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H2G3 : Le Guide de la voyageuse galactique

Chapitre 7

Douce symbiose

Lesbienne
Ayant dérobé le “Guide de la voyageuse galactique”, Tricia vole une navette aux Sylvidres pour regagner Magrathea. Mais alors qu’elle croit enfin être sortie d’affaire, une main se pose sur son épaule…

J’ai à peine le temps de sentir l’effet sur mon corps, que la main m’attrape par les cheveux pour me fracasser violemment le front contre le tableau de bord.
SPLIIINNNNGK !
Fait chier ! Il fallait bien qu’une de ces putes arrive à entrer ! Ce n’est qu’en voyant l’écran de verre, fendu de toutes parts, et mon sang couler à travers les fissures, que je prends conscience de la violence du choc.
— RAAaaahh ! Tu vas me lâcher SALOPE !
L’appareil, qui ne paraît pas avoir apprécié la chose, semble maintenant avoir du mal à stabiliser sa trajectoire. Alors que l’habitacle se transforme en véritables montagnes russes, je me félicite d’avoir eu l’excellente idée d’attacher ma ceinture.
Tandis que je suis chahutée dans tous les sens dans mon siège, c’est avec une certaine jubilation que j’observe la créature percuter les parois, entre deux vols planés. Je remarque d’ailleurs que, ballottée comme un pantin désarticulé, elle semble avoir perdu énormément de son pouvoir attractif. À croire que leur gestuelle y est pour beaucoup.
Mais malgré ce spectacle des plus jouissifs, je sens bien la situation devenir pour le moins critique : voici un certain temps que l’engin n’essaye même plus de rectifier l’altitude, et plonge littéralement en piqué vers le sol de la planète… devenue soudainement bien moins accueillante.
Le dernier choc de la Sylvidre a dû lui faire perdre connaissance, car c’est maintenant un corps sans vie qui gît au sol.
— YES !
N’étant plus distraite par l’acrobate extraterrestre, je me concentre sur le fait de ne pas crever connement, en m’écrasant comme une merde sur cette planète qui se rapproche à vue d’œil…
Alors, ne sachant plus quoi faire et comprenant bien que ce foutu pilote automatique ne peut plus rien pour moi, je fais la chose la plus ridicule qu’il soit et qui ne marche que dans les films : je tire de toutes mes forces la manette en face de moi… et ce qui se produit est alors…
— INCROYABLE ! Putain, ça marche !
En effet, aussi improbable que cela puisse paraître, l’appareil redresse suffisamment du nez pour que le pilote automatique reprenne le contrôle. La voix de synthèse, m’indiquant sa réactivation, sonne en moi comme un pote qui m’aurait donné une tape dans le dos, en me disant : “allez, c’est bon, laisse-moi faire maintenant”.
— Pi-lote au-to-ma-tique ré-ac-ti-vé !— Oh putain, YES ! Merci mec ! Tu ne sais même pas comment ça me fait plaisir de te revoir !
Les commandes plaquées contre mon ventre, je ne peux m’empêcher de penser qu’on fait vraiment une bonne équipe… C’est fou comme la panique peut faire vriller le cerveau.
Les yeux rivés sur l’altimètre, je regarde les chiffres défiler…
500m… 400m… 300m…
— Allez, ça va le faire… on va y arriver… on va y arriver…
200m… 100m… SCCRRUUCHHHHHHHHhhhhhhhhh… !
Dans un bruit assourdissant, l’engin vient de toucher le sol… enfin… “percuter le sol” serait plus juste. Alors que la carlingue tremble de partout et n’en finit pas de me bousculer dans tous les sens, le frottement de la tôle contre la terre semble enfin avoir raison de son énergie cinétique… Puis, le calme… enfin !
— At-ter-ris-sage - ter-mi-né ! — Wouhou ! Ben putain ! Merci mon gars ! T’es le meilleur ! J’te mettrai cinq étoiles sur Uber Space, c’est promis ! Dis… tu connaîtrais pas une certaine Wedreca…?— Dé-ver-rouill-age - du - sas - en-clen-ché !— Ha ouai… bon… clairement, on n’est pas sur le même niveau d’intelligence...
Clic !
Je détache ma ceinture, que j’aurais presque embrassée tellement je lui suis reconnaissante. Puis, enjambant le corps inerte de la Sylvidre, je me dirige vers le sas. J’appuie sur le bouton. La porte s’ouvre… Je ne peux m’empêcher de jeter un regard vers le cockpit.
