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Harmonie complice

Chapitre 1

Inceste
Suite à mes récits, j’ai été contactée par Kristelle (je ne dirai pas comment). Depuis lors, nous sommes devenues amies, toutes les 4... Voici (avec son autorisation son message original). :
" Salut Kat, Ton histoire m’a beaucoup émue. Je suis aussi très ’fusionnelle’ avec ma fille Nadia. Mon mari s’est suicidé (harcelé par son ex-femme) il y a 4 ans. Ma fille et moi-même l’avons très mal vécu. Dès le soir de l’enterrement, elle a demandé si elle pouvait dormir avec moi.
J’acceptai bien sûr. J’ai toujours dormi nue et je n’ai rien changé à mes habitudes, d’ailleurs il n’y a jamais eu la moindre pudibonderie dans la famille. Le temps passa et elle garda cette habitude ; sa chambre servant juste de bureau. Ensuite, ce furent les bains jacuzzi en commun. Bien plus souvent qu’avant. J’avoue que la vue de son corps de rêve me troublait. Le temps passa. Plusieurs fois, je me suis réveillée la nuit et elle avait une main sur mon sein (bonnet D, je précise ). Puis vint cet épisode caniculaire, dès le 2e matin, je restai nue toute la journée. Elle en fit autant. Cela semblait tout naturel. Même le drap simple était devenu trop chaud et nous dormions toujours ensemble. Il m’arrivait de l’examiner pendant son sommeil, Dieu que ma fille est jolie. Parfois je me caressais. Après la canicule, elle reprit son habitude de se coller à moi dans son sommeil. Et à prendre un de mes seins en main. Mais cette fois, à sa manière de me titiller le téton je savais bien que c’était volontaire. Quelle ne dormait pas. Je fis un petit gémissement de consentement. Elle s’enhardi et frotta son pubis contre mes fesses. Que c’était bon. Puis sa main descendit vers mon minou, déjà trempé. Je me retournai et l’embrassa à pleine bouche. 
Nous avons passé une nuit torride, j’étais loin de l’imaginer aussi experte en amour lesbien. Le lendemain, au petit-déjeuner, nous avons longuement discuté. Nous nous aimions si fort que c’était inéluctable. Pas la peine de lutter contre cela. Elle me promit de ne jamais me quitter, que je resterai l’amour de vie et qu’entre nous ’on pouvait tout faire’... Que répondre à une telle déclaration ? Je fondis en larme, en lui disant juste : je t’aime.
Nous sommes allées prendre une douche, ensemble bien évidemment.Nadia prit plein d’initiatives, plus hard les unes que les autres. Elle avait remarqué que j’étais très sensible côté anus, elle s’en occupa, à 2 doigts avec force de gel douche... Pour terminer, elle me demanda de pisser dans sa bouche. Je lui ai expliqué qu’il fallait mieux attendre le soir et que j’allais boire énormément de thé vert durant l’après-midi. Elle me répondit complice : moi aussi... Elle partit à la fac. Avant cela, nous avons conclu qu’il fallait que cela reste notre secret, tout en ne nous privant pas de liens ni sociaux ni familiaux.
Quelques mois plus tard, en congé, nous avons totalement réaménagé le bureau de feu mon mari. Salle de douche italienne géante, carrelée avec une légère pente vers un dévidoir (on a fait appel à un professionnel pour cela). Nous l’avons baptisée le pissodrome... ☺ Ensuite peinture en noir et rouge et quelques accessoires SM pour faire bonne mesure. Plus TV et lecteur de CD...
Voilà, nous sommes amantes depuis 3 ans, dans une parfaite harmonie complice. C’est un peu grâce à toi en fait, et de ton histoire.
Je t’embrasse Kristelle "
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