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Le BG de Grindr

Chapitre 1

Je n'en pouvais plus !

Gay
Je n’en pouvais plus, ça faisait juste trop longtemps que je n’avais pas baisé. Ça faisait maintenant une bonne semaine que je discutais avec ce mec sur Grindr. Une semaine à discuter de tout et de rien, à tourner autour du pot, à se faire des petits sous-entendus alors qu’on savait très bien tous les deux pourquoi on était là.
C’était normal après tout, même si pas courant sur ces applis de rencontres gay. Lui déclarait ouvertement sur son profil qu’il recherchait une vraie relation, du solide, avec sentiments et tout le tsoin-tsoin. Pas juste un autre plan pour se vider de temps en temps quand la pression monte trop haut dans les bourses : un détail plutôt rare pour un mec clairement beau gosse et uniquement actif. Généralement, ils cherchent plutôt à enchaîner les minets et à sauter, sauter, sauter pour avoir toujours plus de têtes sur leur tableau de chasse. Moi, l’idée de rencontrer quelqu’un avec qui me poser ne me dérangeait pas, bien sûr, même s’il avait une bonne dizaine d’années de plus que moi et mes 22 ans... mais je n’étais pas retourné sur cette appli avec cette idée derrière la tête : je voulais plutôt me faire tirer un bon coup.
Et l’attente commençait à se faire longue. Trop longue à un jour près pour être précis. J’ai hésité toute la semaine à voir quelqu’un d’autre en attendant notre rendez-vous prévu demain soir lors d’une soirée techno, mais... Ce gars m’intéressait tellement au final que je n’avais plus goût pour aucun autre mec sur les profils de l’appli. J’ai bien reçu deux-trois dick pics d’inconnus, dont une particulièrement belle qui a failli me faire céder. Mais non. Je me préserverais pour lui, m’étais-je dit.
Erreur. Grossière erreur. Ne jamais surestimer sa volonté. Surtout en matière de cul.
La soirée de demain aurait été idéale pour se rencontrer, et puis quelle chance de découvrir autour d’une simple discussion bateau qu’on allait se trouver tous les deux au même endroit, même heure, avec les mêmes intentions, sans même s’être concertés avant. Un miracle. Les points communs, formateurs de belles histoires depuis la préhistoire au moins ! Sinon plus. Mais là, je n’en pouvais, juste plus du tout, ça me frustrait et mon fidèle gode n’allait pas suffire ce coup-ci, je le savais bien. Je voulais une vraie bite, un vrai mec, tout de suite. Pas demain. Pas plus tard. Ce soir. Je pensais à la bite littéralement 20 fois par jour depuis le week-end dernier, il était temps de remédier à ce problème.
Alors je pris la résolution de lui envoyer un message plutôt osé, même si je ne m’attendais pas à ce qu’il puisse m’aider. Il m’avait bien prévenu que ce soir, pas de messages : il est avec des amis. Tant pis. Comme dit l’adage, qui ne tente rien n’a rien. Il allait modifier ses plans de soirée pour s’occuper de mon cul, et j’étais déterminé à le convaincre. J’envoyais donc trois photos de moi à poil, dans des positions plus qu’évocatrices : une à genoux, la bouche grande ouverte devant l’objectif, une autre avec mon petit cul et surtout sa fente rasée de prêt en gros plan, un doigt titillant mon trou, et enfin la dernière : plus ou moins la même position, mais avec cette fois-ci mon petit (tout est relatif) gode en verre planté jusqu’à la garde là où ça fait du bien. Mes photos de chienne je les appelle... généralement, elles font leur effet.
Le tout bien sûr accompagné d’un court texte expliquant qu’après une semaine à lui parler, j’avais craqué, que je voulais le voir ce soir, et que j’étais désolé si dans son idéal de rencontres sérieuses, ce genre de photos n’a pas leur place avant de s’être vus en chair et en os, mais que là... il y a urgence.
Naturellement, sa réponse ne se fit pas attendre.