— Merci poteau, pour l’atterrissage.— De - rien - c-é-tait - un - ré-el - plai-sir. À - une - pro-chai-ne - fois - j-es-père.
Je reste comme une conne…
— Pas si con que ça, en fin de compte…
Je descends les marches métalliques et foule enfin la terre rouge et poussiéreuse tant espérée. À vue de nez, le camp où se trouve Wedreca est à moins d’une journée de marche. Allez, un peu d’exercice ne me fera pas de mal…
Mais à peine ai-je le temps de sentir la douleur intense qui me déchire soudain le cuir chevelu, que je me retrouve par terre, tirée par les cheveux…
— AAAÏEEE ! PUTAINNN !!!
Les agrippant pour soulager la douleur, je comprends assez vite que la sale chienne dans la navette était loin d’être crevée. Cela fait déjà plusieurs mètres qu’elle me traîne dans la poussière… il me faut trouver une solution… et vite !
— AAARGH ! Putain de salope ! LACHE-MOI !
La balise ! Mais oui… la balise de Gora ! Mettant ma main à la ceinture, je tâtonne… mais… ce n’est qu’à plusieurs mètres, derrière mes pieds qui s’agitent et soulèvent un nuage de poussière, que je vois ma précieuse bouée de sauvetage… s’éloigner à chaque seconde…
— MEEERDE ! La poisse ! Fait chier !
Alors qu’elle me jette sur le dos, avec une force dont je n’aurais jamais imaginé provenir de membres aussi frêles, cette pute se retrouve rapidement son corps chevauchant le mien. Et c’est face à moi et m’enserrant fermement le cou d’une main, que je me sens, comme j’en ai maintenant l’habitude, perdre le contrôle…
Le goût de la terre dans ma bouche me fait suffoquer, tandis que le sang de mon front, coulant dans mes yeux, trouble ma vision, déjà bien réduite par l’effet de la créature.
— Vas-y ! Baise-moi, salope ! Qu’est-ce que tu attends ?!
Si ces paroles sont censées la provoquer, elles se rapprochent bientôt, et malgré moi, d’un bien glauque premier degré. C’est alors que je sens sa deuxième main passer derrière son dos et entrer entièrement en moi, avec une facilité déconcertante. C’est avec son regard lubrique posé sur moi, qu’elle commence à me fouiller de l’intérieur… Ça y est, je suis à elle… je suis sa chose… elle se sert… et rien ne pourra l’en empêcher…
— NOOONNN ! Pas ça ! Nooonnn… hannn… oui… oh oui… encore… Oh OUUIIIIII !
Mais c’est au moment de perdre la raison… à l’instant même de rendre les armes et de m’abandonner à elle, que…
Son visage, me fixant de ses yeux blancs, semble se crisper… d’abord imperceptiblement, puis de manière plus marquée. La main autour de mon cou, quant à elle, relâche graduellement sa prise, comme si la force qui l’habitait la quittait lentement…
Et tandis que son visage si gracieux s’empourpre et se boursoufle, je sens son pouvoir attractif s’amenuiser. Prise de spasmes, elle suffoque… elle semble manquer d’air… Dans ce décor de roches rouges, ses yeux, sortant de leurs orbites, et son visage gonflé, prêt à exploser, feraient presque penser que l’atmosphère a soudainement disparu.
— Arrrrghhhh…
Sa bouche vient de laisser s’échapper un dernier son d’agonie. Et bientôt… suis-je en train de délirer… d’halluciner… son corps tout entier se soulève au-dessus de moi, comme une vulgaire poupée de chiffon, ne touchant déjà plus le sol…
Ce que je vois alors, mon esprit ne semble pas capable de l’admettre… mais mon cœur, oui. Les larmes qui emplissent mes yeux ne sont plus celles de la rage, non… ce sont celles d’un soulagement brutal et inespéré…
Est-ce que je rêve… ? Cela ne se peut pas… Et cette voix, si dure et pourtant si familière…
— Touche pas à ma meuf, SALE PUTE !
Depuis le sol, la femme qui se tient debout devant moi est tellement… grande… tellement forte ! Au bout de son bras tendu, à la peau d’un bleu intense, et dont chaque muscle se dessine si parfaitement, sa main broie littéralement la nuque de la créature. Le bruit des os brisés ne laisse aucun doute sur la force employée…
L’instant est quasi mystique… Mon esprit est totalement perdu, mais mon cœur, lui, sait… Ces longs cheveux turquoise aux reflets roses ne laissent aucun doute…
— Venusia… ?! C’est toi ?
