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Gwendoline, le loup-garou et moi

Chapitre 3

Surprise sur prise.

Zoophilie
Le plan de Gwendoline était simple et compliqué à la fois.
Il s’agissait de trouver un site de rencontres de cul, voire un site zoophile, et d’y trouver la première venue.Mais, et c’est là que les choses se compliquaient un peu, comment rédiger l’annonce ?
"Cherche jeune pucelle pour se faire démonter par un loup-garou" ?
Non, ça ne marcherait pas, évidemment.
Nous cherchâmes donc une annonce plus neutre. Sur les sites de rencontres, nous écrivîmes : "recherche femme vierge pour rencontre très spéciale". Il y eut quelque réponses mais dès que nous abordions la question du partenaire animal, on coupait court, quand on ne traitait pas carrément Gwendo de folle, de dégénérée ou de dépravée.
Sur le site zoophile, l’annonce était plus claire : "Cherche vierge pour se faire démonter par un énorme toutou à grosse bite".Les réponses furent plus nombreuses, y compris d’hommes mais aucune femme n’était vierge.
L’idée, quand nous aurions trouvé la fameuse pucelle était de lui dire que nous la ferions se faire déflorer "à l’aveugle" par le propriétaire du chien avant que le chien ne la monte.
Après, grâce à ses dons de télépathie, Maxime lui expliquerait et on lui enlèverait le bandeau.
Pour être tout à fait honnête, je n’y croyais pas trop.
Quant à la surprise que nous avait annoncée Maxime, j’avais une petite idée...
De mon côté, comme convenu, j’avais loué un gîte, à une adresse isolée que Maxime m’avait indiquée, pour la prochaine pleine lune.
La date approchait et nous n’avions toujours pas trouvé la fille.

Gwendoline désespérait, à tel point qu’elle ne voulait même pas se rendre à l’invitation de Maxime, tellement elle avait honte de s’être montrée aussi sûre et d’avoir échoué.
Je la consolai et lui promis que ce serait pour la prochaine fois.
Jusqu’à une heure de notre départ, elle espéra encore trouver notre compagne de jeu, mais elle fit chou blanc.
Le trajet fut morose. Elle avait tant espéré que, dès ce soir, Maxime pourrait se transformer à sa guise, les jours où il le voudrait, et qu’elle pourrait bientôt se mettre en ménage avec cet être exceptionnel. Je tâchai de la consoler en lui disant que Maxime ne nous en voudrait pas et que l’on remettrait cela au(x) mois suivant(s) (au pluriel car je n’étais pas convaincu d’y arriver de sitôt).
Il faisait déjà nuit noire quand nous arrivâmes au gîte. Nous installâmes le salon pour baiser au sol. Nous avions amené des futons pour plus de confort. Il faisait frais. J’allumai un feu dans la cheminée. Nous n’avions plus qu’à attendre.
— Putain j’ai même pas été capable de lui trouver une vierge et lui, il vient avec une surprise! J’ai l’air de quoi ?— Mais laisse tomber à la fin ! Tu es lourde. Il est cool Maxime. Il ne t’en voudra pas.— Oui... oui, tu as sans doute raison... Et d’après toi, c’est quoi sa surprise ?— Oh ben, après les loups, il va nous ramener un chien... Et qui sait, un bon toutou que l’on pourra garder....— Ah, tu crois ? C’est possible... mais ce sera toujours bien moins que lui....
Il nous restait un petit quart d’heure à attendre. Nos ébats sexuels avec Maxime, tant lorsqu’il était seul la première fois, qu’avec ses loups, nous avaient complètement désinhibées. Et de copines que nous étions, nous passâmes à des plaisirs partagés. Pour lors, entièrement nues, à genoux face à face, tenant nos seins dans nos mains, nous nous amusions à caresser nos tétons les uns contre les autres. Et puis minuit sonna.La porte s’ouvrit ! La surprise annoncée était de taille !
— Ben Maxime que t’est-il arrivé ?
