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Habemus Papam

Chapitre 2

Troisième bénédiction

Inceste
C’est une étrange sensation qui me sort de mes rêves. Des mains parcourent mon corps. Les souvenirs de la veille me parviennent. Je suis devenue pleinement femme grâce à Sa Sainteté le Pape Calixte III. L’émoi qui fut le mien hier me reprit sous ses attouchements.
On m’écarta les cuisses pour positionner l’objet qui me fit tant plaisir, il y a quelques heures. L’intrusion se fit en une poussée. Ce n’était pas celui d’hier. J’ouvre grand les yeux pour découvrir mon époux nu au-dessus de moi. Il sourit quand je le regarde.
Sans attendre que je m’adapte, il m’agrippe les hanches et me besogne aussi vite et fort qu’il lui est possible. Cela fait mal et pourtant c’est tellement bon. Mon corps réagit. Je gémis à chacun de ses coups. J’en veux plus, beaucoup plus. Rapidement, la fin arrive. Le liquide est expulsé en moi.
Mon époux amène sa bouche à mon oreille.
— Vous m’avez fait grand effet, cette nuit, par vos cris sous les coups de mon oncle. Il n’a pas menti. Vous êtes parfaite, ma femme, me susurre-t-il.

Mon époux sort du lit. Se faisant, il se retire de mon intimité. Je ne dois pas être normale, car j’en ressens un manque et une certaine frustration.
— Mettez votre robe de mariée, m’ordonne-t-il.

Son regard lubrique se pose sur moi. J’ai envie de me cacher sous les draps pour lui échapper. Je n’en ai nul droit. J’appartiens à la famille Borgia, je dois lui faire honneur. Aussi je me lève du lit.
— Pas de culotte ni de chemise. Pas même la plus fine. Pas de toilette, restez telle que vous êtes.
Sur ces dernières paroles, il quitte la chambre.
Une nonne entre. Elle me détaille et s’attarde particulièrement sur le liquide qui me coule le long des jambes. Elle fait ce pour quoi elle a été appelée sans un mot ni un geste déplacé.
oOo

Je suis conduite jusqu’à la chapelle Sixtine qui a accueilli mon mariage. Elle est toujours magnifique. Les peintures et les dorures en font un lieu d’une beauté enchanteresse.
Le Pape et mon époux sont devant l’autel. Ils semblent en grande conversation.
Je suis mal à l’aise. Leur liqueur est mélangée en mon sein. Le liquide est poisseux sur mes cuisses. Je souhaiterais pouvoir l’essuyer, tout en recevant des caresses sur et dans ma fontaine.
Ils m’ont vue. La discussion s’arrête. Tous deux me regardent. Je peux voir les pensées lubriques qui les traversent. La luxure s’empare de nos âmes, me semble-t-il.
Le Saint-Père me tend sa main. Je m’agenouille pour embrasser sa bague, bien consciente de la vue qu’ils ont sur ma poitrine. Il me prend le menton pour relever mon visage.
— Ma chère petite, en ce lieu et en ce jour, vous allez recevoir la dernière bénédiction de la part de Notre Sainte-Personne. Cela sous le regard et la volonté de Dieu et de votre époux, mon neveu. Acceptez-vous ? me questionne-t-il.— Votre Sainteté, je recevrais tout ce que Dieu, ses représentants et mon époux voudront bien me donner, lui répondis-je.
Ma réponse et ma soumission semblent leur convenir. Même plus que cela au vu de la grosseur qui grandit dans la culotte de mon mari. Je sais que je vais encore avoir le droit à un sexe, mais où ? Cela reste à déterminer et lequel.
— Approche, m’ordonne l’oncle de mon époux.

