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Gudrun

Chapitre 6

Erotique
Quand on ouvre le portail de la bergerie aux louves.
Une semaine après l’acceptation du mariage par Gudrun, rebelote avec l’officier d’état civil et le Mufti, mais cette fois, en plus du père de la mariée qui était présent, Gudrun tenait également son rôle de témoin et par là acceptait de partager son mari. Elle dut même affirmer qu’elle était d’accord avec ce mariage. Après la fête, les deux femmes se retrouvèrent en complicité à la piscine avec Ami qui les admirait.– Alors, comment cela s’est passé ?– Comme tu m’avais dit, il a été très doux et attentif, ce ne fut que du bonheur. Maintenant, je ne risque plus de casser mon label de garantie, c’est fait. On va bien pouvoir s’amuser quand on languira de sa présence.– Hé ! Les filles de quoi discutez-vous, remarque Ami se sentant délaissé par ces deux femmes, un peu trop complices à son goût, lui qui espérait diviser pour régner se retrouve avec son rêve brisé.– Eh bien viens avec nous dans l’eau si tu veux discuter avec nous, lance Gudrun, mais oublie ton slip sur le bord, comme nous, à poil.– Je vois que vous avez des idées polissonnes, répliqua Ami, soit amusons-nous quand j’ai le temps. À propos, je dois vous avertir que la semaine prochaine, je pars pour Londres pour une durée de quinze jours à trois semaines pour représenter mon beau-père à une conférence du Commonwealth.– Tu vas nous délaisser tout ce temps, râlèrent les deux polissonnes. Si tu ne reviens pas rapidement, on va inviter des danseurs sénégalais.– Pourquoi des danseurs sénégalais ?– Pour t’obliger à élargir les portes du palais.– Comment cela ?– À cause des cornes que l’on va te faire si tu nous délaisses. Nous plaisantions bien sûr, mais on voulait juste te faire sourdre un soupçon de jalousie pour que tu nous reviennes bientôt.-Vous êtes des polissonnes, Gudrun, tu as bien débauché Myriam, elle est vraiment comme une courtisane.– Mais chéri, c’est une accusation grave que tu me portes là, je n’y suis pour rien, probablement qu’elle est naturellement douée pour les choses de l’amour. Mais qu’est-ce que je sens là de dur contre ma hanche ? Je vois que nos discussions t’ont émoustillé. La quelle veux-tu honorer de tes faveurs.– Les deux, mes amours.-Les deux ? Tu ne présumes pas de tes forces ?– Non, j’ai une langue, des doigts et un sexe, on va tout utiliser. Mais je réserve mon sperme pour ma nouvelle épouse que j’aimerais engrosser, donc Gudrun, tu auras la primeur de ma bouche.– Mais Ami, c’est contraire aux enseignements de la religion, réplique Myriam en souriant, quand tu vas arriver au paradis d’Allah, à la place d’une multitude de vierges, tu ne vas trouver que des vieilles chaises percées.– Ne te fais pas de soucis, actuellement Allah est trop occupé en Irak et ne regarde pas partout en même temps. De toutes façons, il a la vue troublée avec tout ce qu’il voit en Occident.– Mais pendant que tu ne seras pas là, comment nous assurez que tu nous seras fidèle et que tu ne vas pas attraper une maladie avec des femmes de mauvaise vie, suggère Gudrun, je pense qu’on devrait mettre ton oiseau en cage quand tu vas partir. Va donc dans un sex-shop et ramène en un à ton retour et tu demanderas au médecin de t’examiner ton sexe, s’il n’a pas été contaminé.– Vous charriez ! Répond-il amusé.– Non, non, nous sommes très sérieuses, répondirent-elles, ou autrement on cotise à la CGT française pour faire grève et un grève féminine, c’est plus sérieux que celles des cheminots.– Promis, répondit-il, pour avoir la paix et passer aux choses sérieuses selon lui.– Promis, promis ? Insistèrent-elles.