— Waw quelles photos de salope !!! Tu as du talent, dis-moi. Ne t’inquiète pas, elles ne me dérangent pas, bien au contraire... Je suis content de voir qu’on est sur la même longueur d’onde sexuellement parlant aussi, même si on avait plutôt évité le sujet jusque-là. Écoute, t’as réussi ton coup, je t’envoie un message quand je pars, mais ce sera que dans deux-trois heures, alors soit patiente mon petit ^^ ;) et file-moi ton adresse !!
Et plus ou moins une heure plus tard, il était derrière ma porte, et moi je lui ouvrais, excité comme jamais. Et stressé aussi, je dois bien l’avouer.
Ma première pensée en le voyant se glisser dans l’entrée fut : « Bordel de dieu qu’est-ce qu’il est beau !!! Encore mieux qu’en photo !!!! ». Ce mec était... Parfaitement mon genre. Une bonne tête de plus que moi en hauteur, visiblement bien taillé sous ses vêtements, musclé, mais pas trop, une légère barbe... Il en imposait. Clairement. Déjà qu’habituellement face aux mecs plus âgés que moi, j’avais tendance à fondre sur place et à m’écraser peu importe leur apparence, alors avec lui... ça s’annonçait complexe de lui résister pour mieux me faire désirer. J’adorais faire ça généralement, mais là de toute façon, me dis-je, cette option a été sacrifiée sur l’autel des photos chaudes. J’allais devoir apprendre à le connaître alors que lui m’avait déjà vu sous les angles les plus intéressants.
Il ferma la porte, puis me dit tout en retirant sa veste :
— Saluuut ma petite beauté... tes photos m’ont chauffé comme jamais tu sais. Obligé d’inventer un mytho bien pourri pour partir de ma soirée, ça fait chier. Mais bon... Vu ce que tu m’as envoyé, je sais déjà que ça valait le coup...

Je ris un petit coup en souriant, il avait de très beaux yeux bleus. Légèrement perçants. Et il me regardait en souriant aussi, en croisant les bras devant lui comme s’il venait d’attraper un gamin faisant une bêtise, mais qu’au fond, ça le faisait plus rigoler qu’autre chose. Ca me fit rougir, et le voyant, il rit alors d’un bon coup.
— Ahah ! Tu m’as l’air gêné tout à coup... T’inquiète pas... Moi aussi en vérité, je crevais d’envie de te voir avant demain. J’ai beau essayer de me racheter une conduite en cherchant officiellement des « vraies, relations solides, ça ne m’a pas empêché de me demander toute la semaine à quoi pouvait bien ressembler ton petit cul... Et là, ce que je vois me plaît beaucoup. »

Il me fit un clin d’œil, l’air salace.
Hmmmm je sentais l’envie monter en moi à chaque mot qu’il prononçait. Je chauffais de partout à l’intérieur, et je ne pouvais m’empêcher de rougir, encore plus. Il rigola encore un petit coup, et dit alors en portant sa main à son paquet.
— Alors du coup ma petite chaudasse... Ça se passe où ?
J’avais presque envie de me foutre à genoux là dans l’entrée et de commencer à le pomper directement. Refrénant cette pulsion, je lui dis alors avec un signe de la tête : « Par ici. Assois-toi.» en lui montrant le canapé dans la pièce à côté. Je passai devant pour lui montrer le chemin, mais il me dépassa en me pelotant la fesse d’une de ses grosses mains. Décidément, il était à point. Je pensais discuter un peu avant, pour respecter les formes, mais il s’assit en plein milieu, écartant en grand ses bras sur le dossier et ses jambes devant lui. Il me regardait droit dans les yeux.
— T’attends quoi ? me dit-il toujours en souriant, l’air sûr de l’effet qu’il me faisait.

Tant pis pour la discussion. J’avais hâte de voir à quoi ressemblait sa bite de toute façon. Je me mis à genoux devant lui et face à cette vision qu’il avait l’air d’adorer, il ne put s’empêcher de commenter :
— Allez suce-moi comme t’as jamais sucé mon mignon... Je te le rendrai bien tu verras.
