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Le Gros Paquet

Chapitre 1

Mon Brad Pitt

Gay
Je ne vais pas vous mentir. Je ne suis pas le jeune homme que vous croisez dans nombre d’histoires que vous pouvez lire sur ce site. Le genre tombé de l’Olympe, jeune Dieu en puissance, muni d’un sexe aux dimensions si époustouflantes que les femmes ou les hommes qui se retrouveraient nez à nez avec ne pourraient s’empêcher d’en devenir l’esclave sexuel. J’aimerais, pourtant. Oh oui...

Combien de mes fantasmes sont basés là dessus, en lisant vos histoires : ma mère magnifique qui croiserait mon corps nu au sortir de la salle de bains, et que je retrouverais le soir même, dans le secret de la nuit, en train de se masturber en susurrant mon nom sous ses draps moites... La plus belle gonzesse de la classe qui, en pleine interro de philosophie, ouvrirait ma braguette pour y glisser sa main en me laissant enfoncer mes griffes dans sa cuisse généreuse... Ma coiffeuse, aux seins si imposants, qui juste en passant ses doigts agiles dans mes cheveux, rêverait de contourner le lavabo pour s’asseoir à califourchon sur moi et m’allaiter... Combien de fantasmes, je ne vous raconte pas !

Mais c’est un fait. Je ne suis pas cet étalon à la beauté foudroyante. Je ne suis que moi, Joachim, lycéen redoublant - en plus ! -, bloqué dans un corps banal, dans une vie banale, dans une ville de banlieue... banale. Par chance, je ne suis pas vilain non plus. Je suis mignon. Mais, à mon âge, mignon est un peu triste, quand on s’apprête à devenir un homme. C’est comme si mon physique "mignon" me retenait cantonné à l’adolescence. Comme si je ne pouvais être plus, comme si je ne pouvais changer, évoluer. Comme si j’étais immuable. Quelle horreur ce "mignon", que j’entends sortir à la fois de la bouche de ma grand-mère que de celui des filles du lycée avec qui je n’aurais jamais aucune chance. De même pour mon corps, que j’ai un mal fou à développer. Séances de pompes chaque soir, trajets aller-retour jusqu’au lycée à vélo, et depuis peu, natation. Mais le changement est lent, si lent. Peut-être devrais-je m’aider de ces protéines qu’ils vendent sous forme de poudre ? Ça se tente.
Mais ça ne modifiera pas mon sexe. Comme je suis jaloux - et envieux - en lisant vos descriptions d’hommes au sexe volumineux, gonflé au point où le gland violacé turgescent ressemble à un énorme champignon, où les verges sont couvertes de veines si alléchantes, si longues et épaisses qu’elles semblent bonnes à tout sauf à baiser ! Mais je vois bien les proportions sur Internet, dans le porno, tout est démesurément gros, long, large, épais, savoureux... Ça donne envie, ça, c’est sûr ! Mais est-ce la norme ? J’essaye de me rassurer, mon sexe de seize centimètres n’est pas ridicule, il est même joli, bien dessiné, la peau lisse, le gland bien détaché, pas de boutons, pas la peau fripée d’un papy avant l’heure. Mais tout de même, il m’a l’air tout petit, ce zizi.

