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Habemus Papam

Chapitre 1

La mariée

Hétéro
Mes parents m’ont choisi un époux. Je vais me marier jeune, tout juste 18 ans, et pas par amour.
Mon promis est un homme fortuné et titré. Il cherchait une jeune femme aux formes voluptueuses, avec une dote importante et des dons de procréation. Il semble que je corresponde à sa demande. Il doit être très important dans la hiérarchie sociale pour que mes parents soient si pressés de m’offrir à lui.
Si vous pensez que mes parents m’aiment tendrement, vous vous trompez. Ils voulaient un fils pour hériter du domaine et porter haut notre nom, voire atteindre la première place au Vatican.
— Ma fille, tu dois accomplir ton devoir. Nous avons promis à ton fiancé que tu es douce et docile. L’honneur de notre famille dépend de ton attitude.
Voilà les paroles de ma mère en me conduisant vers une nouvelle vie.
— Nous n’avons jamais abordé les moments d’intimité que tu connaîtras avec ton époux. La seule chose que tu dois savoir est d’obéir à toutes ses volontés. Tu lui dois obéissance, en toute circonstance, même si cela te gêne, te rebute ou te fait mal.
Le carrosse s’arrête. Je n’ai pas vu le chemin, ma mère a tenu à garder les rideaux fermés. L’anxiété me prend. Ma poitrine se soulève rapidement. Je descends.
Je n’ose comprendre... Nous sommes place Saint-Pierre, proche du Saint-Siège, palais du Pape. L’identité de mon promis est un vrai mystère. Cela ne peut être le Saint-Père ou un Cardinal, ils ont fait vœu de chasteté. Ils représentent la pureté et notre Dieu sur cette terre. Un Prince ? Non, il n’aurait aucun avantage à m’épouser.
Ma mère s’impatiente. Elle me tire par le bras pour me sortir de mon état de choc. Elle me conduit jusqu’aux portes lourdement gardées. Là, elle s’arrête.
— Ton époux est plus âgé que toi. Sois belle et douce.
Elle tire sur mon corsage. Je me sens belle dans cette robe de princesse. Je suis mal à l’aise par ce décolleté. Je ne connais rien à la vie, mais sais que ce genre de chose est pour les femmes à la vertu discutable ou cherchant l’attention. Ma robe est d’un rose très pâle, on pourrait la croire blanche. Le corset est magnifiquement brodé. Ma mère par son mouvement a mis en avant ma poitrine forte généreuse. J’ai peur qu’elle ne sorte de son logement. Mes seins sont tellement gros qu’ils en sont obscènes à mes yeux. Toutes mes camarades chez les sœurs étaient plus... plates et conformes aux attentes physiques des hommes. Je crois même apercevoir mes aréoles. Ma traîne est belle, elle aussi. Cette toilette est une dépense fastueuse même pour mes parents.
Nous sommes conduites à travers de nombreuses salles toutes plus magnifiques les unes que les autres. Je suis ébahie de me retrouver dans la Sala Regia. C’est à ce moment que je vais entrer dans la célèbre chapelle Sixtine. Qui est ce mystérieux homme ?
A notre entrée, tous les hommes se tournent pour observer notre progression. Nous sommes les deux seules femmes de l’assemblée. Près de l’autel se tiennent le Pape Calixte III et un homme brun de grande stature. Il semble musclé. Mon futur époux. Il ne ressemble pas à l’idée que je m’en faisais, un homme de cinquante ans, sans vigueur ni dent.

La cérémonie passe dans un brouillard. Je ne saurais vous dire quelle était la teneur de nos vœux. Mais je suis mariée. Je ne repars pas avec mes parents ce soir. Nulle larme. Nul repas pour les époux. Les invités, les cardinaux, les gardes et ma famille sont invités à se rendre dans une autre pièce pour savourer le repas.
oOo
J’ai été conduite dans une chambre du Palais. Elle est somptueuse. C’est là que je dois faire tout ce que mon mari voudra... quoi que cela veuille dire.
