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Le hasard de la vie

Chapitre 1

Au détour du chemin

Voyeur / Exhibition
Je me languis de ce moment toute l’année et le voilà enfin arrivé ! Ce moment où, enfin je vais pouvoir aller me ressourcer, ce doux été va être mémorable. J’habite en Bretagne, triste exilé de ma montagne. Je suis un solide randonneur aux cheveux noirs et au teint très blanc. Anciennement vêtu tout de noir, je suis à présent bien plus sobre, m’habillant sans prétention pour me fondre dans la masse. La seule chose qui me différencie des autres, c’est mes yeux bleus nuit.
Depuis, du haut de mes quarante ans et fort de mes expériences passées, je vis pour moi. Ne voulant ni femme, ni enfants je suis libre d’aller au gré du vent, picorant les graines du temps. Sans famille et sans attaches, je m’élance dans la voiture pour en traverser la France. J’ai fractionné cette route emprunté depuis des années, que je connais fort bien. Mes arrêts fréquents sont ciblés, représentent des points stratégiques de passages, avec un atout certain pour mes yeux avertis. Lieu de prédilection des jeunes amoureux et endroit de débauche où exhibition et tromperie sont les maîtres mots.
Je m’arrête donc comme prévu, près de Paris, sur une aire d’autoroute. Le cachet de cet endroit ne réside pas dans sa beauté. Non, c’est plutôt en ces lieux qu’on peut surprendre parfois, de charmants couples collés-serrés dans un véhicule. C’est un endroit qui allie l’utile à l’agréable, c’est l’heure de passer à table. Je me gare et m’installe doucement, prenant le temps de sonder la zone. Personne à l’horizon ne vient rehausser le goût de mon sandwich fade. Arrivé à la moitiée je me résigne, aucune âme ne viendra, de plus mon met dégouline. Curieusement, je suis happé par une forme au loin, que je connais bien. Derrière un buisson partiellement décrépit, une tâche sombre au sol s’agite.
Plein d’entrain, laissant mon triangle aux charognards sans regret, je vais me repaître de ce moment si alléchant. Je m’approche doucement, me dissimulant au mieux. Mon cœur s’accélère quand enfin je distingue clairement, deux ombres se chevauchant. Je m’accroupis et passe lentement le feuillage, pour ne pas me révéler à leurs jeunes facettes. Madame chevauche monsieur, sa crinière de feu dansant dans le vent. Ces seins se balancent dans cette frénésie charnelle pleine de passion, sans se douter un instant que mon avidité naît derrière ce fin branchage.
Mon membre veiné dans les mains, je les regarde s’imbriquer dans ma position préférée. La voilà maintenant, balançant son bassin avec de puissant coups de reins, la faisant perdre pied un instant. En levrette elle se tient et lui tend son échine, en apposant son joli minois sur le fin duvet qui les isole. De ses mains il l’entoure, apposant de délicats baisers au creux de son cou. Il parcourt son corps, n’oubliant aucune parcelle de cette peau délicate. Elle frissonne à chacune de ses caresses et ses petits bouts de chair si sensibles se dressent fièrement.
Ma verge, rougie par le traitement que je lui inflige ne va pas longtemps pouvoir tenir. L’homme emprisonne entre ses phalanges son clitoris gonflé et le malaxant par saccade, il lui assène les derniers chocs, l’envoyant loin, entre rêve et réalité. Elle se mord la main étouffant son chant, qu’elle retient extrêmement. Enfin il se retire, suintant de liquide alléchant, priant sa moitié de bien avoir l’amabilité de le terminer. Elle le fait sans rechigner, gourmande comme elle et savoure à souhait cette partie, qui l’a tant satisfaite. Il la recouvre entièrement en un râle puissant, inondant son antre béante de foutre collant.
Un spasme me prend et ne me souciant que peu de me déclarer, je m’active en la regardant se sustenter de ce divin hydromel. Expulsant dans les feuilles ma semence brûlante, je m’imagine lui faire goûter ce jus si exquis. Elle aspire goulûment les derniers débris de cette gloire passée, pour en chercher encore un brin, en rognant son frein. Je m’échappe et un craquement de branchages leur parvient, les faisant se questionner sur leur activité passée.
Je reprends ma route, comme si je n’avais rien fait. Pourtant, un large sourire peut se lire sur mon visage, celui d’un homme comblé qui vient de croquer un morceau de paradis. Avant de partir, je croise le couple dégustant leurs mets. Ils paraissent encore essoufflés et la femme a encore ses cheveux en bataille. Satisfait, je regagne mon véhicule, me portant d’une traite jusqu’à ma destination. Au diable les autres escapades, mon colosse a déjà été bien rassasié.