De guerre lasse, il promit tout ce qu’elles voulurent sans savoir ce qui l’attendait et qu’en fait c’était une prise de pouvoir des femmes sur sa personne.– Maintenant, je vais me mettre sur le dos et Gudrun, tu vas abreuver un pauvre assoiffé avec ton sexe pendant que Myriam va pomper le mien avec le sien.C’est ainsi que l’on passa du duo classique à celui de trio avec une flûte et deux violons. C’était vraiment tout un spectacle de voir Myriam s’enfilant et se désenfilant, sa poitrine, même petite suivait le mouvement. Elle haletait, sentant l’instant magique où une série de jets de sperme viendront arroser son utérus et par-delà ses trompes de salope, en plus Gudrun s’amusait avec ces petits seins qui montaient et descendaient en cadence. Bientôt, elle ne put plus tenir et explosa dans un orgasme divin, entraînant le locataire de sa vulve dans son délire. Il ne restait que Gudrun qui bien qu’appréciant le soin qu’apportait Ami, n’était pas encore partie dans une jouissance mémorable.Comme Myriam, l’orgasme passé, s’était désengagée du tenon qui chevillait sa mortaise, Gudrun avait tout loisir devoir ce poireau un peu affaibli, mais qui ne demandait qu’un bon encouragement pour se refaire une santé.Sans hésiter, Gudrun le pris en bouche et le lécha de long en large, de gauche à droite, en avant en arrière, jusqu’à ce qu’il prenne forme :– Ami, ta saucisse à la sauce Myriam est vraiment goûteuse, tu devrais la présenter au Gault&Millau, tu aurais peut-être une toque. Maintenant que la pièce est bien montée, il convient de la mettre au four, que préfères-tu, le four en dessus, le four horizontal, recommandé par la mission ou le four bestial, mais s’il te plait pas le four banal*. C’est le moment de choisir avant que la pièce ne retombe.– Elle a déjà été préparée dans le four vertical en dessus, le four bestial serait une aventure que je n’ai pas encore testé. Mets-toi en position.Il s’approche de cette fente qu’il va soumettre à son bon vouloir croit-il, mais en fait, il ne fait que ce que Gudrun a décidé. Il l’enfile d’un grand coup de bite allant jusqu’au fond en claquant des couilles contre son clitoris qui dit merci au passage.– C’est trop bon, remarque-t-elle, Je sens que tu vas nous manquer, n’oublie pas que nous sommes Myriam et moi, des affamées de sexe(s)Après de longues passes d’armes entre ami et Gudrun, finalement les deux partir dans un feu d’artifice, surtout que cette coquine de Myriam, s’amusait avec les beaux seins de Gudrun, attirant un regard étonné d’Ami qui ne s’attendait pas à une telle complicité ; quand il bouffait la motte à Gudrun, il n’a pas vu que cette dernière se permettait certaines privautés sur Myriam. Privautés que la morale classique n’apprécie guère.Retombant chacun de son côté, épuisés et transpirants, malgré la relative fraîcheur du soir, Ami ne peut s’empêcher de poser certaines questions :– Cela fait longtemps que vous vous amusez ensemble ?– Pourquoi tu nous poses cette question, riposte Gudrun, un peu alarmée.– Je trouve cela très excitant et je me dis que je peux partir tranquille, vous saurez vous amuser sans moi.– Ah, je vois, tu ne vas nous reprocher d’avoir pris certaines libertés en ton absence ! Alors je peux bien t’avouer que nous sommes amantes depuis le premier jour, tu n’étais pas là et nous avons profité de la piscine, à ce sujet, ce serait bien si tu nous laissais les clés pour en profiter.– Évidement, Je me posais la question s’il fallait les laisser à Saïd ou à vous, mais c’est à vous en réalité que je vais les confier, Saïd ne vient pas souvent à la piscine et c’est pas un fan de la trempette.– On pourrait peut-être l’encourager, savoir nager, cela peut rendre service si on quitte son désert. Déjà en Norvège, j’ai bien vu son manque à la piscine de la commune, il était très emprunté et mal à l’aise en voyant toutes ces jeunes filles qui l’invitaient à se joindre à elles pour nager.– Ce serait très bien. Je compte sur vous.Le lendemain, il y a un grand rassemblement dans la cour du palais. Tout le monde est là, du grand-père à l’âne et au pur sang. Ami prend la parole :– Mes amis, Je vais partir en Europe pour défendre les intérêts de Myriam et de mon beau-père, je ne sais combien de temps cela durera, je l’estime à 10 à 20 jours. Pendant ce temps-là, ce sera Saïd qui me remplacera, c’est le moment qu’il s’essaye au pouvoir et au commandement. En cas d’incertitude, il peut toujours demander à son grand-père, à sa grand-mère ou à Gudrun. Myriam est encore trop nouvelle dans la maison, mais son tour viendra. Demain, vous préparez la mercedes pour aller à l’aéroport Saïd, Gudrun et Myriam m’y accompagneront. Voilà, c’est tout ce que j’avais à vous dire.Sur ce voyage aller et retour de l’aéroport, il n’y a rien à dire de spécial, si ce n’est que Ami a avisé que les clés de la piscine sont confiées à Gudrun et qu’il l’avait chargée de lui apprendre à nager, qu’il le veuille ou non.– Mais père, tu sais que je suis comme toi, ce qu’homme propose, femme dispose, dit-il avec un petit air narquois.– Fais cependant bien attention si tu n’as pas ton fonds et au besoin demande l’aide de Gudrun. Elle nage comme une vraie naïade.– Oui père, il en sera fait selon vos désirs.Pendant ce temps, Gudrun pense à ce deal qui lui est proposé, ce brave Ami qui part 20 jours ou plus selon moi il a tout fait pour que son fils perde sa gourme avec nous, les assoiffées du sexe. Il pourrait bien le trouver un peu changer au retour.Le problème sera au retour d’Ami, il faudra bien le styler pour pas qu’il déborde du cadre strict qu’on va lui fixer et nous laisser manœuvrer.Mais objectivement, je me réjouis de faire son éducation, ce ne sera que douce vengeance pour les libertés qu’Ami a prises avec moi. Je pense que Myriam ne sera pas contre de m’aider.
