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Habemus Papam

Chapitre 8

Une place particulière

Orgie / Partouze
Ma main gauche s’active toujours sur son cierge. Il a pris une belle dimension. La situation l’excite. Il semble pourtant attendre quelque chose.
Toutes les femmes que je vois sont repues. Elles ont du liquide blanc qui coule de plusieurs orifices. Pedro Luis et Giovanni sont dans leur monde. Rodriguo malmène les poitrines de ses filles.
“Vous aussi ma fille devez avoir du plaisir et être fécondée", me dit le Saint-Père.Aucun homme de la famille ne m’a touché pendant ce repas. Le Pape semble m’avoir donné une place particulière dans le clan. Je ne veux pas finir comme Vannozza et être répudiée. Je vais tout faire pour conserver ma protection papale. S’il le faut, je prendrais des initiatives.
Je commence tout de suite, en me laissant glisser des genoux qui me soutiennent. Je me positionne entre ses cuisses. Une de ses mains caresse mes cheveux. L’autre me lève le visage. Le désir est présent chez lui comme chez moi. Il ne m’empoigne pas, je suis libre de mes mouvements. Je remonte doucement son vêtement sans le quitter des yeux. Son cierge est bien dressé, juste devant mon visage. Je replie mes genoux sous moi pour avoir plus d’amplitude. Me redresse. Je m’approche. Mon souffle touche sa peau sensible. Des soubresauts anime cette partie de son corps. Son regard se fait plus intense. Il n’attend qu’une chose.
Ne pas le toucher semble l’agacer et le faire me désirer encore plus. Il me laisse le pouvoir de faire ce que je souhaite. Mes mains écartent ses cuisses pour me laisser un meilleur accès à ce que je convoite. Peu m’importe que mon époux soit là ou le reste de la famille. Seul le Pape compte. Seul celui qui m’a pris mon innocence compte.
Innocente, je pose avec légèreté mes lèvres sur cette colonne de chair. Son odeur est celle dont je me souviens. L’excitation à un parfum particulier. J’ai envie de parcourir ce cierge en douceur.

Je peux facilement imaginer ce que voit le Saint-Père. Mon décolleté est profond. Il ne cache presque rien de ma poitrine. Si je me lève légèrement, il reposera contre mes globes. Je crois qu’il aime cette partie de ma personne. Ses mains agrippent les accoudoirs de sa chaise. Son regard ne me quitte pas.
Je sors un bout de ma langue. La passe sur mes lèvres. Il suit chaque mouvement de ce petit membre rosé et humide. Je commence par toucher le sommet qui ressemble un peu à un champignon. Je me laisse descendre lentement jusqu’à avoir le nez enfoncé dans ses poils. D’une main, je le soulève pour avoir accès aux bourses sous la tige. Je place un baisé sur chaque grosseur. Je remonte vers le sommet aussi doucement que je suis descendu.
J’entends des gémissements. Je ne veux pas savoir ce que font les autres membres de la famille. Je me concentre sur le Messager de Dieu sur Terre. Je sens chaque spasme qui l’agite, chaque impulsion de plaisir que je lui procure. Je suis celle qui décide de sa vitesse de soulagement.
J’enroule ma langue autour de lui. Je passe mon humidité dans le sillon en haut du chapeau. Sa respiration est de plus en plus superficielle. J’ouvre la bouche le plus possible et le fait entrer. Un cri de plaisir raisonne. Je l’enfonce plus encore rendant ma respiration difficile. Je recule. Son bassin bouge pour rester le plus possible dans ma cavité. Je tente de l’aspirer. Mes joues se creusent et viennent exercer une pression contre lui.
“Vous apprenez vite, Ma Fille”, susurre l’homme d’Eglise.
Je le relâche pour le regarder quelques instants, lui, soutane relevée, queue dressée et trempée de ma salive. Je décide de lui donner la vision de mes seins. Je tire sur mon corsage pour qu’il soit sous mes globes.

