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La grosse surprise de Mme Stroke

Chapitre 11

SM / Fétichisme
Elle me relâche, et tout en me mettant à quatre pattes pour ramasser les verres, je lui lance des oeillades sensuelles. Je la sens matter mon petit cul. Le short trop grand laisse la voir la culotte de manière vulgairement sensuelle, et en forçant le geste, je me dandine et me tortille pour atteindre tous les bouts de verre. Elle apprécie et profite du spectacle de mon petit corps qui ondule à ses pieds. Je jette un coup d’oeil en arrière et vois que sa bite est à nouveau en pleine forme. Je ne suis pas sûr de pouvoir résister à un nouvel assaut de la géante et fait comme si je n’avais rien vu. Elle sirote sa bière qui ne tarde pas à lui monter à la tête.

— C’est ça petit chienne. Tu tortilles encore du cul à mes pieds, habillés comme une strip-teaseuse, et tu fais celle qui ne veut plus y toucher !

Elle pose sa bière, se lève et en un pas, se retrouve accroupie derrière moi.

— Sasha, non, s’il vous plait, j’ai encore mal de ce matin !— Tais toi ! Il faut t’y habituer !

Mes protestations n’ont pas d’effet et elle baisse d’un seul et même mouvement le short et ma culotte sur mes genoux. Je pose au sol mes mains qui tiennent encore la pelle et la balayette et attend patiemment que la géante me pénètre. Elle fait pour l’instant glisser sa lourde bite contre ma raie, puis brutalement, la pose contre ma rondelle qui s’ouvre avec facilité, pour mon plus grand étonnement.

— Tu vois petit lopette. Tu finis par t’y habituer et devenir un vrai garage à bite !

Le pilonnage dont elle est si familière commence, et elle pose ses mains sur mes hanches pour me percuter encore plus violemment. Elle sait qu’après déjà deux rapports, son orgasme sera plus long à venir, mais qu’à cela ne tienne, elle augmente la fréquence et la force des coups de pistons tant et si bien que j’ai l’impression qu’un autobus me percute trois fois par seconde ! Mes mains viennent machinalement se placer sur les siennes, comme si je pouvais mieux anticiper les coups à leur contact. Je suis étonné, mais son phallus glisse agréablement et je prends beaucoup de plaisir à être malmené ainsi. Je commence même à gémir de plaisir et à encourager le gorille en rut qui me prend pour sa petite guenon.

— Oui, vas y. Je veux te sentir encore plus fort !

Encouragée par mes cris, une des mains de l’amazone attrape une touffe de mes cheveux, et me tire en arrière, comme pour mieux m’empaler sur son pieux. Une fulgurance saugrenue me vient à l’esprit et et je ne peux retenir un fou rire. Ma réaction interpelle la bucheronne.

— ça te faire qu’on te tire par les cheveux !

Je tente de lui répondre pendant qu’elle continue à me malmener.

— Non Maîtresse, c’est juste la situation dans laquelle je me trouve. Je ne pensais pas que je serai passif pour la première levrette de ma vie !— C’est ta destinée de petite trainée !

Elle accélère le rythme et je suis envahi par des spasmes de plaisir. Je couine d’une voix si aiguë que je ne me reconnais même pas, pendant que la panthère rugit de plaisir en se vidant une nouvelle fois en moi. Nous jouissons à l’unisson.

— Tu as encore bien pris ton pied ma salope !

Elle est essoufflée pour une fois. Toujours soutenu par ses mains, mon corps oscille au rythme du sien. Elle se retire et se relève. De long filets de sperme relient encore ma chatte à son canon. Ils finissent par se briser sous leur poids. Je tente de reprendre mes esprits, toujours à quatre pattes, mon short et mon slip sur les genoux, la chatte ouverte et dilatée, dont s’écoule encore du sperme de l’intarissable amazone.

— Tu vas me faire gagner un pognon monstre ! Je t’imagine parfaitement dans cette position en double page de mon magazine. Tu es une future vedette !

Je l’admire en train d’étirer sa silhouette athlétique sous le soleil implacable.

— Cette fois j’en ai marre de casser du bois ! Je vais me baigner.

Elle se met à courir, puissante et véloce, puis plonge nue dans la piscine.

— Vient me rejoindre, je t’y autorise.

Je défie quiconque de se relever élégamment quand on se retrouve à quatre pattes avec ses sous-vêtements qui vous entravent les genoux ! Surtout après s’être fait passer dessus par Mme Stroke ! J’y parviens difficilement et une fois debout. J’enlève le peu de vêtement qu’il me reste pour sauter dans la piscine. La belle nage jusqu’à moi et m’enlace. Comme par réflexe, mes jambes viennent autour de sa taille et mes bras autour de son cou, pendant qu’elle me tient fermement contre son opulente poitrine. Elle m’embrasse à pleine bouche comme si elle voulait me manger. Je sens son phallus infatigable taper contre ma raie, mais elle est rassasiée de sexe et n’aspire qu’à se reposer en ce brûlant début d’après midi. Nous passons le reste de la journée à barboter. Je m’échappe à 17H pour remettre de l’ordre dans la maison et rentrer sur mon vélo, sans pouvoir poser mes petites fesses sur la selle, tant ma maîtresse les a maltraitées...

  Le journées se succèdent et ne se ressemblent pas. Je passe mon temps entre le ménage, la lessive, et surtout ma maîtresse qui est insatiable quand il s’agit de profiter de mes petites fesses. Son imagination est sans limite: dans la piscine, sur la machine à laver. Elle m’a même emmené en voiture dans un petit chemin pour me prendre sur le siège arrière. J’apprécie de plus en plus d’être son jouet, sa poupée gonflable. Depuis que je fais attention à ce que je mange, j’ai perdu du poids et frôle les 48kg. Je suis plus mince que jamais et ça excite énormément Sasha qui jubile de pouvoir me porter et me soulever facilement. Elle m’a même fait un anulingus en me tenant en l’air à bout de bras. L’idée lui est venue en regardant sous ma jupe quand je montais les escaliers. Ma mère est un peu surprise de ma perte de poids mais elle me sent si heureux et épanoui que ça ne l’inquiète pas. Sasha m’a initié au maquillage et au monde de la mode. Elle m’a même emmené à Marseille pour faire du shopping, et bien sûr, m’a sodomisé dans une cabine d’essayage tellement je l’excitais avec mes nouveaux vêtements. Je n’étais pas fier de me retrouver parmis tous ces inconnus habillé en femme, je n’osais parler ! Les gens ont dû croire que j’étais muette. Je me suis fais draguer, on m’a mis des mains aux fesses. Je me suis senti si belle et désirable ! Peut-être même un peu trop au goût de Sasha qui est très jalouse. Quelques fessées ont su calmer mes ardeurs…

   Sasha reste toutefois très mystérieuse. Je brûle tellement de la connaître plus profondément !
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