Je me nomme Gwendoline, je suis célibataire et j’ai bientôt 38 ans. Je mesure 1m70 pour 55 kilos. J’ai les cheveux châtains et des yeux bleus. Après avoir été durant 7 ans secrétaire dans une agence bancaire, je suis depuis six ans conseillère financière. Ayant vu ma situation financière évoluer favorablement, j’ai fait l’acquisition d’un appartement dans une résidence toute neuve située à deux pas de mon lieu de travail. Peu de temps après mon déménagement, j’y ai retrouvé Franck, l’ex de Sophie, l’une de mes amies de mon ancien club d’athlétisme. Depuis un peu moins de deux ans, nous sommes ensemble. Enfin, ensemble chacun chez soi et encore très libres ! Du moins en ce qui me concerne. Après avoir eu une « aventure » avec Benoît, mon nouveau directeur régional, histoire que j’ai racontée à Franck, ce dernier m’en a voulu même s’il a toujours été clairement convenu que nous étions libres. Suite à cette affaire, nous avons passé quelques jours de vacances en bord de mer dans le Sud. Et cette « aventure » a mis du piment dans notre relation et a beaucoup excité Franck qui m’a pour ainsi dire défoncée et m’a fait jouir comme une folle. Dans les semaines qui ont suivi, Franck et moi avons repris notre quotidien, nous voyant et couchant ensemble régulièrement.Ensuite, j’ai été sans nouvelle de lui pendant deux semaines... Il paraît qu’il me préparait quelque chose. Dring, dring, mon téléphone sonne. C’est Franck. — Bonjour, qu’est-ce qui me vaut ton appel après tout ce temps ?— Tu es au boulot ?— Non, je suis à la salle de gym. Je viens de finir ma séance et m’apprête à rentrer.— On peut parler ?— Vas-y !— Je dois partir en déplacement en Allemagne. Je te propose de venir avec moi, nous y passerions la fin de la semaine et le week-end. Tu es partante ?— C’est quand ? Il faut tout de même que je voie avec l’agence.— Pas la semaine prochaine, celle d’après.—... Dix jours plus tard, je suis assise à côté de Franck dans une voiture de location. S’il a effectivement eu des rendez-vous de travail le premier jour, il est libre depuis ce matin.Cela fait presque une heure que nous roulons et il ne m’a pas dit où nous allions. Il m’a juste demandé de m’habiller « sexy ».J’ai donc choisi des dessous assortis avec un string, un chemisier blanc, une veste, une jupe, avec des escarpins et des bas résille, sans même savoir où il m’emmène.La voiture arrive bientôt dans une zone industrielle avec juste à côté un palais des expositions où je découvre que s’y tient un Salon de l’érotisme.
Après s’être garé, Franck m’y emmène, mais bizarrement, pas vers l’entrée destinée aux visiteurs. Il parle en allemand aux gars qui sont à l’entrée où nous nous présentons. Il leur montre deux Pass et ils nous laissent entrer. Nous sommes dans les coulisses du Salon et Franck continue à parler en allemand. Il semble chercher quelqu’un.Après une dizaine de minutes, un Carl dans un excellent français se fait connaître. — Franck, je suppose ? Vous me cherchez ?— Oui, je vous présente Gwendoline, c’est elle dont je vous ai parlé. Je ne suis pas au courant ! — Gwen, Monsieur te propose de participer à un show dans le cadre du Salon. Un vieux fantasme dont je lui avais fait part ! — Là, aujourd’hui ?— Ne vous inquiétez pas, nous avons tout ce qu’il faut. Nous sommes habitués à avoir des amateurs ou des amatrices à nos Salons.— Alors ?— Pour les aspects sanitaires, Franck m’a déjà communiqué les résultats de vos tests MST, comme ce doit être fait pour tous les... participants et participantes. Vous pouvez aussi demander l’usage de préservatifs si besoin.— Euh !— Je peux vous faire passer à 15h30, cela vous laisserait le temps de voir le Salon et de vous faire votre idée et de prendre votre décision. Revenez vers moi vers 14h45, que je vous explique comment cela pourrait se passer.