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Le Grosson sur la mer du Caribe

Chapitre 1

Divers
Marise Solera comprend donc pourquoi son mariage avec premier ministre de Cuba posait un tel problème... En fait, la mort récente de son père qui devait lui être au courant de la situation, lui a fourni l?occasion idéale par la fuite au monde exterior. Elle n?a simplement jamais perdonné à ton père de s?être opposé à sa volonté de pas marier avec le premier ministre. Ainsi a-t-elle appris l?anglais avec une vieille dame veuve d?un ambassadeur en Cuba. Elle rêvait en vivre aux Etat-Unis. Elle se demande :
— Il faut maintenant prevoir par quel moyen je pourrais regagner les Etat-Unis. Je vais se renseigner pour savoir quels bateux doient prochainement faire escale dans ce petit port.Enfin, arivant au port, Marise voit sur le quai un cargo que est justement sur le point de partir. Elle rencontre le reponsable et contrôleur du port.
— S?il vous plait ! Je sais que vous êtes cubain, tout comme moi ; c?est pourquoi je besoin d?une persone qui puisse venir à mon secour...supplie Marise — S?il vous faut de l?aide. Objecte le contrôleur, vous devez que la central de police est à deux pas.
— Oui, réplique Marise, mais je suis en fuite.Marise Solera lui lance un regard presque étonné, comme si la signification de ces paroles lui échapait. Il garde plusieurs secondes le silence, comme si une fois de plus il ne comprenait pas ce qu?elle dit. Puis à l?instant il répond enfin :
— Oui, oui, bien sûr.— Venez !Le contrôler maritme plus attentionné depuis qu?elle lui a remis un substantiel pourboire, la conduit à l?extrémité du quai. Un petit cargo sur lequel on charge des cageots de fruits y est amarré.
— Vous auras de la chance de son commandant accepte de la prend à bord.Le contrôler entame alors une négociation au terme de laquelle somme d?argent dont il a compté les billets un par un de ses doigts graisseux. Puis l?homme invite Marise Solera à monter à bord. Le regard fixé sur la jeune femme, le commandant Elton a devant lui ine femme-enfant, l?incarnation de la douceur et de la force du charme adolescent et de la féminité. Elle a 21ans, une créature proche de la perfection physique. Son teint brun typiquement cubaine contraste avec ses longs cils. Elle doit en fait d?avoir une séduction latine inclassable, une beauté saussant et peu commune. D?autre côté la beauté du commandant Elton était aussi frappante que sa grandeur. Il fallait avouer qu?elle préférait un homme plus grand qu?elle, commeça, plupart des femmes d?ailleurs. Marise put admirer ses yeux noirs d?une profondeur troublante, sa machôire carrée lui paraissait très virile. A voir ses yeux briller de désir Marise comprit tout de suite qu?il voulait l?aider.
— Je vous en supplie ! Accorde-moi votre aide.L?expression terrorisée de son regard n?est pas feinte. Elton peut en juger avec certitude. Aucune actrice, si talentueuse soit-elle, ne pourrait jouer la comédie de l?affolement avec une telle conviction. Après avoir observé un silence médiatif, il finit par répondre...
— Je vais vous aider, c?est promis !!!  Il lui signale qu?elle peut descendre dans la cabine en attendant que s?achève le chargement du bateau, Elle songe qu?à cette heure-ci, on a découvrir son absence dans sa maison.