J’arrive donc à mon second appartement au premier étage. Il est petit et exiguë, mais possède des fenêtres de toute part, pour me laisser entre-apercevoir ces charmantes dames de passage. A peine arrivé, j’ai juste le temps de poser ma valise que ma charmante voisine fait son apparition dans la fenêtre d’en face.
Ma charmante petite brune se trémousse au rythme d’une musique endiablée. Accoudé au rebord, mon sexe s’agite déjà, et je fini par faire tomber mon caleçon trop serré pour l’occasion. Ses formes appellent à une damnation éternelle, tant elle est sensuelle dans ces mouvements limpides. Puis, après un dernier étirement qui fait une nouvelle fois plonger mon regard, à travers la fissure de sa chemise, elle disparaît.
Étant presque l’heure de dormir, elle se rapproche de l’encadrement en pyjama. Quel beau tableau que voilà ! Elle tend les bras vers moi, comme pour m’appeler à elle. Troublé, la déception est grande quand elle ferme les volets brutalement et mes Illusions se brisent.
Le sexe encore raide je m’ecroule sur le lit, fermant les yeux en repensant à la scène si déroutante, que je viens de vivre. Bien que excité par cette situation mon chibre ramolli et mon souffle devient long. Mes pensées s’embrument et croulant sous la fatigue aussi, je sombre dans un profond sommeil.
Attablé pour le petit déjeuner avec mon café, je repense à la veille et d’un geste mou le remue. A ce désir si brûlant qui soudainement s’est éteint, sans même que j’atteigne ce bien. Le plaisir quant à lui est resté présent et même là, dégustant mon café je le sens. Les cieux se masquent d’un léger voile, obscurcissent le soleil. Je jette un regard au dehors afin d’en scruter l’atmosphère du ciel, inquiet de ne pouvoir compter sur ma bonne étoile.

Ma rétine s’habitue à la luminosité diminuante et bientôt, je contemple un céleste jour, moucheté de petites taches de coton se déplaçant gaiement. Le temps est changeant avec ce vent, mais qu’importe ce qu’il m’apporte, je suis bien décidé à aller me balader et croquer ce qui m’a été refusé dans la soirée. Cette idée bouscule mes pensées... Mon service trois pièces, affirme bravement sa grandeur et réchauffe lentement ce satané formica d’une atroce froideur.
Le café encore fumant en main, je me lève et m’appuie contre le mur. La rue en contrebas s’active, réveillant mon entrain. Plus particulièrement un couple dans les jardins d’une si belle architecture. Ils sont heureux s’offrant à une vue bien dégagée, sur une fine pelouse fraîchement taillée. En posant ma tasse sur le rebord, je sors mes jumelles à la hâte, de peur de tout louper. Je pose mon coude sur le bord, en emportant au passage un siège, pour permettre en tout confort cet innocent sacrilège. Je me sens épié, mais qu’importe je me moque de paraître loufoque, tellement excité avant le déjeuner
Ajustant mes lunettes en tournant précisément la molette, l’opacité disparaît, la tache floue se dessine et se précise peu à peu. L’autre main se glisse sur mon sexe tendu, en le serrant fortement au début. Je me sens si proche d’eux, que la bouche pulpeuse de la femme me semble à portée. Cette belle blonde aux cheveux lisses, couchée à même la pelouse, s’enivre de son supplice. Il doit toutes les rendre jalouses, de déclencher en elle tant d’émois. Il la transperce d’un amour, avec tant d’intensité, j’en suis estomaqué. Il se dévoile au grand jour, se retirant prestement pour innonder sa femme de tant de félicités.
Quant à moi, mes yeux se rivent sur ces énormes seins, imaginant être invité à m’en servir d’un. Ce rêve me prend, m’emportant si proche de la luxure, en gommant toutes mes blessures. J’ai réussi à y parvenir, les saccades se font ressentir. Je tapisse le crépi de semence épaisse, en m’en moquant ouvertement, mes pensées étant tournées vers ces lobes de chair souillée.
Après avoir admiré mon anarchie ainsi étalée, je fais un tour d’horizon et constate que la charmante voisine jette sur moi ses agates. Elle se tient là dénudée, debout sur son balcon, les mains apposées sur son macaron. Surprise d’avoir été découverte, elle se terre derrière les plaques opaques de la verrière entrouverte. J’espère ne pas l’avoir choquée, elle si belle, devant tant de masculinité. Si seulement elle ne m’avait pas remarqué, maintenant il est trop tard je ne peux plus la voir. Il ne me reste plus qu’à m’éclipser.
Me voilà paré dans mon hall, mon sac ajusté sur mes épaules. Je quitte ma charmante maison, prend une grande inspiration, deux tours de clé et direction la liberté . Marchant dans l’allée, je me prends à divaguer. Ma charmante petite brune, n’a sans doute pas de rancune, envers mon infortune. Elle ne s’attendait juste pas à être repérée car j’ai bien vu où ses bras étaient situés. Timide voyeuse je te tiens, c’en est cartésien.