Cette promesse résonna jusque dans mon derrière qui avait envie de se faire ramoner depuis bien trop longtemps et me motiva plus que jamais. J’entrepris alors de retirer sa ceinture sous son regard, et à ouvrir sa braguette. Je pouvais sentir son membre tout en le faisant et il avait l’air aussi imposant que lui... j’abaissais enfin son boxer et il sortit, bien droit, déjà bien dur. Mon cul qu’il avait rapidement malaxé juste avant avait dû l’exciter assez, ou sinon c’était de me voir à genoux devant lui qui lui faisait cet effet-là. En tout cas, elle faisait bien une vingtaine de centimètres au bas mot et surtout elle paraissait bien épaisse, avec de belles grosses couilles rasées de prêt. Parfaites pour lui montrer ce dont j’étais capable. J’avais peur qu’il n’en ait pas assez entre les jambes pour me satisfaire, eh bien visiblement, je n’allais pas être déçu du voyage.
Je commençai mon travail en lui attrapant doucement sa bite et en enfonçant ma bouche dessus, pas trop profond, juste le gland, et en le lui léchant depuis l’intérieur de ma bouche. Je ne le regardais pas et je me concentrais sur mes efforts pour le satisfaire, il gémissait doucement à chaque nouveau mouvement, à chaque petite pression de ma bouche sur son sexe. Bientôt, je sentis sa main se poser sur ma tête et commencer à me caresser doucement. C’était bon de faire une bonne petite gâterie à un beau mec viril comme lui. Pour le remercier de ses caresses, j’ai alors gobé une de ses couilles, la léchant avidement tout en le branlant doucement d’une de mes mains. Mes yeux cherchaient son regard et ils se trouvèrent rapidement. Les hommes adorent voir les yeux des petites putes qui sont à genoux devant eux pour les sucer, et lui ne faisait pas exception à la règle.
— Oh putaaaaain oui qu’est-ce que tu suces bien ma petite chienne...
Il gémissait de plus en plus fort. Sa main m’attrapa le côté de la tête.
— J’adore voir tes grands yeux de salope quand tu fais ça.
Et il me tira à lui tout en se penchant vers moi, me roulant une énorme galoche. Tout ça commençait à vraiment trop m’exciter moi aussi, surtout quand il arrêta de m’embrasser pour doucement, mais fermement renvoyer ma tête vers sa queue. Je continuais à le sucer pendant encore cinq bonnes minutes, retirant mes vêtements un à un comme je le pouvais, alternant entre suçage de ses couilles, léchage de sa bite, branlette de ma main et bisous sur le gland. Je ne voulais pas m’arrêter par peur de le décevoir, et je m’apprêtais à lui montrer mes talents de gorge profonde, quand soudain après un dernier de ses lourds gémissements de plaisir, il repoussa mon visage de son entrejambe et me dit tout en se relevant :
— Allez fais-moi voir ton cul maintenant, sinon je vais exploser. Tu mérites.
Après cette longue pipe, je mourrais d’envie de me faire enculer, et comme il disait, je méritais : j’avais tout donné ou presque. Beaucoup moins timide, après tout ça, je lui dis avec un sourire coquin tout en retirant mon boxer, dernier bout de tissu sur mon corps :
— N’oublie pas que tu m’as dit que tu me le rendras bien... — Oh toi alors tu vas voir... Mets-toi le cul bien en l’air devant moi !
Et il me poussa sur le canapé. Il finit de retirer ses vêtements pendant que je m’installais, la tête et les avant-bras contre l’assise du canapé, à quatre pattes, la croupe bien relevée.
— Hmmmm, dit-il. J’adore déjà ce petit cul.