Il faudra que je me cache quelque part pour y vivre en secret, se dit-elle, mais en ce moment l?essentiel est de sortit de ses frontières.Refugiée dans ce lieu repoussant, Marise se sent malgré tout en sécutite, à l?abri des assauts de la police Cubaine. Elle préférait même se retrouver précipitée au fond des enfers, songe-t-elle, plutôt que s?avoir à epouser cet ignoble personnsge barbu... Marise espérait que le cargo lèverait l?ancre aussitôut, mais elle a été trop optimiste, aux alentours du port tout paraît calme.Le tableau de bord s’illumina de centaines de symboles lumineux dont certains se reflétaient dans le pare-brise pour permettre une vision tête haute comme dans les jets, et le bruit caractéristique d’une turbine montant dans les tours emplit l’habitacle pourtant feutré. Puis, la turbine ayant atteint son régime maximum, le bruit cessa, et le cargo quitta le quai. Pour la sortie, il laisse faire le pilote automatique. C’est plus simple, et surtout moins risqué ! Tout alla en fait assez vite.Il y a heureusement un petit cabinet de toilette adjacent. Le lavabo est fendillé et le carrelage craquelé, mais le broc d?eau froide leur permet au moins de se laver sommairement les mains. Marise Solera n’en croyait pas ses yeux.Maintenant le cargo pousuivit paisiblement sa navegation bientôt. Elle constate qu?elle est seule. Une appréhension la saisit. Alors elle se lave et s?habille très légèrement sans soutien-gorge et bien entendu sans culotte. Elle enfilla une robe ultra-courte qui lui arrivait au ras de fesses très evasée. Il fait beaucoup de chauleur. Et elle ne peut éviter d?être excitée comme une gamine. Le commandant Elton entre dans la cabine et la voit assise sur un sofa de velours vert sombre. Sa petite robe recouvrait juste son intimité. Il a resté de bouche bée. Il lui souriait et resta un mament silencieux en ne cessant de la devorer des yeux. Puis il ferme les ridoirs de la cabine...Il l?examine d?un regard pénétrant qu?elle lui tend pour l?inviter à s?asseoir à son côté. Que dire ? Qu’elle était sexy ? Non, le terme n’était pas bien choisi, elle était à la fois bien plus que cela et bien autre chose. Provocante ? Sans qu?elle s?y attende, il pose ses lèvres sur les siennes. Un baiser d?abord tendre, délicat, puis comme elle ne lui oppose aucune resistance mais au contraire, s?abandonna à son étreinte, il s?enhardut davantage emprisonant sa bouche en un baiser fougueux. Il découvre sa langue, sa salive, sa façon d?embrasser, à la fois pudique et gourmande, elle le mordait, avalait gloutonnement sa langue, impatiente, fébrile, anxieuse. C?était purement sexuel te pour le moment la comblait, et c?était tout ce qui comptait. Il pouvait être par ailleurs fort bon amant. Il n?auraient plus qu?une idée en tête ; la bourrer. Une énorme bosse se forme sur son pantalon. Elle fait réveiller le grosson (bite)...bien que le spectacle ait tout pour lui plaire, mail il sait qu?il se résigner à entrer à la douche. Il coupe l?eau et ouvre le rideau lentement, trop absorbée par son plaisir Marise ne réagit pas, au voir Elton complètement nu à se marturber. Elle a difficulté de dévier ses yeux du Grosson...
— Mademoiselle ! Pourriez-vous me passer une serviette de bain pour me sécher ?Interrompue brutalement dans son rêve érotique, desorientée, la jeune femme se saisit d?une serviette. Satisfait il sort de la douche et se plante face à elle.
— Esuyez-moi, s?il vous plait !Elle se sent en proie à une extase autant spirituelle et physique. Toujours désorientée commencent par ses bras, remontent sur ses épaules avant de percourir son torse. Que dire : une montagne de muscles... Il se tourne ensuite pour lui offrir son dos. Ses mains se font plus sensuelles. Elle se doit ensuite se mettre à genoux pour continuer avec ses fesses et pour descendre le long de ses jambes. Il place son Grosson (bite) dressé sous ses yeux.
