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Gwendoline, le loup-garou et moi

Chapitre 5

ça va saigner !

Divers
Il faut le reconnaître, le loup-garou est sexuellement plus avantageux que l’homme. Quand il reprend sa forme d’origine, les mensurations s’en ressentent.
Je le retrouvai donc avec une quéquette de treize centimètres (au jugé) devant moi. Mais elle restait très épaisse, magnifiquement courbée, avec un gland dessiné à tel point que Michel-Ange n’aurait pas pu en faire autant (à supposer qu’il dessinât des sexes en érection mais on n’en voit pas beaucoup au plafond de la Sixtine) et surtout, elle était très dure.
Bref, je la trouvai fort à mon goût et la pompai avec tous les égards qu’elle méritait.
Le garçon qui se trouvait à l’extrémité de cette bite valait, il faut le dire, le détour. Bien que petit, plus que moi, il était extrêmement musclé, taillé en éphèbe, avec un poil dense au pubis et sous les bras qui lui donnait tous les attraits de la plus grande virilité. De plus, il était jeune. C’est curieux, mais, Loup-garou, je ne m’étais pas posé la question de son âge. Aussi voulus-je réparer cette omission.`
C’était oublier qu’une fois homme, il parlait uniquement sa langue natale. Et merde !
Fort heureusement, il avait quand même quelques notions de français et, plus encore, d’anglais.
Nos pûmes tenir conversation, je sus qu’il avait vingt ans, fils de diplomate... Et qu’il était devenu garou à la suite d’une rencontre avec le loup-garou de Suède... Mais je ne compris pas tous les tenants et aboutissants de l’affaire.
Au final, il me charmait autant sous ses traits humains que sous sa forme surnaturelle. "Dis donc Ombeline, tu ne serais pas en train de tomber amoureuse de ce mec" me dis-je in petto.
Mais j’avais mieux à faire qu’à réfléchir: profiter encore et encore de ce corps magnifique et de son envie ardente.
Mais l’homme, décidément n’avait pas la puissance de la bête, plus petit, plus léger, moins endurant, je perdais au change inévitablement. Néanmoins il s’avéra être un extraordinaire amant, plus performant que tous les gars que j’avais connus sachant se servir de sa queue comme pas un.
Après l’avoir suffisamment excité, il me prit en levrette, changeant de trou à chaque fois qu’il le désirait. Vu comment il m’avait élargie dans la nuit, les chairs, même meurtries et douloureuses, présentaient suffisamment d’élasticité pour le laisser aller et venir sans difficulté.
Quelques fois, il s’arrêtait, le temps de me bouffer le frifri ou de me lécher la rondelle, puis reprenait de plus belle. Il me tenait soit par les hanches, soit par le haut des cuisses ou par les épaules, tantôt en passant ses mains entre mon corps et mes bras, une fois qu’il m’avait pétri les seins ou, plus classiquement en remontant du bas du dos jusqu’au cou.
Gwen fut évidemment réveillée par notre tapage et voulut être de la partie mais il ne lui permit rien d’autre que de lui bouffer les couilles pendant qu’il me sodomisait avant de la forcer à s’allonger devant moi pour que je lui mange le minou, ce que je fis avec une concentration inférieure à l’ordinaire compte tenu de la façon experte avec laquelle il me bourrait.

Enfin il éjacula entre mes globes fessiers et Gwendoline dut bouffer le sperme que je sentais dégouliner jusqu’à ma chatte.
— Ah la vache, c’est impressionnant ce qu’il en a après avoir découillé toute la nuit ! Tu en veux un peu ?— Question superflue ma chérie !
Et nous échangeâmes le jus de mon amant dans une galoche d’anthologie.
En conclusion, Si ses mensurations étaient plus modestes que pendant la nuit, la circonférence de son pénis, fort respectable tout de même, et sa grande aptitude au cul me firent passer un moment extraordinaire. Il me baisa comme j’aime être baisée. Et j’en vins à souhaiter, comme Gwendoline l’espérait pour Maxime, qu’il pût se transformer à volonté. Quel pied ce serait !
Malheureusement, nous avions déjà du mal à trouver une pucelle pour permettre la métamorphose à volonté de Maxime, alors une deuxième... Et il n’était pas question que je coupasse la priorité à ma copine.
Du reste, Ita devait rentrer chez lui. Mais il me promit qu’il reviendrait bientôt. Je crus, j’espérais même qu’il s’était autant attaché à moi que moi à lui. L’avenir nous le dirait.
Pour lors, les mois passaient et nous ne trouvions pas la virginale beauté nécessaire à la transformation de Maxime.
Tous les vingt-neuf jours, nous le retrouvions, à chaque fois dans un lieu différent, pour passer une nuit endiablée.
L’hiver vint. L’hiver allait passer... Et puis il y eut un coup de chance.
Gwendoline était au boulot. Le froid était vif. Nous étions au début de février. Concentrée sur son travail, elle ne vit pas les premiers flocons tomber, puis la tempête de neige vint recouvrir pendant trois heures les rues et les trottoirs d’un épais manteau blanc.
