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Gwendoline et son voisin Franck

Chapitre 3

J'ai fait une infidélité à Franck

Hétéro
Je me nomme Gwendoline, je suis célibataire et j’ai 37 ans. Je mesure 1m70 pour 55 kilos. J’ai les cheveux châtains et des yeux bleus. Après avoir été durant 7 ans secrétaire dans une agence bancaire, je suis depuis bientôt cinq ans conseillère financière.
Ayant vu ma situation financière évoluer favorablement, et puis quand on est dans la banque c’est plus facile, j’ai fait l’acquisition d’un appartement dans une résidence toute neuve, située à deux pas de mon lieu de travail. Peu de temps après mon déménagement, j’y ai retrouvé Franck, l’ex de l’une de mes amies de mon ancien club d’athlétisme.
A l’occasion d’une invitation chez lui, les choses ont un peu dérapé, et depuis six mois, nous sommes ensemble. Enfin, ensemble, mais chacun chez soi, et encore très libres !
Ma banque m’a envoyée à un séminaire dédié aux conseillers financiers, plusieurs jours à se voir présenter de nouveaux produits ou à faire des points de situation sur ceux qui sont existants depuis plus longtemps. L’occasion de retrouver quelques connaissances ou de découvrir de nouvelles têtes.
Cela fait donc deux jours que je suis dans une petite station balnéaire des Landes, hors saison. J’y ai donc retrouvé quelques têtes bien « connues », mais c’est notre nouveau directeur régional qui nous a été présenté à cette occasion, qui alimente grandement nos conversations.
Après le dîner, et alors que j’étais en train de prendre un dernier verre avant de rejoindre ma chambre avant la dernière journée, le lendemain, il s’est approché de moi et a commencé à me faire la conversation justement. Pas trop jeune, étonnamment célibataire, la quarantaine, et séduisant, il me raconte être amateur de voile et avoir fait HEC...Nous échangeons sur tout et n’importe quoi...Ayant pris la peine de m’offrir un verre, puis un autre, je ne m’aperçois pas que le temps passe, qu’il est bientôt minuit et que le bar s’apprête à fermer.
Benoit, c’est son prénom, se propose de me raccompagner jusqu’à ma chambre. Lorsque mon badge ouvre la porte, je l’invite à entrer pour un dernier verre « sur le compte du minibar ».
Ayant déposé ma veste en entrant, je me retrouve en jupe devant lui avec un petit haut à bretelles dont l’une d’entre elles ne fait que glisser le long de mon épaule. Me complimentant sur mon physique, je perçois bien qu’il me flatte et là où il veut en venir. J’ai bien vu depuis ces deux jours ses discussions avec les « têtes connues » masculines de ce séminaire...
Finissons-en ! J’écarte les bretelles de mon haut, et je découvre ma poitrine dans son soutien-gorge, et lui prenant une main, je la pose sur mon sein droit. Il a compris, et ce sont bientôt ses deux mains qui, me brutalisant un peu, ne tardent pas à faire tomber mon soutien-gorge...
Je dégrafe ma jupe qui tombe à mes pieds, dévoilant mon string et mes bas autofixants. Je me débarrasse de mon haut et commence bientôt à m’occuper de la ceinture de son pantalon qu’il finit d’enlever et qu’il place sur une chaise. Je reprends l’initiative, et descendant son boxer, je découvre un gros et béant sexe bien tendu. Benoit est bien monté, et je dois reconnaître que son sexe dépasse au moins les 20 centimètres, bien gros, avec un gros gland, déjà au garde-à-vous !
Je ne peux pas résister et me mettant à genoux, je dépose mes lèvres sur son sexe, avant de bientôt le gober partiellement tellement il est gros. Je commence bientôt à le branler tout en suçant l’extrémité. Son sexe augmente encore un peu de volume avec l’attention que je lui porte. Les petits gémissements qu’il produit traduisent que ce que je fais lui procure du plaisir.
Après quelques minutes de ce traitement, je sens qu’il va jouir, mais je continue, l’amenant jusqu’à une violente éjaculation au fond de ma bouche, si puissante que je ne peux pas tout avaler, et que des projections qui m’échappent me couvrent encore le visage, autour de mes lèvres. Je m’en délecte en continuant à le sucer. Il débande à peine. Me mettant à quatre pattes sur la moquette de la chambre, je lui présente mes fesses « affamées ». Il présente son sexe qui reprend déjà une belle vigueur à l’entrée de ma grotte qu’il a découverte de mon string. Il a vite perçu ce que je veux, et d’une poussée continue et ferme, il s’enfonce en moi. Bien que très excité, mon vagin a du mal à voir passer un sexe de cette taille. N’y prêtant pas attention, me tenant par les hanches, il me pilonne bientôt de coups de boutoir violents. 
Me laissant aller à ma jouissance, au bout de quelques minutes, les cuisses écartelées, dans un râle, il éjacule de nouveau en une profonde pénétration qui me fit crier un peu, et alors que je m’offre le plus possible, pour « limiter la casse », son gland venait à chaque poussée me heurter la matrice.
Il se retira, le foutre et la cyprine s’écoulèrent de mon sexe le long de mes jambes.
Nous avons repris nos esprits auprès du minibar et je constate rapidement qu’il a repris de la vigueur...
Il s’est approché de moi et m’a plaquée à plat ventre sur le rebord du lit. Cette fois, c’est de mon anus qu’il s’approche. Utilisant le résultat de nos ébats précédents pour lubrifier mon œillet, il me pénètre l’anus, et d’une seule poussée, il est au fond de moi. Il me prend bestialement sans douceur, s’enfonçant à grands coups de mandrin me perforant, il me baise, sûr de lui, et de son pouvoir. Rapidement, mes cris emplissent la pièce tellement je jouis, comblée par cette queue démesurée. C’est un véritable taureau qui me défonce, qui se déchaîne pour me faire jouir. Il sait me faire jouir et semble infatigable. Il redouble de fougue. Je suis pilonnée, enfoncé qu’il est au plus profond de moi. Sa queue me défonce, me distend...
Dans un ultime mouvement où ses bras musclés me plaquent encore plus sur son sexe, il se déverse à nouveau en moi, alors que j’explose une dernière fois, anéantie par la puissance de mon orgasme.
Il se retire, la tige engluée de nos sécrétions et fièrement, dominateur, s’assoie sur le lit alors que je suis encore un peu embrumée par l’orgasme que je viens d’avoir.
Il me dit : « Ta réputation n’a pas été usurpée ! »
Il se rhabilla bientôt, et me dit à demain.
Je me suis dirigée vers la salle de bain pour prendre une douche puis aller me coucher.
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