Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 43 J'aime
  • 8 Commentaires

Grand Noir Confus

Chapitre 1

Gay
Me voilà enfin sur la route pour rentrer chez mes parents, après cette longue et éreintante première année loin de chez moi. L’université, quel bordel.J’ai pris la route dès la fin du dernier cours. 18h, un vendredi. Je suis à Marseille, je me rends à Lille. Que la route va être longue...
Vers 2h du matin, je fais une pause. Arrêt à une station-service qui en impose vachement, mais une fois à l’entrée, je me fais recaler par un type à l’accueil. Il me demande ce que je veux. Pisser, c’est tout. C’est impossible qu’il me répond. Il est là seulement pour encaisser l’essence, et te chercher des provisions si tu sais ce que tu veux. Mais pas d’entrée possible, me dit-il alors que je pars, énervé. Demi-tour. Je pisse où alors ? Va dans l’herbe, ça ira. Fais chier. Je vais pisser sur leur saloperie de bâtiment ouais !Je fais le tour, et commence à pisser. Je n’ai pas vu qu’un grand type est à quelques mètres de moi. Je ne le regarde pas, j’entends seulement un bruit et tente de décrypter l’obscurité. Alors j’entends :
— Eh petit, pourquoi tu mates ma queue ?— Je ne la mate pas.— Si, tu la mates.
Je n’avais pas vu le gars. Mais maintenant, je le devine suffisamment pour en faire une brève description. Un grand Noir, habillé de noir, qui pisse, sa queue dans la main.
— T’as le droit de mater ma queue, mais alors, il faut me la sucer parce que ton regard m’excite.— J’ai aucune envie de te sucer, j’avais même pas vu que quelqu’un était là.— Pourquoi pas ?— Pourquoi pas quoi ?— Pourquoi tu veux pas la sucer ?— Parce que j’en ai pas envie ! Je veux juste pisser.— Mais moi j’ai bien envie que tu me suces. Juste un peu.— Juste un peu ?— Juste un peu.— Juste un peu ça veut rien dire.— Ca veut rien dire ?— Ca veut rien dire. On suce ou on suce pas. J’ai jamais vu ma mère sucer mon père juste un peu.— Ta mère suce ton père ?
— Ma mère suce mon père.— Tu trouves ça normal de voir ta mère sucer mon père ?— Tu trouves ça normal de me demander de te sucer ?— Il fallait pas mater ma queue, petit.—...— Allez, cessons un peu. Je vois que tu es épuisé. Je t’offre un café.— On peut pas entrer dans la station.— Je suis le gérant, j’entre où je veux.

Et donc nous voilà, après cet échange absurde et faussement houleux, dans la station, attablés à boire café sur café, manger des viennoiseries, et discuter de ce putain de covid. Jusqu’à ce que le grand Noir me reparle de ma mère.
— C’était quoi cette réflexion sur ta mère qui suce ton père ?— Comment ça ?— Comment tu le sais ?— De toi à moi, je suis fils adoptif. Des fois, on s’envoie en l’air tous les trois. Je crois que l’idée d’inceste les excite à fond. Et pour tout te dire, j’adore les baiser.— Les ?— Ouais, ma mère est une vraie petite salope obéissante quand il s’agit de sexe, et mon père aime jouer au maître du monde. Alors qu’à la maison, c’est ma mère qui règne. Une vraie lionne. Au lit, une vraie chienne. Mais quand je suis là, c’est moi le maître.— Intéressant.
Le grand Noir commence à s’agiter.
— Eh, commence pas à te tripoter la queue avec mes histoires de famille.— Eh, commence pas à me dire quoi faire. Tu me chauffes trop avec ta famille de salopes. Si tu baises ton père, t’es sûr de pas vouloir me la sucer un peu ?— Un peu ?— Un peu. Juste un peu.— Non.— Mais t’as pas de problème avec le sexe des hommes.— Dans le mille.— Alors, suce-la-moi un peu.— Il reste du café?
Le grand Noir part refaire du café. Je m’assoupis.
Je me réveille. Il est genre 5h du matin. Toujours aussi peu de lumière ici. Le type à la caisse s’est évaporé. Je cherche mon pote le grand Noir. Rien, personne a priori. Je tente la porte interdite, celle réservée au personnel. Mais en absence de personnel, je me dis que cette règle n’a plus lieu d’être. Je tire la porte.
Beaucoup de couloirs, des placards avec réserves, appareil ménager. Enfin, des bureaux. C’est hyper-grand, je me dis. J’arrive devant une porte, ouverte. Je reste en dehors du cadre, j’entends des bruits de succion. Et des gémissements. C’est évident alors. Le grand Noir a obtenu de se faire sucer par la petite crevure à la caisse.
Pas l’intention d’entrer. Même si ma bite joue à la chenille dans mon slip. Je prends mon téléphone, vois que j’ai des messages de ma mère. Plusieurs photos qui se téléchargent quand j’ouvre la conversation. On y voit des décolletés profonds, l’arrondi de ses obus, ce genre de choses que ma mère m’envoie régulièrement. C’est une exhibitionniste. Elle croit que j’aime ça, mais je préfère le réel. Rien à foutre de ses photos pseudo sexy. Moi j’aime avoir sa chair dans la bouche, pouvoir mordre ses mamelles et lui mettre des grosses claques dans la gueule. Qu’elle vienne me voir dans ma chambre lorsque je suis totalement absorbé dans l’écoute d’un concerto pour piano avec mon casque sur les oreilles, la voir se mettre à genoux en touchant mes genoux et ma braguette magique, avec ses yeux de chienne, et deviner ses lèvres m’implorer « est-ce que je peux te sucer ? » Voilà la réalité.
La dernière photo, la queue de mon père posée sur les seins de ma mère, souillés par son vieux sperme liquide, me donne envie de l’insulter. Je suis énervé. Je rentre dans la pièce.
Diffuse en direct !
Regarder son live