Quand Gwen, s’en rendit compte, il était trop tard. Reprendre sa voiture et rentrer chez elle relevait de l’impossible.
— Merde, comme j’vais faire ?— Ben, viens chez moi.
Cette proposition venait d’Isabelle.
Isabelle, c’est une collègue de Gwen. Elle a un peu plus de vingt-sept et est célibataire.
— Sans rire, cela ne te gêne pas ?— Non, on se serrera. Si ça peut te dépanner... Faut bien s’entraider dans la vie.
D’ordinaire, Gwen n’a pas beaucoup de relation avec sa collègue. C’est du boulot, point ! Il faut dire qu’elle n’est guère affriolante. Elle a un visage agréable mais elle est grosse, une vraie grosse, ronde de partout. Du reste, cela lui va très bien. Mais elle en est complexée. De plus, elle s’habille comme un sac. Pas de quoi la rendre amusante. D’autant qu’elle est toujours très réservée.
Disons-le, franchement, la perspective n’enchantait guère ma pote amis elle accepta en m’envoyant un texto qui commençait par : "devine ce qu’il m’arrive... Je dors, chez la grosse...".
Ce n’était pas très gentil. Mais Gwen ne pensait pas vraiment à mal.
En fait, elle passa une soirée délicieuse. Le métro n’étant pas affecté par la neige, elles purent assez facilement aller chez Isabelle, après avoir récupéré chez un voisin une petite chienne d’appartement du genre chihuahua.
Isabelle se révéla être une excellente hôtesse. Elle cuisinait à merveille, le vin était bon et, les verres aidant, elle se montra même volubile et spirituelle.
A moitié pompettes, elles se couchèrent. Il fallut préciser qu’Isabelle insista terriblement pour que Gwendoline acceptât de dormir dans sa chambre.Gwendoline était au lit depuis un bon bout de temps mais le sommeil ne venait pas, le vin ne désaltérant pas, elle avait soif. Il lui fallait de l’eau.Elle sortit donc de la chambre à pas de loup (garou) pour ne pas réveiller sa logeuse d’un soir. Mais celle-ci ne dormait pas, bien au contraire.
Elle offrait un spectacle des plus intéressants.
Entièrement nue sur son canapé, elle était en train de se caresser les tétons en murmurant des salaceries. Gwen mit spontanément la main à sa chatte car cette vue l’excita prodigieusement. Et si la fille était lesbienne ? Après tout, ses gros seins étaient tentants. Gwen s’approcha donc discrètement.
Et, lorsqu’elle fut suffisamment proche, elle aperçut les grosses cuisses écartées et la petite chienne qui lapait le minou avec ardeur !Gwen est rapide dans les associations d’idées.
— Et pourquoi tu prends pas un mâle ?
Surprise dans cet acte peu naturel, Isabelle manqua de s’évanouir de honte. Elle versa d’abondantes larmes, promit à Gwen que c’était la première fois qu’il ne fallait pas en parler, en deux mots, elle était paniquée.
Gwen, qui était nue, vint s’approcher d’elle, la prit dans ses bras pour la rassurer et consoler, rassura, lui dire qu’elle aussi l’avait fait aussi etc... Tant et si bien qu’elle lui caressa le bout des seins puis la foufoune et qu’elles finirent par se baiser avec bonheur.
Dans le repos qui suivit l’orgasme, Isabelle, désormais en confiance, se laissa aller à toutes les confidences que l’on voulut, savamment guidée par les questions subtilement orientées de ma diabolique comparse.
Miracle, elle était vierge. Son embonpoint lui avait toujours laissé penser, qu’aucun homme ne pourrait jamais la désirer, alors qu’elle n’attendait que de perdre son pucelage. Elle avait bien fait quelques approches mais avait vite renoncé de crainte que les garçons, insincères, ne voulussent finalement se moquer d’elle.
Alors Gwendoline lui dit qu’elle connaissait un camarade qui aimait les femmes, toutes les femmes et qu’il serait heureux de la déflorer, mais il avait un vice, un vice qui cependant ne pouvait pas la rebuter, il aimait associer son chien à ses ébats.
Comme, disait-elle, il souffrait lui-même du complexe de se croire extrêmement laid, il voulait que ses partenaires portent un ruban sur les yeux pendant le coït au cours duquel, il se faisait remplacer par son chien (très bien monté, le toutou, toi qui es pucelle, tu va adorer...).
L’histoire du toutou était faite pour qu’elle ne se surprenne pas d’entendre les grognements pendant la métamorphose et de sentir les pois pousser sur son corps. On lui dit que pendant l’acte, elle aurait une double, qu’elle sentirait tout à coup la queue enfler dans sa chatte au moment où le chien pénétrerait et qu’elle sentirait évidemment le corps poilu du chien sur elle.
