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Au gymnase

Chapitre 1

Hétéro
Au Gymnase

Alice et Thomas.Alice = châtain, 24 ans, 1m65 pour 52 kilos, yeux verts, peau claire.Thomas = brun ténébreux, 27 ans, yeux marron et cheveux bouclés, peau mate.
Je me redresse et me concentre. La baie vitrée devant moi me sert de point fixe ou attacher mon regard pour ne pas vaciller. Un mètre vingt au-dessus du sol, dix centimètres de large et cinq mètres de long: voilà à quoi ressemble la piste sur laquelle je dois évoluer. J’ai le ventre contracté. J’ai toujours cette sensation avant une difficulté, l’angoisse de tomber certainement. Enfin, de mal tomber, car les chutes, je commence à avoir l’habitude.
Je dois maintenant quitter la poutre sur laquelle je suis installée depuis une bonne minute, à fixer le paysage en imaginant l’exercice sans parvenir à me lancer. Mon entraîneuse s’impatiente, elle fait mine de ne pas me regarder tout en installant des tapis quelques mètres plus loin, mais je sais qu’elle m’observe.
Après une dernière inspiration, je quitte le sol et me projette en arrière, je plane quelques instants et tout se passe très vite. Mes mains se précipitent au contact de la poutre, j’ai atteint ces dix centimètres de large, mais ce n’est pas terminé: il faut encore que mes pieds rejoignent la poutre, que je me redresse et que je fige tous mes muscles, afin que plus rien ne bouge...
C’est fait, j’ai récupéré mon point d’encrage sur la baie vitrée, la pression retombe doucement et je choisis un salto pour sortir de la poutre. Mon entraîneuse est satisfaite, elle ne me dit rien, mais détache son regard de moi pour s’intéresser à ce qui se passe du côté des petites.
— C’est tout pour aujourd’hui Alice, me lance Mélanie. Va t’étirer et rentre chez toi, je monte dans le bureau si besoin.
J’obéis et rejoins les espaliers. Je commence par les jambes, les autres gymnastes ont déjà toutes filé: leurs parents les attendent. Le calme s’installe dans cet immense gymnase vide. Ces entraînements supplémentaires dans un groupe de gymnastes bien plus jeunes que moi ne me déplaisent pas. Elles sont encore pleines d’entrain, même lorsqu’il s’agit de faire de la muscu. C’est ce dont j’ai besoin en ce moment pour me remuscler à fond pour ne pas me blesser à nouveau.
Je récupère mon sweet, ma bouteille d’eau et m’apprête à rejoindre les vestiaires. La porte du vestiaire des filles est fermée. D’après le mot sur la porte, il y a une fuite et le vestiaire homme est donc réquisitionné pour les femmes. Je m’y dirige, m’assure qu’il est vide et me décide à entrer. Je me déshabille donc et me glisse sous la douche. L’eau est chaude et ça me fait du bien. Il n’y a plus grand monde dans le gymnase, seulement les entraîneurs des différents clubs dans les bureaux à l’étage.
Je prends tout mon temps et apprécie ma solitude. Je ferme les yeux et me concentre sur l’eau qui coule sur moi. Le jet s’arrête, je rouvre les yeux pour redéclencher l’eau et suis alors surprise de trouver quelqu’un sur le pas de la porte des douches communes. Je n’ai pourtant entendu aucun bruit. Il ne semble pas vouloir bouger. Ni parler.Gênée, mon premier réflexe est d’attraper ma serviette, mais IL est entre elle et moi. J’essaye alors péniblement de cacher ma nudité derrière mes mains et lui demande.
— Depuis combien de temps tu es là?
Il tarde avant de répondre, et je le vois m’observer. J’en profite pour faire de même.Il est grand et plutôt musclé. Son short de basket et ses chaussettes remontant jusqu’au milieu du mollet, laissent apparaître ses jambes fines, bronzées, poilues et incroyablement musclées. Il a la peau mate et le tee-shirt trempé. Je remarque juste ses yeux verts sous ses cheveux épais quand il me répond
—je ne savais pas qu’il y avait encore quelqu’un.
Il n’a pas l’air gêné du tout, plutôt surpris et malicieux.
Je lui réponds maladroitement que j’ai traîné, et qu’habituellement à cette heure-ci, les petites sont en effet toutes parties.Soudain, j’ai froid. L’eau a dû s’arrêter sans que je ne m’en rende compte, je me retourne pour appuyer sur le déclencheur et m’apprête à lui demander de me passer ma serviette sur le banc, mais quand je me retourne, il n’est plus là.
Je prends alors quelques secondes pour retrouver mes esprits. Ouah, c’était inattendu. Je n’ai pas vraiment l’habitude que l’on regarde mon corps avec autant d’attention. Ce qui s’en approche le plus, c’est lorsque j’évolue en justaucorps moulant. C’était étrange, mais assez plaisant et ce qu’il a vu n’a pas eu l’air de lui déplaire. C’était même plutôt excitant.
Je suis encore perdue dans mes pensées que je le vois repasser dans les douches, nu cette fois. Je tente de masquer mon agitation en détournant mon regard.Lui au contraire, m’observe toujours.
—ça t’embête si je me douche ?
Complètement paniquée, je marmonne un incompréhensible message qu’il prend pour un non puisqu’il se dirige, sans empressement vers les douches.Il s’installe sous la douche la plus proche de moi et démarre l’eau. Je n’avais pas encore remarqué son sexe. Okay, il a l’air calme, mais là en bas, ça semble plutôt impétueux.Il se tourne vers moi, passe les mains dans ses cheveux bouclés dégoulinants. Il est bien plus grand que moi.
—Tu peux me prêter ton savon?
Je le regarde et avant d’avoir eu le temps de lui répondre, il se baisse à mes pieds et attrape mon gel douche. Tous ses gestes sont lents, sereins, mais je sens qu’il tente lui aussi de rester maître.
Je m’attends à la voir se redresser, mais il reste à genoux devant moi. Je sens son souffle sur mon ventre. La peur me paralyse, je ne me risquerai pas à bouger de peur de le voir s’éloigner. Ses mains se baladent maintenant sur mes cuisses, mon ventre et remontent sur mes seins durcis par l’excitation. J’essaie de toutes mes forces de calmer mon cœur qui s’emballe, mais il ne me laisse aucun répit. Il m’embrasse le ventre, les hanches, et descend lentement vers mon pubis. Je bous de l’intérieur, j’ai tellement chaud que je vais céder. Jusqu’à maintenant, mon cerveau ne cessait d’envoyer des signaux d’alerte: qu’est-ce que je fais là? Qui est-il ? Dois-je arrêter maintenant ?
Ses mains agrippent mes fesses et je sens sa langue entre mes jambes. Il m’attire à sa bouche avec une fermeté que je ne veux pas combattre.

