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H2G3 : Le Guide de la voyageuse galactique

Chapitre 8

Extrême fusion

Travesti / Trans
De retour à bord du Corazón, Tricia et Venusia ne tardent pas à tomber dans les bras l’une de l’autre. Mais à peine leurs ébats commencés, Tricia ressent quelque chose d’étrange se produire...

Entre mes lèvres, je sens son clito se raidir et gonfler. L’excitation est à son comble et je comprends, aux gémissements de Venusia, qu’elle est au bord de l’orgasme. Mais ce à quoi je ne m’attendais pas, c’est à ce petit morceau de chair, source de tous les plaisirs, ne cessant d’enfler, jusqu’à atteindre une taille...
Me reculant d’un coup, je reste là, comme une conne, devant cette chose continuant de grossir sous mes yeux...
— Oh non, Tricia ! Pourquoi t’arrêtes-tu ?— Mais Venusia... tu...— Oh... je... ne t’inquiète pas... c’est normal... je... je transmute. C’est toi qui me fais cet effet... n’aie pas peur... je t’en prie, continue...
Alors, me prenant la main, elle me tire vers elle comme pour me rassurer et appuyer sa demande...
— Je t’en supplie, Tricia... continue... fais-moi jouir, ma belle... j’en ai tellement envie.
Alors, de me savoir à l’origine de ce que son corps est en train de subir... de ce qui la transforme ainsi en une autre... une nouvelle forme d’excitation, presque animale celle-là, s’empare de moi. Et dans une totale confiance en elle, je me jette à nouveau sur son sexe, pour engloutir ce nouveau membre naissant. Mais sous mes lèvres déchaînées, je sens bien que le cunnilingus que j’ai entamé vient de virer à la fellation...
Entre mes mains, son corps se durcit et ses muscles se dessinent... plus forts... plus saillants. Tandis que sa peau prend cette fameuse teinte bleu nuit, si impressionnante, mes doigts ne tardent pas à caresser des cuisses puissantes et des abdominaux taillés à en faire frémir n’importe quelle femme. Ce corps qui s’offre à moi, sans perdre de sa féminité, n’a plus les courbes fines et délicates du début, mais semble à présent sculpté dans la masse, telle une athlète dont la nudité expose chacun de ses muscles bandés.
La bouche pleine, c’est bientôt un membre épais qui glisse entre mes lèvres. Ce mélange de peur et d’excitation me fait mouiller comme une folle. Qu’est-ce qui m’arrive... ? Qu’est-ce que je fais... ? Mais les doigts de Venusia, qui glissent dans mes cheveux pour accompagner mes mouvements, ont vite fait de me rassurer... et de m’exciter.
— Oooh... Oui Tricia ! Ta bouche... Hmmm... c’est si bon... Aspire-moi !
Son gland qui glisse contre ma langue... son goût... Hmmm... je me délecte... La succion que j’exerce, sur ce fruit gonflé, ne tarde pas à faire se cambrer la belle amazone. Enfonçant maintenant son membre au fond de ma gorge, il est évident que la taille de l’engin n’a rien à envier à celle d’un sexe masculin. Ma main droite, remontant sa cuisse, saisit alors ses testicules, apparus en même temps que le reste. Glabres, tout comme sa verge, ils roulent entre mes doigts. Quant à ma main gauche, elle ne tarde pas à entrer en contact avec sa... chatte ?!
Mon Dieu ! Comment est-ce possible...? Mais cela fait longtemps que la raison n’a plus sa place ici. Et c’est sans aucune hésitation que j’engouffre mes doigts dans cette fente, chaude et humide, dont les lèvres recouvrent déjà mes phalanges exploratrices. Quelle sensation esquisse que de goûter à ces deux mondes, en même temps... un dans chaque main... dans une parfaite complétude.
— Haaann... C’est bon... Oh oui, c’est trop bon... Tricia, ouiii...
Une main s’agitant au plus profond de son vagin, et l’autre tirant sans répit sur ses bourses, je taille alors la meilleure pipe de toute ma vie. Ma salive, qui n’en finit pas de couler du bord de mes lèvres, enduit à présent parfaitement son membre dur et chaud. Il disparaît bientôt, entièrement et à intervalles réguliers, à l’intérieur de ma bouche...
— Ho ! Ooh ! Tricia... Putain OUUIII !
Puis, je sens son corps se cambrer brutalement... Sa queue, tendue à l’extrême et agitée par des spasmes au fond de ma gorge, ne laisse aucun doute sur ce qu’il va se passer... Je serre alors mes deux mains, comme agrippant la chair de ce mets que je dévore avec avidité.