— Allons voir... Nous sommes déjà au Salon depuis plus d’une heure quand il est annoncé un show sur la scène n°3. Curieux, nous nous y rendons.Une femme, presque nue, juste avec des bas, un string et des escarpins est à genoux entre les jambes d’un homme à qui elle pratique des caresses tant buccales que manuelles qui ne tardèrent pas à donner une forme « olympique » au sexe du Monsieur. Bientôt, ce fut tout le sexe qu’elle lui léchait, descendant jusqu’aux bourses, pour revenir jusqu’au gland, tout en le masturbant. Il semblait énormément apprécier son consciencieux. Après quelque temps avec ce sexe dans la bouche, dos au public qui pouvait ainsi contempler son fessier et son sexe, l’homme la fit se mettre à quatre pattes sur le sol et s’approcha derrière elle. Ses doigts crochètent son string et le firent glisser le long de ses cuisses. La cinquantaine, grisonnant, mais bel homme... elle est à quatre pattes, les fesses à l’air tournées vers lui. Juste derrière elle, terminant de se redonner de la vigueur avec la main, il plaça son sexe à l’entrée du sien et d’une seule poussée, il s’introduit en elle, aussi profondément que cela lui était possible. Il la pénétra d’un seul et viril assaut. Béa, vraisemblablement satisfait de son effet, il se passa quelques secondes avant qu’il n’entame un mouvement de va-et-vient, rythmé et puissant qui dura plusieurs minutes. Le résultat ne se fit pas trop attendre, la femme fut saisie d’une sorte de vibration qui lui parcourut tout le corps, et elle jouit en haletant ! Toujours aussi fier de lui, il ralentit un instant avant d’accélérer de nouveau, ce qui ne tarda pas à la faire jouir de nouveau. Cette fois, son rythme ne baissa pas, et quelques instants plus tard, il jouit en commençant à éjaculer à l’intérieur d’elle, avant que son sexe ne s’échappe et que son foutre ne rencontre le bas de son dos. Elle se retourna et reprit le sexe de l’homme dans sa bouche, et entreprit de le lécher afin de le nettoyer du mélange de sperme et de sa cyprine, le tout sous les applaudissements du public avant de quitter la scène. — 13h00, 13h30, 14h00... Nous continuons à visiter le Salon et avons vu un autre Show.14h40, je me laisse tenter. — Je vois avec satisfaction que cela vous tente. Vous pouvez être active ou passive. La version active consiste à ce que vous avez, je pense, vu depuis ce matin, une scène de sexe entre plusieurs personnes qui peuvent être des femmes entre elles ou avec un ou des hommes. La version passive est différente. C’est une scène de sexe où une femme est dans une position donnée assez figée qui permet à des hommes de venir la prendre en public. Il y a davantage un aspect de domination sur la femme. Un autre de mes fantasmes !A 15H30, je suis amenée en laisse avec un collier autour du cou et un loup sur le visage pour être installée dans un pilori. Je suis nue, en bas et escarpins, et on m’enserre le cou et les poignets entre deux parties en bois que l’on prend la peine de fermer avec un cadenas. L’ensemble est placé entre deux poteaux installés sur un plancher qui peut tourner. Une fois installée, les jambes un peu écartées, on me fait faire un tour pour être présentée au public où Franck a pris place... Je n’ai pas le temps de réfléchir qu’un homme, sans avertissement, m’agrippe les hanches des deux mains et présente son sexe contre mon clitoris. Il s’y frotte voluptueusement quelques instants avant de me pénétrer d’un coup de reins. Son bassin se colle puis se décolle du mien. Je suis pénétrée de plus en plus rapidement et il ne tarde pas à venir poser un doigt sur mon second orifice. Il le dilate lentement. Je ne peux pas le voir. Les va-et-vient ralentissent bientôt avant de s’arrêter. Je sens bientôt son sexe se présenter à l’entrée de mon fondement. Je ne manifeste pas d’opposition et très, très lentement, encouragé par le public, son sexe glisse dans mon fourreau étroit. Je suis en train de me faire prendre... il est au fond de moi ! Son pubis écrase mes fesses, je ne sens aucune douleur. Il commence à coulisser avec régularité. Le plaisir est indescriptible. Je fonds littéralement. Pour couronner le tout, il insinue une main au bas de mon ventre et deux doigts me titillent le clitoris. Je ne peux plus résister. Ma jouissance monte de tous mes orifices... Je jouis de partout. Je m’entends crier de plaisir. Un plaisir long, violent, intense. Il ne me lâche pas et continue à me pilonner avant de se bloquer et de se répandre au fond de moi ! Je sens que mon orifice dégouline de sperme. Je prends conscience qu’un autre homme s’est approché et amène son sexe de belle taille devant ma chatte, qu’il pénètre en une seule fois. Sentant passer un sexe énorme, j’écarte les jambes au