En effet, notre Loup-garou avait réduit de deux têtes au moins. Il était à peine de ma taille et donc légèrement plus petit que Gwendoline. Son museau était beaucoup plus plat, presque écrasé et ses oreilles plus petites et rondes. Sa carrure était très différente. Il était énormément trapu, très musclé. Sa pilosité était très différente. Il n’avait presque aucun poil sur les membres et le torse mais davantage sur le pubis et sous les bras. La couleur de sa peau était beaucoup plus jaune, comme s’il avait eu un ictère. Ses pecs avaient l’allure d’un vieux parchemin. Et surtout il y avait sa bite ! Pour distraire Gwen et la consoler de son échec, j’avais prévu de la mesurer mais elle était beaucoup plus courte que dans mes souvenirs, et surtout presque "humaine". Elle avait une sorte de gland, très dessiné et très long posé sur le dessus un peu comme un chapeau de champignon. Les couilles aussi grosses me parurent beaucoup plus pendantes.
Il nous regardait, la queue fièrement tendue toute droite d’où suintait déjà un épais bouillon blanc.
— Ben alors qu’est-ce qu’il t’est arrivé ? Raconte !
Nous étions déjà sur lui, chacune d’un côté à lui caresser les pompons.
— Aller, réponds merde ! Il t’arrive quoi max ? T’es pas drôle !
Et sur cette dernière remarque de Gwen, j’eus une illumination.
— C’est pas Max ! dis-je ne me reculant d’instinct.
Ce à quoi Max répondit :
— Ah quand même; vous avez mis le temps !
La porte s’ouvrit et Maxime entra tel qu’on l’avait toujours connu. Pour celui qui n’a jamais vu un loup-garou rire, c’est un spectacle surprenant. On aurait dit un tuberculeux à l’agonie.
— Ah je vous ai bien eues les filles. Laissez-moi vous présenter Monsieur Itataché Ténéné, le Loup-Garou japonais, un ami.— Enchantées, répondîmes-nous en cœur.— Il faut vous "approcher " de lui les filles... si vous voulez le comprendre.— Ah oui c’est vrai. Un petit coup de sperme sur la langue, ça la délie... Et lui il nous comprend ?— Un loup-garou est parfaitement polyglotte, voyons !— Eh bien Monsieur, Ténéné, dit Gwendoline, si vous voulez bien me donner votre bite que nous fassions connaissance.
Et aussitôt elle se mit à le pomper, puis ce fut mon tour et quand nous eûmes l’une et l’autre avalé ce que nous souhaitions de foutre, nous pûmes entamer la conversation.
— Bienvenu chez nous monsieur Ténéné.— Appelez-moi Ita.— OK Ita, bienvenue !— Alors, et ce concours de bites ?— Comment savez-vous ?.... ah oui, vous lisez dans les pensées.— A ce propos, renchérit Max, Ita a une bonne nouvelle. Il sait comment nous donner une voix humaine. Vous n’aurez plus l’impression ainsi qu’on regarde toujours ce qu’il se passe dans vos têtes...— C’est quoi le secret ?— On va vous le dire, répondit Ita, mais avant, je vais répondre aux questions que vous vous posez et que j’ai lues en vous. Si je suis si "différent" de Maxime, c’est que je suis né d’un loup-garou et d’une femme. En effet ma mère avait rencontré mon père et si je n’ai pas toutes les caractéristiques physiques du Loup-Garou, bref, si je suis plus petit et que ma queue est plus "métissée", c’est que mon père a joui, lors de ma conception, pendant la métamorphose inversée, au moment où il reprenait son apparence humaine... ce qui est d’ailleurs très dangereux. Il aurait pu en mourir !— Ah dites-donc ! C’est pas banal ça, dit Gwendoline.— Parce que rencontrer des loups-garous et se faire baiser par eux c’est banal peut-être ? Demandai-je.— Non, non bien sûr. J’suis idiote !— Tu n’es pas idiote ma chérie mais, dès que tu vois une bite, tu perds le sens commun... surtout quand il s’agit de celle de Maxime... Allons, au travail. On n’a pas toute la nuit, même si, en automne, elles durent plus longtemps. Chacune la nôtre ?— D’accord les filles, mais un truc à quatre c’est bien aussi et on peut échanger ! Ça te va Ita ?