Bonjour à vous… J’ai toujours eu une grande attirance vers les femmes très âgées. De 65 ans à plus… J’aime leurs formes. Je suis un homme de 40 ans.J’ai été « élevé » par mes grand parents. Je les considérais comme mes parents, et d’ailleurs je les appelais « Papa » et « Maman. Mon grand père était à la retraite mais jamais à la maison. C’était une espèce de gros abruti qui ne pensait qu’à aller boire avec « ses » copain et à rentrer saoul tous les soirs durant. Ma grand-mère n‘avait jamais travaillé, ce qui fait que petit j’étais toute la journée avec elle quand j‘étais plus jeune. Et je me souviens que les matins quand elle se lavait dans la salle de bain, j’adorais regarder ses seins et son sexe. Celui-ci était un peu fourni et tout gris. Plein de fois, sans savoir pourquoi à l’époque, je bandais devant ma grand-mère, elle le voyait mais ne me disait rien. Ma grand-mère n’était pas très jolie. Pas de ces femmes matures qui ont une poitrine plantureuse, et jolie malgré leur âge. Non ma grand-mère était petite, avec des seins qui tombaient. Ceux-ci n‘étaient ni petits, ni gros. Elle était très ridé aussi avec les fesses toutes plates. Mais je ne sais pas pourquoi,je sentais en elle un côté très coquin.C’est pourquoi, bien des années après, et après me souvenir de son corps, et tout particulièrement de ses seins, je me masturbais et je m’imaginais les lécher et faire d’autres choses avec elle. Ca me faisait jouir vraiment très fort… Ce qui fait qu’un jour, n’y tenant plus et ayant bu quelques verres pour me donner un peu de courage, je l’appelais au téléphone pour essayer de rentrer dans le vif du sujet. Mon appel était au début tout ce qu’il y avait de banal. Je lui demandais comment elle allait, si tout se passait bien dans sa vie en ce moment… Elle me répondit que ça faisait longtemps qu’elle ne m’avait pas vu, et qu’il faudrait que je passe la voir. Elle habitait à plus de 120 kilomètres de chez moi. Je lui dis que ça n’était pas impossible, et que je pourrais venir assez vite. Et puis je me lançais en lui disant: » tu sais, ne le prends pas mal, mais j‘aimerais bien revoir tes seins et les lécher aussi… » Là, il y eu un blanc. C’est vrai que j’avais envoyé ça, comme çà, et elle ne s’y attendait pas, et j’avoue que c’était très maladroit de ma part. Elle me répondit sans s’énerver que ce n’était pas bien et que ça ne se faisait pas. Je bandais comme un fou. Alors je lui ai répondu que beaucoup avaient eu la chance de téter les seins de leur mère, mais moi jamais….Je lui demandais ouvertement cette fois-ci si je pouvais, quand je viendrais, voir sa poitrine et les caresser, et elle me répondit: »on verra »… puis elle changea de sujet… Je raccrochais le téléphone en ayant raconté des banalités. Et je me dépêchais de me masturber, car je n’en pouvais plus. Le surlendemain, je réitérais mon appel. Je fis comme pour mon premier coup de fil, je lui parlais de choses simples, et là, j’avais bu l’apéro avant avec des copains pour encore une fois me donner plus de courage. Je lui demandais, à un moment donné de la conversation, si je pouvais faire ce que j’avais dit la dernière fois. Elle me dit qu’elle ne s’en rappelait plus, et je lui rafraîchissais la mémoire en lui rappelant, que j’aimerai beaucoup caresser et lécher sa poitrine. Elle me répondit que j’étais un coquin, et que ça ne se faisait pas. Je lui répondis que j’en avais très envie et que depuis le temps qu’on ne s’était pas vu elle pourrait bien me faire cette faveur. Là encore je bandais comme un fou. Et là contre toute attente, après un moment d’hésitation, elle me dit: »et bien si tu veux, je te les ferais voir mais tu sais il n’y a plus rien dedans, ils sont tout tristes » je lui dit que ce n’était pas grave, que j’en