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Guide moi

Chapitre 1

Erotique
— Tu as fait bonne route ?— Oui merci, niquel !
Je lui avais donné rendez vous sous le Mac Donald à côté de la sortie du RER. Elle découvre ma ville et a voulu venir un week end, j’ai proposé de l’héberger, et j’étais très surpris qu’elle accepte… et ses parents aussi.Elle, c’est Sophie, dix huit ans. C’est la cousine de mon ex avec qui je suis resté assez longtemps, j’ai donc déjà eu plusieurs occasions de voir Sophie et on s’est bien entendu. Moi c’est Philippe, vingt ans. Je suis étudiant et j’habite un studio dans le centre de la ville de province où je fais un cursus en école d’ingénieur. Je suis assez quelconque, un mètre soixante quinze, quatre-vingt et quelques kilos et pas que du muscle.
— Tu as mis combien de temps ?— C’était assez rapide sauf la dernière correspondance. Je suis tombée sur un groupe de jeunes un peu lourds…— Ah zut ! Ils t’ont embêtée ? — Oui et non… plutôt à me fixer, rigoler,… et j’aime pas ça, me sentir exposée…
Sophie est très timide, cela se sent. Déjà physiquement elle est un petit gabarit : un mètre soixante, très fine, une belle chute de rein, une poitrine qui doit être un quatre-vingt cinq A, un petit cul. Elle est châtain clair, coupe courte, des yeux bleus en amande, un visage très fin et un magnifique sourire qu’elle essaye toujours de cacher ce qui lui donne un charme indescriptible. Elle ne se maquille pas et cet air naturel accentue ce côté fragile.
On continue d’échanger des banalités et nous arrivons dans ma résidence, on monte dans l’ascenseur
— En tout cas c’est cool de m’accepter chez toi !— Tu plaisantes ! Je suis super heureux !
Mais j’ai été surpris que tes parents acceptent… tu es à six cents kilomètres de chez toi chez un mec plus vieux pour tout un weekend dans un studio !— Ouais enfin bon, de un j’ai dix huit ans, et de deux ils ont confiance en toi puisque tu as été avec ma cousine quasiment trois ans… et ils savent que tu n’es pour rien dans la rupture. Donc…— Donc je suis pas un danger de dévergonder leur fille quoi !
Elle se retourne vers moi avec une moue dubitative et je lui fais un petit clin d’œil. On arrive à l’étage et on rentre dans l’appartement que j’ai fait nettoyer pour l’occasion.

— Je te présente mon palace ! Alors ici la pièce de vie, ici la cuisine, là les chiottes et la salle de bain. Trente cinq mètres carrés loi Carrez  !— C’est pas mal ! Tu dois être bien ! Et pour une garçonnière c’est bien décoré et propre ! Et là c’est elle qui me décoche un clin d’oeil— Je ne me plains pas … si ça te va, tu dors dans le clic clac et moi dans le lit une place.— Pas de soucis, j’espère que tu ne ronfles pas !— Euh… je pensais pas dormir et parler avec toi toute la nuit alors !
On se met à rire et elle défait sa valise. On ressort faire quelques courses et on rentre.La soirée se passe à se raconter des anecdotes du temps où je sortais avec sa cousine.
— D’ailleurs on a jamais trop su ce qu’il s’était passé à la fin. Juste que vous avez rompu d’un commun accord— Je ne sais pas si je peux te le dire !— Pourquoi ?— Je ne veux pas que ça brouille ta famille — Alleeeez, dit-elle en me tapotant la main, fais pas ton timide ! Et puis y a prescription, ça fait quatre mois…— Bon ok mais si je démarre les confidences alors c’est donnant donnant !— Ah… ok ! Mais d’abord toi !— Ben elle s’est laissée draguer, je l’avais déjà sermonnée et dit que ça n’était pas correct. Puis elle m’a trompé avec le gars. On a fait un break, elle a essayé de revenir mais je ne faisais que l’imaginer avec lui. Du coup j’ai rompu.— Nooooon la salope !— Euh doucement c’est ta cousine !— Oui mais je la voyais pas comme ça ! Dévergondée et allant chercher ailleurs.— Pour être honnête, elle a avoué m’avoir trompé. Mais pas couché. Attouchements, caresse, orgasme par frottement quoi…
Je la vois rougir et enlever une mèche de devant ses cheveux pour masquer sa gêne… elle attend quelques secondes et me répond :— Ca reste en effet tromper et ce n’était pas correct.— A toi maintenant ! C’était quand ton dernier orgasme par frottement avec un mec ?— Ah ouais t’es comme ça ! Direct ! Je te réponds après un passage toilettes !— Pfff dégonflée !
Elle se lève, passe aux toilettes et revient et me ressort :
— Franchement hyper bien ton appart. Tu es là depuis longtemps ?