— Oh ! Merde... Non... Tricia ! Haaann... C’est trop bon... NON !
Son corps s’est crispé, et un jet chaud vient d’éclabousser mon palais... je déglutis. Un filet de sperme s’écoule bientôt de mes lèvres... puis... plus rien ! Je la sens paralysée... le souffle coupé... elle se retient !
— Non, pas tout de suite, Tricia... pas comme ça ! Je veux te faire goûter à autre chose...
Se relevant subitement, Venusia me porte alors comme une plume, me dépose sur le lit et m’arrache ma petite culotte. M’écartant les cuisses, c’est maintenant elle qui me surplombe de son corps imposant. Elle pose alors ses mains sur mes hanches et, plongeant son regard dans le mien, place son gland contre ma vulve.
— Tricia... à ton tour de jouir... à mon tour de te posséder...
Nos yeux gardant le contact, je sens la longue tige me pénétrer... centimètre par centimètre... dans un lent mouvement délicieux et sans fin. Puis, arrivée en butée au fond de moi, elle en ressort avec la même douceur...
— Oh, ouiii Venusia... c’est si bon... si doux...
Elle augmente alors la cadence... et ce sont bientôt de puissants coups de reins qui font rentrer son sexe, avec force, au plus profond de moi. Ses yeux balayent mon corps nu, comme pour profiter pleinement du spectacle... de ce qu’elle me fait... Rien que son regard sur moi m’excite comme une dingue !
Je me mords les lèvres. Mes mains s’agrippent aux draps, pour retenir mon corps emporté à chacun de ses assauts. Je suis secouée... bousculée... dans un exquis mélange de brutalité et de volupté : la brutalité d’un mâle en rut, mêlé à la volupté de la femme que j’aime...
— Oooh oui, Venusia ! Vas-y fort... plus fort ! Oh oui, baise-moi... défonce-moi !
Et tandis que les va-et-vient n’en finissent pas de me perforer la chatte, maintenant débordante de mouille, elle pose ses larges mains sur mes seins et plante son regard dans le mien. Au rythme des à-coups, son regard semble à présent s’intensifier... de plus en plus... et de plus en plus profondément... Comme si, en plus de pénétrer mon corps, elle était en train de pénétrer mon esprit... une sorte de double pénétration...
— Tricia... lâche prise, ma belle... ouvre ton esprit... ouvre-toi... et profite...
Et pendant que ses paroles résonnent dans ma tête, ce sont d’étranges sensations qui se mêlent en moi...
— Mais... Venusia ! Qu’est-ce qui m’arrive...? C’est quoi ça ?— N’aie pas peur Tricia... laisse-toi faire... savoure ce moment... Ce n’est pas moi qui vais te baiser, oh non... c’est toi mon amour... tu vas te baiser, ma belle... oh oui, tu vas te baiser...
Alors, de sentir toutes ces sensations se superposer, pour bientôt ne former qu’un tout, je comprends toute l’ampleur de ses paroles. La peur, tout d’abord, m’envahit... mais elle est rapidement balayée par ce tsunami d’extase et d’abandon qui déferle à travers moi...
Si chaque parcelle de mon vagin ressent parfaitement le membre qui le traverse, je sens à présent... mais est-ce possible... cette chatte chaude et humide glissant le long de ma queue... “MA” queue !?
— Oh, Mon Dieu ! Venusia... mon Dieu !— Chuuuut... Oui, Tricia... c’est bien ce que tu penses...
Et en effet, c’est tout à fait ça : sous ses doigts, ce sont mes seins que je sens... Ces coups de reins, c’est moi qui me les donne... Ce membre entre mes jambes, je le sens... dur... tendu... mais je sens également ma chatte le recevoir... Est-ce que je deviens folle...? Mais quelle douce folie que celle-ci... je le comprends maintenant... je me fais l’amour... et mon Dieu, que c’est bon !
— Oooh...! Venusia... c’est... c’est si...
De ses mains, j’agrippe mes cuisses... les images se mélangent... Quelle ivresse d’être ces deux corps à la fois... Je sens cette chatte que je pénètre... Je sens cette queue qui plonge au plus profond de moi... violemment... sans retenue... Mes va-et-vient écartent ma chair à chaque passage... je la vois se faire prendre... je la sens, encaisser les coups que je ne retiens pas... Et j’en redemande... Oui, on peut le dire : je me baise... je me baise avec une violence qu’il n’est possible de s’infliger qu’à soi-même...
— Oh oui, putain ! Prends ça ! Haaannn... ouuiii... comment j’aime ça...
