Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 68 J'aime
  • 4 Commentaires
  • Corrigée par l'équipe

Guide moi

Chapitre 3

Le reveil

Erotique
Je rechange encore de narrateur. Précédemment : Sophie, pucelle, passe le weekend qui aurait dû être tout bien tout honneur, chez Philippe. Ils ont conclu le pacte que la nuit serait celle de la découverte pour sophie, mais rien que la nuit. Elle vient de s’endormir après deux orgasmes consécutifs aux caresses de Philippe.N’hésitez pas à aimer et commenter !———-Philippe———-Qu’est-ce qu’elle est belle. Elle est sur le côté droit, tournée vers moi, sa main droite sous son oreiller et la gauche posée sur sa hanche. Elle dort et je peux voir une expression de quiétude sur son visage. Elle doit être épuisée, et pourtant elle n’a rien fait que se concentrer sur son plaisir. Je repense à son bassin qui se cambrait sous ma langue, à son sexe serrant mes doigts pendant ses orgasmes. Et ses petits cris, timides et étouffés, sensuels et sexy. Dieu qu’elle est belle.Je bande encore fort.J’ai toujours mon short mais la bosse le déforme. Je la regarde et j’imagine ce qu’elle aurait pu me faire. Sa bouche, ses mains. Sur moi, autour de mon sexe. Je passe ma main sous mon short et me masturbe doucement. Je regarde ses petits seins que même la gravité ne fait pas se toucher. Ce corps nu à côté de moi est top parfait. Petit, ferme, blanc, cette toison qui jure par sa noirceur, cette légère humidité encore au creux des cuisses. Je me branle doucement jusqu’à ce que je jouisse en silence. Puis je m’endors aussi.
Je suis réveillé par du mouvement à côté de moi. J’ouvre les yeux et je vois s’éloigner un petit cul vers les toilettes. J’attends quelques instants, j’ai encore le short un peu humide de ma branlette de la nuit. Sophie ressort et revient vers le lit, elle a remis son grand t shirt mais je ne sais pas pour la culotte. J’ai les yeux mi-clos et elle doit penser que je dors encore.Elle se glisse sous les draps en me tournant le dos, elle attrape son portable et pianote des choses. Que dit-elle ? Annonce-t -elle à quelqu’un ses premiers orgasmes ? Son premier cuni ? Rien que d’y penser un afflux sanguin dans mon bas ventre se fait sentir.Je me rapproche et me colle contre elle dans son dos. Elle sursaute
— Coucou toi, me dit-elle.— Mmmmm salut !
Je pose ma main sur l’os de sa hanche et du bout des doigts descends sur sa cuisse.
—Euh… tu fais quoi là ?— Je ne sais pas… — On avait un pacte.— Le soleil n’est peut être pas encore levé ? Dis-je avec une pointe d’ironie. — Il transperce tes volets ! Me dit-elle sèchement.
Je garde un air mutin.