— Parle à ma queue, c’est elle qui décide !— Et bien je crois qu’à main levée et à l’unanimité, elle vote pour ! remarquai-je ! Ne la faisons pas attendre, mais avant, concours de bite et recette pour faire parler un loup-garou autrement que par transmission de pensée..— Allez les garçons, approchez vos bites. On prend des mesures..— Ben, y’a pas photo quand même dit Max, j’ai la plus longue !— Mais pas la plus épaisse honorable confrère ! Pas la plus épaisse...— Aller, ta queue Max.... Voilaaaa.... 26,5 ! Ouaaah et dire que j’ai pris ça dans tous les trous !— Et que tu n’attends qu’une chose c’est que je te la remette, hein salope !— Hmmmm cir....con...fé....rence.... çà....y ....est.... presque 15,8 ça fait combien de diamètre ça Ombeline ?— Attends.... je divise... la fonction calculatrice... 4, 75 !— A toi Ita.... C’est bon, Un bon 17.... mais c’est plus gros... 20 et demie ! Oh putain, le tube !— Quasiment 6,5... Monsieur Ita... il faut que je goûte mieux ce magnifique mandrin.— Petite comme tu es, il ne te rentrera nulle par cocotte.— J’ai moins l’habitude que toi, mais je te jure, on va tout faire pour Gwen. Va jouer avec tes 26 cm et demi !
Et ce faisant je me ruai sur la bite du loup-garou japonais.
Pour vous donner une idée, imaginez que vous essayez de sucer une petite bouteille d’eau. Une de 50 cl... bon, il sortira moins de liquide de celle-là... quoiqu’avec eux... Mieux, si vous en avez une essayez ! Là, vous y êtes ? Impossible, on est bien d’accord. Notez que le gland étant un peu moins large, j’arrivai à m’en boucher un coin avec lui... et c’était le pied. Il était lice, doux, ferme et délicieux. Un véritable sucre d’orge. Pour le reste, obligée de lécher. Je n’ai pas la mâchoire extensible.
Pour les autres trous, ça peut pas être pire qu’un accouchement... à l’envers. Au moins au départ. Donc, après m’avoir lubrifié la chatte avec sa langue qu’il agita au plus profond, une langue épaisse longue, chaude, rapeuse à souhait et étonnamment mobile, il commença à me pénétrer.Il y eut résistance car, quand même, le rondin était de taille.
Je lui demandai donc de s’allonger, pour venir m’empaler sur son membre et ainsi contrôler moi- même la pénétration et m’y adapter en douceur. Ainsi je pouvais profiter du spectacle de Gwendoline, montée en levrette par Maxime. La taille du géant rendait ma copine presque frêle. Les muscles tout entiers paraissaient obéir au mouvement du sexe qui allait et venait à toute vitesse et trémulaient en de somptueuses ondulations sur ce corps magnifique. Les grosses pattes s’étaient refermées sur les gros seins qui en paraissaient finalement trop petits pour de telles pinces. A chaque coup de pompe qui lui rentrait dans la chatte, un peu de liquide jaillissait en minuscules éclaboussures. Elles formaient une sorte de rosée qui peu à peu s’accrochait aux poils des cuisses solidement campées au sol.
Gwen gémissait comme une folle et Maxime émettait une sorte de grognement de dogue qui, n’eût été la situation où l’on se trouvait la gentillesse dont le savions capable, nous aurait fait fuir à grandes enjambées ou mourir sur place de frayeur.
Tout en jouissant du spectacle plus au figuré qu’au propre... du moins pour le moment, je m’enfonçai petit à petit sur mon mâle. Déjà le gland était passé ce qui représentait en soi déjà de quoi bien s’amuser, et petit à petit en montant et descendant, je gagnais les centimètres qui me rapprochaient de la base. J’y étais presque lorsque étant totalement remontée, Ita m’appuyant fortement sur les épaules, m’obligea à redescendre d’un coup sec et brutal, jusqu’aux couilles. Je sentis l’échauffement que cette pression avait exercé sur mes parois mais comme j’étais quasiment prête je n’en ressentis qu’une très légère douleur, due sans doute plus à la surprise qu’au contact avec la verge entière.