Éjectant alors le corps inerte à plusieurs mètres, la femme s’accroupit et m’attrape par les épaules. Si ses traits sont plus durs et sa peau plus sombre, je reconnais ce regard qui caresse mon âme avec cette douceur si particulière.
— Oui Tricia, c’est moi… je suis là… tout va bien, c’est fini.— Mais… mais, pourquoi es-tu si… et comment as-tu fait… pour me retrouver ? La balise… je n’ai pas pu…— Oh ma Tricia… si tu savais comment je t’ai entendu hurler dans ma tête… si tu savais…
C’est alors submergée par les sanglots, que je me jette dans ses bras et la serre contre moi, aussi fort que mes bras me le permettent. Ma joue contre son torse, mes larmes roulent bientôt sur sa poitrine, comme une rivière nous emmenant loin d’ici…
— Ne me laisse plus partir Venusia… tu m’entends… plus jamais.
Entre ses bras, je me sens alors enfin en sécurité… comme une fille dans les bras de sa mère… dans les bras de la femme qui représente tout pour elle.
Même si je ne comprends rien à ce qu’il vient de se passer, bientôt, sa peau qui s’éclaircit et son corps qui s’affine restituent la Venusia de mon cœur… ma Venusia…
***

Assises à bord de l’aiglon, nous attachons nos ceintures. Venusia semble observer avec soin le tableau de bord devant elle.
— Mais, Venusia… tu es venue seule ? Où sont les autres ? Où est la pilote ?— Oui, je suis venue seule... qu’est-ce que tu crois !? Quand j’ai dit aux autres que je t’entendais m’appeler à l’aide, elles ne m’ont pas cru. On m’a dit que tu avais la balise et que tu saurais t’en servir en temps voulu. Alors, je leur ai volé une navette !— Rien que ça !? T’es une vraie rebelle toi ! Et… tu sais piloter ce machin ?— Ben, évidemment ! Trop facile !
Je la vois alors tendre son doigt, et avec un regard malicieux, appuyer sur le bouton “Autopilot”. Je pose alors ma tête sur le dossier et souris, comme cela ne m’était pas arrivé depuis longtemps.
— Ben quoi Tricia ? Pourquoi tu souris ?— Rien ma belle… rien… tu es merveilleuse…— …
C’est avec son regard interrogateur, posé sur moi, que je ferme les yeux. Les propulseurs déjà vrombissent et l’engin décolle du sol… Mon esprit peut enfin lâcher prise. Ma chevaleresse servante m’emmène sur son fidèle destrier… Que c’est bon parfois d’être secourue comme une princesse…
***

Assise sur mon lit, lumières éteintes, le regard perdu dans les étoiles, j’entends la porte s’ouvrir… Venusia vient d’entrer dans ma cabine.
— Tricia… ça va ?— Oui… enfin, je crois…— Tiens, je suis venue te rendre ton guide. Les filles en ont fait une copie et Gora dit que tu peux garder l’original… que tu l’as bien mérité.
J’attrape le livre et le pose sur la table de nuit, sans même l’envie de l’ouvrir. Venusia semble hésiter quelques secondes…
— Bon, je vais te laisser. Tu dois être fatiguée, après tout ce qui t’est arrivé. Essaye de te reposer.
Mais à peine a-t-elle entamé un pas en direction de la porte, que ma main retient son poignet.
— Non ! Reste… s’il te plaît.
S’asseyant à côté de moi, elle inspecte alors le pansement sur mon front. Puis, comme pour me réconforter, elle y dépose un baiser… Et dans cet instant d’éternité, mon esprit, fatigué de sans cesse raisonner, passe le relais à mon cœur, qui bat à tout rompre dans ma poitrine…
— Non Venusia… ce n’est pas là que je veux tes lèvres.
Je relève la tête et la regarde dans les yeux… elle a compris. Elle aussi en a envie, je le sens. Je passe ma main derrière sa nuque si douce, glissant mes doigts dans sa chevelure vaporeuse… Des effluves, mélange de senteurs suaves et charnelles, emplissent mes poumons… L’inexorable attraction de nos bouches a commencé… et bientôt… nos lèvres se touchent.
À cet instant, je me demande pourquoi je ne l’ai pas fait avant. Je me rends alors compte que j’aurais pu ne jamais vivre ce moment… ne jamais connaître le goût de ses lèvres. Cette simple pensée suffit à m’emplir d’une émotion si forte, que j’en échappe une larme.
