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Habemus Papam

Chapitre 7

Un repas de famille

Orgie / Partouze
Le Pape m’amène devant l’homme qui me fait peur. Tous mes instincts me disent de m’enfuir. Je ne peux le faire sans créer un incident qui pourrait me faire répudier. Je reste docile.
“Voici Rodrigo, Notre frère et père des jeunes gens présents en ces lieux,” m’annonce Calixte III.
Rodrigo prend ma main qui lui est donné par son aîné. J’effectue une petite révérence. L’homme me fait une sorte de baise-main, mais sa langue vient goûter ma peau. Un frisson de dégoût me parcourt. Le Pape le sent et cela le fait sourire. Il me rapproche de lui en me tenant par la hanche. Le geste a une forte signification, mais comment dois-je l’interpréter ? Est-ce un geste de possession ou de protection ? Pourquoi le Pape me présente-t-il et non mon mari ? Je laisse mes questions quand Rodrigo tire sur le bras de la femme brune.
“Voici Vannozza, la mère de mes derniers enfants, dit Rodrigo avec une lueur de folie dans les yeux.
— Enchantée de faire votre connaissance”, m’accueille Vannozza.
Je ne sais que penser. Cette femme souffre de l’emprise du Cardinal. Sa main est clairement tordue dans la poigne de l’homme. Elle garde pourtant le sourire et semble réellement heureuse pour moi. Sa vêture n’est pas aussi éclatante que celle de ses enfants. Elle porte des teintes allant du noir au brun et seuls des perles marquent son appartenance à la noblesse.
Le Pape n’attend pas pour me faire asseoir à sa droite, mon époux à ma suite. Nous sommes cinq de mon côté de la table. Six du côté de Rodrigo. A la gauche du Saint-Père se trouvent Vannozza et Geoffroi. La bienséance est observée. Le couple que forment Vannozza et Rodrigo est séparé. Mon époux et moi sommes côte à côte car cela fait moins d’un an que nous sommes unis. L’alternance homme-femme est respectée. L’homme et la femme que j’ai surprise dans la chapelle sont assez l’un à côté de l’autre. Ils ne semblent pas être mariés. La beauté italienne porte un visage de marbre. Aucune émotion n’est discernable, alors que l’homme montre sa convoitise.
Pour ne pas faire d’impairs, j’écoute les conversations.
J’apprends que Rodrigo est l’homme qui choisit les époux de Vannozza. Celle-ci lui est dévouée. Elle est la mère de mon mari, Giovanni, de César et Lucrèce (le couple de la chapelle) et de Geoffroi, le garçonnet. Cette épouse infidèle semble savoir qu’elle va être répudiée par son amant, qu’elle se fait trop vieille et que son corps à trop souffert de ses grossesses. Rodrigo semble avoir une préférence pour deux de ses enfants, César et Lucrèce.

Geoffroi est silencieux.
L’une des femmes est Isabelle. Elle est l’aînée des enfants de Rodrigo. Elle est mariée dans la famille Matuzzi. C’est la dernière fois qu’elle se présente à un repas de la famille Borgia. Si Rodrigo reconnaît sa filiation avec lui, il ne dit rien de sa mère.
Il semble que le même mystère entoure la naissance de Jeronima et Pedro Luis, les deux suivants. Ils sont tous deux brun, d’une assez grande stature avec des yeux aussi sombres qu’une nuit sans lune. Ils semblent n’avoir que peu de contact avec leur père. Pedro Luis est militaire. Il est mobilisé pour partir en Espagne au service du roi. Jeronima est mariée dans la famille Cesarini depuis un mois.
Isabelle et Jeronima devraient déjà être enceinte de leurs époux respectifs. Elles affichent pourtant une taille gracile. Leurs décolletés mettent en avant une petite poitrine et une peau légèrement bronzée.
Le repas se déroule dans une ambiance aimable. Tout est guindé sans chaleur humaine. Les serviteurs déposent les plats, remplissent les verres de vins. Par chance, mon verre est toujours coupé à l’eau. Je ne sais qui remercier, mais cela me convient. Je ne suis nullement habituée à boire de l’alcool. Ainsi je reste maîtresse de mes gestes et de mes paroles.
Geoffroi semble s’endormir à table. Cela est normal. Le petit ne doit pas avoir plus de huit ans. Il est frêle et, contrairement à ses frères et sœurs, blond. Il est temps pour lui de se coucher.
Un page vient d’ailleurs le chercher pour le mener à sa chambre. Il semble que ce soir toute la famille dort au Palais Pontifical.
Les conversations continuent.
Je sens que l’ambiance est différente depuis le départ du plus jeune. Les pages se sont retirés petit à petit de la pièce. Rodriguo me dévore des yeux. Je suis la nouveauté à convoiter. Giovanni regarde Isabelle, mais il dévie vers Pedro Luis trop souvent pour que cela soit innocent.
Le repas se termine. Le dessert est toujours sur la table.
Le Très-Saint-Père regarde ses invités. Sa main se pose sur ma cuisse. Je le regarde. Il est impassible pourtant quand il voit Lucrecia et Cesar, ses lèvres se relèvent légèrement. Ils ne sont pas les plus discrets. Lucrecia semble retenir des soupirs. Le Saint-Père est bien au courant de ce qui se trame entre cet homme et cette femme.
Rodrigo se penche vers Lucrecia. Impossible d’entendre ce qu’il lui dit. Mais sa posture se relâche. Son visage exprime le plaisir qu’elle ressent.
Le Pape se rapproche de moi. Son souffle vient caresser mon oreille.
“Ce soir est une soirée particulière, ma fille. Nous vous accueillons dans la famille et laissons partir deux filles, Isabelle et Jeronima. Le plaisir doit être partagé.”
Bien que chuchotées, ses paroles semblent être un véritable signal pour les membres de la famille.
Cesar capture les lèvres de sa soeur dans un baiser ardent. Rodrigo se lève. Vannozza commence à délasser sa tenue.
J’ai bien peur de comprendre.
Calixte III prend ma main. Il la porte à ses lèvres. Son baiser est doux. Ses yeux ne me quittent pas. Il me soulève pour me poser sur ses genoux. De là, j’ai une vue totale sur la tablée.
Vannozza a quitté son siège, tout comme Giovanni. Je retiens que ce dernier n’est plus du tout intéressé par ma personne.
Le Saint-Père a une main sur mon ventre, l’autre sur mon genou. Tout est très chaste alors que le reste de la pièce sombre dans la luxure.
Vannozza est nue. Sa poitrine et son ventre sont peut-être tombants mais elle reste belle. Rodriguo l’empoigne par la nuque. Sa violence me fait froid dans le dos. Elle semble pourtant normale et totalement acceptée par la famille. Il plaque son amante sur la table. Les mains de Vannozza renversent les verres pendant qu’il lui écarte les jambes et remonte son postérieur. Il se frotte, gifle fortement ses fesses avant de relever sa robe de Cardinal pour la prendre brutalement. Il la besogne comme un taureau en rut le ferait.
Je suis choquée par cette scène. Mes yeux finissent par se détourner. Vannozza semblent savoir comment gérer la situation. Chaque soeur semble avoir un de ses frères pour s’occuper d’elle. Clairement, le but de ce repas est d’engrosser les deux aînées. Sinon mon époux ne regarderait pas simplement Pedro Luis prendre Jeronima.
Cesar garde Lucrecia pour lui. Elle est allongée dos à la table, fesses dans le vide. Elle tient ses jupons et une partie de son corset sur son ventre. Cesar a le visage entre ses cuisses. Ce qu’il fait semble lui procurer du plaisir.

