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Le gynécologue de ma femme

Chapitre 1

Complot lubrique

Erotique
Le gynécologue de ma femme.Complot lubriqueNathalie et moi flirtons avec la cinquantaine. Notre vie sexuelle a pris un tournant il y a quelques années lorsque j’ai avoué et expliqué à ma femme que j’avais envie de concrétiser mon candaulisme, envie de la voir se donner à d’autres.
Nous avions eu une période sur laquelle je reviendrai dans un autre chapitre, période qui m’avait révélé mon candaulisme et mon excitation mêlée à de la jalousie, à la vue de ma femme offerte, à la prise de conscience qu’elle était une vraie amatrice de jouissance, une dévoreuse d’hommes. Après cette période, nous étions rentrés dans la norme et avions eu une fille. Durant les années de croissance de notre fille, nous étions redevenus un couple tout ce qu’il y avait de plus classique. Maintenant notre fille avait grandi, mon envie de retrouver des sensations que j’avais enfouies était devenue grande, immense même et je m’en étais épanché auprès de Nathalie. Après quelques hésitations, beaucoup de réflexion, d’échanges, de paramétrage du quoi, du comment, Nathalie avait décidé de m’accompagner dans ce fantasme de candaulisme et avait, depuis quelques années donc, des amants, réguliers ou de passage.
En bon candauliste, je prenais énormément de plaisir à la regarder jouir avec un amant. Je me cantonnais essentiellement au rôle de voyeur photographe. Qu’il y ait un lien ou pas, une relation de cause à effet ou pas, mon excitation, bien que puissante, ne me provoquait plus d’érections satisfaisantes pour pouvoir honorer ma femme, la pénétrer comme j’aurais aimé pouvoir le faire. Malgré tout, entre deux rencontres d’amants, notre sexualité était riche et intense, beaucoup à base de jouets qui la faisaient jouir longtemps, mais aussi avec ma langue et mes mains. Nous avions également pris l’habitude de partager sans crainte nos envies et fantasmes, ce qui augmentait considérablement notre excitation.
L’un des fantasmes de Nathalie, que je trouvais délicieuse pour le candauliste que je suis, était d’imaginer un rendez-vous chez son gynécologue, durant lequel elle aurait vite remarqué que les gestes de ce dernier n’étaient pas vraiment, voire vraiment pas professionnels. Malgré cela, elle se laissait porter par l’excitation, consciente que la lubrification rapide de sa chatte montrait, sans doute possible, que cette excitation montait rapidement. Dans son fantasme aussi, le gynécologue faisait intervenir quelques jeunes internes et tout ce petit monde abusait de ma femme sans retenue et lui offrait jouissance et orgasmes multiples. Pendant ce temps, moi, à côté, derrière une cloison séparatrice, j’entendais sans voir la jouissance de Nathalie, devinais que plusieurs mâles prenaient possession de ma femme.
Je masturbais ma petite bite, follement excité, candauliste et cocu, jusqu’à ce que le gynécologue m’invite à venir assister à l’offrande totale que Nathalie était devenue pour ces mâles qui la remplissaient et la couvraient de semence abondante.
Je pensais souvent, très souvent même à ce fantasme en masturbant ma petite bite. Si bien qu’un jour, je me décidais à demander un rendez-vous à ce gynécologue que ma femme ne voyait plus trop. Le rendez-vous venu, je m’y rendais sans Nathalie que je n’avais pas informée de mon initiative. Je me trouvais donc face à cet homme que j’avais vu plusieurs fois, qui connaissait bien Nathalie, mais qui ne l’avait pas vue depuis plusieurs années. Je ne pris pas de détour pour lui exposer le fait que je suis candauliste, que Nathalie était friande de sexe, pour lui parler de notre fantasme concernant la visite chez le gyné. Je m’étais préparé à l’éventualité qu’il réagisse mal à mes propos et me foute dehors sans autre forme de procès. Cela ne se passa pas et il m’invita à continuer à lui parler de notre fantasme, lui parler de nos expériences avec amants, de ce que Nathalie aimait, etc. J’étais surpris, mais très excité de lui parler de tout ça.
A croire qu’il savait exactement ce qu’était un candauliste et comment attiser mon excitation.Au bout de quelques minutes et après m’avoir interrogé, il me demanda ce que j’attendais de lui.Je lui répondis que je voulais savoir s’il accepterait d’être le gynécologue qui prendrait ma femme et la ferait jouir. Disant cela, je sentais ma petite bite qui frétillait dans mon caleçon. Il me demanda tout de même si j’étais certain que Nathalie apprécierait « la plaisanterie », me faisant remarquer qu’il avait vieilli et qu’à presque 63 ans, il ne correspondait peut-être pas aux attentes de ma femme.
Encore plus excité, je lui expliquais que Nathalie avait toujours été attirée par les hommes plus âgés, plus murs, plus expérimentés ou par les garçons bien plus jeunes, un brin fougueux. Ce à quoi il me répondit, l’air de rien « c’est vrai, il m’avait semblé, déjà à l’époque ». Je commençais à espérer, sans encore vraiment y croire, que le fantasme allait pouvoir se réaliser, d’autant qu’il ajouta qu’il trouverait bien quelque autre interne ou collègue, prêt à sonder en profondeur les mystères de la gynécologie participative. Une expression qui eut le don d’ajouter encore à mon excitation. Il me demanda alors comment je comptais m’y prendre pour amener Nathalie jusqu’à son cabinet. Je lui exposais alors mon idée.