La porte s’ouvre... sur une nonne. Elle a vingt ans, soit bien plus âgée que moi. Son visage est beau, lisse avec de grands yeux d’un bleu pénétrant. Sans aucun mot, elle s’avance vers moi. Défait mon corsage. M’enlève ma toilette, mes jupons. Aucune culotte n’était présente, juste un déshabillé d’un tissu tellement transparent qu’il est indécent. Il m’est retiré. Sa tâche accomplie, la religieuse se retire. Elle me laisse seule dans cette grande pièce.
Nue dans cette pièce, je ne sais que faire pour passer le temps jusqu’à l’arrivée de celui qui fera officiellement de moi une épouse.
Une psyché est présente près d’une grande fenêtre. Je m’en approche. Elle me renvoie une image que je peine à reconnaitre. La femme menue, avec des hanches bien dessinées. Sa poitrine est très grosse. Cela lui donne de la volupté. Des boucles se détachent entre mes jambes. Ma main descend pour découvrir cet endroit jusque-là interdit. J’ai à peine le temps de les effleurer que la porte s’ouvre à nouveau.
Je me retourne pour découvrir Sa Sainteté Calixte III. Il porte toujours sa robe de cérémonie. Il est auréolé d’une aura dorée. Il a une prestance rare. Son regard semble parcourir tout mon être. Je sens ses yeux s’attarder sur ma poitrine, puis sur cette étrange pilosité entre mes hanches. Je ne sais quoi faire face à l’étrangeté de la situation.
— Vous êtes une beauté. Celle dont je me souviens. Vous ferez de beaux enfants à la famille Borgia.— Très Saint-Père, le saluais-je.
Il est interdit de s’adresser au Sa Sainteté sans qu’il vous ait accordé la parole.
Il me tend sa main avec l’anneau papal. Je m’empresse de m’agenouiller pour l’embrasser. Sans penser à l’image que je donne au Saint Homme.
— Très Saint-Père ! Sa Sainteté me permettra-t-elle de parler sans détour ? osais-je.— Faites, ma fille. Vous venez d’entrer dans la famille en épousant mon neveu Giovanni Borgia, m’accorde le Pape.— Où Sa Sainteté m’a-t-elle vue ? Je pense que je me souviendrais de notre rencontre.— Vous preniez votre bain chez une amie de vos parents, m’explique-t-il.
Je reste prostrée à genoux à ses pieds. Choquée ! J’aurais voulu me relever et le sommer de s’expliquer.
Un souffle d’air me fait frissonner. La main du Saint-Père se pose sur moi, m’enjoignant à me relever. Je suis face à lui, nue comme au jour de ma naissance, les yeux toujours baissés. J’entends son étoffe qui balaie le sol. Il tourne autour de moi. Des frissons me parcourent sans que je puisse les dissimuler. Je tente de rester impassible sous son regard.
— Cela fait un temps certain que nous cherchions la femme parfaite pour notre famille. Nous avons entendu parler de vous pour votre beauté et votre douceur. Nous devions nous assurer de cela. Votre père nous a conduits dans un passage donnant secrètement sur la pièce où vous étiez. Vous preniez votre bain. Votre mère a ordonné le départ des servantes. Vous êtes restée avec l’amie de la famille qui a vérifié que vous étiez bien devenue femme. Là, sous nos yeux vous étiez en tenue d’Eve. Elle vous a mise sur le lit. Elle vous a écarté les jambes pour avoir une vue sur votre intimité et le sang qui s’en échappait. Cette vision nous a fait ressentir tout un émoi.
Ce jour ! Je n’en reviens pas qu’il était là sans que je le sache pour ce jour que toute demoiselle doit vivre. Heureusement qu’il n’était pas présent pour la visite du médecin confirmant ma virginité. Cela m’aurait mortifiée.
