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Hais-moi encore

Chapitre 1

Hétéro
Hais-moi encore
Il y a des journées qui commencent mal, et d’autres très mal. Quand je vois Estelle passer la porte de mon bureau en fulminant, je me dis que aujourd’hui fait décidément partie de la deuxième catégorie.
Estelle est la seule personne qui rien que par sa présence réussit à bousiller ma journée. Elle et moi, c’est chimique, on ne se supporte pas. On se cherche, on s’invective, parfois même on s’insulte. Elle a beau être la femme de mon frère, entre nous ça ne colle absolument pas. Moins je la vois, mieux je me porte.
C’est pourquoi je reste immobile, assis à mon bureau, les nerfs tendus à leur maximum quand je la vois débarquer.
Sans un mot, elle referme la porte derrière elle et s’assoit en face de moi. Mon téléphone sonne. Béatrice ma secrétaire m’informe :
— Monsieur Pasquier, je suis navrée, je n’ai pas réussi à la retenir. Mademoiselle Favre arrive.— Oui en effet, elle est ici. — Voulez-vous que j’appelle la sécurité ? — Merci Béatrice, je pense pouvoir me défendre seul, ironisai-je, veuillez faire attendre mon prochain rendez-vous, je n’en aurai pas pour longtemps.
Je raccroche. Estelle n’a toujours pas ouvert la bouche et me fixe de ses yeux brun si sombre. Estelle est une belle femme. Une très belle femme. La première fois que je l’ai rencontrée, je l’avoue, elle m’a carrément plu. Elle a un regard envoûtant et un physique plutôt agréable: des jambes interminables, une taille fine, une poitrine généreuse, de longs cheveux noirs, et des lèvres pulpeuses.
Oui, je sais, le physique ne fait pas tout. Et justement, là c’est le cas. Parce que dès qu’elle a ouvert la bouche la première fois, cette fille m’a tapé sur le système.
— Que me vaut le déplaisir de cette visite ? commençai-je.— Je ne suis pas là de gaieté de cœur Thomas. Je suis ici pour Damien. — Mon frère connaît mon numéro, s’il a besoin de quelque chose, il peut très bien me le demander lui-même au lieu de m’envoyer son dragon.— Je ne vais pas relever pour cette fois, mais j’aimerais bien que tu me laisses finir avant de nous échanger les politesses d’usages.
Ses yeux me mitraillent. J’adore la mettre en rogne. Je m’enfonce dans mon siège, croisant les bras derrière la tête et lui enjoints de poursuivre.
— Je t’écoute. Sois brève, j’ai un rendez-vous dans cinq minutes. — Ton frère fête ses 30ans cette année et je veux lui organiser une fête surprise. Comme vos parents sont en croisière, je n’ai que toi vers qui me tourner.— Tu veux que je t’aide à organiser la fête ? — Tu pourrais oui. Tu connais ses amis d’enfance, je me disais que tu pourrais les contacter. — Tu es sûre de ce que tu me proposes là ? Organiser une fête ensemble, ça signifie qu’on devra se parler et se voir sans lui. — Ca ne m’enchante pas plus que toi, et on essaiera au maximum de faire ça par texto, mais...
Elle s’arrête au milieu de sa phrase, comme si la suite allait lui écorcher les lèvres. Je m’amuse comme un petit fou. La voir en position de faiblesse devant moi, c’en est presque jouissif, elle qui est si fière, si hautaine.
— Mais ? dis-je avec un léger sourire en coin.
Elle me jette un regard courroucé, sachant pertinemment que je joue avec elle. Je sais ce qu’elle va me dire, et croyez-moi ces mots je les attends avec impatience ! Je sais qu’elle va craquer, c’est dans son intérêt. Enfin celui de mon frère. A dire vrai, organiser cette fête avec elle va être une vraie torture, mais je dois bien ça à mon petit frère.
— J’attends, je te rappelle que j’ai un rendez-vous.— Tu es vraiment Insupportable Thomas, bouillonne-t-elle en se levant et en se dirigeant vers la porte.