* Four banal : au Moyen Âge, four d’un seigneur où les vassaux devaient faire cuire leur pain moyennant une redevance
Comment Saïd arrive à ses fins ou tante à Sion quand tu nous tiens. À peine arrivé, Saïd, grand sourire, prend ses belles-mamans à part.
 – Vous avez entendu, je dois remplacer mon père, il n’a pas fixé de limite.
 – Erreur, il t’a bien dit de ne pas te noyer. Cela te dirait de faire ce premier cours de natation ce soir, quand tu auras distribué les ordres au personnel ?
 – J’espérais pas si vite, mais volontiers, si tu ne m’aides pas, je ne sais pas nager et je suis sûr que je vais couler comme une pierre.
 – Aucune chance, surtout dans une piscine si on est avec toi. Chef, tu veux qu’on soit dans quelle tenue ? En burqa ? Ou comme dans le sauna en Norvège. Moi je serai pour voir si tu as fait des progrès depuis là-bas en matière de maintien.
 – D’accord, mais vous partez avec un avantage certain.
 – Comment cela ?
 – Chez une femme, on ne voit pas les signes extérieurs de ce que l’on doit maintenir ou plutôt contenir.
 – Tu as raison, mais on va aussi t’expliquer tout cela.
 – C’est vrai ? Ouah ! Je pense que cela fera plaisir à Amina la lingère qui me fait toujours les gros yeux quand elle ramasse mes mouchoirs.
 – Tu es sûr qu’elle fait les gros yeux de réprobation ou plutôt d’envie ? Tu es un beau garçon, je suis sûr qu’elle ferait bien son ordinaire avec toi.
 – Peut-être, mais père m’a bien recommandé de ne pas mélanger les torchons et les serviettes, qu’il ne faut pas toucher le personnel.
 – Pour nous, il n’a rien dit ? Demande malicieuse Myriam que cette discussion échauffe.
 – Non, je suis un peu surpris, cela n’a pas dû lui effleurer l’esprit.
 – Bon après le souper qu’on va fixer de bonne heure, avant que la nuit tombe, on se retrouve à la piscine pour la première leçon de natation, en premier, je vais t’apprendre à ne pas avoir peur de l’eau.
 Dans la douceur de la soirée, éclairé malgré tout de quelques torches, la porte gardée par le malabar qu’ils ont mis de leur côté, les trois se retrouvent à la piscine dans le plus simple appareil.
 Saïd, qui connaissait déjà bien la plastic de Gudrun, admire Myriam dont l’astrakan couvre le trésor de son père. Il ne peut empêcher son corps de se manifester et commence à bander comme un bouc en rut.
 Gudrun, les sourcils froncés :
 – C’est comme cela qui tu as amélioré ton maintien ?
 – Excusez-moi, c’est plus fort que moi, vous êtes si belles.
 – Bon à l’eau, vers le bord où tu as encore ton fond. Tu vas regarder les premiers mouvements de cette nage qu’on appelle la brasse. Regarde bien, après tu feras la même chose et je te soutiendrai pour pas que tu partes au fond.
 Gudrun fait une démonstration et ensuite s’approche de lui et lui met la main sous la poitrine pour le maintenir et lui ordonne de faire comme elle lui a montrés, là paradoxalement, cela le calme de penser aux mouvements corrects. Il se débrouille bien. – Maintenant, on va jouer lors de la deuxième étape. Ne plus avoir peur de l’eau, en premier, tu mets la tête sous l’eau et tu te laisses flotter, remplis tes poumons avant. Voilà, c’est bien, tu vois que tu ne pars pas au fond, mais que tu flottes. On va faire un autre jeu, avec Myriam, on va écarter les jambes et tu vas passer dessous sans nous toucher pour l’instant.
 – Voilà, tu vois quand tu veux tu peux. Maintenant, on va s’immerger jusqu’au cou avec Myriam et tu as le droit de nous faire un bisou sur chaque sein, mais sans sortir la tête de l’eau et en gardant ton maintien. Je te conseille de prendre beaucoup d’air si tu veux réussir, tu auras une récompense, si après tu perds ton maintien.
