Je me nomme Gwendoline, je suis célibataire et j’ai 38 ans. Je mesure environ un mètre soixante dix pour 55 kg. J’ai les cheveux châtains et des yeux bleus. Après avoir été durant 7 ans secrétaire dans une agence bancaire, je suis depuis sept ans conseillère financière.Je vis « librement » une relation depuis un peu plus de deux ans avec Franck, qui est ingénieur dans une grande entreprise du CAC 40. Nous sommes ensemble, chacun chez soi et encore très libres !Après notre, ou mieux, mon « aventure » allemande, nous avons repris nos habitudes, nous voyant et couchant ensemble régulièrement.Quelques semaines plus tard, Franck m’a proposé de venir passer me prendre à l’agence après mon travail.Habillée d’un pantalon moulant en cuir et de ballerines, d’un pull et d’une veste, je suis un peu fatiguée après une journée de négociations pour divers projets. La voiture roule et pensant que nous rentrons, je suis surprise de voir que Franck se dirige vers la campagne. Il parle peu, mais sa main se pose de temps en temps sur ma cuisse. Pas désagréable, il sait que j’en frissonne...Son regard me questionne et malgré ma fatigue il comprend mon désir ... La voiture s’arrête. Nous sommes sur une route peu passante, à côté d’un petit bois. J’en descends et réajuste ma veste. Nous faisons quelques pas pour trouver un endroit tranquille. Je me retrouve adossée à un arbre alors que sa bouche se colle à la mienne. La langue de Franck s’insinue dans ma bouche et m’embrasse... Après quelques minutes ses mains déboutonnent mon pantalon qu’il baisse à mi-cuisse, puis ses doigts crochètent mon string et le font glisser également le long de mes cuisses.Excitée, j’écarte autant que je peux les cuisses. Il se met à caresser légèrement mon clitoris avec attention... Il sait l’effet que cela me fait. Mes jambes ramollissent... Je ne vais plus tenir debout longtemps.Franck jette un œil vers les alentours et me murmure à l’oreille : « On continue ? » Je lui réponds d’un signe de tête affirmatif. Il m’embrasse tendrement et s’agenouille derrière moi alors que je me retourne et m’accroche à l’arbre. Je sens sa langue se glisser entre mes cuisses, alors qu’il écarte mes fesses de ses mains. Ses lèvres me lèchent lascivement de l’anus au clitoris. « C’est trop bon ! ».Après quelques minutes, sans avertissement, il se redresse et ses deux mains m’agrippent les hanches. Franck qui a baissé son pantalon et son boxer présente son sexe contre mon clitoris. Il s’y frotte voluptueusement quelques instants avant de me pénétrer le vagin d’un coup de reins très ferme.Son bassin se colle puis se décolle du mien. Je suis pénétrée de plus en plus rapidement. Les va-et-vient de Franck ralentissent bientôt avant de s’arrêter. Il ne tarde pas à venir poser un doigt sur mon second orifice. Il le dilate lentement. Je sens bientôt son sexe se présenter à l’entrée de mon fondement. Je ne manifeste pas d’opposition et très, très lentement, son sexe glisse dans mon fourreau étroit. Je suis en train de me faire prendre ... il est au fond de moi !Son pubis écrase mes fesses, je ne sens aucune douleur. Il commence à coulisser avec régularité. Le plaisir est indescriptible. Je fonds littéralement. Pour couronner le tout, il insinue une main au bas de mon ventre et deux doigts me titillent le clitoris. Je ne peux plus résister. Ma jouissance monte de tous mes orifices ... Je jouis de partout. Je m’entends crier de plaisir, comme une biche prise par son cerf au milieu des bois. Un plaisir long, violent, intense. Il ne me lâche pas et continue à me pilonner avant de se bloquer au fond de moi et de se répandre dans mes entrailles !Il attend un peu puis extirpe son sexe de mon intimité. Je me mets à genoux face à lui et entreprend de lui nettoyer le sexe avec la langue, tout en profitant de cette position pour faire couler son foutre de mon anus.Après quelques minutes je me redresse et me réajuste pour rejoindre la voiture.Alors que Franck redémarre, il me demande si cela me dérange si nous faisons un petit détour. En ce début d’automne, les