Une main m’effleure alors que le Saint-Père continue de tourner autour de mon corps. Cela me fait ressentir d’étranges sensations. Je suis anxieuse et pourtant désireuse qu’il me dise pourquoi il est présent dans cette pièce et non mon époux.
— En ce jour si particulier qu’est votre mariage, vous allez recevoir la plus sainte des Bénédictions.
Je ne comprends pas, mais acquiesce tout de même.
Il est derrière moi. Ses mains viennent se poser sur mes seins. J’ai honte. Mon corps devrait n’être touché que par mon époux. Je ne peux me soustraire à cet homme représentant de Dieu sur Terre. S’il est là, c’est que mon mari veut que je me soumette à lui.
— Votre corps est une beauté. Nous devons reconnaitre que vous êtes un ange tentateur. Nous allons faire de vous une vraie femme. Vous allez Nous donner le meilleur des plaisirs et communier au plus près de Nous.
Je ne comprends pas tout.
Ses mains malaxent ma poitrine. Il tire sur mes aréoles beiges. Mon corps se colle à son torse. Il est ferme malgré son âge et me retient. Il me pince. J’aurais dû être choquée, mais je m’embrase. Je sens quelque chose monter en moi. Un son s’échappe de ma gorge sans ma permission. Une main quitte ma poitrine pour descendre sur mon être. Elle semble laisser une traînée brulante sur son passage. Personne ne m’a jamais touchée ainsi. Elle atteint mes boucles. Une jambe s’infiltre entre les miennes. Je ne résiste pas. Cet homme touche mes lèvres intimes. La sensation est douce. Des sons m’échappent encore.
— Oui, ma fille. Nous voulons t’entendre. Nous allons vous faire crier, peut-être hurler par Notre plaisir.
Sa voix me parvient dans une sorte de brouillard. Je suis perdue dans toutes ses nouvelles sensations.
Il me retourne face à lui. Avec dureté, ses lèvres rencontrent les miennes. Il continue ses caresses tout en forçant le passage dans ma bouche. Je ne peux retenir un cri étouffé par la Sainte-bouche quand un doigt entre dans mon intimité. Ce doigt et cette main se frottent à moi, entre et sorte, me donnant un plaisir jusqu’ici inconnu.
Tout s’arrête. Je me sens seule et abandonnée. Je me demande ce qu’il va se passer maintenant. Je l’observe se déshabiller. Je devrais détourner le regard, mais en suis incapable. Le rouge me monte aux joues. Une humidité est présente entre mes cuisses.
Il n’est pas une beauté. Il reste bien conservé pour un homme de son âge. Son torse est couvert de poils au niveau des pectoraux. Une ligne d’entre eux descend de son nombril jusqu’à un amas dont sort un mat fièrement dressé. C’est donc cela que je sentais pressé contre mon corps pendant ses caresses. Je déglutis.
— A genoux, m’ordonne-t-il.
Sans attendre, je m’exécute.
Son sexe est presque à la hauteur de ma bouche. Devant mon visage, il le caresse. Une main s’agite sur cette tige. Elle semble prendre de l’ampleur.
— En bouche, me dit-il.
Je dois obéir et faire honneur à ma famille. J’ouvre la bouche. Il en profite pour introduire son membre. Elle est grosse. Ma mâchoire me lance. Sans mon consentement, il m’agrippe la tête pour faire des oscillations. Ma bave coule sur ses poils quand il m’enfonce sa bite profondément. Je vais étouffer ou m’étrangler. Le membre se gonfle encore. Il semble palpiter contre ma langue. Son odeur et son goût ne sont pas très bons, mais je continue ma tâche, ne sachant pas encore ce qui m’attend par la suite.
Une chose est certaine, le Pape a une parfaite idée de ce qu’il veut. Je me conformerais donc à ses désirs.
