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Hais-moi encore

Chapitre 4

Hétéro
Le lendemain matin, il me faut un peu de temps pour émerger. Après cette nuit, plus rien ne sera comme avant. Nous avons franchi la ligne, impossible de faire machine arrière. Estelle a accepté que nous soyons amants, cédant aux pulsions qui nous consument depuis maintenant des mois. Je ne sais pas comment vont se dérouler les choses maintenant, tout ce qui m’importe, c’est de pouvoir à nouveau m’enfouir en elle. A cette simple idée, mon sexe se redresse d’un bond.
Je sens le corps chaud de Mélissa lové contre moi, entièrement nue. Quand elle empoigne mon érection matinale, je la repousse doucement. Je n’ai pas envie d’une autre. Ca n’atténuera en rien le désir profond que je ressens.
Je prends le temps de lui expliquer la situation. Mélissa est quelqu’un de particulièrement compréhensif, elle n’a aucune rancoeur lorsqu’elle quitte le mas aux aurores.Eh oui, aux aurores, car bien que j’aie pu éviter la randonnée d’hier, celle d’aujourd’hui m’est carrément imposée par ma sœur. Mais je l’avoue, j’ai une certaine motivation cette fois. Je suis déjà prêt, habillé et chaussé pour l’occasion et j’attends les membres de ma famille dans la cuisine.
Candice est la première levée et reste bouche bée quand elle voit que j’ai déjà préparé le petit-déjeuner.
— C’est pas vrai ! Allons vite nous recoucher, il va pleuvoir, ironise-t-elle.— Sois gentille ma chérie, me défend Alban, il a même préparé le café !
Damien arrive alors, suivi de sa femme. Je croise son regard et y vois une étincelle de malice qui me fait sourire. Mon frère, tout sourire, se dirige vers Candice en tendant la main. Cette dernière, d’un air exaspéré, sort son portefeuille et lui tend un billet bleu.
— Désolé petite sœur, tu as perdu ton pari, se moque Damien. Elle était persuadée que tu allais encore nous fausser compagnie, m’explique-t-il.— Au moins, tu vois sur qui compter maintenant, s’amuse Alban.
Ma sœur, vexée, ne prend même pas la peine de boire son café et nous presse pour prendre la route. Elle est déjà dans la voiture et Estelle la rejoint quand Damien me demande où est passée la belle Mélissa.
— Elle n’est pas vraiment branchée rando, elle est retournée finir sa nuit chez elle.— Ca se comprend après la nuit que vous avez passé, me taquine Alban, si j’étais toi Damien, je ne poserai pas la main sur ce plan de travail...— Tu... tu nous as vus ? fais-je en m’étranglant avec mon café. — Oh non, je n’ai même pas osé descendre, je vous entendais depuis l’escalier. Super performances d’ailleurs, tu l’as bien fait couiner, s’esclaffe-t-il.

Mon beau-frère est un beauf, mais au moins, pas un voyeur et ça me rassure. Il n’a rien découvert. On allait devoir faire beaucoup plus attention à l’avenir. Nous prenons deux voitures et je monte avec Candice et Alban, direction le pic Saint Loup. Nous commençons notre ascension, Damien et Alban ouvrent la marche, me laissant derrière avec Candice et Estelle. Je ne peux qu’admirer le spectacle de ce splendide fessier musclé que ma belle-sœur balance sous mes yeux. J’ai comme l’impression qu’elle ondule des hanches exprès. Par moments, elle se retourne pour me faire un petit clin d’œil, et cette nouvelle complicité me donne des envies lubriques. Mais impossible de s’isoler, même pour une petite gâterie derrière un arbre. Et pourtant l’idée me tente bien. Soudain, Estelle pousse un cri et s’écroule devant moi.
— Aïe ma cheville ! se plaint-elle.— Oh non Estelle, ne bouge pas, j’appelle Damien ! Damien ! Scande Candice.