Et il me le fessa un coup.Cette tape sur le cul me faisait déjà presque jouir, alors je n’imaginais même pas l’effet qu’allait me faire cette queue... J’entendis le bruit d’un lubrifiant qu’on ouvre, et puis je sentis ses doigts commencer à toucher mon trou. Il ne le doigtait pas, juste il le titillait de l’extérieur. Puis je sentis sa bite, enfin son gland plutôt, appuyé contre mon trou, exerçant une légère pression, et ses mains m’agripper par les hanches. Je l’entendis alors me dire :
— Tu as tellement l’air d’être une petite chienne comme j’aime que je parie que tu aimerais bien que je te l’enfonce là direct, sans même te doigter avant, n’est-ce pas ?
Emporté par le désir de me faire détruire le cul et par l’effet que ce mec me faisait, je lui répondis alors :
— Vas-y doucement pour l’enfoncer la première fois, mais oui, vas-y. Après le premier va-et-vient, mon cul est à toi chéri. — Doucement ? Ca ne va pas durer longtemps, chienne.
Et il enfonça sa bite dans mon cul. Il appuya avec son gland sur ma rondelle, y mettant tout son poids, et elle céda. Une vague de plaisir m’envahit quand je sentis son gros gland forer sa place dans mon fondement, suivi d’un autre plaisir mêlé de douleur lorsqu’il s’enfonça en moi, doucement, mais sûrement, jusqu’à ce que le bas de ses couilles frôle les miennes.
— Et vooooilà ! Maintenant, ton cul est à moi.
Il recula alors sa queue jusqu’à être presque de nouveau sorti et commença un lent va-et-vient. Profond. Enfonçant précautionneusement toute la longueur de sa bite, cherchant visiblement à aller le plus loin possible, à coller son bas-ventre le plus possible contre mon cul. Je gémissais doucement à chaque fois qu’il s’enfonçait. C’était divinement bon. Il écartait de plus en plus mon cul à chaque va-et-vient, faisant de plus en plus de place pour que sa bonne bite puisse bien se mouvoir.
— Là, je suis bien, ouiii... là je me sens bien dans p’tit trou... maintenant voyons voir ce que t’es capable d’encaisser mon p’tit enculé.
Et là, il commença immédiatement à me casser le cul en deux, passant de la lenteur qui me faisait ressentir chaque veine de son sexe à des coups de boutoir contre ma prostate en l’espace de quelques secondes. Je commençais à crier puis à hurler de plaisir pendant qu’il me ramonait de plus en plus fort. Il avait bien préparé son coup en y allant lentement, je ne ressentais aucune douleur. Uniquement un putain de plaisir fou rayonnant dans tout mon arrière-train. Je sentais ses mains s’agripper de plus en plus fermement à mes hanches pendant qu’il me ramenait en arrière de ses bras musclés à chaque fois qu’il tapait. Il me traitait de chienne, de salope, de petit Pd et chacun de ses mots décuplait mon plaisir. J’aurais voulu être sa chienne personnelle pour toujours, tellement il me baisait bien.
Bientôt, il m’attrapa les cheveux et redressa mon torse pour poser ma tête contre le dossier plutôt que l’assise du canapé, et reprit son travail de plus belle, me détruisant le cul pendant qu’il avait mes bras en arrière, me tenant par les poignets. Ce simple changement d’angle fit qu’à chaque coup, ses couilles tapaient véritablement contre les miennes cette fois-ci, et c’était jouissif de les sentir pendant qu’il me détruisait. Il me ramona comme ça encore deux minutes, puis entama le sprint final. Je le compris aux grognements de plus en plus virils qu’il faisait derrière moi, et au plaisir de plus en plus violent que je ressentais. J’entrepris alors de commencer à me branler d’une main pour que nous puissions jouir ensemble. C’était tellement bon je gueulais comme jamais. Finalement, il se déchargea en moi en s’enfonçant le plus possible en moi, bourrant mon cul du mieux qu’il pouvait, et moi je jouissais sur le canapé dans un dernier long gémissement.
Jamais on ne m’avait aussi bien baisé de ma vie, et je comptais bien réitérer l’expérience. Nous discutâmes quelques minutes après ça puis il partit, non sans me dire, pour mon plus grand plaisir :— A demain soir pour la soirée p’tit cul !
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