La bouche de Venusia, soudée à la mienne, c’est maintenant sa main qu’elle place derrière ma tête… pour me maintenir à elle… rien qu’à elle. Pour le reste, nos cerveaux ne contrôlent déjà plus rien. Seuls nos corps s’expriment… se révèlent… se découvrent…
Nous enlaçant l’une l’autre, dans des gestes mus par nos seules pulsions, nos langues se mêlent et nos salives se mélangent… Je la goûte… mon Dieu, sa chair est si tendre. Elle me dévore… nos bouches se mangent…
— Merde, Venusia… tu me rends folle !— Chut ! Tais-toi Tricia… tais-toi…
Nos lèvres toujours collées, mes mains fébriles palpent son corps… cherchent sa peau… Fermetures Éclair et boutons-pression ne font alors pas long feu. Nos combinaisons au sol suivies de nos soutiens-gorges, nos corps se frottent… nos seins se touchent… enfin ! Mes mains qui glissent sur sa peau lisse, remontent le long de ses cuisses, jusqu’au creux de ses hanches. La lumière des étoiles, qui se reflète sur ses longues jambes nues et sa poitrine généreuse, fait briller sa peau satinée et décoller ma libido.
— Je te veux, Venusia ! Je veux ton corps… je n’en peux plus !— Alors prends-moi, Tricia ! Oh oui, mange-moi… déguste-moi… Dévore-moi !
Autant ma gorge est sèche et nouée que ma chatte est trempée. Je mouille à mort pour cette fille… elle m’excite comme jamais je ne l’ai été.
J’ai quitté sa bouche et elle a renversé sa tête en arrière, dans un gémissement. Répandant ses longs cheveux sur le lit, elle m’offre sa gorge si tendre et si délicate. Partant de son menton, je descends ma langue et mes baisers le long de son cou… pour arriver entre ses seins fermes et pointant effrontément.
Ma bouche affamée en gobe alors un… puis l’autre. Le goût de sa salive, toujours en bouche, se mélange maintenant à celui de sa peau. Je suce ses seins… en aspire les mamelons… en mordille les tétons… je les goberais tout entier, si je le pouvais. Enduite de ma salive, sa poitrine, tendue vers moi, luit à la pâle lumière de l’espace. Mon Dieu qu’elle est belle… Putain qu’elle m’excite !
J’enserre alors fermement sa fine taille entre mes mains. Enfin, je la possède, et en dispose comme dans mes fantasmes les plus fous. Reprenant mon souffle quelques instants, je replonge entre ses seins, et poursuis mon festin sous ses râles de plaisir…
— Haaaann… ouiiii, Tricia… oui… je suis à toi…
Mais je suis loin d’être rassasiée. Oh oui… il m’en faut plus… beaucoup plus !
Alors, faisant descendre ma bouche sur son ventre plat, mes doigts, à présent passés sous la dentelle de son string, font glisser le bout de tissu le long de son corps de rêve… comme on déballe une friandise.
Elle est enfin totalement nue… toute à moi. Alors, elle s’allonge, écartant les cuisses comme une invitation à la consommer. Son corps si parfait, ainsi exposé à la lumière ténue des astres et drapé dans sa longue chevelure, est juste le plus sensuel des appels au sexe.
— Tricia, ma belle… je t’en supplie, mange-moi ! Je veux ta bouche sur moi… en moi…
Entre ses cuisses fuselées, je salive déjà à la vue de sa vulve lisse et brillante de cyprine. Il ne m’en faut pas plus que son ordre pour m’en lancer à l’assaut.
De mes doigts, comme on épluche un fruit juteux, j’écarte ses petites lèvres pour en révéler la chair rose et appétissante. Le souffle court, Venusia semble attendre ma bouche, dans une extrême fébrilité. Elle coule… Le filet de mouille, qui ruisselle de sa chatte, me fait déglutir de désir. Je n’en peux plus… et comme attirée par un aimant, j’y colle ma bouche et la dévore…
— Oooh oui, Tricia… ! Oui… c’est booon… continue… !
Ses gémissements ne font que m’encourager à lui fouiller le sexe de ma langue affamée… entrant, sortant et explorant le tréfonds de son intimité. Léchant, suçant et aspirant son clitoris, je déguste sa mouille comme un nectar aphrodisiaque. À cet instant, je ne contrôle plus rien : telle une droguée en manque, je ne peux m’arrêter de m’en shooter…
— Oh putain ! Tricia… C’est trop bon… oh oui, je vais… OH OUI ! Je… je vais…
Son clito entre mes lèvres et ma langue jouant frénétiquement avec, je me délecte… je m’enivre… je suis au paradis… et elle… elle…? Mais… qu’est-ce que… je sens… ? Non… ce… ce n’est pas possible…
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