Je mouille... je bande... je me fais prendre... je me pénètre... je deviens folle...
Son doigt qui vient de se poser sur mon clito, et par lequel je le sens dur et palpitant, a démarré le compte à rebours. Je sais d’avance que l’issue est inéluctable. Cette escalade a commencé et il ne me reste plus qu’à me laisser porter...
En sueur, nos deux corps vibrent à présent, comme deux orgasmes en devenir... Ce membre qui me laboure de l’intérieur et ce doigt qui s’agite sur mon bouton gluant de cyprine, sont en train d’accumuler les ondes de plaisir captées par mon ventre... par mon corps tout entier...
— Ooh, Venusia... C’est trop fort... Je ne peux plus... Haaan ouiii... je vais... JE VIENS !— Vas-y, mon amour... lâche tout... lâche-toi !
Et soudain, l’orgasme explose ! Un orgasme féminin et masculin en une seule jouissance. Mon corps tremble... se cambre... La pression dans mes couilles est intenable... Je me lâche ! Le sperme que je sens traverser ma queue, vient gicler au fond de mon vagin, en de longs jets brûlants... Je me vide... je me remplis... je donne... je reçois... je m’abandonne... je jouis...!
— Oh oui... ouiiii... OUUIII...!!
À cet instant précis, nous ne formons plus qu’un : un seul être, composé de deux corps en fusion vibrant du même plaisir... se consumant du même feu. Une extase unique dans un partage ultime !
Enfoncée en moi, je regarde ma semence couler de ma vulve, le long de mes fesses et autour de ma verge... comme le liant d’un amour indivisible... indestructible. Puis, je m’allonge à côté de moi et m’enlace de mes bras.
Nos respirations, encore synchronisées pour quelques instants, je sens bientôt son sexe me quitter et mon esprit réintégrer lentement le corps qui est le mien...
Sa peau si douce, qui déjà s’éclaircit, m’enveloppe comme un cocon protégeant sa chrysalide. Nous sommes liées... je le sens... je le sais...
Alors, je ferme les yeux... heureuse... tout simplement heureuse...
***

Je marche dans le long couloir, perdue dans mes pensées... la tête encore pleine des images de la nuit. Je viens de m’envoyer un p’tit déj express et me dirige vers l’infirmerie, mon bracelet connecté m’ayant notifié que j’y étais attendue...
Arrivée devant la porte, l’infirmière Joëlle m’attend déjà... toujours aussi craquante ! Elle me fait à chaque fois le même effet : son uniforme blanc et rose, ses boucles qui tombent sur ses épaules, et on ne va pas se mentir, ses jolies jambes sortant de sa petite robe, y sont sûrement pour quelque chose.
— Salut Joëlle ! Comment ça va ? Il parait que je dois venir te voir !?— Salut Tricia ! Oui, en effet... on a quelque chose pour toi.— Ha ?
Elle sort alors une petite boîte, qu’elle ouvre devant moi. À l’intérieur, posé en son centre, au creux d’un petit coussin de velours, se trouve une sorte de tout petit poisson... pas plus de deux centimètres. À travers sa peau transparente de synthèse, on peut apercevoir son minuscule squelette mécanique, composé d’une myriade de composants électroniques.
— C’est quoi ça ?— C’est notre ingénieure en chef et son équipe qui l’ont fabriqué pendant ton absence... sur la base de plans transmis par Wedreca.— Wedreca...? Tiens tiens... Et je suis censée faire quoi, avec ça ?— Le mettre à la place de ton Babel fish actuel.— Ha !?
D’une main, elle attrape alors mon menton pour me faire pencher la tête, et de l’autre, insère dans mon oreille une sorte de petite pince. Après quelques frissons, elle en ressort le petit Babel fish doré, qui s’agite sous nos yeux... puis, le jette dans un bocal rempli d’eau, juste à côté. La bestiole, se mettant à faire des ronds dans l’eau, ne semble pas perturbée le moins du monde.
— M’hasck niaqui crast-y gnos tylio scratch’iop ?— Heuu, je comprends rien là, Joëlle... c’est pas la peine !— Hiaa ? Gnolm’estrak t’jerk bian-ostru. R’hesh tarmie’st !— OK, OK... Fais ce que tu as à faire...
Elle attrape alors le poisson synthétique avec la pince et le place dans mon oreille. Après quelques instants, je le sens frétiller et se frayer un chemin à travers mon conduit. Puis, plus rien.