Elle a à peine le temps de poser la main sur la poignée, que je suis déjà devant elle, lui barrant la route. Elle essaie d’ouvrir la porte, mais ma main l’en empêche avec fermeté.
— Laisse-moi partir, siffle-t-elle entre ses dents, c’était une mauvaise idée. Je me débrouillerai seule.— Pas question, tu restes là. J’attends encore la fin de ta phrase...
Elle se met alors à tirer plus fort sur la poignée et reste ébahie quand cette dernière lui reste entre les mains.
— Mais qu’est-ce que tu as fait ? S’emporte-t-elle, demande à ta secrétaire de nous ouvrir tout de suite !— Impossible, il faut une clé pour entrer dans ce bureau. La porte se bloque automatiquement. Et la clé c’est moi qui l’ai.— Alors, ouvre cette fichue porte ! — Tu n’as pas remarqué qu’il n’y avait pas de serrure de ce côté, Mademoiselle Je-sais-tout ?
Elle donne des coups dans la porte, vainement. Malgré ses efforts, elle reste close et Estelle tempête encore plus. Je me dirige vers le bureau et contacte ma secrétaire.
— Béatrice, nous avons un léger souci. Pourriez-vous faire venir en urgence un serrurier s’il vous plaît ? Mademoiselle Favre et sa délicatesse légendaire nous ont enfermés. — Tout de suite Monsieur, je m’en charge.— Non, mais quel culot ! Fait Estelle en s’approchant de moi, pointant un doigt rageur vers mon torse. J’ai abîmé la poignée ? Ca ne serait pas arrivé si tu ne m’avais pas retenue. Et d’ailleurs, c’est quoi cette fichue poignée qui tombe en ruine ? T’es trop radin pour t’en payer une digne de ce nom ?— Ne me provoque pas Estelle. Etre enfermé avec toi est la pire chose qu’il puisse m’arriver, mais nous sommes adultes, nous allons pouvoir surmonter ça. A condition que tu te taises, bien sûr.— Non, mais pour qui tu te prends espèce de sal arrogant ? Tu ne me donnes pas d’ordres ! — Arrogant moi ? Juste parce que le son de ta voix m’insupporte et que j’ai la franchise de te le dire contrairement aux autres ?— Tu n’es qu’un...
Elle s’interrompt. Quelqu’un vient de frapper à la porte et la toute petite voix de Béatrice se fait entendre.
— Monsieur ?— Ah Béatrice, vous avez pu avoir un serrurier ? — Justement... il n’y avait aucun autre serrurier de disponible avant deux heures.— Deux heures ?! Bon très bien, dites à Daulnay que je le recevrais demain et repoussez aussi Blaron. — Bien Monsieur et en ce qui concerne le rendez-vous de 11h et votre déjeuner, dois-je annuler ou bien repousser ?— Mais enfin, il est juste 9h ! On sera sorti d’ici là.— Euh... je crois que vous avez mal compris Monsieur. Je voulais dire deux heures de l’après-midi. Quatorze heures.
Les yeux d’Estelle s’écarquillent d’effroi et son visage se décompose devant moi tandis que je sens la rage monter en elle.
Non. Pas ça... Passer cinq minutes ensemble et c’est déjà la troisième guerre mondiale alors cinq heures !
— Non, il y a forcément une solution, se met à psalmodier Estelle en déambulant dans la pièce.
Elle regarde même la fenêtre avec une pointe d’hésitation, c’est vous dire à quel point elle a envie d’être ici ! On est au quatrième étage d’un vieil immeuble du centre-ville. Autrement dit, on n’en ressortirait pas indemne. Finalement, à choisir... Non. Je suis adulte. Je peux me contrôler. Je n’ai qu’à l’ignorer tout simplement.
Bien plus facile à dire qu’à faire... Installé dans mon fauteuil, je la vois tourner en rond et ça me rend complètement fou. Elle ne s’arrête pas une seconde, sauf pour tripoter un bibelot par-ci par-là, une maquette ou un dossier. Une véritable tornade cette fille, elle remue tout sur son passage.
Au bout de ce qui me semble les quinze minutes les plus longues de ma vie, je me décide enfin.