avais très envie depuis des années durant et que çà lui plairait aussi… Après avoir vite raccroché le téléphone, je me masturbais violemment en imaginant ma langue sur ses aréoles roses, et les téter goulûment. Et puis ce qui me faisait jouir très fort, c’était de l’imaginer nue, les jambes écartées, et ma tête entre ses cuisses et ma langues sur son clito… De mon côté, tous les fantasmes les plus incroyables fusaient dans mon esprit… Je voulais lécher ses seins et son clito certes, mais aussi la pénétrer fort, pouvoir la sodomiser, jouir dans sa bouche et sur ses seins, l’entendre jouir, voir même la masturber avec un godemichet… Tout ça se mélangeait un peu dans ma tête et je me fis de très belles séances de masturbations… Comme j’avais un peu pris les devants les deux autres fois avant, je la rappelais une troisième fois, bien décider à lui exposer ce que j’avais envie et quand je pourrais venir. Tous mes fantasmes étaient là, comme de vilains petits diables. Tous me forçaient à me caresser doucement pendant que je lui parlerai au téléphone. J’étais nu dans mon lit, et je bandais déjà, le téléphone contre l’oreille, trois sonneries et elle décrocha.« Allo, maman, c’est moi?! » »Comment vas-tu depuis la dernière fois? » et là elle me répondit qu’elle allait bien, mais qu’elle pensait que ce que je lui avais dit au téléphone la dernière fois, n’était pas bien… Que ça ne se faisait pas entre un petit fils et sa grand-mère. Et que ça l’avait un peu choqué tout ce que je lui avais dit… Alors je repris le dessus, en lui disant que j’avais réellement très envie de pouvoir voir ses seins, que je trouvais ça très excitant et qu’elle apprécierait aussi. Qu’un peu de tendresse lui plairait et qu’en plus je pourrais lui emmener une bonne bouteille que nous partagerions ensemble. Qu’elle aimerait vraiment et qu’elle ne pouvait pas refuser. Là, après avoir dit çà, je bandais très fort, j’avais un peu de liquide séminal qui perlait sur le bout de mon gland… C’était dur de ne pas se masturber à ce moment là… Il y eu un léger blanc au tél, et elle me lança qu’elle était d’accord pour partager une bouteille tous les deux mais, pour que je touche ses seins, elle verrait… Je continuais donc à parler avec elle de choses banales tout en essayant de revenir à mon premier sujet… Au fil de toutes nos banalités, elle me dit qu’elle avait mal au ventre ces temps-ci car elle digérait très mal... J’en profitais pour rebondir sur la situation, et comme çà, je lui proposais quelques massages et que si ça ne passait pas, je pourrais lui faire un traitement plus efficace. Elle me demandait ce que j’entendais par un traitement plus efficace? Et je lui sorti comme çà, « un lavement » (ça aussi faisait parti de mes fantasmes envers ma grand-mère, mais pour lui dire, c‘était un autre problème, comment réussir à lui imposer çà…) et bizarrement, alors que j’avais tenté le tout pour le tout et je pensais qu’elle allait m’envoyer sur les roses, prendre réellement ses distances et bien non… Je suis certain que tout ce que je lui avais dit, l’avais excité au plus haut point… J’entendis sa respiration se faire un peu plus vite… Elle me répondit, et je vous le jure, qu’elle voulait bien, qu’elle en avait eu un une fois, et que ça lui avait fait un bien fou. Je ne savais plus où j’étais. Entre temps je m’étais à peine touché, que j’avais jouis très fort en ayant éjaculé abondamment!!! Alors tout se passa très vite. Je lui demandais, quand j’allais venir, qu’elle se douche juste avant… Elle me répondit qu’il n’y avait pas de problème.Je lui dis, qu’elle ne s’habille pas et qu’elle m’attende soit nue soit dans un peignoir. Ca y est, j’allais faire l’amour à ma grand-mère, je la pénétrerais, plus pleins de choses incroyables…
