Je me nomme Gwendoline, je suis célibataire et j’ai 37 ans. Je mesure 1m70 pour 55 kilos. J’ai les cheveux châtains et des yeux bleus. Après avoir été durant 7 ans secrétaire dans une agence bancaire, je suis depuis bientôt cinq ans conseillère financière. Ayant vu ma situation financière évoluer favorablement, et puis quand on est dans la banque, c’est plus facile, j’ai fait l’acquisition d’un appartement dans une résidence toute neuve située à deux pas de mon lieu de travail. Peu de temps après mon déménagement, j’y ai retrouvé Franck, l’ex de l’une de mes amies de mon ancien club d’athlétisme. A l’occasion d’une invitation chez lui, les choses ont un peu dérapé et depuis six mois, nous sommes ensemble. Enfin, chacun chez soi encore très libres, mais ensemble !Justement pour fêter nos « six mois », Franck a décidé de m’inviter au restaurant. Il m’a dit : « Tu verras, ce restaurant est original ! ».Habillée d’un tailleur pantalon avec escarpins, juste ce qu’il faut de maquillage, je sonne donc chez lui. Nous partons avec sa voiture. Arrivé en dehors de la ville, à proximité d’un bois, il s’arrête sur le bord de la route et me demande d’accepter le fait de me bander les yeux et de jouer le jeu ... J’accepte et me retrouve « aveugle » alors que la voiture reprend son chemin. Il fait quelques virages pour « me perdre » et au bout d’une bonne demi-heure, je perçois au bruit fait par les pneumatiques que nous sommes dans une allée gravillonnée. Quelques instants plus tard, Franck se gare et arrête son véhicule et vient m’ouvrir la portière.Il m’accompagne dans la montée de quelques marches alors que j’ai toujours les yeux bandés.Je ne vois rien, mais j’entends une voix féminine qui nous souhaite la bienvenue chez « Madame L ».Toujours au bras de Franck, je suis guidée vers une table où on m’invite à m’installer puis à enlever le bandeau qui recouvre mes yeux.Je suis assise à une table de restaurant, comme d’autres couples, que des tables pour deux, avec en face de moi une scène de spectacle où pour l’instant, il ne se passait rien. Je constate juste que sur la scène se trouve un « lit » circulaire. Où donc Franck m’a-t-il emmenée ?Je ne connais ni n’ai jamais entendu parler de cet « établissement ». Après un petit apéritif et avoir commandé, nous avons été servis de nos premiers plats. Nous dégustions de bonnes choses lorsque la musique d’ambiance s’arrêta et qu’un « cérémonial » se mit en place sur la scène. En effet, une femme nue, juste porteuse de ses escarpins rouges et d’un loup noir sur les yeux s’avançait vers le lit circulaire, suivie d’un homme musclé et très mignon, huilé, vêtu d’un simple pagne en cuir. La femme s’est allongée sur le lit et a ordonné sèchement à l’homme de s’occuper d’elle.L’homme s’est mis à genoux entre ses jambes et a commencé à parcourir de ses lèvres le ventre de la femme. Il ne tarda pas à descendre jusqu’à sa fente. La femme, les yeux fermés, se laissa faire. La langue de l’homme ne tarda pas à venir stimuler son clitoris ... Elle ne tarda pas à enserrer bientôt l’homme de ses jambes, presque à vouloir le faire entrer en elle ... L’homme avait l’air de savoir bien s’y prendre puisqu’on entendit le plaisir de la femme monter. Elle se contracta et ne tarda pas à gémir pour finalement exploser !Après quelques secondes de répit, elle se redressa et se mit à quatre pattes sur le lit dans une posture d’invitation pour l’homme qui fit tomber son pagne en cuir et dévoila un sexe pas complètement en érection, mais déjà de très belle taille. Il se donna encore un peu plus de vigueur d’un mouvement du poignet et enfonça son sexe sans difficulté dans la femme, trempée qu’elle était, sûrement par les préliminaires ! Il se mit rapidement à la besogner sans ménagement, la tenant par les hanches. Elle accrochait de ses mains le dessus du lit pour ne pas glisser et gémissait à chaque coup de boutoir. Elle ne tarda pas à jouir, d’un orgasme violent. Gémissante et couinante, il continuait à la pilonner, ramonant, entrant, sortant. Après quelques minutes, il cessa ce rythme endiablé, pour prendre position, sa queue bien bandée dans la main, et la présenter à l’entrée de son autre orifice. Il lui demanda l’autorisation de la prendre par là. Comme, toute