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La grange

Chapitre unique

Zoophilie
LA GRANGE

Ce récit complet traite de zoophilie. C’est un essai qui j’espère vous plaira. Bonne lecture !


Alors que Manon et moi sommes en promenade à la campagne depuis plus d’une heure, nous voyons tout à coup des nuages noirs bourgeonner dans le ciel. Alors qu’il faisait un beau ciel bleu il y a peu, un orage d’été arrive vers nous à toute vitesse !

De grosses gouttes commencent à tomber alors que nous portons des tenues légères compte tenu de la forte chaleur qu’il faisait quand nous avons quitté l’appartement. Manon porte une robe fine qui lui arrive à mi-cuisses. Quant à moi j’ai juste un polo et un bermuda.
Le souci c’est que nous n’avons rien prévu pour nous protéger de la pluie, il faisait si beau quand nous sommes partis tout à l’heure et là, nous sommes à plus de trois ou quatre kilomètres de la voiture. Il y a bien quelques arbres, mais il vaut mieux éviter de s’y abriter quand il y a un orage.
Il est donc très urgent de nous trouver un abri !

Car maintenant, après des grêlons qui nous ont mitraillés, ce sont des trombes d’eau nous tombent sur la tête.

Là ! Juste devant nous, Manon me montre qu’il y a une grange dans laquelle nous pourrions éventuellement nous abriter, nous pressons le pas pour rejoindre au plus vite le bâtiment.
Là encore, il faut éviter de courir si la foudre est proche, je retiens donc Manon par la main alors qu’elle s’apprêtait à faire de grandes foulées.

Une lourde porte en bois grince sous la poussée que tous deux nous exerçons pour l’ouvrir. Nous entrons rapidement dans le lieu et regardons en arrière, pendant quelques secondes, le déluge auquel nous échappons.


Enfin, nous sommes à l’abri, mais toutefois sacrément trempés de la tête aux pieds ! Nos vêtements nous collent à la peau. Malgré tout j’apprécie de pouvoir admirer les tétons qui transparaissent sous la robe de ma chérie.

Petite parenthèse : Manon est une jolie blonde qui a trois ans de moins que moi. Elle a plutôt un beau fessier et des petits seins, à son grand désespoir. Mais moi, je les trouve tout mignons et, ce qui m’importe, c’est qu’ils me tiennent bien dans la main. C’est l’essentiel comme je le lui répète sans arrêt car elle fait des complexes à ce sujet. Elle prétend que les hommes préfèrent "les gros nichons". Je l’en dissuade à chaque fois qu’elle me dit ça et je lui rétorque que toutes les poitrines ont leur charme !

En revanche, si ses seins sont plutôt petits, j’adore suçoter ses tétons longs et bruns dont je raffole vraiment quand nous faisons l’amour.
Je referme la parenthèse.
Maintenant, le vent se lève, les bourrasques s’engouffrent dans la grange et soulèvent de la paille et des poussières. Aussi, nous repoussons au plus vite, mais avec difficulté, la grande porte et prenons soin de la bloquer avec un épar en bois.

Un silence relatif nous procure un peu de quiétude, on se sent à l’abri alors que le tonnerre claque tout autour et que la pluie, ou peut-être est-ce de la grêle, crépite sur la toiture

Manon se blottit dans mes bras pour trouver un peu de réconfort et j’apprécie ce contact de nos corps qui nous rassure l’un comme l’autre. Même si nous sommes trempés de la tête aux pieds, ça fait du bien de nous enlacer. D’un revers de la main j’essuie ses joues, puis les miennes, puis dépose sur ses lèvres un tendre baiser. Un sourire radieux illumine alors son visage.

Du regard, nous explorons le bâtiment qui est plutôt de taille importante. Il y a du fourrage et des bottes de paille qui sont entreposés dans au moins une moitié du volume total.
Une forte odeur animale nous assaille, nous entendons alors un hennissement vers le fond du bâtiment. En nous tenant par la main, nous nous approchons et constatons que cette grange abrite également un petit enclos dans lequel il y a un beau cheval. Il s’agit d’un mâle, au vu de ce qu’il y a entre ses pattes, à savoir une paire de gros testicules.