Sa peau mate et dorée contraste sur ma peau pâle. Ses mains se sont arrêtées, une sur mon sein droit et l’autre agrippant ma hanche droite, m’empêchant de me dégager. Sa main passe alors jusqu’à mon dos et le dégringole en me griffant légèrement, faisant redresser tous mes poils et m’avancer légèrement sous la pression qu’il applique. Sa langue entre alors en contact avec mon sexe. Je bous à l’intérieur, mes joues me brûlent et je le sens m’effleurer de plus belle.
Cet instant me semble incroyablement long, pourtant quand il se redresse devant moi, c’est déjà trop tôt. Il s’approche de moi, c’est maintenant son sexe dur qui caresse le mien. Je suis au bord du trop-plein. Il semble aussi très excité, ses gestes s’accélèrent, moins précis et plus pressés.
Il semble alors hésiter. Je ne sais pas ce qu’il attend, mais je ne veux pas qu’il arrête. Ses mains me tiennent toujours, son souffle dirigé vers mon cou, je m’aperçois qu’il est bien plus grand que moi. Mais il s’immobilise, haletant. Je passe alors mes mains autour de son cou et remonte ma cuisse le long de la sienne. Il rapproche maintenant sa bouche de mes seins et m’embrasse tendrement partout où il le peut. Ma jambe est maintenant accrochée à ses fesses, mon bassin basculant, le contact électrisant de nos deux sexes l’un contre l’autre nous enflamme et nos regards se croisent. Il ne m’avait pas encore regardée dans les yeux. Je lui donne mon accord. Il m’attrape alors par les hanches et dirige son sexe vers le mien. Il entre en moi, et la sensation de plénitude qui me submerge semble le déstabiliser également. C’est bon, c’est chaud, c’est renversant. J’essaye de me maîtriser tant bien que mal tout en profitant de ses mouvements de va-et-vient, lents et profonds.
D’un coup, il me plaque contre le mur et dégaine une audace à laquelle je ne m’attendais pas. Sa nuque puissante, son dos brûlant, son souffle chaud, ses mains fermes et délicates sur mon corps, je ne vais pas résister bien longtemps. Lui aussi semble au bord de l’épuisement. Ses muscles tendus cassent régulièrement le rythme qu’il me donne et ça me rend folle. Soudain, je sens que je vais jouir, j’aimerais résister, mais c’est lui qui mène la danse. Il a dû le sentir et je le sens s’abandonner avec moi. Nous restons alors immobiles, serrés l’un contre l’autre, nos muscles tressaillant encore. Il me maintient contre lui, je ne veux pas bouger.
Soudain, il s’écarte, me regarde quelques instants et passe sa main sur mes joues en feu. Il m’embrasse et enfouit sa tête dans mon cou. Mon cœur se calme et il s’éloigne de moi, tout en maintenant un contact entre nous. Il rallume l’eau de la douche et m’attire dessous, m’enlace et pose sa tête sur la mienne. Nous restons là encore un long moment, puis il se met à parler. Il me murmure qu’il s’appelle Thomas, qu’il m’avait déjà vu, que je l’intrigue beaucoup, qu’il voudrait me raccompagner chez moi et que son prochain cours de basket a lieu deux jours plus tard, en même temps que mon cours de gym...
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