Je me penche vers elle pour examiner sa cheville, mais elle me fait un signe de tête et je comprends alors que tout ceci est une ruse. Damien s’approche à son tour.
— Tu vas bien ma chérie ? s’inquiète-t-il.— C’est ma cheville, elle me lance atrocement, feint Estelle, je ne peux plus avancer.— Ce n’est pas grave chérie, je vais te ramener à la voiture. Les autres n’auront qu’à continuer sans nous.— Mais tu voulais tellement faire cette randonnée, je suis désolée... — Je vais la ramener, proposai-je spontanément.
Ils me regardent tous d’un air ahuri, je suis obligé de me justifier pour ne pas paraître suspect.
— Écoutez, franchement j’en peux déjà plus. Vous savez que je suis absolument pas du genre à crapahuter en forêt et si la ramener à la maison peut me permettre de mettre fin à ce calvaire, alors je suis preneur. — Tu es sérieux ? s’étonne mon frère, et toi Chérie, ça ne te dérange pas ? — Non, vas-y, je le supporterai bien le temps du voyage, s’excuse Estelle.— Bon d’accord, mais tu m’appelles quand tu arrives pour me rassurer. Tu es certaine que ça va aller ?— Mais oui, je sais me comporter en adulte, comparé à certains, lance-t-elle à mon encontre.— Bien, Thomas, je te la confie, ramène-la en un seul morceau.— Tu as ma parole, je prendrai soin d’elle.
Il aide sa femme à se relever et l’embrasse amoureusement avant de la laisser s’appuyer sur mon bras. Je sens un drôle de pincement dans ma poitrine. De la jalousie ? Peu importe, dans quelques minutes, nous serons enfin seuls tous les deux, et cela pour de nombreuses heures.
Et je pourrai à nouveau me nicher en elle, la faire crier de jouissance jusqu’à ce qu’elle me supplie d’arrêter. Cette petite maligne a bien prévu son coup et je suis épaté par son stratagème ingénieux pour grappiller un peu de temps ensemble.
Alors qu’ils s’éloignent, nous commençons notre descente doucement et elle profite de sa pseudo blessure pour s’appuyer contre moi, collant mon bras à sa splendide poitrine. Encore quelques mètres et nous voici en dehors de leur champ de vision.
J’empoigne son bras et l’attire contre un arbre. Son dos s’écrase contre l’écorce tandis que je viens m’emparer de ses lèvres fiévreuses. Elle répond instantanément à mon baiser, ses bras se nouent autour de mon cou pour me rapprocher. Apparemment, elle en avait autant envie que moi... si ce n’est plus ! Nos baisers s’intensifient, nos langues s’entremêlent et Estelle glisse ses mains sous mon tee-shirt, puis passe ses doigts vers l’élastique de mon short. Mon sexe, déjà au garde-à-vous, semble vouloir traverser la barrière de tissu tellement il pointe fièrement.
Estelle se dégage alors de mon étreinte et s’agenouille à mes pieds.
— Estelle, on devrait attendre d’être au mas... dis-je d’une voix peu convaincante.
Elle descend mon short d’une traite, n’ayant aucune envie de s’arrêter en si bon chemin, et lorsque ma verge se libère enfin de sa prison de coton, elle n’hésite pas une seconde avant de la prendre en main pour lécher le gland comme elle lècherait une glace.
— J’avais terriblement envie de te goûter... m’explique-t-elle en continuant de me branler tout en donnant des coups de langue. J’ai fait un beau rêve cette nuit... j’ai rêvé que tu me baisais en pleine forêt. — Relève-toi et ton rêve s’exaucera. Ta chatte m’a manqué...— Je n’ai pas dit que tu me prenais par là dans mon rêve, dit-elle malicieusement.
Elle prend son temps et plonge son regard dans le mien avant d’articuler chacun de ses mots :
— Je veux que tu me baises la bouche.
