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Grand Noir Confus

Chapitre 3

Une histoire de la fellation

Gay
Je venais à peine de glisser cette sublime queu... Sublime ? Non c’est bien plus que ça. Sa beauté est hypnotisante certe, même pour l’hétérosexuel que je suis - étais ! - mais c’est bien davantage. Cette énorme poutr... Énorme ? Non, je ne peux pas la restreindre à sa taille, même si ses dimensions sont colossales et me rendent tout à la fois envieux et admiratif.
Cette succulente verge. Voilà. C’est celà. Une succulente bite, puisque je vais tout juste d’y goûter ! Et c’est entre mes lèvres avides et trempées de salive que l’employé hideux revint à la charge, déboulant comme un fou dans l’encadrement de la porte, et me surprenant aux pieds du grand Noir, excité que j’étais à l’idée de tenir ce pénis d’ébène dans mes deux mains, de sentir infuser son goût de mâle dominateur dans ma bouche soumise, de me sentir pour la première fois de ma vie la chose de quelqu’un, et d’en ressentir un plaisir dingue.
Ma main gauche tremblait d’impatience à l’idée de glisser vers le bas de ce saucisson bien gras pour tâter ses deux grosses couilles qui pendaient pour mieux être malaxées. Mais c’était prématuré, je le sais, puisque comme je l’ai dit, seul son énorme gland venait de se frayer un passage - frayer est un bien grand mot, disons qu’il coulissa, glissa naturellement entre mes lèvres que j’avais tout juste léchées pour les humidifier à souhait - pour entrer dans ma bouche, en se posant doucement sur ma langue tendue par l’entrée de ce corps nouveau, étranger. Pas si étranger que ça car j’avais moi même une bite entre les jambes, cependant je ne l’avais jamais goûtée. Quelques fois j’avais récupéré les gouttes visqueuses qui y perlaient pour voir, c’était surprenant, chaud, légèrement gluant, et excitant.
Mais jamais de bite dans la bouche. Jamais eu l’occasion il est vrai. Mais là on y était. Ce grand Noir mystérieux, dont la rencontre fraîche et nouvelle restait un beau moment, ce type avec qui j’avais passé la nuit à discuter de mes parents pervers, ce gars que je venais d’inviter pour les vacances à venir se défouler sexuellement sur ma mère cette femme dont la beauté vous coupait le souffle et les couilles et mon père qui n’était au fond pas un canon de beauté, mais bien une petite salope qui s’ignore. Mes parents seraient ravis, enchantés de cette présence inattendue, ce père Noël qui ne ferait pas long feu avant de nous montrer sa grosse cheminée.
Mais pour le moment il était à moi. À moi tout entier. Et j’étais à lui. Quoi de plus intime qu’une personne vous laissant prendre son sexe dans la bouche en échangeant un regard intense ?
Son gland était donc là, sur ma langue, et je sentais toutes ses saveurs se disperser dans ma bouche, vase clôt remplit de testostérone, d’effluves masculines, de sexe, de sexe, DE SA SUCCULENTE VERGE ! Sa taille était extraordinaire, son bas-ventre restant presque sur le banc de touche tant sa bite mettait une distance entre nous. Je me projetais déjà, m’imaginant étouffer pour avaler entièrement son sexe, le sentant s’enfoncer dans ma gorge, mon œsophage, mon corps, et venir jouir éjaculer - et même pisser s’il le souhaitait - directement dans mon estomac. Nourrir sa chose. Avec passion, m’injecter directement sa semence, son nectar épais, sa source vitale, dans mes entrailles.
Oh ce gland ! J’avais sauté dessus, mais mon cerveau avait photographié cette merveille en une fraction de seconde. Turgescent, un vrai bulbe floral, doux, incroyablement doux, presque étonnement duveteux, poli, j’y voyais le reflet de mes lèvres approcher. Et ce contact, cette entrée contre mes lèvres, cette pénétration en douceur, délicate, afin d’en saisir toutes les nuances, les goûts, odeurs, les tensions musculaires qui agitèrent le corps de ce Dieu Noir alors que son sexe pénétrait ma bouche. Quelle divine expérience. Oh comme je l’aurais sucé mon Dieu Noir. Oh comme je me serais offert entièrement à ses désirs, ses envies, ses fantasmes, même les plus extrêmes. L’esclave de sa bite était mon nouveau destin.
MAIS CET EMPLOYÉ RÉPUGNANT ÉTAIT DE RETOUR ! Maudit être ignoble. On l’avait entendu crier dans le couloir, sa voix frêle et vide d’assurance grondant de plus en plus. Mélodie inaudible.
— bossss... Double Boss ?!?!— Mais que fais-tu là ?!— Là ?— Là !— Là comment ?— Là enfin !— Là dans l’encadrement de cette porte vous voulez dire ?— Non sombre crétin ! Là ici alors que je t’ai explicitement demandé de retourner au travail.— Mais je suis au travail.— Tu es sur ton lieu de travail mais pas AU TRAVAIL. Ton travail est de tenir la caisse et servir les clients. Ici tu ne sers personne. Tu ne sers à personne. Tu m’embêtes ! Rrrah !
C’était reparti. En pivotant, le Grand Noir avait retiré son sexe de ma bouche, et il était brandit comme une épée menaçante vers cette souillure d’employé. Je comprenais son effroi.
— Je ne sais pas.— Comment ne peux tu pas savoir pourquoi tu es là ?— Là ?— Oui là !— La police est à l’entrée, il demande après le boss.— La police ?— La police. Oui. C’est... C’est une grosse matraque que vous avez là Boss.
Surpris d’avoir la bite à l’air, et honteux de la montrer si belle et dure devant ce moins que rien, le Grand Noir se détourna pour se rhabiller. Dans sa rotation, il me biffla violemment la joue, et parti voir ces foutus policiers, suivi de près pas l’employé moche.
Personne ne le vit, mais quand la pharamineuse bite de mon Dieu Noir me fouetta la joue, je jouis intensément dans mon pantalon.
Le temps de me remettre d’aplomb - un peu d’eau sur le visage - et je rejoignais les deux types, en restant dans le couloir, tendant l’oreille.
Les voix montaient, ça n’annonçait rien qui vaille.
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