— Estelle, je te jure qui si tu ne poses pas tout de suite ton petit cul sur ce siège, je me ferai un plaisir de t’y attacher. Et j’en profiterai aussi pour te bâillonner, tiens.— Tu ne me fais pas peur, qu’est-ce que tu crois ? Que je vais sagement t’obéir en attendant que le supplice prenne fin ?— Exactement.
Elle éclate de rire et ça ne fait que m’énerver encore plus. Je serre les poings, tentant de me contenir.
— Tu n’es vraiment qu’un imbécile ! Non, un abruti en fait.
Cette fois, c’en est trop. Je me lève et en une seconde je suis devant elle.
— Un quoi ? J’ai bien entendu là ? — Un abruti arrogant et macho...— Ne me pousse pas à bout Estelle, tu risques de le regretter.— Et tu vas me faire quoi ?
Je l’empoigne par les bras fermement et plante mon regard dans le sien. Ses yeux me lancent des éclairs. Ses joues sont rosies par la colère et ses cheveux un peu décoiffés. Elle est si proche de moi que je peux sentir son souffle qui devient de plus en plus erratique à mesure que nous nous rapprochons.
Alors, à ce moment-là tout dérape. Mû par une pulsion soudaine, je me jette sur ses lèvres.
Bon sang, mais qu’est-ce qu’il se passe ?! Qu’est-ce que je fais ?!
Mes lèvres s’emparent des siennes et avec surprise, je constate qu’elle me rend mon baiser. Nos lèvres se trouvent, s’entrechoquent, se dévorent. Incontrôlables elles poursuivent le baiser, s’intensifient. C’est si grisant, je ne peux m’arrêter. Je refuse de réfléchir. Peu importe que je la déteste et elle aussi. Peu importe qu’elle soit la femme de mon frère. Là, tout ce qui compte, c’est ses lèvres sur les miennes.
Je passe une main dans ses cheveux et de l’autre, je la pose dans le creux de ses reins pour la ramener au plus près de moi. Ses mains déboutonnent ma chemise, puis courent sur mon torse, tandis que je sens mon pantalon devenir particulièrement inconfortable.
Je me détache enfin de ses lèvres pour embrasser son cou. Son odeur est douce et sucrée, si envoûtante que je ne peux que savourer sa peau sans m’arrêter. Elle soupire quand ma langue glisse le long de sa clavicule. Il m’en faut plus, encore plus. Je saisis ses hanches et la porte jusqu’au bureau. Elle s’agrippe à mes cheveux, enroule ses jambes autour de moi.
C’est dingue... Comment cette fille si insupportable peut déclencher une telle excitation en moi ?
Nos regards se croisent un moment et je devine qu’elle pense à la même chose.
Je retire son tee-shirt, dévoilant sa superbe poitrine toujours prisonnière d’un soutien-gorge de dentelle. Elle renverse la tête en arrière et gémit quand ma main empaume son sein et que ma bouche s’empare de son téton. Des frissons parcourent sa peau, et je suis leur chemin avec ma langue, savourant la douceur de son épiderme si sensible. Je m’arrête à la lisière de son jean, puis remonte pour investir sa bouche, y glisser ma langue pendant que mes doigts s’occupent d’ouvrir son jean.
A contrecœur, je me recule pour lui ôter et me débarrasser du reste de mes vêtements, et étrangement, je ressens comme un vide. Le contact de sa peau contre la mienne, telle une drogue, provoque une sensation de manque, uniquement satisfaite lorsque, enfin je reviens me lover contre son corps. Mon sexe, tendu à son maximum, découvre enfin la moiteur de son désir, s’insinue entre les lèvres, titille son clitoris ce qui lui déclenche un sursaut.
A nouveau, je cherche sa bouche, la trouve puis la dévore, étouffant ses gémissements. Estelle passe ses mains dans mon dos, enroule ses jambes autour de mon bassin pour m’inviter à la prendre. Mais, taquin, je lui refuse cette pénétration, préférant continuer les caresses de mon membre gonflé d’excitation.
