Comme d’habitude, Alexandre se levait après vingt minutes passées dans son lit à attendre d’en avoir le courage, après un petit déjeuner tout ce qu’il il y a plus de classique, lait au chocolat et céréales, il décide de partir prendre sa douche et en profite pour effectuer une petite masturbation rapide afin de faire disparaître son "morning wood" comme l’appellent les anglophones, ou en français son érection matinale. D’une main il effectuait un mouvement de va-et-vient sur son pénis et de l’autre il se massait les testicules afin d’éjaculer le plus vite possible. Au bout d’une dizaine de minutes des filets de sperme atterrirent sur la vitre qui séparait la douche du reste de la salle de bain, mais ils disparurent d’un jet de la pomme de douche. Après s’être habillé il attrapa son sac et partir directement en direction de son lycée, n’habitant pas très loin 5 minutes de marche lui suffirent, 5 minutes durant lesquelles il put admirer le fessier d’une de ses camarades, qui, à chaque pas, roulait d’une manière qu’appréciait énormément le jeune homme. Une fois rentré dans le lycée il rejoignit son groupe d’ami pour se diriger vers la salle de français, qui annonçait une heure des plus ennuyeuses pour lui qu’il passa à écouter le professeur entre deux dessins ou deux rêveries. Il ne discutait pas avec son voisin ne le connaissant pas, le professeur ayant choisi qui serait à côté de qui dés le début du premier cour. Alexandre, en sortant de sa salle de cours, aperçut du haut de ses 1m80 une fille qu’il connaissait bien, appuyée sur le mur des toilettes, et qui semblait l’attendre. Il s’approcha alors de Léa, dont les cheveux châtains clairs tombaient sur ses épaules, qui lui avoua son amour pour lui. Comme d’habitude, il avait extrêmement de mal à la regarder dans les yeux, son décolleté laissant apparaître une poitrine qu’il considérait bien plus attirante que ses pupilles marrons. Il s’était amusé a essayer de déterminer son bonnet, sûrement un F ou G selon lui, toutefois la taille de ces deux obus était bien évidemment influencée par son poids, puisqu’elle était assez corpulente. Toutefois il ne savait pas quoi lui répondre, étant donné qu’il n’avait jamais vraiment pensé à avoir une relation amoureuse avec elle. En voyant le doute qu’Alexandre ressentait, comme pour le convaincre , elle l’embarqua dans l’un des cabinets des toilettes puis lui fit fermer les yeux. Quelques secondes plus tard alors qu’il s’attendait à sentir ses lèvres pulpeuses autour de son sexe, elle descendit le pantalon du jeune garçon qui sentit alors une pression incroyable, les seins qu’il avait tant observé étaient en train d’absorber sa verge, et cette fois il était capable d’observer les tétons qu’il avait dû imaginer jusque là et décida de les titiller de ces doigts :"-Tu croyais que je n’avais pas remarqué que tu regardais toujours mes nichons ? Lui fit-elle en rigolant.-J’étais aussi voyant ? Répondit-il entre deux râles de plaisir, un peu gêné."Alors qu’il croyait déjà ressentir un plaisir infini, comme si elle savait son ressenti, elle décida de lui prouver que non par de petits coups de langues sur le gland. Il était tellement excité que la quantité de pré sperme qui sortait donnait à son prépuce un bruit obscène à chaque va-et-vient. Sa poitrine entourait littéralement son phallus dont seul le bout arrivait à sortir de cette prison d’une douceur extrême. Après quelques minutes de cette attention très particulière, il expulsa son liquide blanchâtre entre ses deux seins. Lorsqu’il la vit sortir un mouchoir de son sac à main, il comprit qu’il n’aurait pas le plaisir de la voir récupérer tout ce nectar afin de le déguster, du moins pas cette fois. Elle vint coller ses lèvres aux siennes afin de lui transmettre sa salive, qui pour elle semblait être le geste qui scellait leur union, elle s’approcha alors de son oreille gauche pour lui murmurer :"La prochaine fois, tu auras le droit de goûter aux orifices d’en bas si tu veux ..."Rien qu’à imaginer cela, Alexandre faillit redevenir dur au niveau de son entre jambe mais sut se retenir. Quelques heures plus tard dans la journée, il reçut un sms de la part de Léa qui lui donnait son adresse et lui disait de la retrouver demain après les cours à 17h, il commençait déjà à devenir impatient à l’idée de ce qu’elle lui ferait. Le lendemain il se leva beaucoup plus rapidement qu’à son habitude, comme ensoleillé par la fin de sa journée qui se passerait sûrement extrêmement bien. Il se prépara très rapidement sans passer par sa masturbation quotidienne afin de profiter pleinement de Léa dans une dizaine d’heures. Il passa la majeure partie de sa journée à regarder l’heure et lorsque sa dernière heure de cours fut finie il se précipita à l’adresse que sa désormais petite copine lui avait donnée. Alors qu’il sonnait à la porte elle lui répondit à la seconde près, elle devait sûrement l’attendre, comme il s’en doutait personne n’était chez elle. Elle l’embrassa langoureusement et leur langue firent comme un tour de manège :"-Je suis sûr que t’as attendu ça toute la journée ! Le taquina-t-elle.-Je m’attendais à un peu plus après la phrase que tu m’avais susurrée ... lui répondit-il habilement."Après ces mots elle l’emmena directement dans sa chambre et ouvrit la braguette du jeune homme pour faire descendre son pantalon ainsi que son caleçon ce qui dévoila toute sa virilité. Elle prit immédiatement ce membre imposant en bouche, elle fit des vas-et-vient impressionnant et le bruit de succion qui accompagnait ces mouvements ne faisait qu’amplifier sa sensualité. Au bout de quelques minutes elle décida de retirer le pilier de sa bouche afin d’en lécher toute la surface :"-Avec ce genre de choses je peux t’appeler ma chienne maintenant ? Lui demanda-t-il dans une tentative d’humour.-Tu sais que les chiennes aiment jouer avec les balles ... lui répliqua-t-elle en lâchant l’objet de son désir pendant quelques secondes."Elle descendit donc son visage au niveau des testicules de son compagnon, elle pointa son pénis vers le ciel et goba l’un de ses joyaux afin d’y donner des coups de langue qui semblait envoyer son partenaire au paradis. La chaleur de sa bouche et de sa salive provoquait des petits râles de plaisir, elle décida de s’arrêter là et malaxa ses testicules. Il fut quelque peu déçu mais rapidement elle enlevas ses bas se retourna et écarta ses lèvres vaginales comme pour lui indiquer l’entrée."-Je te l’avais promis ! Lui dit-elle.-T’avais presque réussi à me le faire oublier avec ta bouche."
(La suite très prochainement, si vous avez des conseils à me donner au niveau de l’écriture, n’hésitez pas !)
