux sexes de mes cousines. Je sentais même les poils du pubis contre mes lèvres. Le lendemain au réveil je bandais encore. Le seul remède était que j’aille pisser. Pour ça, il fallait que je porte encore le pyjama qui dans la nuit avait glissé je ne sais où. Je ne pouvais pas sortir dans le couloir ainsi, ma grand-mère pourrait me voir. Elle avait du en voir pas mal: je n’osais tout simplement pas. Alors j’ai choisi l’autre méthode, la plus agréable: je me suis encore masturbé. Cette fois le jet a coulé par terre, juste à coté du sacré pantalon. J’ai pu ainsi me lever pour aller aux toilettes: J’avais eu raison d’attendre: elle était dans le couloir. Une bise sur les joues, direction la cuisine pour le déjeuner. — Vas t’habiller, tes cousines vont arriver, si elles te voient comme ça, tu vas te faire violer. — Mais non, elles respectent l’homme.— Si elles respectent l’homme comme je le respectais à leur âge, tu n’es pas sorti de l’auberge— Tu ne sautais pas sur les hommes?— Oui, je le faisais, tu sais les filles sont les mêmes depuis des années. Si elles aiment faire l’amour elle vont à la source directement, c’est bien ce que je faisais. Elle ne s’en doute pas, elle m’excite un peu, je l’imagine embrassant un homme en le branlant. Je file vite me raser, me laver, prendre un douche en insistant sur la bite. Je m’habille potablement.Juste avant midi, elles sont là. Monique la blonde, et Françoise la brune, Un baiser sur le joues et emballez l’affaire. Grand mère nous regarde en souriant. Elle sais fort bien que nous n’allons pas tarder à aller dans des coins de la campagne pour regarder la marguerite à l’envers, alors que nous pourrions aller ensemble dans une même chambre.Nous déjeunons vite faite, elles montent se changer. Je veux aller les voir: grand-mère me fait la grimace. J’attend patiemment. Enfin nous allons nous promener: nous ne faisons pas 100 mètres pour nous arrêter pour nous embrasser. Ce genre de baisers à trois avec les langues dehors pour en profiter à trois. Nous bifurquons dans un sentier qui n’a pas du voir passer quelqu’un depuis l’an dernier. Monique, fidèle à sa réputation s’arrête pour se mettre nue: c’est facile, elle n’enlève que la robe légère. Elle se tourne complètement vers nous, écarte les jambes pour nous montrer sa chatte déjà bien humide. Je suis en retard, c’est Françoise qui la première pose sa main sur elle. Tant pis pour moi, j’ai droit juste à la raie des fesses. Les filles se positionnent pour un 69. Le premier entre les deux filles depuis l’an dernier. François n’est pas nue, ça ne fait rien, Monique écarte le string pour lécher notre cousine. J’ai droit à son cul. Pour me mouiller la bite je la baise juste ce qu’il faut pour mouiller ma queue. C’est Françoise qui me guide vers le cul offert. C’est quand même drôlement excitant d’avoir son sexe dirigé par une main autre que celle de la personne que je vais enculer. J’entre facilement dans l’anus: j’ai en plus l’énorme surprise de sentir les doigts de Françoise venir sur mon cul, y entrer lentement pour me branler. J’ignorais la pratique: c’est ma foi bon. Ce qui est encore plus excitant est que je sais qu’elle me voit la bite entrer et sortir d’un cul pour venir occuper le mien. Je m’en souviendrai plus tard quand nous ferons un 69. Quand nous jouissons je raconte la conversation avec grand-mère. Elles sont comme moi, très étonnées. Pour elle une grand mère n’a jamais baisé de sa vie. Se pose la même question pourquoi sortir alors que chez elles nous serions fort bien pour nous livrer à notre débauche: le soir nous le faisons bien. Au dîner nous mettons le sujet sur le tapis. Grand-mère le fait pour nous imposer des règles: la nuit, elle ne sait rien, elle dort. Elle dort alors qu’elle se plaint d’insomnies. Puisque la nuit elle ne sait rien nous en profitons pour aller nous coucher les trois ensemble, dans la même chambre. Quand nous nous levons, elle nous souhaite une excellente nuit pleine de plaisirs: elle sait que nous allons baiser. C’est tout juste si elle ne dit pas bonne baise Surtout que ce soir nous faisons presque tout le répertoire, aidé par les godes. Françoise a porté sa collection. Elle vient sur moi pour se faire mettre devant. Nicole prend deux gode, celui qu’elle se met d’office dans le trou et l’autre quelle entre dans le trou restant de Françoise qui aime bien avoir le cul plein. Elle ne se rend pas compte qu’elle me permet aussi de prendre mon plaisir. Je reste immobile, seule Françoise bouge Nicole se déplace pour me donner le gode qui la baise, elle veut obtenir le plaisir avec moi. Je pilonne tant que je peux son vagin. Elle gémit de plus en plus fort, jusqu’à crier son orgasme. Nous ne craignons plus les éventuelles réflexions de grand mère.Puisque nous pouvons baiser tranquillement la nuit, nous nous levons pour aller déjeuner nus. Grand-mère nous voit bien sur, elle fait comme si nous étions habillés, sauf qu’elle donne des réflexions sur les poitrine des cousines: elle lui plaisent. De ce jour nous ne nous habillons plus que pour sortir: nous baisons maintenant n’importe où dans la maison. Quelques fois grand-mère nous regarde en disant « hélas ».
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