 Commençant par Gudrun, il lui fait rapidement un bisou sur chaque téton, mais arrivé à Myriam, il remarque qu’il lui reste pas mal d’air et à la place de faire comme prévu, il commence à la téter, ce qui n’était pas comme demandé et surtout cela a certaines conséquences. Évidement Gudrun le remarque tout de suite et surtout qu’il a perdu son maintien et bande à nouveau comme un taureau.
 – Tu lui fais une petite gâterie demande-t-elle à Myriam ou tu préfères que ce soit moi ?
 – C’est que je ne l’ai jamais fait, ni à l’air, ni sous l’eau, cela risque de ne pas aller, je préfère que tu le fasses et ensuite que tu me montres.
 – Bon, alors, mets tes mains derrière le dos et ferme les yeux, Myriam, pour plus de sécurité, tu places tes mains sur ses yeux.
Gudrun à ce moment-là plonge dans l’eau après une longue aspiration et s’approche de la queue de Saïd et ouvre la bouche toute grande et l’absorbe et la léchant et en la massant. Surpris, Saïd perd complètement son maintien et jouis violemment dans la bouche de Gudrun qui doit absorber toute la décharge, mais bonne fille, elle se régale, même si le repas n’est pas très loin. C’est loin d’être désagréable.
– C’est comme cela que tu gardes ton maintien ? Pour ne pas polluer la piscine, j’ai dû tout avaler.
Mais elle remarque que miracle de la jeunesse, Saïd est toujours en forme. Elle se dit on va jouer encore un peu avant de passer aux choses sérieuses.
– Maintenant, tu vas me faire la même chose que je t’ai fait sous l’eau.
– Mais tu n’as pas de tige comme moi ! c’est tricher.
– Cherche bien et tu trouveras, elle est beaucoup plus petite cas la majeure partie est cachée dans le ventre, par contre est elle très sensible, donc vas-y doucement. Tu peux pour commencer essayer de la découvrir avec tes doigts mais après il faudra bien que tu aies la trouver avec ta langue ou si tu préfères la chercher chez Myriam en premier.
– Je vais essayer avec mes doigts sur vous deux et je verrais où c’est le plus facile pour commencer.
Il s’approche de Gudrun et commence à mettre ses doigts vers son sexe qui malgré l’eau est bien huilé à cause de toutes ces petites polissonneries.
– Je ne vois pas.
– C’est que tu ne cherches pas bien, vas un peu plus haut, à la fin de la fente.
– Ah ! Oui je vois, on dirait une petite fève, mais elle grandit quand je la touche. Je peux encore un peu la toucher pour voir combien elle peut grandir?
– Non, on verra ça plus tard, essaye maintenant avec Myriam.
Il lui met la main sur son sexe et écarte la forêt sous-marine et tout de suite sent quelque chose de beaucoup plu grand qu’avec Gudrun.
– Mais il est beaucoup plus grand que le tien. Je choisis celui-ci pour commencer. Sans attendre, il respire un bon coup et plonge sous l’eau et prend dans ses lèvres ce long clitoris pour le sucer, ce qui crée une excitation bien nette chez Myriam. Elle lui bloque la tête pour l’appuyer bien fort contre sa mini verge.
Gudrun qui voit cela lui dit tout de suite d’arrêter, on ne va pas le noyer, quand il remonte, elle propose de sortir sur le bord et fait le résumé de la situation.
– Alors tu vois, tu n’as plus peur de l’eau je pense. Tu arrives à rester la tête sous l’eau sans t’affoler, mais plutôt à nous affoler les sens. C’est un bon progrès pour le premier jour. Qu’est-ce que tu voudrais comme récompense ?
– Je ne sais pas, ceci est tellement nouveau. J’aimerais bien m’occuper de ton sexe, mais comment faire?
– Alors là, tu vas avoir un bon professeur, Myriam connaît le sujet sur le bout du doigt, elle va te guider et te montrer en premier ce qu’il faut faire et ne pas faire. T’es prête Myriam ?
– Oui, mais après, j’aimerais bien savoir comment on fait avec la bouche et les garçons.
– Cela viendra plus tard, je suis sûr que Saïd s’y prêtera volontiers. Mais avant de passer plus loin, j’aimerais que Saïd nous fasse une promesse.
– Tout ce que tu veux Gudrun, ce soir, je suis comblé.
– Il y a encore de quoi apprendre, mais j’aimerais que tu nous promettes à Myriam et à moi que jamais tu ne divulgueras à personne, mais vraiment à personne ce que l’on a fait ou ce que l’on va faire concernant le sexe. Ça sur la tête de ton père et d’Allah.
– Je m’engage et je promets que jamais je ne dévoilerais ce que nous faisons avec le sexe, sur la tête de mon père et sur celle d’Allah.
– Voilà, regarde bien, tu peux voir que mon sexe est très excité, il y a une liqueur qui sourd de mes lèvres et qui huile l’entrée de mon paradis. Alors Myriam pour me faire encore plus plaisir va me lécher cette liqueur qu’elle aime aussi beaucoup. Observe bien comme elle s’y prend.