Je comprends le changement de sujet et n’insiste pas. La soirée se passe sur nos goûts en matière de musique et de cinéma.On décide de se mettre en pyjama pour se coucher, elle va dans la salle de bain, j’en profite pour défaire son lit et me mettre aussi en pyjama… enfin faut le dire vite, je dors juste en short en coton. Elle revient, vêtue un long t-shirt informe qui descend jusque milieu cuisses.
— Dis donc tu l’as piqué à ton mec ?— Pas du tout ! Et je suis super à l’aise— Ah oui je peux comprendre, mais pour le côté sexy… tu repasseras !— Ah ben merci !
Elle me répond sur un ton froid et sec, alors que je plaisantais. Je n’insiste pas, on se couche chacun dans nos lits et j’éteins les lumières. Je brise le silence
— Excuse-moi je ne voulais pas te vexer.
Après quelques secondes elle me répond d’une voix qui a perdu toute animosité.
— Je sais que je ne suis pas sexy. Ce n’est pas la peine d’en rajouter. — Je n’ai jamais dit ça. J’ai dit que cette tenue ne l’était pas. Je ne parlais pas de toi.— Arrête, je sais bien que je suis pas un canon.— Cela n’a rien à voir. Tu veux que je te dise franchement ? Moi je te trouve hyper sexy.— Rattrape-toi aux branches. — Je te jure. Mais pas à cause de ton corps. A cause de ton sourire, de ton gabarit, de ton naturel, de ta manière de me regarder, à ton cou, à ta gentillesse…— N’importe quoi. Et c’est pas ça qui attire au premier abord ! Sinon ça fait bien longtemps que…
J’attends la suite.
— Que quoi ?— Que rien.— Allez dis moi.— Ben pour reprendre ton expression, que j’aurais eu un orgasme par frottement.
Un blanc s’installe.
— Tu veux dire que tu es encore… vierge ?— Oh oui vierge de tout ! — Tu n’as jamais été nue avec un mec nu ?— Non.— En sous-vêtements ?— Non.— Habillée mais contre lui tellement près que ton bas ventre sentait son érection ?— Non.— Ah ouais… mais je comprends pas, moi j’aurais rêvé t’avoir dans mes bras !— Tu dis ça pour me faire plaisir , je sais que je suis pathétique…
Elle se met à sangloter.Je sors de mon lit et je viens soulever la couette et me mettre à côté d’elle. Entre deux sanglots elle me regarde et me dit :
— Tu fais quoi là ?— Rien, te consoler et juste te prendre dans mes bras.
Je passe une main derrière son cou, nos têtes se rapprochent et on s’enlace pendant qu’elle pleure sur mon épaule. Je lui dis :
— Tu sais, je ne rigole pas. J’aurais rêvé goûter ta peau blanche, parcourir ton dos, dessiner le coutour de ta petite poitrine qui doit juste être magnifique, descendre sur tes hanches. J’aurais adoré goûter tes lèvres et vérifier si ta langue est aussi douce que toi.— C’est vrai ?— Oui.— Tu dis ça pour me faire plaisir. — Absolument pas. Si je savais que je te plaisais je tenterais ma chance.— Ça serait trop bizarre. Tu t’es tapée ma cousine, tu ne ferais que comparer.— Si je ne te plais pas, ça règle le souci, sinon …— Sinon quoi ? Et puis on dirait quoi à ma cousine ?— Je te propose un pacte.
Elle décolle sa tête de mon épaule. Elle la repose sur mon bras. On se fait face, à quelques dizaines de centimètres.
— Je t’écoute.— Cette nuit.— Quoi cette nuit. — Je te propose que cette nuit nous appartienne. Tu souffres de ne pas avoir expérimenté, tu n’as pas l’air de me trouver repoussant, je rêverais de te faire découvrir des choses. — Donc ?— Donc cette nuit je te donne une première leçon. Mais demain matin dès que le soleil apparaît, on n’en parle plus. On ne debriefe pas. Ce sera un rêve mais sans lendemain.— Je ne sais rien faire, je vais être nulle. Et puis je veux pas coucher avec toi et que tu sois mon premier ! Même si oui, je ne te trouve pas repoussant— Qui te parle de coucher ?— Alors quoi ?— Je te promets de ne rien faire que tu ne veux pas. Que tu peux toujours dire stop. Que je ne coucherai pas avec toi sauf si tu me supplies. Je veux juste m’occuper de toi.— C’est tout ? Pas l’inverse ?— Tu décideras. Moi je veux juste t’entendre gémir. Écouter tes soupirs sous mes caresses, sentir tes doigts se crisper pendant tes orgasmes.— Mes ? Au pluriel ?— Oui.