Je n’en peux plus quand il retire son goupillon de ma cavité. Je suis dans un état second. Il me soulève pour me poser sur la couche. Je sens sa bouche embrasser mes globes puis lécher ma peau jusqu’à retrouver ma crinière intime. Sans douceur, il utilise ses dents pour agacer ma peau. Il me fait mal. Il m’a mordue. Je pousse un cri plaintif sans tenter de fuir. Il recommence. Je crie plus fort. Il semble aimer m’entendre.
Sa langue glisse sur moi. Après la douleur, cela provoque un émoi. Il introduit sa langue en moi. C’est doux. Que c’est bon ! Je gémis. Il me regarde tout en poursuivant son action. Sans trop savoir pourquoi, je me sentais lui appartenir. Bien que ce soit mon devoir, je ferais tout ce qu’il voudra tant qu’il me procurera de tendres caresses.
Brusquement, il n’est plus entre mes cuisses. Je n’ai fermé les yeux qu’une seconde. Je les ouvre brusquement. Son visage est proche du mien. Il semble heureux de ce qu’il voit. Avec force, il arrache mon filet. Les perles se répandent partout, comme mes cheveux.
— Quand vous recevrez les deux dernières bénédictions, il ne faut pas d’artifice. Vous Nous appartenez depuis que votre premier trou a été consacré.
Je n’ai pas de réponse à faire.
Mes jambes sont toujours écartées. Son sexe est toujours bien droit. Il est sur moi. Il me fixe droit dans les yeux en positionnant ce mat dans mes poils. Il se frotte. La sensation est exquise pour nous deux.

Tout d’un coup, il entre en moi. Je me crispe. La douleur est fulgurante. Mes ongles s’enfoncent dans les avant-bras du Saint-Père. Je me mords la lèvre. Je me sens écartelée. Je ressens chaque pulsation de son être. Il n’a pas bougé le temps que je m’adapte. Lorsque je relâche mes mains et libère ma lèvre. Il m’embrasse. Se faisant, il imprime un mouvement à l’intérieur de mes entrailles. Il semble satisfait de mon comportement. Une pointe de fierté s’allume en moi. Il se retire pour revenir. Il coulisse dans mon con de plus en plus vite. Il tape de plus en plus fort contre mes fesses. Ses mains agrippent fortement mes hanches. Chaque fois qu’il est plus profondément en moi, je ressens un plaisir immense qui ne semble que grandir de plus en plus. Je suis à lui. Je ne peux m’empêcher de crier, de le supplier de continuer, d’aller plus vite. Plus la cadence augmente, plus je crie et l’appelle. Cela semble le satisfaire, car de grands jets d’un liquide viennent tapisser mon intérieur.
Le liquide coule quand il se retire. Le Saint-Père semble vidé de son énergie, tout comme moi.
Il regarde son sperme s’écouler de mon corps avec un sourire. Il s’allonge près de moi. Me caresse le ventre, puis me tourne fermement et rapidement la tête pour que je le regarde.
— Très bien, ma fille. Vous Nous avez donné beaucoup de plaisir. Vous êtes une femme de la famille Borgia, aujourd’hui. Nous avons encore beaucoup à vous apprendre et une bénédiction doit encore vous être donnée. Au vu de votre performance, Nous vous laissons vous reposer. Nous continuerons dès que possible votre éducation, me promet-il. Sachez que votre rose est belle quand elle se pare de rouge et de blanc.
Cette promesse me laisse sans voix. Je suis également muette face à sa dernière phrase qu’il ponctue de plusieurs caresses à mon intimité malmenée. Une torpeur vient me saisir. Pourtant j’entends le Saint-Père parler avec un homme.
— Nous avons bien choisi ton épouse, Giovanni. Elle n’a pas pleuré. Elle ne s’est pas rebiffée face au Saint-Cierge. Elle a accepté la bénédiction de la bouche et du con. Demain, Nous lui donnerons la bénédiction arrière.— Etait-elle bien vierge, mon oncle ?— Oh ! Oui, parfaitement. Elle est un nouveau diamant pour la famille Borgia et pour l’Eglise...
Impossible d’en entendre plus, le sommeil me prend.
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