Je suis sidéré par la vulgarité qu’elle a sciemment utilisée. Elle compte m’exciter et ça a carrément bien marché. J’imagine très bien ce qu’elle me demande, les images défilent déjà devant mes yeux.
— Tu sais que j’aime ça. C’est exactement ce qui me manque avec ton frère, il est trop doux trop mielleux. Et je sais que tu aimes l’amour brutal, alors qu’est-ce qui te retient ? — Tu as raison, rien du tout, dis-je en lui agrippant les cheveux pour venir coller son visage contre mon sexe.
Elle sourit, ravie que je prenne les choses en main et ouvre docilement la bouche pour accueillir mon membre bien raide. Elle pince les lèvres et aspire ma chair avec force, engloutissant la moitié de ma verge turgescente. Avec ses mains, elle malaxe mes bourses et je commence à sentir son impatience. Je resserre ma prise dans sa crinière et immobilise sa tête contre le tronc d’arbre. Ah elle voulait de la violence ? Elle allait en avoir !
J’encadre son crâne de mes mains, pour qu’elle n’ait plus aucune liberté de mouvement et commence alors à m’enfoncer dans sa bouche. Doucement d’abord, puis avec plus de fougue et bientôt, mes coups de bassins deviennent plus violents et je m’impose chaque fois plus loin vers sa gorge.
Elle a les larmes aux yeux, mais ne me lâche pas du regard. Elle se laisse faire, soumise à mes assauts frénétiques, et fait de son mieux pour me sucer avec application. Cette irrumation est un délice... Je n’en peux plus, je lui baise la bouche comme elle me l’a demandé et c’est si bon que je sens que je vais bientôt craquer.
D’un coup de reins puissant, ma verge se fraye un chemin dans sa gorge jusqu’à ce que son nez s’écrase sur ma toison pubienne. Elle tousse, s’étrangle presque, mais résiste avec fierté et enfin, je peux laisser exploser ma jouissance qui se déverse en de longues saccades dans son gosier endolori.
Je la relâche, complètement sonné par le foudroyant orgasme qu’elle vient de m’apporter. Estelle se lèche les lèvres avec volupté, essuyant la semence en trop qui dégouline. Elle se relève, puis comme si de rien n’était, reprend le chemin de la voiture.
Décidément, cette femme me rend dingue. Je ne sais jamais ce qu’il se passe dans sa tête et c’est extrêmement perturbant. Je remonte mon short et la suis, l’esprit embrouillé par les hormones. Estelle a décidé de se lâcher, pour mon plus grand bonheur. Je ferai mieux de savourer ces instants et mettre mes hésitations de côté.
Estelle a pris de l’avance et arrive à la voiture avant moi. Nous sommes garés à la lisière de la forêt et il y a seulement quelques voitures en plus des nôtres. Je la retrouve penchée sur le capot de sa voiture, la croupe tendue, son short moule à la perfection ses fesses bien rondes. Elle garde cette position lascive jusqu’à ce que j’approche tout près d’elle.
Un regard autour de moi m’indique que nous sommes seuls. Je me presse alors contre ses fesses, mon membre s’immisçant dans son sillon. La barrière de nos vêtements est si frustrante. Ma verge reprend vite de la vigueur quand je vois la tâche auréolée de cyprine qui se dessine.
— J’ai envie de te sentir... chuchote-t-elle.— Tu n’as pas peur qu’on nous surprenne ? — Tant que ce n’est pas Damien... Il a toujours refusé de faire l’amour dehors, et moi, je voulais essayer. — Petite gourmande, la taquinai-je, il faut savoir patienter pour apprécier les bonnes choses. Tu vas devoir attendre qu’on soit rentré, même si j’ai très envie de te prendre contre le capot de cette voiture. — Je croyais que tu devais m’apporter ce que mon mari ne me donne pas, c’était notre deal ! se plaint-elle.— C’est ce que je fais, dis-je en me pressant plus fort contre son postérieur.
