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Gudrun

Chapitre 2

Divers
Je ne le revois que quelques jours plus tard, superbement vêtu comme pour la parade. Il m’annonce :
— Voila Gudrun, c’est bientôt prêt pour le mariage. Ce soir tu viendras dans ma chambre après le repas, mets la dernière robe que je t’ai offert.
Ayant repris mes esprits, je lui explique qu’il n’en est pas question.
— Mais c’est pour éclaircir encore quelques points indispensables, me réplique-t-il, de toutes façons, tu n’as pas voix au chapitre.
Le soir après manger, Je me dirige vers sa chambre,  je suis très partagée, il faut reconnaître que c’est un très bel homme, séduisant, mais avec de mauvaises habitudes. J’ai encore dans ma tête le goût de son baiser et comme j’ai failli me laisser faire, si je n’avais pas été sauvée par le gong.
— Bonsoir, ma chérie, attaque-t-il d’entrée.
— Bonsoir Ami, alors de quoi veux-tu m’entretenir.
— Bien de la couleur de ta robe de mariée. Tu la veux blanche ou rouge ou bleu profond ? Je te laisse choisir. 
— Le blanc m’irait pas mal, vu que je suis encore vierge, mais pour combien de temps vais-je le rester ?
— Finalement pourquoi pas un bleu profond comme le ciel le soir. Cela soulignerait bien la couleur de mes cheveux, si tes servantes ne me les teignent pas en orange avec du henné.
— Pas de soucis, je vais l’interdire, j’aime trop cette couleur.
— Mais dis-moi, j’ai aussi une question, es-tu déjà marié ?
— J’ai été marié, mais elle est morte et je n’ai pas le droit de laisser notre famille sans descendant, ce fut un drame, elle avait des haches trop étroites et elle est morte à la naissance de notre fils. Saïd que tu connais. J’ai pas trop envie d’en parler.

… À la fin de la semaine, tout sera prêt et nous fêterons notre mariage, viens vers moi, j’ai envie de prendre un peu d’avance, mais ne craint rien, je ne te prendrais pas ce soir, c’est réservé pour la nuit de nos noces. Il faudra encore te soumettre à une épreuve un peu difficile, l’inspection des matrones.
Le sacrifice.
— J’ai peur de ne pas comprendre. Tu veux dire que des femmes viendront constater si je suis vierge ?
— Oui c’est bien ça.
— Alors si je ne veux pas t’épouser, j’ai qu’à me dépuceler avec les doigts et je ne suis plus consommable.
— Ce ne serait pas raisonnable, mais si tu veux, je peux contrôler à la place des matrones ou encore on peut le faire avant et prendre un peu de sang chez le cuisinier, c’est vraiment un ami. Je sais que ces coutumes te sont désagréables, mais la présentation du drap nuptial est une étape incontournable. Il y va de mon honneur.
— Effectivement, je détesterai ceci. Ce n’est pas que je sois prude, mais je n’aime pas cette idée de contrôle de la marchandise avant l’achat. C’est pour le coup que je me dépucellerais toute seule, même si c’est pas vraiment ce que je souhaite.
— Je t’aime, viens que je t’embrasse ma reine. Tu seras après cela la souveraine de mon peuple.
Doucement je sens ses lèvres se poser sur ma bouche et là, j’avoue que j’ai un tel plaisir que je ne résiste pas et l’embrasse éperdument. Je sens mon corps qui s’affole complètement, surtout quand ses mains se sont posées sur ma poitrine et l’ont doucement caressée. On sent que cet homme ne s’est pas contenté que d’une femme, je sens son torse puissant à portée de mains, je ne peux m’empêcher de suivre chaque cicatrice qui le parcoure.
Finalement, il me déshabille complètement et ensuite lui aussi. Il admire ma jolie toison blonde et passe sa main ou plutôt ses longs doigts fins, mais très nerveux sur mon sexe. C’est délicieux, je sens que cette fois, comme on dit, je vais passer à la casserole et c’est lui qui fera le nécessaire. Finalement cela me plaît bien et malgré ses défauts, je me sens de plus en plus amoureuse de lui. Maintenant qu’il a mis sa main entre mes cuisses, me caressant doucement, il approche sa bouche de ma poitrine et commence à enrouler sa langue au tour de mes tétons, m’électrisant complètement. Je ne peux plus résister.