Enfin bon, je me plains pour des banalités, car pour avoir connu des pénis, et pour avoir présenté le mien à d’autres, je sais que je ne suis pas à plaindre. Mais l’herbe est toujours plus verte chez le voisin qui a une grosse queue - expression de mon cru. Pour en finir avec cette présentation qui n’en finit plus, et que vous puissiez avoir une image mentale de moi, mon passeport indique 1m77 de hauteur, 65 kilos sur la balance (eh oui, du poids à prendre !), expose une photo de moi l’air sérieux, moustache et barbe naissantes, cheveux bruns ébouriffés dans un style hautement aléatoire, de jolis yeux verts ("miiiignons"), une bouche un peu féminine, un nez légèrement en trompette, une carrure encore à définir, et de petites fesses, elles aussi, un peu féminines. Cet aspect, loin de me déplaire, je l’entretiens : il colle avec mon côté "sensible" avec lequel on me caractérise si facilement. Me voilà donc, Joachim, et je suis enchanté de vous rencontrer.
Maintenant, c’est l’heure des contes. Alors, mettez-vous à l’aise, que je vous raconte cette fois où la natation est devenue si intéressante...
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Les vacances de Noël approchaient et il devenait chaque jour de plus en plus difficile de rester concentré en cours. Je venais de redoubler, cette seconde année de terminale était déterminante pour moi, j’en avais conscience, mais les vacances de Noël, ça signifiait tant de belles choses, d’euphorie, de temps libre avec les potes, que j’en étais fébrilement impatient. La natation, que j’avais commencée à la fin de l’été, n’était toujours pas devenue mon sport préféré - et ne le serait jamais. J’aimais y aller, plonger dans l’eau froide était grisant, mais faire des aller-retour pendant une heure avait quelque chose d’ennuyeux. Mais en rentrant le soir, je pouvais rapidement voir les progrès : mes muscles étaient tous bien gonflés, et même si l’effet était de courte durée, cela suffisait à me satisfaire et me motiver pour la prochaine séance.
A cette époque, j’habitais tout naturellement chez mes parents - qui malgré mon redoublement, m’avaient payé le permis de conduire, et mis la vieille Peugeot toute rouillée à mon nom. Et j’en étais foutrement reconnaissant, car j’étais sur ce point-là indépendant - valeur primordiale à cet âge. J’allais donc deux ou trois fois par semaine à la piscine, située dans une plus grande ville, à une dizaine de minutes de chez moi - plus grande, mais tout de même petite. Mais la piscine était convenable. Le bassin n’était et ne serait jamais olympique, il resterait à jamais ce petit bassin de 25 mètres de long (d’où l’ennui à faire tant d’aller-retour) - est-ce que lui aussi était condamné à rester "petit" et "mignon" ? La piscine offrait cependant un hammam et un jacuzzi, vraiment agréables surtout en cette période si froooooide. Après réflexion, je crois que j’appréciais plus le lieu que la discipline.
En me renseignant, j’appris que cette piscine avait été la grande réussite du maire socialiste en fonction à la fin des années 1990. Visionnaire et très porté sur les sports et la culture, il avait longtemps bataillé pour faire ériger cette piscine à l’architecte futuriste et à l’ambiance si particulière : envoutante, et rassurante comme un grand cocon de soie bleue, de forme circulaire, bien bombée comme un gros sein de quinze mètres de hauteur, où l’odeur de chlore était toujours "coupée" à un parfum de myrtille - un délire ! En fait, j’avais hâte de passer une heure à me vider la tête en ce lieu si singulier, où tout semblait possible, car personne ne s’y sentait vulnérable.
Nous étions donc vers la fin novembre, et un nouveau nageur fit son apparition dans mon quotidien aquatique. La première fois, c’était un jeudi, il semblait perdu, mal à l’aise. Je voyais bien que le type se sentait observé, jaugé. Le charme du lieu n’avait pas encore opéré sur lui - peut-être n’aimait-il pas les myrtilles...