Mécontente de ne pas obtenir ce qu’elle désire, Estelle se colle à moi, me griffe le dos et mord ma lèvre inférieure. Elle me veut en elle, elle m’exige presque, mais préfère se taire, trop fière pour me supplier. Foutu caractère ! Elle ondule contre moi, cherchant ce plaisir que je lui refuse.
Elle proteste quand elle me sent quitter cette étreinte, mais pas longtemps quand elle voit où je compte en venir. Je me mets à genoux et écarte ses cuisses de mes deux mains, usant de mes pouces pour dévoiler l’intégralité de la vulve trempée de cyprine. Elle prend appui sur ses bras et penche la tête en arrière, savourant les délicats baisers que je parsème sur ses cuisses en m’approchant toujours plus près de son antre si chaud.
Un simple souffle sur cette chatte si sensible, elle sursaute et laisse échapper un cri. C’est ce moment que je choisis pour déposer un chaste baiser sur son bourgeon palpitant et passer ma langue du clitoris jusqu’à sa grotte avide de sentir ma chair la combler.
Je prends tout mon temps, la goûte, la savoure. Ma langue explore les moindres recoins de son intimité, s’insinue entre ses lèvres, son vagin et même son petit trou. Elle frémit, au bord de l’orgasme. Je la contemple frôler les prémisses de la jouissance, impatient de pouvoir enfin la posséder.
Quand je me relève pour récupérer une capote dans mon bureau, elle me jette un regard noir, empli de frustration. Elle pensait peut-être que j’allais la faire jouir comme ça, mais j’ai besoin de la sentir contre moi, de me fondre en elle. Une fois le préservatif enfilé, je reprends ma place entre ses cuisses, mon gland à l’entrée de sa chatte impatiente.
D’une seule poussée, mon membre se fraye un chemin dans la moiteur de son intimité. Estelle s’agrippe à mes épaules et pousse un soupir étouffé. Immobile, elle me laisse m’immiscer en elle, jusqu’au fond. C’est si étroit et si ardent que je ne sais pas combien de temps je vais pouvoir tenir. Je me mets alors à agiter le bassin lentement, ressortant entièrement pour mieux l’investir, plus puissamment à chaque fois. Les va-et-vient deviennent vite intenses, presque frénétiques. Nos corps ondoient au même rythme, nous ne sommes plus que désir et volupté, unis, liés.
Alors que d’un puissant accoup, je me loge au plus profond de son antre, ses ongles s’enfoncent dans mon dos et ses yeux s’écarquillent. Je m’empare de sa bouche pour atténuer son cri de plaisir quand l’orgasme la submerge. Cette sensation si exquise, les soubresauts de sa chatte qui enserre mon sexe spasmodiquement me mènent à mon tour aux portes de l’extase et en un profond râle, je me vide en de longues saccades semblant ne jamais finir. La jouissance est si intense et si longue que j’en reste haletant, à bout de force. Je m’écroule sur elle, reste immobile quelques secondes le temps de reprendre mes esprits. Estelle garde les yeux fermés et, essoufflée, garde le silence.
Le moment est délicat. Va-t-elle me reprocher ce qu’il vient de se passer ? Me sauter à la gorge et tout raconter à Damien ? Merde Damien !
Impossible de penser à lui pour l’instant. Pas alors que nous sommes encore tout tremblants, suintant d’endorphines post coïtal.
Alors que je me retire, le doute s’empare de moi. Je la sens nerveuse. Je décide de briser ce silence qui rend l’atmosphère autour de nous presque suffocante.
— C’était... je trouve pas les mots...
Elle continue de m’observer sans rien dire, se redresse péniblement. Ses joues sont si rouges et son regard encore teinté de désir fait naître en moi de doux frissons.
— Comment c’est possible que ça soit aussi intense entre nous alors qu’on ne se supporte pas ?
Son silence commence à m’énerver et elle le sait. Est-elle encore en train de jouer ? Regrette-t-elle ? Ne pas savoir ce qui se passe dans sa tête me rend fou, je sens la colère monter en moi, et avec elle, le désir, pourtant déjà assouvi, repointer le bout de son nez.
— Bordel Estelle qu’est-ce que tu cherches ? dis-je en me rapprochant, la surplombant de toute ma stature, tu en veux encore, c’est ça ?