— Mon Dieu ! Mais c?est pas une bitte énorme que vous avez !!!A quelques centimètres de sa bouche. Marise avait appuyé sa petite main sur le Grosson chargé de sang, des pulsions soudaines avaient fait trembler tout son corps, ses doigts s?étaient resserrés sur son pénis en fusion, il est énorme et elle ne savait plus quoi faire. Alors elle commence a le soucer tandis qu?elle manipulait ses bourses de façon malhabile ne sachant quoi faire pour assouvir cette soudaine pulsion qui s?enflamait tout son corps ; son corps de petite piégée et qui semblait emploiter avec anxueté les dernières energies d?une longue et douloureuse agonie. Ses doigts l?entouraient le manipulaient dans un mouvement saccadé de haut en bas dégageant ainsi les chairs fragiles gonflées de sang de l?enveloppe mobile qui le recouvrait. Elle léchait avidement, insistant de la pointe de sa langue sur le frein, titillant le méat de la pointe de cette langue diabolique.
— Quel bien joli cul.— Oh, Monsieur...Monsieur...Monsieur ... J’ai envie que tu m’e baise. murmura-t-elle.Elton enlace sa taille avec ses jambes et plaqua sa poitrine contre son torse. Le contact de sa peau nue sur son ventre irradie le Grosson. Il glisse doucement le gland qui s?insinue entre ses petites lèvres, pendant que ses mains la saisissent par les fesses. Marise bascule le bassin pour qu?il trouve tout de suite l?ouverture de sa vulve liquiéfiée. Son amant la laisse alors descendre en lui et s?empale sans retenue.
— aaaAAAARRRHHHHH !.... Ah ! Je te sens, je te sens, c’est chaud.Pénétrant jusqu?au plus profond de son corps. Il déclenche en elle une va de plaisir inoui, à la force des bras il la soulève encore, puis la laisse à nouveau retomber sur le Grosson érigé. Ainsi accouplés, il débute un danse langoureuse de va et vient dans son vagin survolté. Le plaisir est violent, dévastateur, le ventre de Marise l?encourage en venant à la rencontre de ses coups de boutoir. Elle est en transe. Ses vas et vient emmenaient Marise au 7ème ciel. L?explosion est proche, elle contate les muscles internes pour atteindre un niveau de plaisir encore plus élevé.
— Oh c’est booonnnnn ..Ouuuiiii... lui disait Marise..... Continue, mange moi toute la chatte ...... Ouuiii, gicle-moi bien au fond.Aaahh !Elle se prolongue et elle ne parvient plus à retenir ses cris. Elton se tend râle, hurle et explose dans son ventre, l?inonde mélant sa jouissance à la sienne. Soudainement, elle se cambra, ? hummmmm, Ouuuiiiii ? Il restant un moment unertes comme terressés par cet orgasme dévastateur. Peu à peu son amant reprend son soufle, se relève et l?embrasse langoureusement.
— Marise, je tiens à te féliciter, il semble que tu saches y faire— Merci..Monsieur— Nous sommes deux fous ! Je ne devais pas. C?est mal, ce que nous faison ensemble...Dite-t-elle— Mal ? Non, je ne vais pas vous déshonrer, puisque vous allez devenit ma femme.Marise reste muette sans savoir ce que lui repondre,,, Dans l?état de fatigue où elle se trouve, Marise ne se fait pas prier. Elle se faudille sue la couchette en se calant contre le mur, et c?est avec soulagement qu?elle étire les jambes. A mesure qu?augmente la vitesse du cargo, celui-ci se met à tanguer. Près le retour Elton se rejoint à l?equipage, a quelque temps que le bateau se mettait en route.  La porte de la cabine se referme, restée seule, Marise exhale un long soupir. Ses deux mains compriment son coeur qui bat violemment, comme elle voudrait croire à tout ce qu?il vient de dire... Mais l?avenir lui apparaît encore si incertain, si menaçant, qu?elle est certaine de ne pouvoir cette nuit encore reposer son esprit.Fin
Ici, S?o Paulo -
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Auteur : Ivan Ribeiro Lagos
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