Je me présente, je m’appelle Guillaume. Je vais vous raconter mon histoire alors que j’avais 18ans et que j’étais encore étudiant. J’étudiais les sciences du cinéma au lycée et tout se passait bien. Pour valider ma fin d’année en option cinéma, je devais faire 6 semaines de stage dans un studio. Ce studio nous était attribué par tirage au sort, nous n’avions donc pas le choix. Ce fut ainsi que je tombai, avec une autre amie, dans un studio de cinéma pas comme les autres : land X production. C ’était un petit studio de production de films pornographiques du coin. Ce stage, qui doit vous sembler complètement fou pour un stage de l’éducation nationale, avait pourtant passé l’aval des contrôles. Nos parents avaient ensuite été informés de ce choix, même si nous étions majeur. Ce stage, je ne vous le cache pas, avait surpris les parents de mon ami et les miens. Quand nous eûmes appris notre destination, nous eûmes dans un premier temps été surpris, limite choqués et la question de savoir si nous allions y allez s’était posée. D’une, la peur de ne pas être à l’aise dans un monde aussi spécial était présente, encore plus quand on connaissait notre inexpérience dans le domaine du sexe. De deux, la peur du regard des autres s’était vite posés, mais l’aval de la famille et les amis ayant poussé pour que nous y allions et que nous leur racontions se qui se passe vraiment dans ce monde nous avait poussé à accepter. Nous avions donc signé ensemble un contrat de 6 semaines avec le studio. Peut de temps avant notre arrivé au studio, Céline et moi avions souvent parlé, elle se posait beaucoup de questions sur se qui allait se passer, elle avait même avoué lors d’un repas à la cantine avoir regarder en une semaine un film X par jour pour comprendre là où elle allait. Ainsi, même si elle avait toujours une appréhension, elle avait moins peur, elle se disait que c’était tout de même un monde professionnel, que ça devrait bien se passer. Et, au pire, ce n’était que six semaines. Le jour de notre arrivé arriva plus rapidement que l’on ne le pensait, et un lundi, à 8 heures pétantes, nous arrivâmes au studio. Tous les deux stressés comme pas possible, nous fûmes accueillis par une grande dame, long cheveux bruns et bouclés, lunettes sur le bout du nez, décolleté plongeant laissant voir une poitrine refaite, jupe droite moulant un cul encore ferme et de hauts talons. Elle se mit à nous parler en même temps qu’elle nous guidait dans le studio. -Je me présente, Sonia, autrement connue dans le monde pornographique sous le pseudonyme de Sonny. J’ai monté se studio il y a une dizaine d’années. c’est un peu le bébé que je n’ai jamais eux maintenant a 50ans. Ce studio survit depuis quelque temps avec des recettes un peu justes et j’ai besoin de monde pour lancer une nouvelle activité. c’est pour cela que j’ai fait appel a votre école : pour tester le marché. On vous en a parlé ? -Non, nous n’avons eu aucune information de notre travail au lycée. Notre prof nous a dit qu’elle préférait que nous prenions des infos de première main par vous, lui répondis-je. -Oui, je pensais bien que cela serait le cas de la part de Madame De Bajack. Bon, suivez-moi, je vais vous faire faire le tour du local. Pour le moment c’est encore calme, tout le monde arrive quand il veut ici, nous n’avons ni horaire, ni pointage et nous ne calculons presque pas le temps de travail de nos réguliers. Ici, seul le nombre de vidéos fournies en fin de mois compte. Par exemple pour le mois de mai, nous somme le 12 aujourd’hui, nous avons déjà fait 80 % du cota demandé, je pense donc que le mois va finir calmement, un avantage pour vous. Des questions ? » Céline réfléchit à ce qui fut dit et demanda a Sonia comment étaient organisées les équipe, ceux qu’elle appelait les réguliers par exemple. -Ici, nous avons une façon de travailler un peu particulière dans le monde du X, nous fonctionnons avec un certain nombre de réguliers, des personnes en contrat à durée indéterminée, que se soit l’administratif ou bien les actrices, les acteurs et autre personnel de tournage. À cela viennent s’adjoindre certains plus : des pigistes dirait-on, qui viennent pour une vidéo ou deux et qui sont payés à la prestation. » Ce fut à ce moment là que nous croisâmes une seconde fille, rousse, yeux verts émeraudes, une poitrine fine mais qui pointe (je le sais car elle n’est habillée que d’un soutien-gorge vert et de porte-jarretelles qui vont avec). Elle dit bonjour a Sonia d’un bisou naturel sur la bouche, elle me fit la bise ainsi qu’à Céline. Sonia reprit la parole pour nous la présenter : « Voici Lila, je voulais justement vous la présenter. Elle sera votre guide ici et vous expliquera ce pour quoi vous êtes là. Elle a 20 ans et nous venons de signer un CDI. je pense que ce sera une bonne chose pour vous que de travailler avec elle et avec Ludovic, qu’en dis-tu Lila ? -Je pense que l’on va bien travailler et bien rigoler ensemble. -Et vous, qu’en dite-vous ? nous demanda Sonia. -Je pense que si vous l’avez choisie il n’y aura pas de problème, répondis-je. » Céline, encore un poil gênée, répondit qu’il n’y avait aucun problème et Sonia nous laissa dans les mains de Lila. -Bon, je doit vous laissez, conclut-elle avant de partir. J’ai une roumaine qui arrive pour le prochaine gonzo de Fred et je pense bien que je vais lui faire faire un test avant, et en personne ! Sinon, Lila, ta tenue est parfaite. Céline, prends-en note. » Elle nous laissa avec Lila et partit dans le couloir. Cette dernière reprit alors la main et nous dit : -Et si nous allions parler de vous dans le dressing de la boîte ? On m’a dit que l’on vient de recevoir un colis d’affaire, je veux voir ça.