Pedro Luis semble être un rapide. Il a déjà fini de s’activer. Jeronima est au sol. Elle nettoie son membre de sa bouche. Sa langue passe autour. Elle l’entre dans sa cavité. Il semble apprécier le traitement, à voir la façon dans il lui tient les cheveux.
Mon époux met plus d’ardeur dans ses coups de hanches. Sa partenaire suffoque. Il l’étrangle. Sa main sert vivement sa gorge. Je pourrais croire qu’il lui fait regretter de ne pas lui avoir déjà donné une libération.
Cesar et Rodriguo n’ont d’attention que pour la femme qu’ils besognent.
J’observe tout depuis les genoux de Sa Sainteté. Il n’a rien tenté et pourtant je suis toute en émoi. Je n’ai jamais vu autant de corps nus. Je suis excitée et j’ai peur. Aucun de ces hommes n’a jamais exercé autant de violence sur moi qu’ils le font sur les femmes de la famille.
“Ton mari souhaite avoir Pedro pour lui. Il va devoir s’occuper de Jeronima avant”, me susurre à l’oreille le porte-parole du Seigneur.
Giovanni semble savoir ce qui est attendu de lui. Il vient d’expulser sa semence en Isabelle. La femme n’est que halettement. Elle est sommairement retournée pour se retrouver la tête au niveau du pieu de mon homme. Il se fiche des assiettes et de son confort. Il lui enfonce son membre dans la gorge avec la même délicatesse qu’il l’a mis dans son intimité. Elle est totalement ailleurs, s’étouffant…
Pedro Luis a repris du poil de la bête. Il est de nouveau fièrement enfoncé dans sa soeur. Il la soulève. Elle s’accroche à lui pour ne pas tomber. Il frappe ses fesses. Elle gémit et émet des râles. Giovanni vient se coller à elle par derrière. Je m’attends à ce qu’il entre dans son anus. Il n’en est rien. Son membre avance contre celui de Pedro Luis. Leurs deux mâts sont dans son con. Elle hurle. Elle pleure. Pourtant j’ai aussi l’impression qu’elle aime.
J’ai vraiment envie d’avoir quelque chose dans mon intimité. Le Très Saint Père me maintient pourtant contre lui. Ma main prend l’initiative de descendre pour chercher le cierge qui m’a bénit.
Le bruit de tous ces corps qui s’emboîtent est obscène et si excitant à la fois. Je devrais condamner l’infidélité et l’inceste, crime grave aux yeux de Dieu. Je ne peux que m’imaginer à la place d’une de ces femmes alors que je les observe.
Le rythme semble s’accélérer chez tous les participants. C’est l’instant que choisit Calixte III pour utiliser une des fentes de ma robe et toucher mon bas ventre.
Mes yeux restent sur mon époux. Il s’active avec Pedro Luis dans leur soeur. Pourtant, ses mains s’égarent sur le corps de l’homme. L’une d’elles se trouve même entre les globes de chair. Un liquide blanc s’écoule sur les cuisses de Jeronima. Ils se retirent. L’orifice est totalement distendu. La pauvre est au sol, alors que le sexe de son frère pénètre son autre frère. Pedro Luis grimace à l’intrusion avant de s’activer en se déhanchant et embrassant Giovanni. Ils prennent clairement du plaisir.
“Si avec cela aucune d’elles n’est porteuse d’un enfant, alors elles n’en auront jamais”, me chuchote mon porteur.
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