— Viens, prends-moi, haletais-je, je n’en peux plus.
— Tu veux vraiment avant le mariage.
— De toutes façons, de garder ou pas ma virginité, ce n’est pas pour moi, cela m’est égale avant ou après, mais je préférerais le faire avant, Je n’aime pas être un animal qu’on montre. On est déjà bien complice alors je suis d’accord que pour la galerie, on leur présente du sang de lapin à la place du mien.
— Effectivement, je vois que tu es presque prête pour le sacrifice suprême pour une pucelle. Mais je vais encore un peu jouer avec toi pour que ce soit parfait. Je n’aimerai pas que tu gardes un mauvais souvenir de cette première fois.
— Fais comme il te semble le mieux. Je crois que je suis prête et j’ai abandonné tout ce qu’il y avait dans ma religion. Toi, maintenant que tu as enlevé ton peignoir, je constate que tu l’es aussi. Tu permets que je le touche, je ne l’ai jamais fait.
— Mais oui, prends-la en main et tu peux la caresser, cela se fait normalement entre époux.
— C’est tout doux, il y a déjà une petite goutte qui pointe au bout. C’est avec cela qu’on fait les enfants ?
— Pas directement, cette petite goutte comme tu dis, c’est pour graisser un peu plus le passage si la femme n’est pas bien excitée et ne sécrète pas elle-même un jus qui huile le trou. Mais à ce que je vois, tu n’en manques pas, tu es bien humide, je pense que cela va bien se passer.
Doucement, il me relève les jambes et a une pleine vue sur mon intimité, j’espère qu’elle lui plaît, il avance son sexe devant l’entrée de mon vagin et l’introduit un peu, jusqu’à ce qu’il sente une petite résistance et là il ressort et me promène sa queue sur mes lèvres et sur mon clitoris, c’est délicieux, mais pas complet, j’ai vraiment envie qu’il me pénètre et voilà qu’il recommence à me pénétrer qu’un tout petit peu, s’amusant et jouissant de ma soumission. Mais moi, je ne tiens plus et d’un coup de rein, je m’empale sur son soc.
— C’est comme tu l’as dit, tu t’es dépucelée toute seule. Tu n’as pas trop mal ?
— Un peu au début, mais maintenant, j’aime bien t’avoir au fond de moi, c’est bon.
Tranquillement il commence un va-et-vient qui m’excite de plus en plus, je vois des étoiles dans le ciel du lit. Un mouvement irrépressible anime mon bassin amplifiant encore l’excitation du moment. Dieu que c’est bon et il est si patient, attentif à mes réactions, je me crispe et j’explose dans le plaisir et lui simultanément jouit, ajoutant encore à ma jouissance cette sensation de jus brûlant qui envahit ma matrice. J’ai l’impression que je vais m’évanouir de bonheur. Délicatement il ressort sa bite, libérant un flot de sperme teinté de rouge. Ce ne sont pas les Britanniques, mais bien le résultat de son passage.
Fièrement, il constate les dégâts sur les draps blancs, une belle tache rouge, un peu comme le drapeau japonnais, si ce n’est que la couleur n’est pas vraiment ça.
Je me serre contre lui, très amoureuse et lui demande :
— Alors tu es content, ma virginité t’a plu ?
— En elle-même, cela ne fait pas beaucoup de différence, mais c’est le symbole qui est fort.
— Au cas où le cuisinier n’a pas de lapin frais, tu pourras toujours montrer ce trophée.
— Demain soir, il aura perdu sa belle couleur rouge vif. Il faudra vraiment un lapin frais, au pire une chèvre fera bien l’affaire ou un mouton, mais des moutons, on n’en a pas ici, c’est pas assez économique, c’est des faiseurs de désert.