Myriam, se met entre les jambes de Gudrun et les relève jusqu’à ce que les genoux touchent les épaules, exposant bien le trésor de Gudrun, elle sort sa langue et commence à récolter cette délicieuse liqueur et parfois elle fait un petit détour jusqu’au bouton qui a bien grandi avec ces léchouilles.
– C’est bon, tu es vraiment une experte, laisse un peu à Saïd pour voir s’il a bien appris.
Saïd à son tour met sa tête entre les cuisses de Gudrun et commence à lécher la cyprine qui maintenant dégouline de la fente de Gudrun et ho miracle, il trouve aussi le bouton qui a bien grandi et il peut le prendre dans la bouche pour le sucer, il remarque que quand il le sert entre ses lèvres, Gudrun a des soubresauts plus violents que quand il lèche simplement. « je pense que cela doit l’exciter au maximum, si je continue, j’espère qu’elle ne va pas me refuser mon rêve, qui est de coucher avec elle. »
Cependant Gudrun garde la tête peut-être pas froide mais au moins assez tiède pour ne pas la perdre et continuer l’éducation sexuelle de Saïd et de Myriam.
– Arrête maintenant, c’est trop bon, mais je n’aimerai pas finir tout de suite, il y a encore des choses à voir. Myriam aimerait apprendre comment sucer un sexe masculin. On va commencer simplement, mets-toi sur le dos et je vois qu’il est bien brandi. Myriam, le secret primordial d’une bonne pipe, c’est de ne jamais faire sentir qu’on a des dents, c’est mortel dans la joute amoureuse, ensuite, les hommes adorent qu’on boive leur présent, celui de Saïd est très consommable, mais plus l’homme devient vieux, plus le goût est prononcé m’a averti ma mère lors de discussions qu’on a eu cet été en Norvège. Elle voulait compléter ce que je n’avais pas appris au séminaire religieux. Le goût, pour les très vieux, c’est à la limite du supportable. Tu peux aussi en même temps lui caresser les couilles, ces petites boules qui sont dans un sac sous la queue, les hommes aiment aussi bien qu’on caresse en même temps ou pour les plus audacieuses, leur chatouiller le trou du cul et pour les plus impertinentes, y mettre un doigt, si c’est bien propre.
– C’est un cours magistral, j’espère que je ne vais pas faire tout faux.
– T’en fais pas, Saïd te dira déjà bien s’il apprécie ou pas. Sous l’eau, c’était ma première pipe pratique, cela a bien marché, à mon retour, je n’ai pas eu beaucoup Ami pour tester les connaissances que m’avait données ma mère. Mais je pense que tu vas réussir. Vas-y !
Myriam, à genoux, la tête penchée vers la queue de Saïd, les cheveux cachant l’action en augmentant le suspens, prend finalement la bite de Saïd en bouche et commence à la lécher doucement, tout en lui caressant les roupettes.
– Tu peux le griffer légèrement, sans aller jusqu’au sang, en général, c’est apprécié, toujours selon la même source.
Saïd apprécie de plus en plus cette sucette et la pression monte dans sa machine à vapeur. Il serre les dents pour ne pas partir trop vite quand tout à coup il a une idée, si il récitait des versets du Coran. Il les repasse dans sa tête et reste bien ferme sans pour autant éjaculer
– Bravo, tu résistes bien, mais il faut avoir pitié des mâchoires de Myriam, elle va bientôt avoir des crampes, laisse-toi aller, c’est plus poli.
N’écoutant que son bon cœur, il lâche sa purée de pruneaux dans le fond de la gorge de Myriam qui sur les conseils de Gudrun avale tout.
– Alors, qu’est-ce qu’on fait maintenant, on continue ou on laisse quelque chose pour demain ?
– Moi, j’ai déjà craché deux fois mon venin, mais toi Gudrun, tu n’as pas pris ton plaisir. Tu ne veux pas que je te lèche pour te l’apporter, tout comme Myriam, c’est la même chose.
– Alors on va faire une dernière construction, je me mets sur le dos, Myriam me donne son abricot à déguster pendant que tu me dévores le mien. Peut-être que tu retrouveras des forces et… et puis non, gardons un peu de mystère pour la suite demain.
C’est ainsi que pour la première soirée, Saïd a failli perdre son pucelage, mais finalement il sait que ce n’est que partie remise et avec ces deux coquines, il ne va pas y résister longtemps.