Je me relève en gardant la tête baissée vers le sol, mais en mettant en avant mon décolleté. Je m’approche docilement.
— Giovanni, tu vas Nous préparer cette petite.
Sans autre mot, mon époux me pousse avec force contre l’autel. Les cierges tremblent, mais ne tombent pas. Ma respiration est coupée. Deux mains plongent dans mon décolleté pour venir pétrir ma poitrine. Celle-ci est totalement sortie et livrée au plaisir de cet homme. Je commence à gémir. La sensation est bonne. Il me pince, m’étire, me malmène... Je cherche à rester immobile. Je ne peux rester ainsi. Il est collé à moi. Je sens sa barre contre mon postérieur. Il m’enveloppe de toute sa stature. Mon bassin se met à onduler doucement contre lui. Ce traitre va de plus en plus vite. Mon corps me trahit, alors que mon homme continue de malmener mes globes. Il me mord le cou. Je gémis. Ma tête ballote. Je suis totalement livrée à mon plaisir, sans me soucier de Sa Sainteté qui nous regarde ou de ce qui m’indisposait il y a encore quelques instants.
Giovanni soulève mes jupes. Une de ses mains s’introduit dans ma caverne pour vérifier que j’étais prête. Ses doigts entrent et sortent pour mon plus grand bonheur. J’aimerais tant qu’il les remplace par autre chose.
Il écarte mes chaires. Il reste ainsi quelque temps, comme pour me contempler. Cela me frustre. Je veux tellement qu’il me remplisse. Est-ce qu’il me contemplait ou attendait-il une confirmation ? Je ne puis le dire. Mais je le sens tourner autour de mon anus, cet endroit interdit. Ne dit-on pas que seuls les sodomites l’utilisent...
Oh ! Je me cambre. Un hoquet me prend. Un doigt est dans mon fondement. Il me parait gros. Il me remplit. Je me contracte autour par à-coup. Le sourire de mon époux s’esquisse dans mon cou. Pas un mot n’est dit, pourtant j’ai l’impression de lui offrir un cadeau qu’il apprécie grandement. Il ajoute un autre doigt. C’est bon ! Je m’accroche à l’hôtel pour ne pas tomber.
Il retire ses doigts. Je sens s’étaler sur mes fesses le liquide. Je suis une nouvelle fois vide.
Je n’ai pas le temps de me plaindre qu’une tige se présente à mon petit trou. Elle s’enfonce doucement. Mon œillet s’étire pour s’adapter. Dès son gland entré, je suis embrochée. Ce sexe me remplit, m’étire, me déchire. Je hurle et pourtant autre chose monte. Je ne sais si c’est mon époux ou le Saint-Père qui me possède. Le sexe est gros et long. Il me pilonne, sans se préoccuper de mon plaisir. C’est brutal et pourtant... Je hurle. Je gémis. Mes hanches viennent à la rencontre de ce chibre et de ses bourses.
Mes seins ajoutent à mon excitation. Ils frottent sur la nappe recouvrant la pierre de l’autel.
Je ne suis plus qu’une chose gémissante se tortillant sous les coups de cet homme. Je ne sais plus où je suis. Le plaisir est trop intense. Tout s’arrête avec sa libération dans mon intestin. Il se retire, me laissant pantelante sur l’autel. Je peine à reprendre mes esprits. Je sens le liquide me couler le long des jambes. Un courant d’air me chatouille. Je ne peux bouger au risque de m’écrouler au sol sans aucune grâce.
— Quelle beauté, se fait entendre une voix d’homme sans que je parvienne à l’attribuer à mon époux ou à son oncle.— Elle a été bénie trois fois. Elle te sera une bonne épouse, explique le plus âgé. Regarde comme elle est belle et obéissante. Pas une larme. Pas de récrimination à avoir été prise par Nous ou par toi. Les traces de son innocence et de nos bénédictions sont bien visibles. Ne trouves-tu pas cela excitant ?— Vous savez que je vais la prendre sous vos yeux. J’ai eu sa caverne ce matin. Elle était encore pleine de vos ébats et de son sang de pucelle, répond Giovanni. Vous avez l’œil pour choisir une épouse, mon oncle. Comme vous savez qu’il est impossible de vous refuser quoi que ce soit.— Bientôt tu partiras en Espagne protéger tes terres. Ta femme restera auprès de sa famille. Tu as donc le devoir de l’honorer et de l’éduquer à nos codes, rappelle Calixte III.— Oui, Saint-Père.
J’entends la robe de Sa Sainteté frôler le sol dans ses déplacements. Il semble s’éloigner. Des pas se rapprochent. Mon époux vient à moi. Je suis toujours avachie sur l’autel, les fesses exposées. Les seins frottant à chaque respiration contre l’étoffe consacrée du mobilier religieux.
— Vous êtes belle, mon épouse, quand vous donnez du plaisir à mon oncle. Sentez comme vous m’avez fait plaisir.
Il s’appuie contre moi. Je peux sentir un cierge bien dur contre mes fesses. J’ai l’impression qu’il est plus gros et moins long que celui du Très Saint-Père. Son épaisseur me fait peur. Il pourrait m’écarteler jusqu’au saignement. Je viens tout de même de vivre ma première sodomie. Elle fut forte agréable malgré la force des mouvements. Je décide de faire ce qu’il attend d’une épouse. Je réalise des oscillations avec mon bassin.
Un grognement se fait entendre au-dessus de mon corps. Je pense que cela lui plaît. Ses paroles ne font que le confirmer.
— Vous apprenez vite !
Son membre prend encore de l’ampleur. Il semble vouloir faire monter le plaisir. Plutôt que de me l’enfoncer comme je le demande dans mon petit trou bien agrandi, il frotte son pénis entre mes cuisses. Je le sens contre mon sexe, dans mes poils. Je suis frustrée. Je geins.
— Oh oui ! Pas même un jour depuis votre dépucelage que vous réclamez déjà d’en avoir toujours plus. Ma chère petite femme, vous êtes parfaite.
Il adore entendre ma frustration. Heureusement qu’il ne me voit pas, car j’en pleurerais. Je voudrais avoir le sexe du Saint-Père dans ma bouche pendant que mon époux s’occupe de moi. Ces pensées sont indignes d’une bonne chrétienne comme je le suis, mais je ne peux réfréner la luxure qui court dans mes veines.
Il finit tout de même par me planter d’une poussée rapide son membre dans le fondement. Mon anneau s’est resserré. Il me brule, me fait mal avec cette intrusion. J’ai des difficultés à respirer. Je halète. Mes cris sont étouffés par le manque d’air. Je bave...
Il me besogne comme jamais je ne l’ai été. Je me contracte de plus en plus. Il faut qu’il vienne, qu’il me donne sa liqueur. Alors que je pense qu’il va se libérer dans mes entrailles, il ressort pour venir emplir mon sexe du sien. Il est gros, si gros. J’ai mal et pourtant cela me fait tellement de bien.
Il m’attrape par les cheveux pour me redresser. Ce changement de position me donne l’impression qu’il entre plus loin en moi. Il tire toujours plus sur ma chevelure. Je me cambre.
— Regardez petite, voyez comme j’aime votre corps et comment vous réjouissez le Très Saint-Père, me susurre-t-il à l’oreille.

Obéissante, j’ouvre les yeux pour tomber sur un spectacle incroyable. Le Saint-Père a remonté sa robe blanche pour astiquer son sexe. Il s’active sur son manche. Son visage montre le plaisir qui l’anime à cet instant. Cela m’excite encore plus. Mes seins pointent et se balancent au gré des coups de bite que me donne mon mari.
Il n’a toujours pas joui. Pourtant, il m’abandonne pour s’allonger sur le sol de la Chapelle.
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