Mes mains dégrafent son soutien-gorge, libérant sa plantureuse poitrine qui déborde de son débardeur. Je les empaume, les presse entre mes doigts, faisant rouler ses tétons dressés. Elle pousse des gémissements si sexy, impossible de rester de marbre. Mais je compte la faire mariner encore un peu. Il faut que j’arrive à me raisonner avant de craquer et de m’enfiler en elle bien profondément comme elle le désire.
Je continue de palper ses seins, la poussant au bord du gouffre, puis je m’agenouille entre ses cuisses pour venir embrasser sa vulve gonflée à travers le tissu de son short. Un de mes doigts arrive à s’insérer entre le tissu et sa peau, jusqu’à ses lèvres trempées. Elle frémit et écarte un peu moins les cuisses pour permettre à ma main de se frayer un passage jusqu’à sa grotte humide sans que le tissu du short ne me gêne. Je laisse mes doigts glisser dans ses replis et m’évertue à la faire jouir rien qu’avec mes doigts.
Elle se cambre un peu plus à mesure que mes doigts la fouillent et elle ne se retient plus de gémir de plus en plus fort. Enfin, elle jouit. Son corps est secoué de spasmes et elle ondule sur ma main comme une sirène sous l’eau.
Je me redresse et lèche ma main trempée de son nectar, puis monte dans la voiture et m’installe derrière le volant. Estelle me regarde à travers le pare-brise, les joues rougies, échevelées. Elle est si sexy à ce moment, que j’en ai le cœur qui se met à battre à toute vitesse.
Il faut que je me calme avant de devenir une grosse guimauve dégoulinante de mièvreries. Je ne suis pas amoureux, loin de là. C’est juste que cette femme me chamboule complètement... Elle vient à son tour dans la voiture et nous partons, direction le mas. Maintenant que nous avons du temps devant nous, je compte bien en profiter.
Dès que nous passons la porte, je me jette sur elle et la dévore avec passion. Estelle noue ses jambes autour de ma taille et je la transporte jusqu’à ma chambre, tout en continuant de l’embrasser fiévreusement. Je l’allonge sur le lit, puis l’abandonne pour aller chercher quelque chose. A son petit air boudeur, je vois bien qu’elle est frustrée. Je prends alors tout mon temps pour revenir vers elle, ôtant mes vêtements un à un. Ce que j’aime l’agacer, c’en est presque aussi jouissif que de la caresser. Son petit nez remonte effrontément alors qu’elle me lance un regard noir.
— Qu’est-ce que tu fais ? gronde-t-elle, arrête de me faire languir et viens me prendre Thomas !— Tais-toi, dis-je d’un ton sec et autoritaire, tu vas me laisser m’occuper de toi comme j’en ai envie.
Je sors alors ce que j’étais parti chercher : une paire de menottes factices, des petits jouets érotiques qui pimentent quelques-unes de mes aventures d’un soir habituelles. Son visage s’éclaire de surprise puis un sourire se dessine sur ses lèvres. Elle semble apprécier mon initiative.
— Déshabille-toi, la sommai-je.
Une fois nue, j’attache ses mains au montant métallique du lit avec les menottes. Elle est là devant mes yeux, à ma merci, offerte... Elle se mord les lèvres, impatiente. Je laisse mon regard errer sur sa peau satinée.J’en salive d’envie et son regard brûlant m’informe qu’elle est aussi impatiente que moi. Tout doucement, j’approche mes lèvres de son cou pendant que mes doigts caressent l’intérieur de ses cuisses et remontent doucement jusqu’à son intimité. Je frôle de la pulpe de mes doigts chaque recoin de sa peau, en évitant soigneusement les endroits si sensibles qu’elle désire que je touche. Elle gigote dans tous les sens, tire sur ses liens pour se rapprocher, mais à chaque fois, je prends un malin plaisir à m’éloigner au tout dernier moment.