— Pauvre bête, te voila sacrifiée pour sauver les apparences. Remarquais-je d’un petit air narquois. Ce soir, j’ai envie de rester pour dormir avec toi, je peux ?
— Mais bien sur et si tu veux dans un moment, on peut recommencer, je crois que je ne me rassasierais jamais de toi. Tu es si belle, partout.
— Tu n’es pas mal non plus dans ton genre, juste un peu des manières pas très occidentales, j’allais dire catholiques.— Tu veux quelque chose, un petit jus d’orange frais ? Ou des dattes ?
— Pour te chicaner, je te dirai une coupe de champagne, mais j’en serai bien étonné.
— Pourquoi ?
— C’est pas interdit par ta religion ?
— Détrompe-toi, j’en ai au frais, tu vas me questionner si j’ai des frigos ? Eh-bien non, mais sous la cascade que tu as vu, il y a ma réserve secrète.
— Tu as tout prévu pour me séduire.
— C’est que tu en vaux la peine. Mais si cela ne te dérange pas, j’aimerais plutôt le faire demain soir, j’enverrai le cuisinier le chercher discrètement, il faut que je soigne quand même un peu ma réputation et je ne tiens pas à ce que l’Imam vienne me tirer les oreilles.
— Bon, s’il n’y a pas de champagne alors je vais me reposer un peu, c’était si bon que cela m’a épuisé. C’est toujours comme cela ?
— En principe cela dépend du couple, de l’instant et de l’amour qu’il se porte.
— Mais je vois que tu es à nouveau excité, peux-tu attendre un peu que je reprenne mon souffle ?
— Tout ce que tu veux mon amour. Il y a encore tellement de choses à apprendre l’un de l’autre que je peux bien patienter, cela fait partir du respect mutuel et est aussi un bon aphrodisiaque.
Quelque dix minutes plus tard, entre deux eaux, elle remarque que Ami a mis sa tête entre des cuisses et regarde avec insistance son sexe. Voyant qu’elle émerge, délicatement, il pose un petit baiser sur la touffe de poils blonds, ce qui crée un choc à Gundrun. Cela lui rappelle des pratiques dans ses jeunes années lors du séminaire de religion. Délicatement, elle lui caresse la tête en la maintenant bien en face de son sexe en espérant qu’il lui prodigue cette petite caresse, mais il se relève.
— Excuse-moi de t’avoir réveillé de cette manière, mais je suis amoureux de ta touffe de poils blonds de ton sexe.
— Ne t’excuse pas, j’ai trouvé cela charmant.
— Oui, mais ici cela ne se fait pas !
— Mon amour, oublie un peu quand on est ensemble ce qui se fait et ce qui ne se fait pas, tu peux bien poser un baiser sur mon sexe, cela me ferait très plaisir.
— Mais j’ai un peu peur de ne pas me retenir de te lécher. Ton jus a une odeur qui me trouble beaucoup et j’ai vraiment envie de le goûter.
— Qu’est-ce qui t’empêcherait de le faire ?
— La coutume, mais si cela ne te fait rien, je ne vais pas résister.
— Je ne suis pas sûre que cela ne me fasse rien, mais peut-être cela va horriblement me plaire que tu me boives.
— Dans ce cas, je ne vais pas hésiter, tu sentais l’amour et j’ai envie de me rassasier.
C’est ainsi qu’Ami qui voulait la mouler dans un moule bien conforme à l’Islam, se trouve à faire son premier faux pas et ce n’est pas Gundrun qui va s’en plaindre. Elle aime tellement cette langue qui lui lèche l’abricot et la fève avec ardeur qu’elle pose ses mains sur la tête, comme pour le bénir. Elle caresse ses jolis cheveux noirs bouclés, elle sent qu’elle va à nouveau arriver au Paradis d’Allah et dans ce cas bien précis, elle récite dans sa tête, que c’est si bon que béni soit son nom. Il l’a là. La voyant arriver à nouveau à l’orgasme, il remonte et l’enfile tendrement pour son plus grand plaisir. C’est bon cette queue qui la laboure.
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