On négocia, on parlementa, on rit beaucoup et, finalement, Isabelle se laissa convaincre. Elle ferait tout ce que l’on voudrait pourvu qu’elle perdit sa virginité. Elle avait un côté oie blanche, toutes nos conditions étaient acceptées.
Quand Gwendoline me fit part de sa découverte avec une joie indicible, je lui demandai comment nous allions faire pour prendre le sang de cette vierge.
— Il en faut peu. La perte de l’hymen doit suffire mais en cas contraire, un petit coup d’aiguille à l’oreille (ça saigne abondamment) sans la prévenir et cela suffira. Maxime, lèche ce sang, se métamorphose et nous y sommes, youpi !
Nous fixâmes donc rendez-vous à la prochaine pleine lune. Elle tombait en semaine, nous posâmes des jours de RTT.
Nous étions au gîte le matin même, chaudes comme la braise en attendant Isabelle et minuit pour l’arrivée de Maxime.
Et puis soudain, ce fut la douche froide. Un SMS d’Isabelle disait : "Désolée, mais j’ai un contretemps. Il faut repousser".
Gwen était dépitée.
— C’est quoi ton contretemps ?— Rassure-toi, rien de grave.— Ben alors si c’est pas grave tu viens.— Ben non je ne suis pas en état.— Tu as mal à la tête ? Si c’est ça ton excuse, je te préviens que mon pote à grosse bite et son toutou, tu n’es pas près de les voir, reprit Gwen avec un accent de reproches dans la voix.— Ben... En fait... J’ai mes règles.
Règles = sang, CQFD !
— Ben c’est rien ça ma cocotte !— Pour faire l’amour, c’est pas l’idéal tout de même, non ?— Et elles sont douloureuses tes règles ma chérie ?— Non pourquoi ?— Ben alors ça n’empêche pas la bite au cul !— Oh ! Mais ton copain... Il va penser quoi... C’est dégoûtant !— Parce que tu penses qu’il se gêne quand j’ai mes anglais ? Il ne s’arrête pas à si peu... Je pense même qu’il adore ça ! Quant au clébard, il en raffole.— T’es sûre ?— Au contraire, ça ne pouvait pas tomber mieux ! Si cela ne te fait pas mal...— Ben non...— Et je te jure que cela ne t’empêchera pas de perdre ton pucelage et de prendre ton pied.— Vrai ?— Vrai ! Alors tu viens ?-... Bon ben... OK, j’arrive.
Et elle arriva effectivement. Nous étions déjà nues. Je l’avais rencontrée déjà et nous n’eûmes pas à faire les présentations.Maxime arriva à un peu plus de onze heures. Isabelle avait déjà un bandeau sur les yeux. Elle ne le vit pas.
— Isabelle, Maxime est là !— Bonsoir Isabelle, dit-il en posant délicatement une main sur son corps.— Bonsoir répondit-elle timidement.— Tu vas bien ?— Oui.— Excuse-moi pour le bandeau, mais je ne suis pas très beau... On l’enlèvera après. Dit-il en déroulant le scénario qu’on lui avait expliqué.— Oh, je peux l’enlever dès maintenant si vous voulez, je ne suis pas Miss France non plus hein... Comme vous pouvez voir.— Non, tu es gentille... Mais je préfère... Et puis, ça pimente le jeu, non ?— Oui... Vous n’allez pas me faire mal au moins ?— Promis, j’y vais en douceur. Et s’il y a un problème ; j’arrête aussitôt... Parc contre... Quand mon chien va s’introduire, la taille va être importante et il est possible que, dans un premier temps cela te fasse mal... Mais on ne retire pas un chien comme cela... Et puis tu seras déjà bien préparée et toute excitée, aussi je crois que cela se passera bien. Tu es toujours d’accord ?— Oui, Oh oui... Tu es la Gwendoline ?— Oui, ma grande je suis là, tout va bien se passer.
Pendant ce dialogue, Maxime avait commencé les préliminaires. Nous avions les yeux sur la montre car il fallait qu’il soit dans son vagin à minuit pétante avec du sang dans la bouche pour que s’opère la mutation.
En lui fouillant la chatte de la langue entre 23 H59 et 00 H 00 pour se barbouiller de ses règles et ensuite y planter son pieu au moment fatidique, toutes les conditions seraient réunies.
Il se fit sucer, bouffer les couilles, il lui lécha la moule, lui bouffa les seins et ils s’échauffèrent mutuellement. Elle y prenait un plaisir évident, se contorsionnait, virait, tanguait, gémissait, s’accrochait à lui, lui labourait le dos, écartait ses cuisses avec une souplesse dont nous ne l’aurions pas crue capable, à tel point que nous n’eûmes aucun doute sur le succès de l’entreprise. Elle mouilla. Les draps rougissaient. Elle eut même un orgasme clitoridien qui lui fit perdre un peu la tête et elle exigea d’être bourrée sur le champ. Mais Maxime surveillait l’heure, comme on fait à la Saint-Sylvestre pour attendre le nouvel an, mais l’enjeu était ici d’une autre dimension.
Enfin, l’heure vint !
A suivre.
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