Il n’était d’ailleurs resté qu’une vingtaine de minutes ce soir-là. Dommage, car le gars était agréable à regarder - je m’en fis la réflexion le soir quand, ne trouvant pas le sommeil, je finis sur Internet à regarder du porno et en repensant à cet inconnu... - chose qui m’était déjà arrivée : bien que n’ayant jamais considéré comme possible de coucher avec un mec, j’avais conscience que le sexe masculin m’attirait. Cet homme semblait avoir une cinquantaine d’années, les cheveux et la barbe poivre et sel - très sexy -, une vague ressemblance avec Brad Pitt, et une belle carrure. Pas un bodybuildeur, non, mais la carrure était là. Des épaules bien dessinées, un torse bombé (un souvenir de pectoraux massifs), et de bonnes cuisses aux muscles qui ne demandaient qu’à saillir de nouveau. Le type avait dû être un sacré gaillard dans sa jeunesse, et son corps en conservait un souvenir très agréable.
Quoi qu’il en soit, il reparut, contre toutes (mes) attentes, quelques jours après, beaucoup plus à l’aise, et cette fois, il fit une séance entière. Au bout de deux semaines - il faut dire que nous n’étions pas nombreux à venir en soirée - il m’avait lui aussi identifié comme un nageur hebdomadaire et me saluait de la tête, au début avec prudence, puis de façon plus décontractée, jusqu’à ce jour où j’eus droit à un clin d’œil et à son beau sourire. Oui, cet homme me plaisait physiquement, mais ce sourire, appuyé du clin d’œil, fit opérer en moi un changement radical de paradigme. Toute la soirée, je ne pus m’empêcher de le regarder à la dérobée, allant même jusqu’à nager en apnée pour apercevoir son corps en mouvement, ses jambes puissantes qui le propulsaient avec aisance dans l’eau. Quand il remontait, c’était tous ses muscles dorsaux, bandés par l’effort, que je détaillais, une lèvre meurtrie entre mes dents affamées...
Je tentais de me raisonner, car vraiment je le matais comme un charognard peut mater une belle femme dans le train, c’est-à-dire à l’excès et sans respect, mais la raison était bien faible face à ce corps qui m’attirait. Et puis il me vit...
BAM ! Je regardais ses fesses quand il se retourna. J’étais mort de honte, je sentais que j’étais rouge de malaise, et décidais de sauter à l’eau, enchaînant les longueurs comme un imbécile...Sous l’eau, j’étais comme protégé. Je ne pouvais me résoudre à remonter à la surface et affronter son regard. Je nageais jusqu’à ce que mes muscles me brûlent sous la peau, sous l’effort crétin que j’entretenais pour éviter... éviter quoi ? J’avais peur que ce type prenne mal le fait qu’un jeune homme le mate ouvertement, en public ? Oui, certainement, je craignais ce genre de réaction vive et violente. Pourtant il fallut que je remonte, et surprise, il n’était plus là. Il avait déserté. Je ne me sentais plus honteux, mais débile. Et surtout déboussolé...
Je n’avais plus de souffle, et tournais sur moi-même dans l’eau pour voir si le type était bien parti. Une belle ronde dans l’eau, quel spectacle pathétique ! Quoi qu’il en soit, ça m’avait pompé mes dernières forces, aussi j’allai rejoindre les douches avec appréhension... au ralenti, épiant les angles... mais non, le gars était bel et bien parti. J’étais pris d’une sorte de légers tremblements aux jambes, aussi décidai-je de filer directement dans le vestiaire pour me rhabiller et rentrer chez moi. Confus, et m’en voulant un peu de mon attitude puérile, je m’endormis en colère contre moi.
Deux jours plus tard, à la sortie du lycée, j’appréhendais énormément à l’idée de retourner à la piscine. Et si mon Brad Pitt se pointait, que me dirait-il ? J’étais un peu mort de trouille à l’idée d’affronter cette responsabilité - la vie d’adulte qui arrive -, d’être sermonné, d’être engueulé, voire pire. Je pensais à tout ça en arrivant sur le parking où était garée ma vieille Peugeot - c’était une journée terriblement froide et je n’avais pu me convaincre de prendre mon vélo - et là, derrière le pare-brise de la voiture devant laquelle je passais, mon Brad Pitt. Avec à ses côtés, ce qui semblait être sa fille, Elena, une nana de ma classe, qui me fit coucou alors que je devais avoir l’air pétrifié de surprise et de peur. Une gueule de zombie quoi. Son léger froncement de sourcils me ramena à la réalité, et je réussis - du moins, je crois - à lui sourire en retour, levant ma main en signe amical. Puis je passai mon regard à son père, qui souriait - me souriait - également.
Et avant que je ne quitte son champ de vision, il le fit. Son clin d’œil. BOUM. Mon petit cœur craqua violemment. Plus qu’une seule envie dans mon cerveau : aller à la piscine, retrouver mon Brad Pitt.