Sa queue tressaille. Mes seins sont opulents. Les petits bouts de chair pointent vers le ciel. Je suis toute chose.
Je les prends à pleine main et les presse contre ce cierge bien droit. Il se retrouve englouti dans ma chair. Gardant la pression, je monte et descends. Parfois, un bout sort. Je le reprends en bouche. Je le lèche. Je le gobe. Je l’aspire. Le tout au son de ses gémissements. Il grossit. Il va me donner son liquide sacré. J’ai envie de l’avoir en moi. Sans réfléchir, j’accélère mes mouvements. Une main vient me tenir alors qu’il s’enfonce de plus en plus dans ma gorge. Le liquide est chaud et épais. Je l’avale au maximum. Une partie sort de ma bouche. Elle coule sur mon menton et finit sur ma poitrine. La taille du cierge diminue légèrement, sa dureté aussi. Je le laisse sortir et lève le visage vers Sa Sainteté.
Il semble avoir apprécié mon initiative. Une main me caresse la joue. Il lève encore plus mon visage. Son pouce touche mes lèvres comme pour me remercier et étaler sa Sainte semence, montrant qu’il me possède.
Totalement pris dans l’observation du Très Saint-Père, je n’ai pas entendu la personne se positionner derrière moi. Mes jupes et jupons sont relevés. Je suis exposée à tous les membres du clan qui souhaitent regarder. Des mains écartent mes fesses pour montrer mon intimité. Ce que j’ai fait avec Calixte III et l’observation des ébats de la famille m’ont rendu chaude et humide. Je contracte mes muscles pour essayer de cacher ce fait. Une main vient frotter durement mon entrejambe. Un doigt entre en moi. J’ouvre la bouche de surprise et de plaisir.
“Toute prête à accueillir la famille comme il se doit”, annonce une voix dans mon dos.Au timbre, je dirais qu’il s’agit de Cesar. J’ai du mal à croire qu’il ait abandonné Lucrecia. Mon postérieur est soudainement levé. Je dois prendre appui sur le Pape pour ne pas tomber. Mon visage est coincé dans son cou. Ses mains malaxent mes seins. J’y prends du plaisir même si des pointes de douleurs m’électrisent quand il pince mes petits bouts de chair rose.
Je sens un manche bien droit s’insérer entre mes cuisses. Il se frotte à mon humidité intime. Il s’avance et se retire. S’il ne plie que légèrement les genoux, il pourrait me pénétrer avec aisance.
“Cesar ! Ce soir, Nous lui donnerons son plaisir et si elle le souhaite, vous pourrez poursuivre son éducation cette nuit”, annonce l’homme le plus âgé de la pièce.
J’ai le pouvoir de décider si les hommes Borgia pourront me remplir de leur semence. Je me dois de porter un enfant au plus tôt pour éviter d’être répudiée. Mais Sa Sainteté me donne plus de liberté que je ne peux le croire. Je ne dois pas en abuser, ma position est toujours précaire dans la famille. Je ferais selon les désirs de Sa Sainteté et peut-être de mon époux. Celui-ci ne m’a-t-il pas donné au Très Saint Père ? Alors je me plierai à sa volonté.
Calixte III me plaque contre lui, m’éloignant du désir de Cesar. Ma position n’est pas facile à tenir. Mon équilibre est instable. Je prends appui sur mes avant bras pour m’installer plus confortablement. Ce faisant, je m’installe à cheval sur les cuisses du Saint Homme. Mes jupes me gênent. Je les arrange. Calixte III repris de la vigueur. Mes mouvements agacent ma poitrine déjà sensible.
Je me frotte. Mes hanches basculent d’avant en arrière. Je sens le Saint membre toucher mon pubis. Je me colle à mon oncle par alliance. Je passe mes bras derrière son cou pour monter vers son visage. Ses yeux me dévorent littéralement. Je ne suis qu’à quelques centimètres de ses Saintes lèvres. Je n’ose pas combler la distance. Il est le sacré des sacrés, le représentant de Dieu, le divin fait homme. Je veux de la douceur. J’avance. A tout instant, cet homme peut me jeter au sol et obtenir tout ce qu’il veut de moi. J’effleure ses lèvres. Il m’attrape la tête pour me plaquer plus violemment contre lui. Sa langue s’aventure dans ma cavité buccale. Il marque sa domination et son désir. Ma langue danse avec la sienne. J’aime ce baisé.
Je mets fin à cet échange. Je veux le sentir en moi. Il est dur. Juste ce qu’il me faut. Je prends appui sur mes jambes pour me soulever. Mes seins sont face à sa bouche. Il en profite pour prendre en bouche une de mes pointes. Ses dents frottent. Cette sensation me rend plus chaude en bas. Je crie quand il me mord. J’ai mal et pourtant je pourrais en redemander.
Je suis retombée sur ses cuisses. Son cierge est entre mes fesses. Il n’est pas venu en moi. J’exerce une pression pour lui faire sentir le liquide qui semble sortir de mon antre secrète. De petits mouvements de mes hanches lui arrachent des râles. Je découvre ce qui plaît à Sa Sainteté et à moi aussi par la même occasion.