jours ont déjà bien raccourci et la nuit commence à tomber.Un bon quart d’heure plus tard, nous sommes sur le parking d’un centre commercial qui a fermé ses portes il y a quelques années et où, de manière surprenante, se trouvent plusieurs véhicules et où l’éclairage urbain fonctionne toujours. Franck s’approche de ces véhicules puis stoppe son moteur. À ce moment, nous sommes suffisamment près et distinguons clairement ce qui se passe au niveau des véhicules voisins.Une femme rousse, la trentaine, est en train de s’allonger sur le dos, sur le capot d’une voiture. Un homme lui relève alors la jupe et lui écarte les jambes. Ne portant pas de culotte ou de string, à moins que je n’ai loupé cet épisode, il enfonce son sexe d’une belle taille, gainé d’un préservatif, sans difficulté dans le vagin de la femme. Il se met rapidement à la besogner sans ménagement, la tenant par les hanches, ses jambes sur ses épaules.Elle accroche de ses mains le capot pour ne pas glisser et, ayant ouvert la vitre de la voiture nous l’entendons gémir à chaque coup de boutoir. Elle ne tarde pas à jouir, d’un orgasme violent. Gémissante, il continue à la pilonner, ramonant, entrant, sortant. Après quelques minutes de ce traitement, il place sa partenaire debout devant la voiture, de dos, devant lui et il l’invite à se pencher en avant, un genou fléchi, le pied sur le pare-choc.Il l’enfile d’un coup, jusqu’à la garde, et de nouveau se met à la besogner accroché à ses cuisses avec autant d’intensité que dans la position précédente, ramonant, entrant, sortant, jouant avec le point de jouissance que semble déjà de nouveau atteindre la femme.Après quelques minutes, il cesse son rythme endiablé, pour prendre position, sa queue bien bandée dans la main et la présenter à l’entrée de son petit œillet, orifice sur lequel il presse son gland. Et c’est sans aucun problème que la femme se retrouve avec le sexe entier de l’homme enfilé dans son fondement. Il commence aussitôt de lents mouvements de va-et-vient, puis, au fur et à mesure, il en accentue l’amplitude et la puissance. Après quelques minutes, son pubis vient claquer sur les fesses de la femme. Son sexe s’enfonce loin dans ses entrailles. Il ne tarde pas à dire qu’il ne va plus tenir très longtemps dans ces conditions. L’homme se fige au fond de la femme et déverse sa semence au fond de son préservatif.La femme se réajuste, l’homme en fait de même après avoir enlevé son préservatif et remercié la femme qui rejoint ensuite un homme qui est resté à distance et qu’elle embrasse comme pour le remercier. Ils montent dans l’un des véhicules et partent. Excitée par ce que je viens de voir, Franck, qui l’a compris, sort de la voiture et se présente à ma portière.Quelques instants plus tard, je suis à genoux entre les jambes de Franck qui est appuyé sur la portière, grande ouverte, et à la vue de plusieurs mateurs, des hommes comme des femmes. Il a baissé son pantalon ainsi que son boxer et mes caresses, tant buccales que manuelles, ne tardent pas à redonner une forme dynamique à son sexe ... Après quelque temps avec le sexe de Franck dans la bouche, il me fait mettre à quatre pattes sur le sol, appuyée sur le siège de la voiture et s’approche derrière moi. Ayant baissé mon pantalon et mon string, il me pénètre d’un seul et viril assaut. Cela me provoque une jouissance qui tarde à redescendre tant le rythme qu’il donne ensuite à son sexe à l’intérieur de mon vagin est dément ! Mes cris et râles de jouissances se font bientôt entendre.La position change bientôt, et il s’occupe de mon petit trou. Son sexe enfoncé jusqu’à la garde, je suis remplie, comblée ... Il actionne alors son piston à l’intérieur de mon fondement et entame un pilonnage en règle qui ne tarde pas à me faire de nouveau jouir alors que dans une belle synchronisation, il se déverse au fond de mes entrailles ...Le silence se fait, je reprends mon souffle. Franck sort son sexe de mon anus et se rhabille, alors que des applaudissements se font entendre.Je me redresse et à mon tour rhabillée, nous partons.