— Ça y est...? C’est fini ?— Gran’ystach ! Pri’ak mil-yrk’ ust-nost ?— Putain ! Ça marche mon cul oui... son bordel à Wed !— Frus-ya pri’ ory normalement ça devrait fonctionner... je ne comprends pas !— Ha ! Ça y est ! Ça marche, Joëlle... c’est bon !— Aaah ! Ouf ! Tu m’as fait peur. Bon... ben du coup, mission accomplie !— Heuuu... et c’est tout ? Ça sert à quoi...? Parce que l’autre marchait très bien, tu sais !— Houla ! Tu sais, moi... je suis les instructions : on m’a dit “mets-lui ce machin”... je t’ai mis le machin.— OK... bon... ben merci, alors. Allez, j’y vais ! Bonne journée !— Oui, bonne journée à toi aussi, Tricia.
C’est non sans jeter un dernier coup d’œil à la petite Joëlle, qui ne me laisse décidément pas de marbre, que je sors de l’infirmerie. Une fois dans le couloir, mon pas prend alors la direction de la bibliothèque du vaisseau. Mais à peine ai-je fait une dizaine de mètres, qu’un grésillement se fait entendre dans mon oreille...
– – Trrrrrr... Trrr... Tr... Tri... Tricia ? Tu m’entends ?— Mais ! C’est quoi ce... ce... Wedreca !? C’est toi ?– – Ben oui, espèce de cruche... qui d’autre ?— Merde ! Bordel ! T’es dans ma tête ?!– – Eh oui, ma cocotte !— Ah, mais non ! Ça va pas le faire, ça ! Je retourne illico voir Joëlle, qu’elle m’enlève cette merde !– – Oh oh... calmos l’amie ! Je pense que tu vas avoir besoin de moi plus vite que tu ne le crois. Et de toute façon, je ne leur ai pas donné la procédure d’extraction du Wedre fish.— Hein !? Du Wedre quoi ?! Non mais tu rigoles ?!– – Allez, Tricia... Je t’en prie, calme-toi ! On a du travail, toutes les deux. Quand tout ça sera fini, tu pourras l’enlever, ce machin.— Mouai... Promis ?– – Promis !— Bon...– – Et au fait, on m’a dit que tu avais le guide ! Bravo !— Ouais... je l’ai ton foutu guide ! Si tu savais ce que j’ai dû faire...– – Je le savais, que tu étais la femme de la situation... je le savais !— Tu savais rien du tout, ouais ! Tu le savais à 43%, hein !?– – Ah ! Ça ?! Mais j’ai dit 43... comme j’aurais dit n’importe quoi !— QUOI !?– – Ben oui... tu voulais tes chances de réussite... qu’est-ce que j’en savais, moi...— Puuutaiiin, la saaalooope ! T’abuses là ! Tu sais que je m’y suis accrochée, à tes putains de 43% !?– – Rhooo, allez ! Ça s’est bien terminé... non ?— Oui, ben pas grâce à toi !– – Et sinon, tu vas où là ?— À la bibliothèque. Je veux en apprendre un peu plus sur le guide et sur celle qui l’a écrit.– – Très bonne initiative ! Je viens avec toi !— Comme si tu avais le choix...!
Enfin arrivée à la bibliothèque, je passe l’énorme porte s’ouvrant sur une pièce non moins impressionnante. Si sa taille n’a rien à voir avec celle des Sylvidres, elle n’en reste pas moins gigantesque. Les grandes étagères en bois mêlé de métal, alternant ouvrages reliés et cartouches numériques, lui donne sans conteste un charme tout particulier. Il n’y a pas encore trop de monde et l’ambiance est studieuse...
M’asseyant à une des tables disponibles, je sors alors le guide et commence à en feuilleter les pages, à la recherche de quelque chose qui me trotte dans la tête depuis un moment :
“V... Vénus... Vénusienne... Trans...”
— Ha ! Voilà !
“Transmutation : Procédé par lequel les Vénusiennes changent de sexe. La transmutation est accompagnée d’une prise de masse musculaire et d’une coloration bleu foncé de la peau. Chez les Vénusiennes, la transmutation intervient lors d’un état de colère ou de plaisir intense. Vénus étant composée d’une population 100% féminine, c’est l’unique façon, pour cette espèce, de se reproduire. Chez certains individus, une légère teinte bleutée peut persister lorsque les sentiments sont assez forts.”
— Waouh, la vache ! J’en avais déjà entendu parler... mais le vivre, c’est...
Encore ahurie, devant ce que je viens de lire, je ne vois pas que tous les regards de la pièce viennent de se tourner dans la même direction : la porte d’entrée...
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