Je me lève. Son membre est bien droit. Je le sens contre ma petite fente et mes poils. Je le fais parcourir toute mon entrée. Mes jupes m’empêchent de me servir de mes mains. Je m’empale doucement. Je le sens avancer en moi petit peu par petit peu. Si je cède à mon désir, je tomberais dessus pour l’avoir le plus profondément possible. Mais j’ai tellement plus de plaisir à l’avoir dans ma cavité qu’à son entrée, que je veux en profiter. Il m’écarte. Je tente d’avancer et reculer mon bassin, presque à faire un rond. Ma respiration est hachée. J’essaie de retenir mes gémissements. Je suis toute entière dédiée à cette union de nos chairs.
J’imprime mon rythme. Il me tient la taille. Il m’aide à garder la cadence. Lorsqu’il est au plus profond, je contracte mes muscles. Cela semble le rendre fou autant que moi. Nous ne sommes que gémissements et râles. C’est tellement bon que mes jambes ont du mal à me porter. Le Très Saint Père m’aide en venant à ma rencontre. Tout s’accélère. Des jets chauds me tapissent l’intérieur. C’est bon.

Je suis épuisée. Je repose sans énergie sur l’homme le plus puissant de la chrétienté. Le même homme qui vient de me bénir. Le même qui aurait dû me prendre à même le sol pour me rappeler que la femme est inférieur à l’homme. Le même qui me caresse actuellement les fesses.
Des mains viennent m’écarter du Saint-Père. Avant d’être trop loin, celui-ci me passe autour du cou la magnifique croix en or et améthyste qu’il portait jusque là. Je suis à lui. Avec le retrait de son sexe, le liquide épais coule.
Debout, je remarque que je suis la seule femme qui porte encore ses vêtements. Ils ne sont pas en bon état, chiffonnés et sentant nos activités, mais toujours présents. Mon époux est toujours concentré sur Pedro Luis. Rodriguo besogne Isabelle qui a les fesses marbrées.
Je suis poussée sur la table. Cesar a eu la décence de retirer les couverts. Juste le temps de me faire cette remarque que mes jambes sont levées et maintenues ensemble. Des spasmes agitent encore mon intimité. Cesar enfonce d’un seul coup l’entièreté de son sexe. Il est certainement le mieux gâté par le Seigneur de la famille. Il est épais. Il m’écarte. Sauvagement, il me pilonne. Je ne suis que gémissement. Je ne suis qu’un trou qu’il peut remplir. Je n’arrive plus à réfléchir, impossible de refuser. Ses poussées se font de plus en plus amples. Il est plus lent mais vient claquer ses bourses contre moi. Il palpite. Il me donne son nectar.
Fatiguée et comblée, je vais rester là sur cette table, le temps de reprendre des forces. Cesar m’a déjà délaissé pour occuper la bouche de sa soeur Lucrecia. Je viens récupérer ce liquide qui coule de mon orifice pour le goûter. Il est légèrement plus sucré que le précédent.
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