J’avais imaginé qu’il envoie un courrier à ma femme, en tant qu’ancienne patiente qu’il avait suivie de son adolescence à un âge mûr de mère de famille, et qu’il lui demandait si elle serait d’accord pour participer à une expérience consistant à investiguer l’évolution des corps, des appareils sexuels, mais aussi des états d’esprit de femmes ménopausées, le tout participant à une expérience menée à l’échelle de plusieurs pays sur la planète. Je me disais que la curiosité naturelle de Nathalie, couplée à la confiance qu’elle avait en ce professionnel au-dessus de tout soupçon, le tout teinté d’une pointe d’excitation en lien avec son fantasme, l’inciterait à accepter.
Il réagissait à tout ce que je lui disais avec flegme et sérénité, nullement choqué par mes propos. Si bien que je lui exprimai ma surprise qu’il ne soit pas davantage choqué. Ce à quoi il me répondit que je n’avais pas idée du nombre d’hommes et de femmes qui avaient des fantasmes concernant le gynécologue, le nombre de maris candaulistes qui le sollicitaient aussi. Et il enchaîna en me posant des questions sur la forme de mon candaulisme, mes envies, mes fantasmes, etc.
Quelques minutes plus tard, il savait que j’ai une « petite bite » comme dit Nathalie, ou plutôt une bite qui ne durcit plus. Il savait que j’aime être cocu, que j’adorerais avoir un complice qui serait l’amant de ma femme et qui me raconterait tout sans que ma femme le sache. Il savait que ma femme met souvent ma bite en cage et que suis en train d’aimer et assumer d’être soumis et un peu humilié. Il m’avait fait parler facilement et j’étais excité de lui livrer tout ça. Je lui disais tout et ça augmentait encore mon excitation de cocu demandeur de l’être toujours davantage.
Il venait de me mettre à nu, pour l’instant au figuré, et il savait, j’en étais maintenant certain, que cela m’excitait au plus haut point. Il me posa, tout de go, une question qui allait lui donner un nouveau statut vis-à-vis de moi. Question qu’il me posa en me tutoyant. « Dis-moi, tu es une lopette alors, et tu as très envie que je devienne le maître de ta femme et le tien par la même occasion ». Il n’y avait pas de point d’interrogation dans le ton de sa voix. Il continua d’ailleurs sans attendre de réponse de ma part.
— Fous-toi à poil lopette et viens t’installer sur la table, là ou ta femme s’est déjà installée et où elle s’installera peut-être de nouveau.
Ma respiration s’était accélérée, je ressentais une fébrilité et une excitation qui me plongèrent dans un état second. Je me déshabillai complètement et restais debout, mes mains devant ma bite molle.
— Retire tes mains lopette, montre ta bite à ton nouveau maître et viens sur la table, les pieds dans les étriers, dépêche-toi.
J’ai fait ce qu’il a dit, j’étais tel un gamin obéissant, une vraie lopette qui s’assumait enfin. Nu, sans doute ridicule, les pieds dans les étriers, j’étais exposé, offert, soumis, comme ma femme l’avait souvent été et j’en rêvais, le serait à nouveau bientôt.
— Maintenant branle ta petite nouille lopette, je veux voir ça.
J’en étais au point d’être heureux qu’il me donne cet ordre et excité de lui « faire plaisir ». Je me mis à masturber ma petite bite qui bien que ne durcissant pas, me donnait une excitation incroyable. Lui, avait saisi son téléphone et se mit à prendre des photos de moi me branlant sur sa table de gyné, les pieds toujours dans les étriers. Je respirais fort et me branlais. Lui photographiait, filmait et riait aussi, encourageant « sa » petite lopette comme s’il savait exactement quoi me dire pour me mettre dans un état d’excitation extrême.
— C’est bien ma lopette, continue, tu es superbement ridicule, mais tu adores n’est-ce pas lopette. Ta femme sera bientôt à ta place et on la baisera et on la fera jouir. Et toi tu seras en train de branler ta nouille, comme maintenant, mais tu seras là derrière en train de mater.
Disant cela, il m’indiquait un grand miroir sur une des cloisons du cabinet, à droite de la table sur laquelle j’étais. J’avais remarqué ce miroir et m’étais même dit que ce serait délicieusement pervers que ce soit un miroir sans teint, me reprochant presque à moi-même ce niveau de perversion.
— Tu seras là derrière en train de mater, comme mes deux collègues te matent en ce moment. Tu branleras ta nouille pendant qu’eux branleront et baiseront ta femme. Je la baiserai aussi bien sûr et je ferai plein de photos et vidéos comme maintenant lopette. Allez, finis-toi maintenant, montre à ton maître comment tu craches ta sauce.
La perversité de ce gyné dépassait la mienne, c’était délicieux de perversion, d’humiliation, d’excitation. Et comme chaque fois que mon excitation montait assez haut quand je me branlais, ma bite durcit juste assez pour permettre une éjaculation qui fut abondante et tellement puissante.
— Tu es un vrai salaud ma belle lopette, la prochaine fois, ça sera notre foutre qu’on aura déversé sur et dans ta femme. Rhabille-toi et va t’en maintenant lopette. Je te contacterai pour te dire la suite ». Il regardait les photos qu’il avait prises. — Tu es superbe ma lopette, tu vas avoir une place de choix dans notre club de lope. Je vais te présenter à tous les membres dès ce week-end.
Je me suis alors permis un : « comment ça, je comprends pas ! ». Il m’a regardé souriant et m’a dit :
— Tu te rappelles le film « le dîner de cons » lopette ? Et bien c’est pareil. Avec des collègues de partout, on a notre club des lopes. Tu vas me permettre de gagner en notoriété... Allez, pars maintenant et prépare-toi à m’obéir ».
La suite que j’espérais proche devait confirmer que je ne serais plus autre chose que sa lope obéissante.
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