C’est un bel étalon à ce que je constate. Je n’y connais rien dans le domaine équin, mais ce cheval ressemble à ceux que l’on voit à la télé lors des courses hippiques.
La bête frappe du sabot sur le sol et semble inquiète de l’orage qui gronde à l’extérieur. Toutefois, c’est avec une certaines curiosité que l’animal nous regarde approcher.
Pour le rassurer, Manon avec l’expérience d’une ancienne cavalière, s’approche du cheval et lui caresse l’encolure, la tête, puis tapote son flanc et même son ventre.
À l’instar de l’orage à l’extérieur, l’animal se calme rapidement et cherche même à prolonger le contact avec ma chérie en se serrant contre elle.
Manon semble heureuse de caresser longuement la crinière et le dos de ce beau cheval à la robe baie.

Afin de communier avec ma douce blonde dans cet instant de paix relative, je me place derrière elle et lui enlace le ventre. Manon quant à elle, écrase son torse sur le poitrail de l’animal et, tout en humant l’odeur si particulière du crin, se frotte avec langueur sur le ventre de la bête en soupirant fortement.

Le cheval paraît apprécier cette présence et les senteurs d’une femelle, car son sexe se met à grandir de façon significative.
Je dis alors à ma chérie en désignant le bas-ventre de la bête :
— Ouah, Manon, il semble t’adorer ce canasson, regarde !— Mais enfin, tu es idiot de dire ça ! Ce n’est pas moi qui lui fais cet effet. Dit-elle d’une voix chevrotante, montrant combien elle est troublée par ce qu’elle a sous les yeux.

Ma belle regarde ce membre impressionnant avec une certaine fascination, je perçois très nettement son émoi et faut la comprendre : un tel engin qui souhaite lui rendre hommage. Cette bite qui bat pour elle ! Ce braquemart qui est si près d’elle ! Ce membre qui est là, juste à la portée de sa main !

Je suis conscient de son désir inavoué et entreprends d’augmenter son trouble en lui caressant la nuque, mes mains glissent sur sa poitrine mouillée. J’effleure la pointe de ses seins, je sens durcir ses tétons. Entre le pouce et l’index, je les pince délicatement et les fais rouler entre mes doigts.

Elle gémit et me laisse la caresser tout en prenant appui d’une main posée sur le cheval. Je me colle à elle et elle ne peut ignorer ma bandaison dans sa raie fessière. D’une main, je soulève sa robe trempée, écarte sa culotte, cherche et trouve son clitoris déjà gonflé de plaisir.

Après avoir stimulé son bourgeon durant quelques instants, j’entreprends de baisser complètement sa culotte et de la lui ôter. Suite de quoi, j’abaisse les bretelles de la robe et dénude complètement sa poitrine. Le tissu mouillé colle sur son ventre

D’une douce poussée dans son dos, j’invite Manon à se rapprocher du cheval. Ses seins finissent alors par s’écraser contre le poitrail brûlant de la bête.
Je mordille l’épaule de ma chérie et lui souffle à l’oreille :
— Frotte-toi sur le crin de notre ami.— Comme ça ?— Oui c’est bien comme ça ! Fais-le aussi de haut en bas...— Humm ! Comme c’est bon !

Je jette un coup d’œil rapide et constate que la bite du cheval a encore grandi, aussi je dis:
— Wouah ! Tu lui fais un sacré effet, regarde ma chérie, baisse-toi.— Pourquoi dis-tu que c’est moi qui lui fais de l’effet, je ne suis pas une jument !— En tout cas, c’est un sacré morceau son machin ! Tu n’as pas envie de toucher ?— Ca va pas ! T’es dingue ou quoi ?— Allez, essaie, juste pour voir ! Regarde, moi, je vais te montrer que tu ne dois pas avoir peur.— T’es pas chiche !!

Je m’accroupis à côté de Manon qui me regarde avec un sourire narquois, comme pour me défier.
Je tends la main et l’enserre autour d’une colonne dure et chaude, même si ça ne me plaît pas plus que ça de toucher une autre bite que la mienne, j’admets que ce contact est surprenant par cette douceur sous mes doigts et cette chaleur qui rayonne de ce que j’ai en main.
Et surtout, les dimensions de ce phallus m’impressionnent !
Mes dix-huit centimètres paraissent ridicules à côté de ce machin aussi grand que mon bras !
Une vraie lance à incendie à vrai dire.

