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Habemus Papam

Chapitre 4

La toilette

Voyeur / Exhibition
Une fois dans ma chambre, je me défais de ma toilette. Je délace mon corset. Laisse tomber mes jupes. Je garde mon haut dans mes mains. Quelques points de broderie seront à reprendre. Les perles ne sont pas tombées, mais des fils ont été tirés lors de l’action. Je ne sais si j’aurais le temps de le faire dans ma nouvelle vie. Sinon il faudra que je demande à une couturière de la faire.
Le broc d’eau est posé sur une petite desserte, un peu plus loin. Le meuble est magnifique. Il me semble que c’est du bois de rose. La couleur est splendide. L’artisan qui a ciselé le décor est un véritable artiste. Le broc et la vasque reposent sur une pierre qui me semble être du marbre. Des dorures rehaussent la beauté de l’ensemble. Je ne suis pas certaine d’avoir déjà vu tant de ravissements.
Je suis toujours étonnée du luxe qui semble être présent en ce lieu. Cette chambre est très féminine pour des appartements accueillant les personnalités proches du Pape.Il me faut me laver.
L’eau du broc est froide. Cela permettra peut-être de refroidir les ardeurs de mon corps. Je verse l’eau dans la vasque. L’éponge est là. Je passe la main dessus. J’aimerais que ce soit mon époux ou Calixte III qui me toilette, effaçant les traces de nos actes, me rendant intacte.
Je sursaute quand le froid de l’éponge entre en contact avec ma peau. Mes tétons se tendent. Ils sont tout pointus et durs. Je passe l’éponge dessus. C’est comme une caresse. Ce n’est pas aussi agréable que les mains d’un homme. Je m’en contenterais à cet instant. Je passe ma main dessus. Je me pince un téton comme l’a fait le Pape. La sensation ne procure pas autant de plaisir que dans mon souvenir. Peut-être est-ce meilleur quand un homme pratique le geste. Je soulève un sein pour passer l’éponge en dessous, puis l’autre.Je me penche sur la vasque pour m’asperger le visage d’eau. Cela devrait me permettre de remettre mes idées en place. Il faut que j’arrête de penser à ce qu’ils m’ont fait et que je me concentre sur l’instant et mon futur.

Je m’assois sur un tabouret pour avoir accès à mes jambes et à mon entrecuisse. Je suis sur le rebord pour voir ce que je fais. Le soleil pénètre par la grande fenêtre, chauffant ma peau et me donnant une vue parfaite sur... les liquides qui se sont déversés en moi depuis hier. Il y a des traces transparentes, du rosé qui doit subsister de mon sang versé pendant la rupture de mon hymen et du blanc sur les deux boursouflures entourant mon premier trou. Mes poils semblent avoir retenu une bonne partie des liquides.
L’éponge efface tout. Il me faut frotter là où le liquide a séché. En séchant, il a tiré sur ma peau. Tout est sensible. Il me faut être parfaite pour ce soir ou même si mon époux décide de me faire une visite impromptue. L’eau de la vasque se colore. Elle prend une douce couleur rose, preuve de mon passage au statut de femme mariée.
Je me penche pour enlever les coulées qui sont parvenues jusqu’à mes chevilles. Avant de remonter doucement toujours plus haut. Je passe doucement l’éponge sur mes poils. Il semble que mes doigts doivent aider à démêler cette fourrure tâchée. Ce faisant, je découvre mon anatomie. J’ai deux boursouflures qui entourent mon trou et une sorte de petit bouton à l’avant de la fente. Je l’effleure, le touche, le pince et tente de l’étirer. Une étrange chose semble monter en moi. C’est presque comme si j’étais euphorique d’avoir trop bu de l’alcool. C’est vraiment étrange.
Mes doigts sont tout poisseux. Les sécrétions présentes sur moi et en moi se sont transférées. Je porte mes doigts à mon nez. L’odeur est nouvelle. Cette fragrance pourrait devenir un de mes préférés. Je sors la langue pour goûter. Encore une nouvelle chose. Cela ne me transcende pas. Je devrais peut-être goûter les différents liquides à même les corps.
S’ils ont laissé du liquide dans ma caverne, je vais devoir la nettoyer. Je n’ai pas envie de faire entrer l’éponge dans mon intimité. Je me repositionne sur le tabouret pour avoir le plus de lumière possible. J’enfonce un doigt dans ma cavité. Ce n’est pas des plus agréables, jusqu’à ce que je sorte et rentre de nouveau ce doigt. Alors le plaisir est incomparable. Je continue en variant la vitesse. Ma respiration est superficielle. Je gémis. Je prends un de mes seins en main, tout en gardant les oscillations dans ma caverne. Le plaisir monte, se décuple. C’est tellement bon que je pourrais en mourir.
Je reprends l’éponge pour nettoyer les traces que je viens de faire. Une sécrétion s’échappe de ma fente. Je la passe entre mes fesses. Il n’est pas facile d’atteindre toutes les parties en passant par-devant. Une main sur le tabouret, je lève ma croupe à la lumière et y passe l’éponge. L’eau froide me fait du bien.
Je cherche du regard une étoffe ou un vêtement pour me couvrir. Il y a bien ma robe de mariée, mais je ne souhaite pas la remettre. Sinon, il y a la chemise transparente que la nonne m’a enlevée. Il va falloir que je me contente de cela tant que d’autres affaires n’auront pas été mises à ma disposition. Cette étoffe est de toute beauté. Je me mets au soleil pour en admirer le miroitement. Ce tissu brille comme si des perles de rosée s’étaient déposées dessus. J’en suis toute éblouie.
Relevant la tête, je m’aperçois de la vue que m’offre cette fenêtre. Je trouvais étrange de positionner un meuble de toilette à côté d’une telle ouverture. Je comprends mieux maintenant.
Le logis du Pape se trouve dans un bâtiment carré. Le jardin dans la cour est splendide et uniquement réservé à l’usage du Pontife et de ses invités. Tout le bâtiment est consacré à ses agréments. Au rez-de-chaussée, vous trouverez des salons intimes ou de réceptions, une bibliothèque. A l’étage, vous trouverez des chapelles privées et des appartements. Au second étage où je me trouve, se sont ses appartements privés. Ils donnent à la fois sur la cour et sur les jardins extérieurs.
J’ai sous les yeux Sa Sainteté Calixte III. Il est dans ses appartements, sur un fauteuil. Il a un grand sourire sur le visage. La félicité semble le traverser de toute part. Je ne puis dire depuis quand il est là. Le spectacle que je lui ai involontairement donné lui a fait un effet manifeste. Sa soutane n’est pas relevée. Elle est déformée au niveau de son entrecuisse par un monticule. Sa Sainteté est en érection et seule sa main semble tenter de soulager cet état. Il se passe la langue sur les lèvres. Je ne peux y voir que l’expression de la luxure.
Je me rappelle alors que ma tenue laisse parfaitement observer mon corps. Rien n’est caché. Je cherche à me soustraire à ce regard.
Le sourire du Pape se fait plus grand.
Il n’y a pas de rideau à mes fenêtres. Je suis totalement exposée à son regard. Il ne me reste plus qu’à vaquer à mes occupations sans plus penser à lui. C’est ainsi que je décide de me reposer sur mon lit en lui tournant le dos.
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