Je n’eus plus rien à faire. La force colossale du monstre lui permettait, en m’ayant saisie par la taille de me faire aller et venir sur sa colonne comme il l’entendait. C’était assez fatigant pour moi, écrasée entre ses pattes puissantes.
Je n’eus même pas besoin de m’en plaindre. Quand il eût compris ce qui se passait dans ma tête, il me posa à terre, en me retournant pour me faire comprendre que je devais me placer parallèlement à Gwen, cul contre cul, de sorte qu’ils nous prirent en levrette en alternant. Au premier changement, la bite de Max étant vraiment plus longue, elle me frappa violemment au fond du trou. Mon cri, bref, fut couvert par celui, plus long, de Gwen dont les chairs se déchiraient d’un coup pour laisser passer le braquemart japonais.
Au bout de dix minutes, nous étions déjà exténués, la chatte en feu, le cul en compote, l’arrière-train couvert de présperme. A cette cadence, on n’attend pas l’orgasme bien longtemps.
Pour nous permettre de reprendre un peu, nous eûmes droit à une bonne fellation, laissée à notre propre rythme. Là aussi nous passâmes d’un sexe à l’autre. Il était impossible d’aller plus loin que le gland du japonais, encore n’entrait-il pas en entier. Alors que son extrémité emplissait bien ma bouche, il éjacula. Je me reculai par réflexe dès les premiers tirs, la bouche déjà pleine de foutre. Les jets suivants finirent sur mes paupières, mon front, mes seins. Je pense qu’il devait découiller comme quatre mecs, voire cinq. Je n’avais jamais vu autant de jute d’un coup et je me désolai in petto de le voir déjà vide. Il saisit ma pensée et me rassura en me certifiant qu’il recommencerait quand je voudrais.... Il se rechargeait sans problème... Il avait une recette pour rendre le sperme goûteux et abondant...et même, il me fit une proposition. Si je voulais, il viendrait chez moi, dans les prochains jours pour me bourrer... dans sa forme humaine normale.
— En taille humaine, je ne suis pas très grand, dit-il, mais mon sexe a la même longueur même s’il est moins épais....— Oui... pourquoi pas...— Je ne reste pas longtemps en France....— Mais Maxime, il ne veut pas se montrer... sous sa forme humaine.— Il est méfiant. Il a peur d’être reconnu après. C’est important pour nous l’anonymat. Hors métamorphose, nous sommes très vulnérables... mais moi qui suis japonais, c’est moins grave...— Oui... en effet... Il faudrait que je te laisse mon adresse...— Je l’ai...— Tu l’as ?— Je l’ai lue dans ta tête...— Ah oui...C’est embêtant ça... Au fait tu ne nous as pas dit comment tu peux me parler.— Eh les amoureux, on baise d’abord.. on voit après...intervint Maxime.— OK, OK...— Aller, dans le cul, là, dans le cul, pétez-moi le cul les garçons ! Gwendoline s’excitait.— C’est parti ma chérie. Amène ton croupion, dit Maxime qui pissait blanc à petites gouttes.— Toi aussi Liline (c’est parfois comme cela que Gwen me surnomme).— Tu es folle ! Je suis moins habituée que toi au plaisir anal... et ça rentrera jamais de toute façon.— Elle a raison dit Maxime. Vu le diamètre du truc, ça va pas rentrer...même ma bite, elle aura du mal.— N’empêche dit Ita. J’essaie.
Je me retrouvai donc sur le dos. De très vigoureux coups de langue me préparèrent l’anus tout en me réchauffant la raie et me propulsant en orbite orgasmique. Je ramassai tout le sperme que je pus sur mes seins (mais il avait déjà commencé à coaguler) et sur l’extrémité des deux bites qui gouttaient régulièrement. Je m’en introduisis le plus que je pus dans le trou du cul. Ita y mit la bite et y exerça une énorme pression.
— C’est pas possible... ça peut pas rentrer !
À côté, la pine de Maxime écarta l’œil de bronze de ma consœur qui hurlait de bonheur. Je l’enviai.
— T’inquiète, j’vais te la foutre aussi, j’vais te déchirer mais ça va rentrer.
Il appuya derechef. La douleur fut énorme....
À suivre
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