Pour l’inciter à vaincre sa réticence, ou peut-être son hésitation, je lui dis:
— Tu vois, ce n’est pas compliqué. Fais comme moi, mets ta main à côté de la mienne.— OK, mais juste une fois.— Pourquoi "juste une fois" ?

Manon ne répond pas, mais s’exécute et sa main rejoint la mienne.
Quand ses doigts se referment sur ce gros membre noir, Manon est parcourue d’un intense tremblement, un peu comme si elle avait mis ses doigts dans une prise de courant.
Je lâche le pénis de l’animal et prends le poignet de ma chérie afin de lui imprimer un mouvement de va-et-vient. Elle ne lâche pas sa prise et consent à masturber lentement ce mandrin hors norme.

Je lui dépose un baiser sur la joue et l’invite à se redresser tout en maintenant sa main serrée pour lui éviter de lâcher sa prise.
Manon s’applique à continuer la lente masturbation, ce qui semble particulièrement plaire à notre ami.
Je suggère dans un souffle:
— Tu devrais le prendre à deux mains.— Tu crois ?— Tu fatiguerais moins pour tenir ce gros morceau.— Tu as raison !

Manon se saisit du membre chaud et l’enserre avec une ferveur certaine. Si une main tient l’extrémité pour la rapprocher d’elle, l’autre va-et-vient pour caresser la douce colonne sur toute sa longueur, c’est-à-dire jusqu’aux couilles qu’elle tapote de temps à autre, comme pour s’assurer de leur dureté.
Ma chérie se prend bien au jeu et sa respiration devient saccadée tant son émoi est complet !

Elle masturbe et flatte lentement cette grande bite, puis tourne la tête vers moi comme en quête d’un assentiment. En réponse je lui fais un sourire alors qu’elle guide le bout de cette queue entre ses cuisses qu’elle resserre fermement.

Le cheval ne bouge pas et paraît apprécier la pression exercée sur son gland tout comme les allers-retours des doigts fébriles de ma chérie. Manon soupire d’aise et revient frotter ses tétons sur le ventre de l’animal. Les crins crissent à chaque passage des petits seins de ma douce.
Je bise le cou de Manon, lui caresses le dos affectueusement, relève même le bas de sa robe dès qu’elle retombe afin qu’elle ne soit pas gênée dans sa manœuvre.

Inexorablement, l’extrémité phallique remonte et effleure la vulve. Manon ferme les yeux, écarte ses jambes et se frotte désormais la chatte avec le gland devenu presque aussi gros qu’un poing serré.
Ses soupirs sont très évocateurs du plaisir qu’elle prend à ce contact chaud sur son clitoris et sur ses lèvres. Son bassin oscille d’avant en arrière alors qu’elle presse de plus en plus le gros chibre sur son intimité.

Je lui souffle à l’oreille:
— Vas-y, fais-le si tu en as envie !

Sans me répondre et sans attendre, elle lève une jambe et tente à plusieurs reprises de s’enfoncer le gros morceau qui la fascine tant.
Elle a évidemment des difficultés à tenir en équilibre sur un pied. Pour l’aider dans son entreprise, je maintiens sa jambe levée en la tenant derrière le genou et m’assure que ma douce ne bascule pas en arrière en la tenant fermement par la taille.

Comme par provocation, elle me défie du regard et, sans me quitter des yeux, force pour s’introduire l’énorme bite qu’elle tient à deux mains.
Elle finit par dire :
— C’est trop gros, je ne vais pas y arriver !— Tu dois changer de position ma chérie.— Comment ?— Tu te tournes, tu prends appui sur la barrière qui est là, tu te penches en avant en écartant bien les jambes et moi je vais t’aider.

Manon se tourne et fait dos à l’animal. Elle se penche en avant et tout en prenant appui d’une main sur la barrière s’applique de l’autre main à écarter ses grandes lèvres. Pour ma part, je m’accroupis à nouveau et prends la grosse bite pour guider le bout énorme vers la caverne secrète qui l’attend.

Il faut plusieurs tentatives pour que le gland puisse enfin pénétrer ma compagne. Je la vois faire un rictus de douleur ou peut-être de plaisir alors que s’enfonce péniblement le gros vit. Ma belle trésaille à chaque centimètre supplémentaire qui l’envahit.