Elle semble réfléchir. Elle me sourit avec malice et me dit :
— Je ne peux pas m’inscrire à une formation juste parce que le formateur est mignon. Je veux connaître le déroulé et les objectifs.— Tu es rude.— Oui je sais mais ça me plait quand tu me parles de sexe. Tu en parles si tendrement et de manière douce. Ma cousine m’a dit que tu étais très bon en préliminaires…— Elle te parlait de ça ???— Oui, une fois. Comme elle savait que je n’avais rien fait, elle me décrivait et je ressentais un peu par anticipation. — Tu veux dire que tu sais ce qu’on faisait ?— Oui. — Vas-y, prouve le !— Ça me gêne de te dire ce que je sais…— Et moi j’ai envie de t’entendre parler de sexe.— Ok… alors je sais que vous aviez un jeu où vous deviez vous tenter mais que l’autre ne devait pas craquer, et que dès lors que celui qui était passif faisait un geste vers l’autre, vous inversiez les rôles. Je sais que tu as beaucoup aimé sa première pipe mais elle pas trop. Je sais que tu aimais beaucoup la faire jouir avec ton sexe contre le sien mais sans faire l’amour. — Je ne sais pas trop quoi te dire. Tout est vrai. Je suis sur le cul qu’elle t’ait dit tout cela.— Je pense que ça l’excitait de me le raconter. Et je dois dire que...
Elle laisse un blanc avant de continuer, elle baisse les yeux pour ne plus soutenir mon regard avant de continuer.
— Je dois dire que moi aussi ça m’excitait quand elle me racontait.— Et après ?— Quoi après ?— Quand tu étais excitée, tu laissais redescendre ou…— Ben non gros bêta. Bien sûr que non. Mes mains étaient et sont toujours mes seules alliées.— Donc tu es en train de me dire que tu te carressais en pensant à moi ?
Je la vois rougir et me répondre « Oui ».Je mets ma main sur sa joue, et mon pouce dessine lentement ses lèvres. Puis je lui remonte le menton pour qu’elle me regarde.
— Si je suis déjà ton fantasme, je ne suis pas sûr d’être la hauteur. Mais je te promets d’essayer.
Je me penche vers elle et pose mes lèvres sur les siennes. Je reste appuyé, puis mordille doucement sa lèvre supérieure. Elle me rend mon baiser et je sens l’humidité de ses lèvres sur les miennes. Nos langues se cherchent, se touchent, se frôlent. Nos corps se rapprochent aussi et ma main descend dans le bas de son dos pour la serrer contre moi. Le contact de son bassin contre le mien presse mon sexe déjà bien dur. Cela lui fait esquisser un sourire pendant que je mordille ses lèvres sensuellement. Puis d’un coup elle me repousse et se détache de quelques centimètres.
— Attends !— Quoi ? C’est d’avoir senti l’effet que tu me fais en bas qui te fait arrêter ? Je croyais que…— Non pas du tout, au contraire. Mais je veux savoir ce qui m’attend !— Ah oui la formation… tu veux quel niveau de détails ?— Le plus possible, je crois beaucoup au pouvoir des mots et ta voix m’excite autant en vrai que dans mon rêve. — Je vais te guider et te faire monter doucement vers la jouissance. Je vais te faire venir sur moi, t’apprendre à bouger ton bassin sur le mien. Je vais ensuite te faire découvrir l’effet de mes mains sur tes seins, puis de ma bouche sur tes tétons. Puis. Tu seras allongée sur le dos, peut-être même allongée sur moi pendant que doucement j’irai toucher et m’aventurer entre tes cuisses. Peut-être même que tu me supplieras de rentrer un doigt en toi. Mais après, je jouerai avec mon sexe à l’entrée du tien, et enfin descendrai ma bouche pour que la chaleur sur ton clito te fasse monter en haut de la montagne. Mais cela ne sera pas fini. Car après on parlera de nos fantasmes, et cela t’excitera de nouveau. Alors je te caresserai dans d’autres positions, et peut être que tu prendras du plaisir à m’en donner de manière plus directe. Voilà madame. Alors ? Le programme vous plaît ? A la fin de la session, vue que c’est notre nuit, et notre seule nuit, je ferai en sorte que tu saches quoi faire pour prendre du plaisir avec le prochain. Tu ne seras plus novice et une oie blanche au petit matin. Et plus tu prendras des initiatives et plus cela sera intéressant. Mais on verra pendant la nuit ….
Elle me regarde, des étoiles dans les yeux. Je n’avais remarqué que sa main gauche avait disparue de sa cuisse car la bosse sous la couette était plus plane, mais son bras est toujours le long de son corps. Je soupçonne qu’elle ait commencé à se caresser. Puis, je sens bouger entre nos bassins et je sens sa paume se poser à plat maladroitement sur mon sexe et l’enrouler avec le tissu du caleçon — Mmmm oui … Sois mon guide de haute montagne.
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