La belle m’emmène hors du local. Même perchée sur ses talons et supportant tout mon poids, sa démarche reste gracieuse. Heureusement que les murs de la propriété sont hauts ! La rumeur aurait vite fait de se propager à tout le village si quelqu’un tombe sur la scène si particulière d’une géante noire qui porte contre elle le corps nu d’un petit minet blond ! Mes mains reposent sur ses épaules musclées et striées par l’effort. Je les caresse et sa peau est si douce ! Elle entre dans la cuisine et me pose sur le marbre de l’îlot central dont la froideur contraste avec la chaleur de ses mains. C’est ce qu’elle appelle un endroit approprié ? — Je croyais que l’on allait faire ça dans un lit ?— Pourquoi pas ici ? Ton petit cul est juste à la bonne hauteur. Je sais ce qu’il en est !— Vous avez déjà fait ça ici ?— Bien sûr ! Je crois que l’on a tourné des scènes dans à peu près toutes les pièces de la maison, même dans le local piscine. J’aurais pu te prendre là-bas sur la pompe, ça t’aurait donné de belles vibrations en plus ! Mais il faisait beaucoup trop chaud, on sera mieux ici.— Vous êtes... actrice porno ?— Oui ! Madame Sasha Stroke et ses 23 centimètres en personne !
Je ne me suis jamais intéressé au cinéma porno transsexuel, mais Mme Stroke semble assez fière de la place qu’elle tient dans ce monde-là. — 23 centimètres ? Vous parlez bien de la taille de votre sexe, Madame ?— Oui ! Ce bijou a fait ma fortune. Comment crois-tu que je me suis payé une telle propriété ? Et puis appelle-moi Sasha s’il te plaît.
Comme tous les ados, j’avais déjà mesuré mon sexe, et il dépassait difficilement les 14 centimètres en érection ! Celui de la belle avait bien 8 centimètres de plus que le mien, sans parler de sa largeur impressionnante. — Que dois-je faire ?— Rien, si ce n’est te détendre et me laisser faire !
Elle se tient debout devant moi, avec son sexe dressé vers le ciel, dont la base est juste à hauteur pour me sodomiser. Elle se met à caresser mon corps de ses mains musclées mais douces, d’abord mes épaules, puis mon buste, insistant sur mes petits tétons, puis ma taille si fine qu’elle peut presque l’enserrer entièrement, puis mes cuisses d’araignée. — Tu es si fin, si mignon... tu es majeur au moins ?
— Oui, Mad..., pardon, Sasha.— Tu as si peu de poils ! Avec ce physique de minet, tu pourrais avoir beaucoup de succès comme acteur. Tu y as déjà pensé ?— Comme acteur porno ? Pas vraiment...— Assez parlé, passons à l’action. Tu n’as pas envie de me toucher ?
Bien sûr que si, j’en ai envie ! Je n’ai jamais vu un corps qui me trouble autant. Je pose d’abord mes mains sur ses tablettes de chocolat et j’ai l’impression de toucher de la tôle ondulée. Mes mains s’égarent ensuite sur ses hanches bien dessinées, puis descendent sur ses larges fesses musclées, dures comme de l’acier. Je m’extasie devant ce corps si ferme, sculpté par des heures d’entraînement. La belle jubile de la fascination qu’elle me procure. — Je vois que mes muscles te plaisent. Il faut garder la forme et être puissante pour faire ce métier, surtout quand on est dans le créneau de la domination comme moi. Tu sais que je suis la reine du “lift and fuck” ?
Je ne vois pas du tout à quoi elle fait référence, moi qui suis une bille en anglais et qui me suis limité à la position du missionnaire jusqu’à présent. Elle comprend à mes yeux écarquillés que cette position m’est inconnue ! — Ne t’inquiète pas, je vais te montrer. Avec ton poids plume, tu as le gabarit parfait pour cette position. Continue à m’explorer s’il te plaît, j’aime le contact de tes petites mains sur ma peau.
Je laisse alors remonter mes mains dans son dos. Il est tout aussi ferme que le reste, puis je viens juste effleurer sa poitrine artificielle et ses tétons. — Tu as peur de les toucher ? Vas-y ! Fais-toi plaisir !
Je saisis ses énormes seins à pleines mains. La sensation est différente de celle que j’ai quand je palpe les poitrines parfois opulentes des filles d’agriculteurs que je baise après les bals. C’est un peu plus ferme, mais tout aussi agréable. Mes mains se déplacent ensuite sur le sceptre de Sasha. Je suis fébrile à l’idée de l’avoir entre mes mains, comme si cet acte allait causer quelque chose d’irréversible en moi. Et si j’aimais ça ? Et si je n’aimais plus rien d’autre ? Comme si la géante percevait mon conflit mental, elle m’aiguille sur son chemin. — Vas-y, prends-le, il n’attend que ça !
Je laisse une de mes mains glisser sur le chibre titanesque de la belle. C’est une sensation si étrange ! Je n’ai jamais touché un autre pénis que le mien et c’est si différent de ce à quoi je m’attendais, peut-être parce qu’il est vraiment monstrueux ? Alors que ma main fait largement le tour de mon sexe, il m’en faudrait presque une deuxième pour faire le tour de celui-ci ! Il est chaud, musculeux. C’est comme toucher un boa, sauf qu’il est brûlant. Sasha frémit de plaisir sous mes caresses, même si elles sont maladroites. Sa main gauche passe derrière ma tête pour lui intimer d’une légère pression, l’ordre de se pencher sur l’organe reptilien. — Avec cette chaleur, tu n’as pas envie d’une bonne glace au chocolat ?— Je ne sais pas ? Je n’ai jamais fait ça.— ce n’est pas compliqué. Contente-toi de le lécher pour l’instant.
Telles les allumeuses blondes et vulgaires que j’apprécie particulièrement dans les films pornos, je me retrouve à goûter à ce monumental pénis. La belle a une hygiène irréprochable et il sent bon. Il est un peu salé, mais son goût est agréable. Je saisis sa base d’une main et le maintiens en place pour l’avaler aussi profondément que je le peux. Je dois ouvrir ma bouche si grand pour que le monstre y entre, que l’articulation de mes mâchoires est au bord de la rupture. J’abaisse ma tête et sens la bête glisser dans ma gorge. Je contrôle autant que possible mon réflexe de déglutition, jusqu’à ce que je sente mon nez s’écraser sur les abdominaux massifs de la géante. J’ai réussi à l’avaler entièrement !— Et bien ! Pour un novice, je ne pensais pas que tu l’avales aussi facilement ! Tu devais sûrement en avoir très envie ? Petite salope !
