Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 70 J'aime
  • 2 Commentaires

La grosse surprise de Mme Stroke

Chapitre 8

SM / Fétichisme
Je passe mes maigres bras autour de son cou musculeux et l’embrasse à pleine bouche. Je lui fais part de l’effet qu’elle me fait.

— Tu es si belle habillée comme ça ! Tu rayonnes de féminité et de puissance !— Je suis même sûre que ta rondelle a frissonné quand tu m’as vu avec ma tronçonneuse ?— Oh que oui ! Et aussi quand je t’ai vu luisante de sueur, juste vêtue de ta brassière ! Les muscles gonflés.— C’est bien ma belle. Tu prends le bon chemin, mais laisse moi vérifier quelque chose.

Alors que tout mon poids repose sur son avant-bras, elle me soulève pour m’envoyer à plat ventre sur sur son épaule si large que ma taille n’en déborde même pas. Elle relève ma robe pour exposer mon petit cul recouvert de dentelles blanches et c’est là que je me souviens de sa recommandation…

— Tu n’as pas changé de culotte petite souillon !— Je suis désolé ! J’étais tellement excité de pouvoir à nouveau porter cette robe que j’ai oublié !— Je suis désolé, mais l’hygiène est une règle de base dans le porno ! Crois tu que tu vas pouvoir y faire carrière avec un slip sale sur ton petit cul, aussi mignon soit-il ! Je dois te punir pour que ça ne se produise plus !

Je ne me débats même pas, sachant que la géante est bien trop forte pour que je ne m’échappe. De la main qui se trouve du côté de l’épaule sur laquelle je repose, elle saisit mes deux jambes à hauteur des genoux. Elle se sert ensuite de l’autre pour me mettre cul nu en baissant ma culotte. Je n’ai pas de doute sur ce qui va arriver et tente de l’en dissuader, même si j’en ai très envie.

— Non, Sasha, tes mains sont si lourdes ! Tu va me faire trop mal !

A peine ma phrase terminée, sa grosse main s’abat sur mon petit séant et une douleur cuisante m’arrache des larmes de douleur.

— Tu peux pleurer, je sais que tu apprécies d’être humilié ainsi. Petit et faible, allongé cul nu sur ma puissante épaule, pendant que ma lourde main punit tes adorables petites fesses.

Sa main tombe une nouvelle fois, puis une autre. Je souris tout en pleurant, si excité d’être puni de cette manière par ma déesse.

— ça ira pour cette fois.

Elle se met à marcher et à grimper les escaliers, toujours en me portant sur son épaule. Arrivée dans la chambre, elle me jette sur le lit et je tombe sur le dos. Sasha se tient devant moi en haletant de désir. Elle enlève ses grosses chaussures de sécurité et laisse la combinaison tomber au sol. Son sexe hors gabarit s’est déjà débarrassé du string et se dresse triomphalement. Elle se met à ramper à genoux sur le lit. J’ai du mal à détacher mon regard des muscles massifs de ses cuisses qui roulent sous sa peau de bronze. Elle avance tel un char d’assaut dont le canon a pour cible mon petit cul. Elle ne prend même pas la peine d’arriver jusqu’à moi et dès que mes chevilles sont accessibles à ses larges mains, elle les saisit pour me tirer vers elle et me mettre à portée de tir. Sa puissante traction relève ma robe jusqu’à ma poitrine, dévoilant mon petit sexe en érection qui trahit mon haut niveau d’excitation.

— ça t’excite de te faire traiter comme ça, petite chienne ! Ton clito est tout dur. Tu n’es revenue que pour sentir ma grosse bite dans ta petite chatte !

Elle n’avait encore jamais qualifié mon anus ainsi et comme à chaque fois qu’elle frappe ma virilité dont il ne reste plus grand chose, une décharge d’adrénaline me donne de vibrants frissons de plaisir.

— Oui Maîtresse. Je brûle de te sentir en moi. Fais moi l’amour comme un bûcheron !

Elle tient toujours fermement mes chevilles dans ses mains et relève brutalement mes jambes pour me mettre cul par dessus tête. Une fois dans cette position, ses mains entourent ma taille et me soulève pour porter ma rondelle à hauteur de sa bouche. Tête en bas, ma robe qui subit la gravité finit par dévoiler mon maigre torse dont le soutien gorge sublime la féminité latente. Elle me tient en l’air par la seule force de ses bras et laisse sa grosse langue pénétrer mon anus. A chacune de ses habiles sollicitations, un spasme de plaisir secoue mon petit corps. A chaque coup de langue, je m’ouvre un peu plus. Elle sait exactement où elle doit aller, et il ne faut pas plus de quelques minutes pour je me jouisse dessus. Mon sperme clair et fluide comme de l’eau ruisselle sur mon ventre pendant que je gémis et couine, pour le plus grand bonheur de l’amazone qui me tient toujours à sa merci.

— Vous êtes tous pareils les petits blancs. On vous lèche votre petite chatte, et vous vous pissez dans l’oeil dans la minute qui suit !

Même si elle jubile de sa puissance et de la facilité avec laquelle elle me manipule, elle me dépose délicatement sur le lit pour ne pas rompre mon cou si fin. Mon corps est flasque de son état d’extase et je reste les jambes écartées face à la belle dont le sexe massif est plus en forme que jamais. Elle se penche alors pour aller chercher un petit tube de lubrifiant dans le tiroir de sa table de nuit et en extirpe une noix sur le bout de ses doigts. Elle s’en enduit copieusement le chibre et presse à nouveau le tube pour me tartiner abondamment l’anus. Je jette ma tête en arrière du plaisir de sentir cette main si puissante consciencieusement préparer mon fondement à l’assaut de sa monstrueuse bite. Elle apprécie également de sentir mon petit cul sous ses gros doigts. Elle me positionne ensuite comme hier, les genoux à côté des oreilles et m’enfile comme la dernière des putains. Elle lance les hostilités et je n’offre aucune résistance. Elle avait de toutes façons gagné la guerre avant de la déclarer ! Je la sens à nouveau en moi et vu la brutalité de ses mouvements, son but cette fois est de vider ses grosses couilles au plus vite ! La fréquence de ses coups de bélier est inhumaine, et même bien lubrifié, la douleur est cuisante. J’ai l’impression que ma rondelle va s’enflammer, quand sa lance à incendie inonde mon intérieur de son sperme opaque et visqueux. Pendant une fraction de seconde, je me demande même si elle ne va pas finir par m’engrosser tant elle est puissante ! La géante ne s’attarde pas, et à peine son orgasme terminé, elle est déjà sur pieds, enfile sa combinaison et ses chaussures, et repart jouer de la tronçonneuse. Je me sens comme une petite pute dans laquelle un puissant bûcheron se serait soulagé. Elle a une endurance impressionnante, comme si rien ne pouvait la fatiguer. Alors que j’ai été passif pendant toute la durées de l’acte, je peine à reprendre mon souffle. Le miroir au plafond me renvoie l’image d’une petite blonde avec une robe remontée jusqu’à la poitrine, allongée sur le dos les jambes écartées, entre lesquelles une flaque de sperme s’est formée. Je vais devoir changer les draps...
Diffuse en direct !
Regarder son live