Ses cuisses m’accueillent avec empressement, répondant elles-mêmes à ma question. Elle se mord les lèvres et plante son regard arrogant dans le mien, m’incitant à la satisfaire.
Mon sexe pourtant déjà bien contenté reprend de la vigueur plus vite qu’à l’accoutumée. Mais je veux l’entendre me supplier, cette fois, elle n’y coupera pas, ma petite affamée !
Prenant la situation en main, je la saisis par la taille et la retourne sur le bureau sèchement. Je frotte mon membre entre les globes de ses fesses charnues, simulant une masturbation bien agréable tandis qu’elle gigote sous mon emprise, incapable de me repousser et de me rapprocher. Frustrée, elle gronde presque, ses muscles sont tendus, nerveux.
— Supplie-moi de te prendre et je le ferai, lui glissai-je à l’oreille alors qu’elle ondule des hanches pour essayer de s’empaler sur moi.
Je ne la laisse pas faire, continue de jouer avec et ose même glisser une main pour chatouiller son clitoris. Elle se tord, gémit et se contracte, mais s’obstine à garder le contrôle. Ma main s’empare de sa crinière et la tire en arrière pour l’obliger à céder.
— Parle ! Lui ordonnai-je en pressant mon gland contre son petit trou serré en guise d’avertissement.
Elle tremble, tant de frustration que de peur. Enfin, c’est ce que je croyais. Mais ma petite rebelle a plus d’un tour dans son sac et faisant mine de céder à mes exigences, elle me signifie que c’est elle qui décide en prononçant ces paroles qui me firent basculer dans la folie:
— Vas-y Thomas, je veux te sentir, prends-moi comme tu veux !
Évidemment c’est ce qu’elle voulait, et finalement c’est à mon tour de craquer et de céder devant sa requête si inattendue. Moi qui pensais qu’elle me supplierait d’arrêter, de ne pas la sodomiser...
Tel un animal, je gronde en m’emparant de ses hanches avec fermeté, et pousse doucement contre son anneau serré, progressant lentement, mais avec détermination jusqu’à sentir buter mes testicules contre sa vulve trempée. Sa chair si chaude enserre mon membre si étroitement que je dois m’arrêter un instant pour contrôler le plaisir qui monte en moi. Estelle se met à bouger, signe qu’elle veut que je m’active, petite impatiente. Je porte mes doigts à ses lèvres et elle en aspire deux avec délectation en me fixant droit dans les yeux.
Décidément, elle est encore plus débridée que ce que je pensais ! Je commence alors à ressortir pour revenir plus fort, lui arrachant à chaque coup de reins un gémissement lascif.
Plus j’y vais fort, moins je me contrôle. Jamais encore je ne m’étais autant déchaîné dans un cul comme ça avec tant d’ardeur ! Jamais non plus je n’avais vu une femme prendre autant de plaisir qu’elle à mesure que nos mouvements deviennent frénétiques. Elle crie presque, ivre de jouissance quand l’orgasme s’empare d’elle.
Je n’en peux plus et au moment où je sens l’onde de plaisir monter, je me colle contre elle, soudant nos deux corps et éjacule au plus profond de son étroit fourreau. Quand je me retire et vois le sperme couler le long de sa fente, je réalise que nous n’avons pas mis de protection dans la précipitation. Heureusement que je l’ai prise par là... Je l’aide à se relever, lui caresse du bout des doigts le dos et la croupe, gardant le silence comme elle le préfère. Estelle se retourne enfin et ce que je lis dans ses yeux fait apparaître un grand sourire sur mon visage. Elle semble comblée, repue. Ereintée, mais reconnaissante. Je l’emporte sur le sofa situé dans le coin de la pièce et la serre contre moi. Elle pose sa tête sur mon torse et ferme les yeux, sa respiration devient lente.
Nous savons tous les deux que ce n’est qu’une trêve, un unique moment d’égarement qui restera entre ces murs. Un secret bien gardé qui ne changera rien à nos habitudes et à notre entente. Un instant si intense qu’il en restera inoubliable, aussi éphémère soit-il...
A moins que...
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