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La Guerre du Trône des Baiseuses d'hommes incarnés en animaux [GTB]

Chapitre 1

Zoophilie
La Guerre du Trône des Baiseuses d’hommes incarnés en animaux [GTB] est une saga qui raconte dans un univers moyen-âgeux, les intrigues, luttes de pouvoir et conflits entre les femmes pour le contrôle du monde, sur une Terre où les hommes sont des chevaux herbivores, des chiens et dragons carnivores, ou des poulpes alguivores, et où il n’existe pas d’autres animaux sinon des micro-organismes comme les bactéries, les microbes et le plancton.

Les mâles-animaux des quatre représentants masculins de l’humanité de ce monde communiquent entre eux et avec les femmes par télépathie. Pour se reproduire, chevaux, chiens, dragons et poulpes copulent avec la femme, et, quand elle est fécondée, si le sexe de la progéniture est masculin, ils aspirent, pendant un prochain acte sexuel, l’ovule-œuf, dans un orgasme de deuxième type. Ce sont eux ensuite qui portent l’enfant animal. Ils sont dotés d’utérus, et, un vagin temporaire se forme entre leurs testicules pour l’accouchement. Si le sexe de la progéniture est féminin, c’est la femme qui porte l’enfant fille. Par ailleurs, les hommes ont les mêmes capacités mentales que les femmes mais, contraints par leur physique de bêtes, ils ne peuvent pas utiliser le langage oral, fabriquer des outils ou manier, par exemple, des armes.

Élevés par leurs mères, côtoyant leurs sœurs, toutes deux à la morphologie humaine, ils vivent dès le plus jeune âge avec leurs pendants féminins anthropomorphes et reçoivent la même éducation spirituelle et morale, sont soumis aux mêmes lois, mais évoluent dans des métiers spécifiques.

Les hommes-animaux libres sont rémunérés pour les tâches qu’ils effectuent, se trouvent et paient eux-mêmes leur nourriture et leur logement. Ceux en esclavage ou dits de bétail, effectuent les mêmes activités que les premiers, mais sont entretenus, puis abattus un jour pour leur viande, à dessein ou dès qu’ils ne sont plus rentables.

Les chevaux sont tireurs de chars, montures, spécialisés dans le transport de matériel, civiles ou soldates. Ils peuvent tirer aussi des engins agricoles. Les chiens tirent parfois des chars légers, sont gardes du corps, chiens de guerre, de piste et éclaireurs. Les dragons, relativement petits dans ce monde, hauts de deux à trois mètres à l’âge adulte, transportent des lettres et des colis légers. Ils ne crachent pas de feu. En attaque air-sol, ils sont vulnérables aux chiens de guerre mais peuvent blesser chevaux, jeunes poulpes et femmes sans armures. Ils sont dragons de piste, éclaireurs et explorateurs : ils décrivent la géographie aux cartographes et réalisent des missions d’espionnage. Enfin, les poulpes, autonomes en mer pour leur alimentation, grandissent pendant plusieurs décennies jusqu’à devenir des krakens imposants avec des bras pouvant atteindre une trentaine de mètres. Ils mènent en mercenaires des attaques côtières et navales et se reproduisent en introduisant leurs tentacules, terminées par des appendices sexuels, dans le vagin de femmes qui se livrent à eux sur les côtes, sur le pont d’un bateau ou sur la bordure d’une piscine où ils peuvent se trouver.

Le sang coule à flots. L’humanité de cette fiction fait face à une violence perpétuelle perpétrée dans ses rangs, où la compétition pour la couronne déchaîne les passions, tant des femmes que des hommes-bêtes. Les batailles sont incessantes et le royaume vit dans la zizanie et la souffrance. Ainsi en a décidé l’auteur du récit, Al Yssa, dont la série de romans érotiques est un succès international, dans un futur proche-lointain où cette littérature se banalise. Une adaptation cinématographique est réalisée et la série tirée des livres est encore plus populaire. Cependant, après plusieurs saisons ovationnées, l’écrivain est en panne d’inspiration pour produire la suite qu’on lui demande ardemment.

Soucieux de contenter ses fans et avide de célébration, il va voir un sorcier pour l’aider à retrouver des idées. Ce dernier lui lance un “sortilège d’imprégnation créative” qui devait stimuler son imagination, mais, à la place, cela le transporte dans une dimension parallèle où le monde qu’il a créé est la réalité. Il y devient le premier mâle anthropomorphe.

***


Je reconnais immédiatement le décor où je suis et les personnages qui m’entourent. Ma venue survient en fin de saison 6 sur les plaines d’Herbes-corrosives. Les femmes qui y récoltent la plante utilisée pour la production d’un puissant acide me regardent fixement. Je suis nu. Une paysanne s’approche de moi et tire sur mon sexe.


— C’est donc un vrai, s’exclame-t-elle, incrédule.— Je veux essayer ! demande une autre.

Je ne me remets pas moi-même de ma propre apparition et pendant que ces dames m’auscultent comme un animal étrange, je m’efforce de faire des tests de réalité pour vérifier que tout ceci ne soit pas un rêve. Je me pince, je regarde mes mains, j’essaie de respirer en fermant ma bouche et en obturant mon nez, je saute en l’air, je fais du calcul mental et me remémore les derniers événements, mais rien n’y fait. Mon expérience est tangible.

C’est même pire. J’ai l’intuition profonde que tout cela est plus authentique que ma vie d’avant, comme si mon passé avait été rêvé et que mes songes d’autrefois avaient été des rêves imbriqués, et pourtant j’ai créé le monde où je me trouve à présent.

Je connais toute l’histoire et les caractéristiques de cet endroit. J’en suis l’unique mâle capable de marcher et courir sur deux pieds, avec des mains, des cordes vocales et un corps tout entier voisin de celui de mes consœurs. Je suis le seul être vivant ici avec un pénis et des testicules, qui n’est ni un cheval, un chien, un dragon ou un poulpe. Je sens que je pourrais tirer avantage de ma connaissance experte des lieux mais j’en suis le dieu déchu. Je devrais me plier aux lois de l’univers que j’ai moi-même établies. Je ne peux plus le modifier, ne le pourrais plus jamais et mourrais même ici. Je n’en suis pas seulement persuadé, j’en ai la connaissance intuitive profonde.

Me voilà chassé de mes pensées à la vue de ces trois travailleuses de la terre qui enlèvent leur tunique et m’approchent, nues, brûlantes de désir. Toutes ont ardemment envie de me circlure. Je trouverais cela dérangeant si je n’étais pas excité, mais je bande fort et ai hâte de pénétrer ces beautés de mon imagination. Cela se passe sans mots. Habituées à la levrette, qui est presque la seule position sexuelle confortable pour le sexe ici, hormis avec les pieuvres, elles se présentent à moi en me présentant leur derrière.

Je veux leur faire découvrir des plaisirs nouveaux et les surprend en me plaçant face à l’une d’elle, en missionnaire, torse contre torse. Je lui caresse les seins puis lui suce les tétons. Je l’embrasse et la prend dans mes bras tout en la pénétrant. Je passe mes mains dans ses cheveux. Cela l’excite beaucoup. C’est la première fois qu’elle fait l’amour avec autant de proximité intime, de contact peau à peau, et nous jouissons ensemble rapidement.

— C’était trop bon ! s’exclame-t-elle après le coït. Je ne veux plus jamais le faire avec un cheval, un chien ou un dragon. Je ne veux plus que toi et les pieuvres !

Ses deux collègues s’allongent, écartent les jambes et m’invitent avec les yeux à recommencer avec elles.
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