Au même moment quelque part à Londres il y a Ami qui se dit qu’il aurait dû prendre ses deux femmes avec lui, l’escort-girl qu’il a louée ne leur arrive pas à la cheville. On sent qu’elle fait cela pour de l’argent et qu’il n’y a aucune douceur. Il regrette de s’être laissé entraîner, heureusement qu’il avait pris ses précautions et la seule chose qu’elle a bien fait, c’est de lui mettre son chapeau avant qu’il se plante. Il n’a pas voulu lui lécher sa moule, elle n’avait pas une odeur attirante, comme ses deux tigresses loin, là-bas dans son palais. «  ah oui, qu’est-ce qu’elle voulait Gudrun, drôle de demande, une cage pour sa bite quand il les quitte, mais peut-être qu’elle a raison, d’aller se pervertir avec ces filles de joie, c’est pas vraiment cela ». Il a hâte de revenir les retrouver, surtout qu’elles se sont mises ensemble et qu’il imagine tout ce qu’elles peuvent faire s’il y a de l’amour entre eux. « Demain, je vais leur envoyer un câble pour leur dire que je m’ennuie d’elles. Gudrun, c’est quand même quelqu’un d’exceptionnel, quand je pense la façon dont elle a résolu le problème que je lui ai posé avec ma deuxième femme, j’en suis encore tout étonné. »
 – Saïd, comment on va dormir, tu as deux femmes à ta disposition, tu préfères seul, avec Myriam ou avec moi. Les trois dans un lit, cela va être un peu juste.
 – Gudrun, tu sais que depuis que je te connais, je suis amoureux fou de toi, c’est pas maintenant que cela va changer. C’est évident que j’ai envie de dormir avec toi, ne serait-ce qu’au réveil, je puisse encore profiter de ta gentillesse.
 – De ma gentillesse ou du fait que je suis en manque d’une belle queue qui me laboure bien profond.
 – Je pense que les deux. Je vais me faire un plaisir de te réveiller amoureusement. Tu m’excuseras Myriam, mais Gudrun, c’est un rêve qui m’habite depuis que je la connais. Tu n’es pas fâchée ?
 - Pourquoi je serai fâchée, on s’est bien amusé ce soir et Gudrun a plus besoin que moi de se sentir pénétrée par la puissance d’un mâle, répond Myriam – Je demande à voir ou plutôt à expérimenter. À ce que je sache, ce sera comme pour la nage, la première fois ? J’aurai un mâle tout neuf que pour moi ! Là, je suis gâtée, commente à son tour Gudrun, pour moi ce sera aussi une première, de m’occuper d’un puceau.
– J’espère que tu sauras me conduire dans cette voie qui m’est inconnue jusqu’à aujourd’hui.
C’est ainsi que Gudrun et Saïd partagèrent la même couche et eurent beaucoup de peine à s’endormir, car quand ce n’était pas l’un, c’était l’autre qui était en manque de tendresse, mais Gudrun resta inflexible sur le fait que ce soir, il s’endormirait puceau, malgré le réveil des attributs de Saïd.
Le lendemain, ce fût Saïd qui se réveilla le premier et tout de suite, il sentit contre lui le dos et la croupe délicieuse de Gudrun, qui dormait à la façon de l’hôtel du cul tourné. Se mettant à l’envers pour pouvoir faciliter l’accès de sa bouche, il commença à lui baiser doucement les fesses, y compris le sillon en remontant de plus en plus vers son paradis promis. Arrivé sur place, Gudrun qui s’était éveillée entre temps, mais ne le manifestant pas et joua un peu la comédie, elle décida de se mettre sur le dos en murmurant :
– Ami, tu me gâtes ce matin. Comment tu apprécies ce petit déjeuner ? Minauda-t-elle en simulant de continuer de dormir.
Saïd devant cette demande continuait de plus belle à lui dévorer la chatte, tout y passa, de l’ergot à la fontaine de Trévise, bien que la vraie ne faisait pas partie de sa culture. Quand il sentit qu’elle était juste à point, il n’hésita pas et remonta pour se mettre en face d’elle, lui pris les lèvres et commença à lui faire un frenshkiss des plus appuyés. Gudrun ne pouvait plus simuler le sommeil, elle répondit à sa prise de bec avec ardeur.