— Thomas... arrête de jouer, tu me rends folle ! Viens...— Je m’amuse beaucoup par ici, dis-je, un grand sourire aux lèvres.— C’est de la torture... je t’en prie, j’ai besoin de te sentir...
Je joue encore un peu, m’assurant qu’elle soit vraiment à bout avant de prendre son clitoris gonflé dans ma bouche et de l’aspirer avec une extrême délicatesse.
— Oh mon Dieu ! s’écrie-t-elle. Arrête, je n’en peux plus...
Moi non plus je n’en peux plus d’attendre. Mon membre est si dur et si tendu, qu’il me fait mal. Je m’allonge sur elle et nos bouches se soudent en un baiser plus chargé d’émotions que d’ordinaire. Quand enfin ma verge vient se poster à l’entrée de son antre brûlante de désir, nos regards s’accrochent et ne se lâchent pas. Je vois dans ses yeux plus que du désir, quelque chose de plus profond.
Je ne sais pourquoi, mais cette fois, je prends tout mon temps pour m’immiscer en elle. Chaque centimètre est une torture et je sens déjà les prémices de mon orgasme pointer leurs nez. Enfin, je l’emplis complètement, et bien au chaud, serré par cette chair si douce, je ne peux plus bouger, de peur d’éjaculer prématurément.
Elle m’observe, elle aussi se contrôle pour ne pas craquer. Nous restons comme cela, ce qui me semble être une éternité puis, je peux enfin commencer mes longs et lents va-et-vient. Ses jambes s’enroulent autour de ma taille, elle accompagne mes mouvements en ondulant sous moi. Ses gémissements se mêlent aux miens et nous sommes emportés dans une folie sans nom. Plus rien ne compte à part ce plaisir si intense. J’ose glisser ma main sur le galbe de ses fesses et réussis à insérer un doigt dans son anus serré.
Estelle s’agrippe à ses menottes, ses ongles s’enfoncent dans sa chair tandis que, de sa bouche sort un long gémissement d’extase. La voir atteindre la jouissance provoque la mienne. Elle jouit sans jamais me lâcher des yeux. Je sens les sursauts de l’orgasme qui s’emparent de moi, répondant en écho aux contractions de son vagin et à ses cris intenses.
Nous nous écroulons, éreintés, vidés de toute force, nos corps entremêlés. Je tente de reprendre mon souffle tant cet instant était si bouleversant. Je crois ne jamais avoir joui aussi fort. Cette fois, c’était plus qu’une simple baise. Il y avait quelque chose qui changeait la donne du tout au tout. Les sentiments.
Eh oui, ces sentiments qui à chaque fois font tout dérailler. Je me suis fait avoir comme un bleu. Je suis amoureux de cette femme qui m’insupporte au plus haut point...

Après cette journée chargée d’émotions où nous avons inauguré chaque pièce du mas familial de la piscine à la salle de bain, nous voyons ce moment prendre fin avec amertume lorsque mon frère et les autres rentrent épuisés. La soirée fut une torture pour moi. Voir Damien embrasser et enlacer sa femme me rend furieux et je prétexte un rendez-vous de dernière minute pour pouvoir m’éclipser et m’épargner ce calvaire.
Il se passe deux jours sans que nous ne puissions partager un moment tous les deux. Je deviens dingue et tourne en rond. Irritable, je m’en prends à tout le monde sans raison valable...Quarante-huit heures sans la toucher et je suis à bout.Le début de soirée est encore torride, la journée a été suffocante, une vraie canicule. Je suis en caleçon de bain sur le bord de la piscine, dégustant une bière avec mon frère pendant que Estelle fait quelques brasses. Alban et Candice sont partis en ville en amoureux et ne rentreront pas avant longtemps. Je propose de préparer le repas et fuis vers la cuisine. Voir Estelle en bikini moulant, c’est plus que ce que je ne peux supporter.