maximum que je peux pour qu’il puisse aller au plus profond. Ses mains me tenaient la taille, bien prise par-derrière, sur un rythme soutenu, il commença des allers et retours d’abord lents puis de plus en plus forts. Ballottée, secouée... ce manège dure quelque temps et je dois reconnaître que ces coups de boutoir me donnent du plaisir. Mes soupirs et mes cris se mêlent aux ahanements de l’homme qui me baise avec une telle vigueur. A chaque fois qu’il projette sa queue en avant, il tire sur mes hanches pour que le contact soit plus serré et la pénétration plus profonde. Enfin, dans un dernier coup de boutoir, il plante son sexe au plus profond de moi et je sens les giclées de sperme qui se répandent en moi, alors que je lâche un cri de jouissance à ce moment-là, mon corps se raidissant avant de se détendre. Quand il eut bien éjaculé, il se retira lentement, laissant s’écouler le long de mes cuisses le résultat de cet ébat. Peu de temps se passe que je me suis retrouvée de nouveau prise par de nouveau un sexe de belle taille profondément enfoncée dans mon vagin et qui me baisait avec vigueur. Quelques instants plus tard, il se retira de mon vagin et cracha sur mon trou du cul. Il pointa alors son gland sur mon œillet et j’ai fermé les yeux alors que ce chibre pénétrait lentement mon anus soumis. Lentement pour débuter, puis de plus en plus vite, il me baisa avant de cracher bientôt sa semence qui remplit de nouveau le trou du cul. Un quatrième homme se présenta ensuite et introduisit alors son gland entre les lèvres de ma vulve. Il l’enfila d’un coup dans mon vagin et commença de délicats va-et-vient sur toute la longueur de son sexe. Ses allers-retours étaient pleins de délicatesse, mais s’accélérèrent bientôt. Dans cette position, il pouvait me pénétrer à fond et son sexe occupait tout l’espace que lui proposait mon vagin. A chaque coup de reins, je lâchai un petit râle de plaisir. Il s’arrêta bientôt pour venir présenter son sexe à l’entrée de mon anus. Il m’encula doucement, mais fermement, bien à fond, me tenant par la taille, en haut des hanches. Excitée, je donnai même une légère poussée vers l’arrière et sa verge se retrouva facilement à l’intérieur de mon conduit anal. Il ondulait du bassin afin de bien me caresser tout l’intérieur avec son gland, choisissant le rythme qui me convenait, il m’empalait. Je sentais sa verge gonfler, et une délicieuse sensation annonçait mon plaisir qui n’allait pas tarder. Il me devança de quelques secondes dans le plaisir, laissant échapper à son sperme au fond de mes entrailles, alors que je gémissais. Je jouis alors que le plaisir me submergeait. Il attendit un instant puis se détacha de moi.A ce moment-là, le public, qui semblait bien connaître le programme, se mit à applaudir. Carl vint me libérer et me prit par la main pour saluer le public avant de me raccompagner en coulisses.Franck m’avait rejoint. Quatre hommes venaient de jouir en moi...Franck déboucla calmement sa ceinture et laissa tomber son pantalon et son caleçon sur ses chevilles. Il branla son sexe de quelques allées et venues de la main sur sa bite, puis m’agenouilla devant sa bite que j’ai commencé à branler, lui procurant rapidement une belle vigueur. J’ai bientôt refermé mes lèvres sur cette épaisse bite tendue. J’ai parcouru, de mes lèvres, toute la longueur de cette hampe et me suis mise à lui sucer la queue avec application. Bientôt, je léchai le sexe de Franck, comme si c’était un esquimau le parcourant longuement d’une langue agile, des testicules au gland. Il semblait particulièrement apprécier. J’ai senti monter un orgasme. Et alors que je frissonnais de tout mon corps, Franck lâcha une bonne dose de foutre au fond de ma gorge. J’avalai goulûment chaque jet de foutre et embouchai ce sexe qui venait de se vider pour le nettoyer soigneusement.Carl nous remercia Franck et moi. J’ai fait un brin de toilette et me suis rhabillée. Consciente de leur devoir d’avoir pu réaliser un fantasme, nous le saluâmes avant de partir.Nous nous retrouvâmes, Franck et moi au milieu du parking... mes orifices se vidaient en coulant le long de mes bas. Sans un mot, il m’invita à monter dans la voiture et me ramena à l’hôtel. En descendant de la voiture, il me promit d’autres surprises...