– Gudrun, maintenant que tu es réveillée, tu me permets de venir en toi, cela fait si longtemps que j’attends ce moment.— Mais bien sûr, cela fait aussi un moment que j’attends une bonne queue, avant quand j’étais religieuse, je ne m’en sentais pas le besoin, mais depuis que ton père m’a fait goûter aux plaisirs de la chair, j’y suis devenue accro.C’est ainsi que Saïd put faire l’amour avec la belle Gudrun. De manière impétueuse, il l’enjamba et devant les cuisses déjà bien prêtes à l’accueillir, il plaça sa queue à l’orifice du vagin de sa belle-mère et d’un coup brutal, il s’introduisit jusqu’au fond.— C’est bon, cela me manquait de sentir du concret, une langue ou des doigts ne remplacent pas une bonne bite bien active, mais calme-toi sinon tu vas partir trop vite, apprécie ce moment magique où nos deux corps sont unis. Il ne t’est pas interdit pendant que tu me possèdes de t’occuper de mes seins, de ma bouche, de mon bouton, il faut que tu apprennes à devenir un amant parfait.— Oui Gudrun, mon amour, tu permets que je t’appelle mon amour.— Seulement quand tu es en moi, pas autrement.— Tu pourras venir en moi, j’ai fait poser un stérilet, je n’aime pas le coït interrompu, mais ne te dépêche pas, plus c’est long, plus c’est bon. Quand tu seras fatigué, si tu n’as pas encore joui, je viendrais sur toi pour te chevaucher, c’est aussi très bon.— Je sens que j’ai de plus en plus de peine à maîtriser mes troupes, veux-tu que l’on change de position ?— Oui, dit-elle en faisant un mouvement de recul pour désengager ce qui la remplit si agréablement.Mettant Saïd sur le dos, plaçant ses mains sur sa poitrine où l’on peut deviner les plaques de chocolat Tobler ou Nestlé, c’est pas préciser dans les annales ; elle met son sexe en face de celui de Saïd qui est tendu comme un arc et lentement se laisse glisser délicieusement pour s’emboutir sur ce bâton de bonheur, dit aussi de berger. Lentement elle remonte pour aussitôt redescendre en se penchant en avant vers Saïd pour bien passer avec le gland sur son point G, G comme grenouille, car sa position n’est pas sans rappeler la position de la grenouille juste avant de sauter. Ses mouvements s’accélèrent de plus en plus et le ciel du lit se garnit de constellations de plus en plus riches d’étoiles. Une transpiration conséquente coule entre les seins, dans la vallée du bonheur où Saïd récolte de sa langue ce ruisseau violemment érotique. Finalement, n’y tenant plus, il éjacule longuement de nombreux jets violents qui viennent fouetter la matrice de Gudrun comme les vagues le phare en mer par gros temps. Ils partent les deux vers des rivages inconnus, elle, sentant pour la première fois l’effet de l’amour absolu d’un être aimé, c’est totalement différent d’avec Ami, là, il y a fusion complète. Pour lui, c’est l’aboutissement d’un rêve qui a peuplé toutes ses nuits d’adolescent, maintenant, il se sent vraiment adulte et homme, il a trouvé sa femelle.— Mais Saïd, si ce fut délicieux, il ne faut pas tenter le diable,  retourne dans ta chambre et reviens une fois douché et habillé prendre le petit déjeuner.— Oui Gudrun lui répondit-il les yeux encore remplis de bonheur.Pendant toute l’absence d’Ami, Saïd remplaça son père dans le lit des belles-mamans, avec tellement d’efficacité que finalement Myriam finit par tomber enceinte. État confirmé par le médecin. Le retour du Jedi *Au bout de trois semaines de fornication effrénées, vint le temps du retour du légitime propriétaire et tout doit rentrer dans l’ordre. On va en grande pompe l’attendre à l’aéroport pour le ramener de suite à la maison.Les retrouvailles furent joyeuses, Ami rentrant avec beaucoup de cadeaux. Ce fut la fête à Popol, car à part une petite infidélité au début, il s’était tenu chaste après réflexion. Il remit à Gudrun ce qu’elle avait demandé, c’est-à-dire une cage qui lui limitait ses envies à l’étranger s’il devait s’y absenter.Il était fou de joie d’être à nouveau père, profitait au maximum de ses épouses, quand un beau matin, quatre hommes rentrèrent dans la chambre de Gudrun lui intimant l’ordre de s’habiller, elle remarqua que ces serviteurs n’étaient pas les serviteurs habituels, mais ceux qui sont venus du royaume du père de Myriam pendant l’absence d’Ami. Ils n’avaient pas l’air de vouloir plaisanter.— Je veux voir Ami !— C’est lui qui nous envoie.Ils l’emmenèrent dans la pièce de détention, chambre crasseuse et mal isolée, avec consternation, elle vit qu’il y avait aussi Saïd, mais pas Myriam.— Qu’est-ce qui se passe Saïd ? Demanda-t-elle d’un air très sérieux.— Je ne sais pas, j’ai l’impression que père a perdu la tête.— Viens mon fils, dans mes bras qu’on se réconforte.Elle le prit contre elle et tout prêt de son oreille lui murmura, « ça je sens que c’est un coup de Myriam, il va falloir la jouer serré, je fais faire comme si tu m’avais demandé de remplacer ta mère que tu n’as pas connue, ce qui pourrait expliquer certains gestes déplacés. Joue bien le jeu et on devrait s’en sortir et surtout éliminer l’usurpatrice. »— Je veux voir mon mari, j’estime que j’en ai le droit.