A la cuisine, je commence les préparatifs quand j’entends la voix d’Estelle disant qu’elle va m’aider, ayant peur que je foire tout et qu’on ne puisse rien manger. Mon frère acquiesce et plonge dans la piscine pour se rafraîchir. Mon cœur s’arrête. Je réfléchis à toute vitesse. Nous avons très peu de temps et c’est risqué, mais... possible ! Elle arrive enfin, vêtue d’un simple paréo noué à la taille et après un dernier regard en arrière, se jette dans mes bras. Je l’embrasse avec fougue, puis la retourne brusquement contre le plan de travail. Je plaque mon sexe érigé entre ses fesses charnues et poste mon gland à l’entrée de son petit trou serré. Je lui murmure à l’oreille :
— On a vraiment pas le temps, alors je ne vais pas y aller doucement, tu es prête ? — Oh oui, je n’attends que ça... soupire-t-elle en se laissant aller.
Je m’enfonce alors avec force en elle, mes mains rivées à ses hanches pour la marteler avec fougue. Elle tente de se retenir de gémir, mais la douleur mêlée au plaisir est si forte qu’elle laisse échapper quelques plaintes. Très vite, mon puissant ramonage la mène jusqu’à l’orgasme et à mon tour, je jouis, inondant son étroit fourreau de ma semence épaisse.
C’est alors qu’un bruit de respiration nous ramène à la réalité.Damien est là, devant la porte de la cuisine. Immobile, le visage fermé, il reste silencieux. Impossible de savoir ce qui se passe dans sa tête. Estelle se dégage de mon étreinte et se rhabille autant qu’elle peut, terrifiée. Je me place devant elle, en rempart.
— Damien, je peux tout t’expliquer, commence-t-elle.— M’expliquer pourquoi mon propre frère est en train de te baiser ? Et par le cul en plus ! Tu n’es qu’une petite salope, j’aurais dû m’en rendre compte bien avant, dit-il d’un ton grave.— Damien, ce n’est pas sa faute, essayai-je d’intervenir.— C’est à ma femme que je parle ! me coupe-t-il sèchement. Ce n’est pas la première fois hein ? Depuis combien de temps ça dure ?— Quelques mois, avoue-t-elle honteuse.— Je ne comprends pas, je croyais que tu le détestais ! Et que tout allait bien entre nous ! Je ne te satisfais plus assez ?— Je... commence-t-elle, sans pouvoir achever sa phrase, ce qui en dit long.— Il t’a fait jouir en quelques minutes à peine... fait-il tout penaud, l’air plus calme.
Son visage s’éclaire alors d’une lueur lubrique et il nous lance un sourire machiavélique.
— Je veux te baiser une dernière fois, devant lui. Après, toi et moi, ce sera définitivement terminé. Tu me dois bien ça. — Tu es fou ! m’emportai-je, hors de question que tu la touches maintenant...— Toi le traître, tu ferais mieux de la mettre en veilleuse si tu veux un jour que je te pardonne ce que tu m’as fait.
Estelle accepte, rongée par les remords et la culpabilité. Elle le suit jusqu’à leur chambre sans que je ne puisse l’en dissuader. Je suis sur ses talons, dégoûté, mais je mets ma fierté dans ma poche. Après tout, je l’ai trahi, je ne mérite pas mieux.
— Assieds-toi Thomas, et interdiction de bouger, je ne veux pas que tu en loupes la moindre miette, m’ordonne Damien d’un ton cassant, toi, allonge-toi.
Estelle s’exécute, je la sens stressée, mais elle est déterminée. Mon frère se dévêt en vitesse et je peux voir son sexe déjà bien dur. Je ne peux m’empêcher de faire la comparaison avec la mienne. Décidément, la génétique ne fait pas tout et la nature n’est pas généreuse avec tout le monde ! Son sexe est plus court que le mien, mais surtout plus fin. Et pourtant, je ne me suis jamais vanté d’en avoir une grosse...Il s’installe sans aucune douceur entre ses jambes et la pénètre d’un coup de reins vengeur. Il commence à la pilonner avec toute la rage accumulée par sa découverte et je la vois serrer les dents.