— Si on le décidait, on pourrait s’imaginer que ce sont des lampadaires puissants et donc que la nuit et notre pacte courent toujours…
Elle se retourne vers moi, séparant nos deux corps, je me recule. Elle me tend son téléphone :
— Il est dix heures !— Oh ça va j’ai compris ! Désolé de penser que peut-être tu aurais voulu continuer. Que tu aurais apprécié !
Elle me regarde et adoucit son visage.
— Désolée tu as raison. Cette nuit c’était… (elle lève les yeux aux ciels, tord sa bouche) génial. J’ai joui comme jamais je n’avais joui. Tu es un merveilleux masseur et tu as réussi à me faire exploser. — C’est vrai ?— Oui.— Continue, tu es tellement sexy quand tu parles cul !— Je ne pensais pas que cela pouvait être si bon.— Tu as préféré quoi ? Enfin… si notre pacte permet de débriefer.— Je t’accorde trente minutes !— Madame est trop bonne.— Mmmmm oui je sais, enfin j’espère le devenir ! Dit-elle dans un sourire. — Prendre du plaisir est déjà une bonne étape. Bref je n’ai que trente minutes. Tu as préféré quoi ?— Quand j’étais sur toi, à califourchon. Sentir ton sexe sur le long du mien, trop bon. Et puis bien sûr ta langue.— Tu n’es pas déçue alors ?— Bien sûr que non. Et toi ? Pas trop frustré ? Je suis désolée…— Moi ne t’inquiète pas. J’ai adoré te faire jouir. Et si je peux t’avouer un truc…. Je me suis fait jouir aussi après.
Elle me regarde d’abord avec un petit air de dégoût, qui se transforme en demi sourire
— Petit cochon va… et c’était bien ?— Oui ! Pour une masturbation solitaire. — Je comprends… tu pensais à quoi ?— Tu veux vraiment savoir ? Tu ne seras pas choquée ?— Non vas-y, mon féminisme est au placard.— Je te regardais, je pensais à tes mains sur moi, à ta bouche autour de mon sexe, je m’imaginais avec ta langue et puis je te faisais l’amour.— Tu me flattes ! D’ailleurs pour le temps restant, on pourrait parler de nos fantasmes ? — Si tu veux. Démarre.— Oh tu sais moi, je suis classique. Et comme je suis pucelle, c’est plutôt des scènes de film : sous une douche, avec des bougies…trucs dans le genre quoi.— Ah oui en effet pas très poussé comme réflexion !— Fais le malin ! Dis-moi toi.— Mmmmm alors, par où commencer… j’ai plusieurs cas. Fantasme de situation ou de lieu, parfois qui se combinent.— Mais je vois que monsieur a presque fait une thèse !
J’adore cette conversation sur l’oreiller. La lumière du jour se reflète sur sa joue rose, ses lèvres fines humides et ses yeux clairs pétillants. Je fonds dans son sourire. Je me sens tellement bien.
— Je fantasme par exemple sur le fait de jouer le rôle d’un prof particulier et ma partenaire celle de l’élève qui veut se faire pardonner de ne pas avoir travaillé. Mais elle serait trop timide et demanderait que je lui donne des ordres de tout faire. Autre exemple, je rêve de rentrer et que ma partenaire sorte de la douche juste avec peignoir ou serviette, les cheveux humides le visage rougi par la vapeur, et qu’elle me déshabille dans le couloir et qu’on y fasse l’amour ou qu’elle descende à genoux pour une pipe. Y aussi plus classique de me faire attacher ou les yeux bandés. Ou dans un endroit interdit : cinéma, toilettes… je n’ai pas le fantasme de l’inconnue mais plutôt de lieux ou moments avec ma partenaire.— C’est tout ? Demande-t-elle en souriant. Je peux t’en voler quelques uns ?— Attends je finis : y a aussi juste dans un lit où elle me dirait « ne t’occupe de rien ce soir c’est moi qui m’occupe de toi », et enfin une pipe où elle me regarderait dans les yeux quand je finirais sur son visage ou dans sa bouche.— Un peu avilissant quand même… mais ma cousine ne t’a jamais fait ça ?— De quoi ?— Ben un de tes fantasmes ou du moins une fellation ?— Si, mais jamais jusqu’au bout. Quand j’étais sur le point de finir elle s’arrêtait et finissait à la main… c’est un peu comme si hier soir je m’étais arrêté de lécher juste avant l’orgasme.— Je te confirme que ça aurait été nettement moins bon ! Le jour où je ferai une pipe je m’en souviendrai ! Même si ça me dégoûte un peu. En tout cas sympa tes fantasmes ! Le coup du scénario prof tu m’as surprise, mais en y réfléchissant…— Oui ?— C’est vrai que des mises en situation ça peut être sympa. Tu savais que j’ai fait du théâtre ? Et puis maintenant que j’y repense, je me caressais au collège en pensant à mon prof de maths.— Arrête ! — Pourquoi ?— Sinon je vais bander.— Ah oui ce serait dommage que tu doives te branler à nouveau ! Mais c’est quoi qui te fait bander ?— Devine.
Elle passe sa main dans ses cheveux, le long de sa joue, et passe son pouce sur ses lèvres, son bout de langue sortant délicatement faire le tour de la pulpe de son doigt.
— C’est quand je dis que j’imaginais mon prof me doigter sur son bureau après les cours, quand il m’allongeait de force, qu’il me promettait une bonne note si j’étais bien sage ? Ou quand je m’enfonçais un doigt en pensant à son sexe en moi ? Ou quand je dis que je penserai à me faire éjaculer dans la bouche à ma première pipe ?— Ça te dérange si je me branle pendant que tu continues à me parler comme ça ?
Elle ne s’attendait pas à cette réflexion. Elle semble réfléchir et s’amuser de cette situation. De mon côté j’imaginais qu’elle me grimperait dessus et me ferait ce qu’elle dit mais elle n’a pas l’air d’y penser. Elle me regarde en souriant d’un air coquin :
— J’adorerais que tu jouisses devant moi et que je te regarde — Tu veux me voir à poil ?— Mmmmm non, juste en short c’est bien, je devine ta bosse. Mets ta main dans le short et attrape-toi.— Vicieuse !— Oui mais tu aimes ça…. Mmmm ce prof de maths… il allait me pénétrer mais non, d’abord il me demandait de me mettre à genoux. Je le regardais en suppliant mais il m’enfonçait son engin dans la bouche. Je me caressais et je gémissais en imaginant son sexe. Mais je préférais mimer comment il s’enfonçait en moi… mmm si profond… — Continue j’aime t’imaginer.— Oui imagine-moi, une main sur ma chatte et l’autre sur mes seins, je me caresse je me doigte. — Je viens, je viens t’arrête pas— Il pousse en moi trois fois très profond, mes doigts sont au plus loin en moi, je courbe mes phalanges et cherche mon point G , je me cambre et crie en silence parce qu’en récréation dans la cour on ne doit pas m’entendre.
De longs jets de sperme atterrissent sur ma main sous mon short. Je m’essuie doucement et ressors ma main.
— Tu es contente ?
Elle me jette un œil de défi.
— Tu pensais que je ne le ferai pas !— J’avoue.. tu m’as surprise. Et c’était si… réaliste.— Je me suis surprise aussi…
Et elle pose une main à plat sur mon sexe qui débande furieusement.
—C’est trop tard !— Je voulais sentir si tu avais vraiment joui. — Tu sens ?— Oui, beaucoup de jus ! Je ne pensais pas avoir ce pouvoir. Un monde nouveau s’ouvre à moi ! Allez ! — Quoi allez ?
Elle se lève d’un bond, enlève son t shirt, elle est de dos, je vois son cul. Elle tourne juste la tête vers moi et me lance, en sortant de la pièce :
— On va faire des courses.
Diffuse en direct !
Regarder son live