à son envie, la femme ne semblait pas vouloir que cela s’arrête, elle acquiesça. Il pressa son gland sur son petit œillet et c’est sans aucun problème et d’une poussée constante que la femme se retrouva avec le sexe entier de l’homme enfilé dans son fondement. Il commença aussitôt de lents mouvements de va-et-vient, puis, au fur et à mesure, il en accentua l’amplitude et la puissance. Après quelques minutes, son pubis vint claquer sur les fesses de la femme qui semblait particulièrement apprécier. Le sexe de l’homme s’enfonçait loin dans les entrailles de la femme. Il ne tarda pas à se figer au fond de la femme et à se répandre, déversant sa semence.L’homme se dégagea de la femme, se redressa, se tourna vers la salle et salua pendant que la femme reprenait ses esprits. Elle se redressa à son tour et ils quittèrent la scène sous les applaudissements. La musique d’ambiance reprit comme si rien ne s’était passé. Avec Franck, nous avons continué notre repas. Arrivés au dessert, la musique s’est de nouveau arrêtée et une « écolière » est apparue sur la scène : petites jupette, ballerines et couettes. Elle avait une sucette dans la bouche et prenait des postures coquines, sans néanmoins trop en dévoiler ... Après quelques minutes de ce petit jeu, elle s’est assise sur le bord du lit, et souleva légèrement sa jupette, dévoilant un sexe rasé et l’absence de petite culotte. Continuant à tenir sa sucette d’une main, elle commença à se caresser le sexe de l’autre. Elle dévoila de plus en plus ses formes sexy et un corps de rêve tout en continuant à se caresser. Ses doigts cherchaient manifestement à solliciter son clitoris et elle ne tarda pas à prendre du plaisir toute seule et à émettre de petits gémissements. Bientôt, sa sucette se retrouva elle aussi sollicitée et à rejoindre en alternance, sa bouche ou son sexe dans des postures très érotiques jusqu’au moment où elle mit davantage de volonté à se faire jouir, ce qui ne tarda pas, lui arrachant un râle et le frémissement de tout son corps. Après avoir repris ses esprits, elle se releva et salua avant de quitter à son tour la scène ... Après avoir terminé notre dessert, nous avons dégusté un café alors que sur la scène deux femmes, une blonde et une rousse très belle se donnaient du plaisir dans un duo lesbien...Alors que « Madame L » nous avisait que des chambres pouvaient être mises à notre disposition, Franck et moi décidâmes de rentrer. Après le passage au vestiaire et avoir remis le bandeau sur mes yeux, il me guida jusqu’à la voiture. Il s’installa et nous avons repris le chemin du retour. Au bout d’un moment, il s’est arrêté dans un bois et m’a permis d’enlever mon bandeau. N’y tenant plus, il en a profité pour se jeter sur moi et m’embrasser sauvagement. Je répondis à ses baisers avec une envie pressante tant la soirée de ce soir m’avait excitée. Nous sommes sortis de la voiture et nous sommes mis devant, nous masquant du peu de passage qu’il pouvait y avoir à cette heure-là sur la route. Je me suis retrouvée agenouillée devant Franck en train de le sucer. Au bout de quelques minutes, il me dit : « Gwendoline, lève-toi, je vais te baiser ! ». Je me suis mise debout, face au capot et j’ai baissé mon pantalon. Franck constata que je portais un string, très humide ... qu’il écarta pour enfoncer son sexe pourtant d’une très belle taille, sans difficulté dans mon vagin, trempée que j’étais par les préliminaires et de me remémorer les différents tableaux de la soirée ! Il se mit à me besogner sans ménagement m’apportant beaucoup de plaisir à chaque pénétration. Il me tenait par les hanches et je gémissais à chaque coup de boutoir. Je ne tardai pas à jouir. Un orgasme violent comme une fontaine, un long jet que Franck reçut sur le bas du ventre. Je gémissais, couinait... risquant de perdre l’équilibre du haut de mes hauts talons sous l’effet de cet orgasme. Franck lui, continuait à me pilonner, ramonant, entrant, sortant ... finalement, il jouit en une profonde pénétration qui me fit crier un peu plus fort. Il se retira, le foutre et la cyprine s’écoulèrent de mon sexe le long de mes jambes. Nous nous sommes réajustés et avons repris la route pour rentrer.Je suis rentrée chez moi prendre une douche et me suis couchée.