Ca me fait mal, tellement mal de le voir la prendre comme ça ! J’aimerais me lever et lui casser la gueule, mais je me rappelle de ce que j’ai fait et pourquoi je dois subir ça.
Estelle reste courageuse et continue d’encaisser les coups de reins, mais n’y prend aucun plaisir. Elle se laisse faire en guise de pardon, lui donne son corps à défaut de son cœur. Elle ne gémit pas ou très peu, ce qui énerve encore plus Damien qui accélère encore le rythme.
— Mais tu vas jouir salope ! crie-t-il.
Quand il voit les larmes couler sur ses joues, il se retire et me jette un regard dédaigneux
— Baise-la, vas-y, fais-la jouir, moi je n’y arrive pas...— Damien non... refusai-je.— Allez, montre-moi comment la faire jouir, tu me dois bien ça.— Thomas vient, me dit Estelle en me tendant la main, finissons-en !
J’hésite encore, ma verge aussi, vu l’état de semi-érection dans lequel je suis. Devant mon frère ? Bizarre vraiment. Mais si c’est ce qu’il faut pour me faire pardonner ma trahison, aussi étrange soit-il, alors je dois m’y résoudre. Et le fait de montrer à mon frère comment faire crier sa si belle femme est un fantasme que je nourris depuis peu.
Estelle sent mon trouble et vient s’agenouiller devant moi. Elle me prend la main, la pose dans ses cheveux en me regardant droit dans les yeux. Plus rien alors ne compte que ses prunelles qui m’hypnotisent. Elle entreprend de me lubrifier le sexe de sa langue avec soin. Ses caresses sont divines, je la gratifie d’un sourire et elle me répond en retour en engloutissant mon membre avec délice et malice. Sa bouche s’active sur ma verge tandis que mon frère regarde sa femme me sucer avec envie. Il saisit son membre et se masturbe, nous épiant sans vergogne et avec une lueur de jalousie dans le regard.
Mon sexe est enfin prêt, bien dur et dressé. Estelle me présente sa croupe, appuyée sur le lit, elle écarte ses fesses d’une main et je vois son petit trou encore luisant de mon sperme. J’hésite encore, mais Estelle prend ma verge en main et la presse sur son anus. Le gland y entre d’un coup et je prends tout mon temps pour m’enfiler en elle lascivement. Elle gémit, attrape le drap entre ses doigts. Damien se branle avec ferveur, son sexe pointé sur le visage de sa femme. Estelle le prend alors en bouche, gobant le mince phallus juste la garde. Mes assauts se font plus violents et quand mon frère sort de sa bouche pour éjaculer sur son visage, je sens l’orgasme arriver. Estelle jouit presque aussitôt et je la suis dans les méandres de la jouissance. Elle s’effondre, épuisée, et Damien se relève, essayant de garder le peu de fierté qui lui reste.
— Je te la laisse, elle est bien trop perverse. Vous allez bien ensemble, ricana-t-il, Estelle, tu récupéreras tes affaires, je demande le divorce.
C’est comme un poids qui s’enlève de mes épaules et au moment où il passe la porte, je me tourne vers elle pour voir sa réaction. Estelle sourit et se jette dans mes bras.
— Dis-moi pourquoi je suis si heureuse ? Je devrais être dévastée ! me dit-elle d’un ton suppliant.— Je ne sais pas, mais c’est pareil pour moi. Tu es enfin rien qu’à moi...
Je ne sais pas ce que l’avenir nous réserve et à vrai dire, je m’en moque. Quand nos lèvres se scellent enfin, je suis l’homme le plus heureux du monde.
Fin.
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