Évidemment, en arrivant seulement quinze minutes après, il n’était pas là. Seul sur le parking, je redescendis d’un seul coup. C’était stupide de ma part de venir à cette heure-ci, lui ne viendrait pas avant deux heures. Douche froide salutaire. Je repris donc la route pour aller à Décathlon, et décidai de m’acheter un nouveau slip, un nouveau bonnet, de nouvelles tongs, et une nouvelle serviette. Achats totalement compulsifs que je regretterais peu de temps après, mais ça m’occupa près d’une heure. Il restait du temps à tuer, aussi me fis-je une raison et décidai de rentrer dîner. Tant pis, j’irais à la piscine un peu plus tard que d’habitude. A table, je n’étais bon à rien. Mes parents me parlaient, mais je n’avais aucune envie de leur répondre. Aussi étais-je cassant, froid, distant.
Je tentais de les rassurer, disant simplement que j’avais eu une mauvaise journée, qu’un ami m’avait froissé, rien de bien méchant, mais que j’étais un peu grincheux. "La natation va arranger tout ça !" dis-je sur un ton enjoué, et quittant la table pour enfin rejoindre mon Brad Pitt.
De nouveau, cet état d’excitation me reprit, et dix minutes plus tard, je garai ma voiture sur le parking, déboulant pour ainsi dire dans le hall de la piscine, montrant ma carte de membre en vitesse, courant au vestiaire pour me changer, et j’y étais, enfin, le moment décisif. Un rapide coup d’œil me suffit pour apercevoir mon Brad Pitt en train de faire sa longueur. Après avoir fait son demi-tour arrivé en face du mur, il leva la tête et me vit. Sourire aux lèvres, il se figea, puis fit demi-tour pour aller à l’échelle la plus proche. Et là, la plus belle surprise de l’année...
Mon Brad Pitt, lui aussi, avait semble-t-il fait des nouveaux achats, car à la place de son habituel short de bain, il portait ce soir un slip de bain...Mieux qu’un slip de bain, pardon, un véritable moule-bite, pas en textile, mais en véritable latex ! Putain de merde. Le mec assume tellement, qu’il porte un moule-bite en latex à la piscine. Et le voilà qui approchait de moi, souriant, fier, triomphant, beau comme un Dieu - ces quelques semaines avaient suffi à redonner du tonus à son corps - dans son moule-bite violet et bleu fluo, couvrant comme il pouvait son gros paquet, je n’en doutais pas, et il était là, à deux pas de moi, me souriant, et juste avant de me dépasser par la droite, sans aucun contrôle sur mon corps, sans le vouloir, ma main se décala pour qu’elle rencontre son paquet à son passage...
Un éclair, un simple toucher, électrisant et glaçant en même temps...Juste le temps pour ma main, courbée en une sorte de coupe, d’épouser parfaitement son paquet, sa belle bosse, son slip pimpant bien rempli de bite... de le palper et de sentir le latex glisser sur la paume de ma main, de mes doigts...
Une sensation qui me fit perdre pied m’envoya sur la Lune. D’un coup, le monde était plus beau, comme si j’avais un filtre Instagram devant les yeux. Je sentais chaque battement de mon cœur, tiraillé entre l’envoi de sang épais à mon sexe et de sang clair à mon cerveau. J’étais à un tournant.

Mon Brad Pitt ne se retourna pas, il continua jusqu’à la douche. Rapidement, instinctivement, je décidai de le suivre. Il entra dans le hammam et laissa la porte ouverte, comme une invitation...J’y entrai... refermai la porte...A L’intérieur, la chaleur était forte, mais pas autant que celle qui brûlait ma main et mon cerveau, ma bouche et ma langue...Il était là, comme un fantôme, un ectoplasme, avec son paquet fluo qui avait doublé de volume, seul repère chromatique dans cette brume d’humidité chaude...Et d’instinct, je lui sautai dessus, sur sa bouche, pour l’embrasser passionnément, ma main qui de nouveau venait se lover sur son gros paquet, trop pressée de retrouver le contact de son entrejambe, de sentir que je le faisais bander, que je le mettais moi aussi dans un état second...
Le baiser fut torride, rapidement sauvage, indéniablement intense et savoureux, ma langue propulsée dans sa bouche, dans sa gorge, lui la repoussant pour m’étouffer et prendre le dessus - sensation divine d’être soumis au désir de l’autre -, sa main se battant dans mes cheveux, l’autre glissant dangereusement sur la courbe de ma hanche pour venir enfin rencontrer l’une de mes fesses, ronde et bombée, qu’il eut l’air de beaucoup apprécier, car sa main devint rapidement hors de contrôle sur mon cul : de lourdes caresses entrecoupées de pressions et de malaxations sans équivoques, traduisant son appétit... et moi, de même, affamé, en transe totale, rendu fou par sa bouche et ses mains sur mon corps, lui tâtant ses bras puissants, son cou solide, je tombai à ses genoux, nez à nez avec son énorme paquet - qui ne pouvait définitivement plus contenir son gros paquet, si sexy moulé dans ce latex violet et bleu fluo - sur lequel ma bouche commençait déjà à se frotter avidement...

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Si ce premier chapitre, un peu long pour poser le contexte, vous a plu, alors n’hésitez pas à me demander la deuxième partie (beaucoup plus chaude évidemment). N’hésitez pas à me faire part de toutes vos remarques !
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