Elle pousse alors un râle de plaisir quand cette tige énorme la pénètre inexorablement pour écarteler ses chairs ! Je guide et pousse le gros phallus du mieux possible pour l’envahir.
Désormais, voilà le membre enfoncé au plus profond en elle.
Manon ne bouge plus, reprend son souffle, des larmes perlent à ses yeux, elle souffre d’être distendue, déchirée presque. Elle me sourit malgré tout comme pour me remercier de cet étrange cadeau. Elle reçoit en elle un sexe hors normes et, par de lents mouvements de son bassin, fait coulisser l’énorme bite dans son ventre. Ses jambes flageolent, c’est tellement bon qu’elle geint de plaisir.

Je pousse puis tire sur ce gros membre pour la goder le plus efficacement possible. Puis me concentre ensuite pour masturber de plus en plus vite la queue de son amant. Ça en devient frénétique car les râles et gémissements de ma chérie se transforment vite en cris de bonheur. Le cheval n’est pas en reste car par quelques mouvements spontanés, son membre se durcit et cherche à s’enfoncer encore plus dans la cavité vaginale. Manon crie de douleur à chaque coup de boutoir qui la percute en la faisant trébucher en avant. Mais immédiatement, elle râle de bonheur d’être prise par ce mâle dominateur.

Quel plaisir intense elle est en train de prendre ! Le rythme s’accélère et je sens palpiter sous mes doigts un frémissement nouveau. Le cheval frappe du sabot alors que je sens des flux saccadés.
Mais oui ! Il est en train d’éjaculer !
Manon hurle un puissant orgasme en un râle de bonheur. Elle grogne un "OUIIII" quand la bête la féconde à gros jets de semence.
Vaincue par cette saillie, ma chérie tombe à genoux rompant ainsi l’union qu’elle avait avec la bite de la bête qui continue de gicler.
Un flot incroyable de sperme chaud et fumant s’écoule entre ses jambes.
Cet orgasme puissant l’a quasiment assommée. Elle a la tête entre ses bras croisés sur le sol et peine à reprendre sa respiration.
Je l’enlace et lui caresse le dos avec douceur, sans faire le moindre commentaire. Je souhaite juste lui assurer du réconfort par ma présence. Le canasson satisfait d’avoir eu son plaisir se détourne de nous et broute son foin sans plus tenir compte de notre présence. Je connais plus d’une femme qui reconnaîtraient-là, et à juste titre, le comportement de certains mecs après qu’ils aient tiré leur coup !

Je retrouve sur le sol poussiéreux, sa culotte roulée en boule et l’utilise pour essuyer la liqueur animale qui souille les cuisses de ma belle.
Manon reste hagarde un long moment et je l’enserre dans mes bras pour la câliner et la rassurer.
Elle frémit de temps à autre, des frissons nerveux la parcourent périodiquement. Elle contracte son vagin et une grosse bulle de sperme s’échappe à nouveau de sa vulve.
Elle me regarde enfin et ses yeux sont embués de larmes. Ses premiers mots chargés de remords sont :
— Mais putain ! Qu’est-ce que j’ai fait là !— Tu as eu beaucoup de bonheur, tout simplement !— Mais enfin, ce n’est pas approprié quand même !— On s’en fiche ! Ça reste entre nous, l’essentiel est que tu aies pris ton pied ! Ça a été le cas n’est-ce pas ?— Waouh ! Comme jamais !— Alors, tu vois, ne t’en fais pas pour ce qui vient de se passer. On pourra même revenir ici si tu veux.— Argh, n’exagère pas ! Je ne suis pas sûre de pouvoir supporter une telle jouissance une deuxième fois.— Ma chérie, tu es épuisée, je te propose de rester ici à l’abri pour te reposer un peu. Comme la pluie semble s’être arrêtée, moi je vais me dépêcher d’aller chercher la voiture et la rapprocher afin qu’on puisse vite rentrer à la maison pour prendre, toi un bon bain chaud afin de te relaxer et moi une douche glacée pour calmer mon excitation.

La scène que je viens de voir m’a trop chauffé les sens !
— D’accord mon amour, fais vite pour ramener la voiture ici. Mais quand nous serons rentrés, je te proposerai peut-être autre chose pour satisfaire ton excitation.

Manon va devoir laisser sa chatte au repos quelques jours, mais elle ne manque pas de ressources pour dynamiser nos rapports.
Bon, maintenant, un bisou à ma chérie et ensuite vite aller chercher la voiture !

FIN
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