À ce moment-là, Ami, la mine sévère, avec son sabre de cérémonie, rentre dans la pièce de détention.— Pourquoi m’avez-vous fait cela ? Je ne vous ai pas assez gâté.— Ami, je ne sais exactement ce que tu nous reproches, mais j’en vois la raison, es-tu aveugle et naïf à ce point ? Je ne suis pas sûre après ce qui est arrivé si je vais éclairer ta lanterne ou laisser faire le destin et que l’an prochain on se retrouve, toi, Saïd et moi au paradis des imbéciles.— Que veux-tu dire par là ?— C’est pourtant clair comme de l’eau de roche. Réfléchis un petit peu à qui profite le crime. Penses-tu que ce soit moi qui en profite ou Myriam qui a tout tramé dans l’ombre comme une araignée tisse lentement sa toile. Elle est enceinte et si elle a un fils, automatiquement il viendra en concurrence avec Saïd, à moins que Saïd disparaisse.Si elle a un fils, tu n’es plus utile et le poison, lui par contre l’est. Le rattachement des deux royaumes se fera sans guerre. Mon pauvre Ami, ce que tu peux être naïf et ne pas voir ce qui pend au bout de ton nez.— Ma chère Gudrun, comment ai-je pu être aussi naïf, cependant cela fut confirmé par plusieurs personnes que vous aviez des attitudes pas en accord avec celles que doivent avoir un beau-fils et sa belle-mère.— Ah, je vois, Saïd m’a demandé de remplacer l’affection de sa mère qu’il n’a pratiquement pas connue, ce que j’ai accepté, sans penser à mal, vu que j’aime Saïd presque comme si c’était mon fils. Déjà à l’école, c’était mon élève préféré. Donc de serrer son fils dans ses bras, est chez nous parfaitement normal pour une mère, cependant je comprends que cela puisse être mal interprété.Par contre, si c’est Myriam qui est à la base de cette calomnie, et j’en suis presque persuadée, je vois mal mes relations futures avec elle, ni quelle suite à donner, il me semble que l’on a introduit un serpent dans la maison et je ressens un danger pour chacun de nous, maintenant que la vérité est découverte. Si tu veux la garder ici par crainte de représailles, je pense qu’il serait plus judicieux que provisoirement, je retourne avec Saïd pour sa sécurité à Tromsø**. Il y a une bonne université là-bas. On pourrait l’y inscrire.— Comme toujours, ma chère Gudrun, tu trouves réponse à tous problèmes épineux, c’est une bonne solution et cela empêche toute tentative de meurtre à mon égard, puisque l’héritier est hors de portée, difficile de lutter contre le poison, à moins d’éliminer l’empoisonneur, ce qui déclencherait une guerre immédiate.— Comme conseil complémentaire, je te recommanderai d’une part d’améliorer ton armée et d’autre part d’infiltrer celle qui te menace et plaçant des hommes à toi et sûrs aux commandes de l’armée de ton beau père.— Tu es vraiment aussi douée que Churchill, rien ne t’échappe.— Ne crois pas cela, celle-là, je ne l’avais vraiment pas vue venir.

*Les Jedi ([ˈdʒɛˌdaɪ]) sont des personnages de fiction imaginés par George Lucas, apparaissant dans la saga Star Wars. Guerriers-philosophes œuvrant pour le maintien de la paix dans la galaxie, ils sont dotés de pouvoirs surnaturels et reconnaissables à leurs sabres lasers.
** Huitième ville de Norvège, Tromsø est une ville du comté de Troms, située au nord du cercle polaire arctique, d’une superficie de 2 558 km², et qui comptait 70 358 habitants au 1ᵉʳ janvier 2012. Wikipédia
ÉpilogueSaïd, seul étudiant musulman à ce jour de l’université de Tromsö, fit des brillantes études en économie politique, couronnées par un Doctorat avant de revenir au pays et prendre la suite de son père qui se retira avec Myriam en Al Karit, elle avait compris qu’elle avait été déjouée. Saïd fit comme s’il n’avait rien compris de son complot, mais la prit entre quatre yeux et lui dit ce qu’il savait et qu’une sortie du droit chemin lui coûterait la vie.Entre temps, Ami devint le souverain d’Al Karit, pays de Myriam, l’armée qu’il avait infiltrée fut muselée et il se retira dans cette capitale, laissant Saïd et sa belle-mère administrer ses possessions. Gudrun, malgré sa bonne volonté, ne connut que peu sa fille, l’exil en Norvège l’en éloigna et au retour, elle était très indépendante de sa mère. Saïd fut son fils amant en remplacement de sa fille qui l’ignorait trouvant prétexte du manque de disponibilité de sa mère et son affection pour Saïd pour la snober. Finalement elle épousa un prince d’Arabie et se trouva reléguée dans un harem.A quarante ans, sur insistance de Gudrun, Saïd pris une jeune épouse en Angleterre et à partir de là, ce fut la fin de leur relation amoureuse qui se transforma en vraie relation mère fils.
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