Sur le petit sentier, je marche d’un pas décidé. À gauche, Les Fougères me caressent les pieds et l’air bien oxygéné emplit mes poumons. À droite, un précipice de quarante mètres, segmenté d’un cordon. Voyant un couple au loin, près à se faire épier, je fais une pause bien méritée. Je leur laisse du temps pour avancer afin qu’ils arrivent en premier au chalet. J’anticipe mon arrivée et rêve de les surprendre. M’étant reposé je repars en pleine forme, mais d’une enjambée minime. Je marque ainsi la distance, nous séparant encore, en leur laissant l’occasion de se sentir isolés.
Arrivant au col, je les entends qui batifole. Je me hâte en de légères foulée, caressant le sol de mes semelles. Je minimise le bruit produit, tel un félin accourant sur sa proie. Je m’enjoie quand je les vois se lover contre la porte en bois.
Prudemment je m’approche, et tombe sur ma voisine pile à l’endroit rêvé pour mater ce jeune couple forniquer. Mes doutes infondés sont certifiés. De mon perchoir je peux aisément la voir, se caresser avec volupté et regarder le couple se dorloter.
Exposant mon mât au vent, je le pare d’une poignée amicale, le secouant de haut en bas. Cette coquine, les jambes écartées face à ma pine, me donne envie d’avancer. Son antre si suintant, est un supplice enivrant. Ses yeux sont rivés sur le jeune, besognant fougueusement son amante auburn. Elle introduit deux doigts dans son trésor, qu’elle retire en caressant ses abords. Elle remonte doucement le long de sa tranchée, jusqu’au bourgeon gonflé, pour humecter. Elle le masse avec tendresse, se délectant de chaque caresse. Elle imagine sûrement être aussi bien servie, sur cette terrasse pleine de vis-à-vis.
Le couple s’en donne à coeur joie, exprimant leurs euphories en quelques cris. Tenant sa dame par son échine il la martèle, lui prodiguant un bienfait sensationnel, envoyant sa raison haut dans le ciel. Se lâchant complètement, en oubliant ses bonnes manières, il perd prise totalement. Jurant à sa manière, la femme qu’il aime tant, en l’imputant de quelque fessées bien placées. Sa douleur conduisant à sa jouissance, elle est happée par un plaisir divin. La gourmande réclame la collante semence, en pressant ses fesses contre son beau brun. Il se déverse en elle, atteignant aussi l’éternel.
Ma voisine n’écoute que son corps, enfilant ses doigts un à un sans effort. Elle glisse sa seconde main dans son sage décolleté. Elle serre ses poumons sensibles la faisant suinter, Une onde la parcourt, quand elle y rentre son dernier. Frottant vivement de sa paume son coquillage, une fièvre intense la submerge. Cette belle gesticule convulsivement, haletant en gardant en elle, toute la folie de ce feu qui la consume. J’assume mon amertume et la disperse au caprice de la bise. Envoûtant moment, qui restera à jamais marqué, d’une pierre blanche scellée.
Cette sensationnelle demoiselle se relève péniblement, les joues rougies du passé bouillonnant. Elle se rhabille secrètement, observant les alentours de ses yeux de velours. Ils sont d’un bleu si pur, que tout marin serait happé par sa parure, ils viendraient tous s’échouer à ses pieds. Hypnotisé, je suis figé, le gouvernail en tenaille entre mes tentacules. Elle s’orne de sa toison de coton, une légère robe crayon, puis recoiffe sa fourrure ébouriffée. Je peine à remonter mon pantalon, obnubilé par cette vision.
Marchant promptement, elle descend sur cet accès inconnu. Intrigué, je la suis sur ce chemin pentu, voulant tester ce sentier, pour savoir où il va me mener. La route se dessine, je la vois au loin près des capucines, se baisser pour en cueillir une poignée. Puis elle disparaît dans les méandres de la terre, s’égarant dans les fougères, entre deux énormes blocs de pierre. Je m’active, pensant à des désagréments. Mais, en arrivant au belvédère, je ne suis plus en soucis. Ici bas une échelle, menant droit vers une piscine naturelle.
Caché derrière un arbre, je regarde en détail son galbe. Elle coulisse avec aisance, son enveloppe sur sa peau lisse, faisant saillir mon cyclope. Sa fine dentelle se dessine, de sa couleur intemporelle, couvrant de blanc ses parties usuelles. Elle glisse sa culotte entre ses cuisses et dégrafe son soutien-gorge, m’offrant à vue son teint d’orge. Elle veut se délecter de la féerie, de ce lieu sans vie, convoitant cette source nacrée. Emplit de pression, le vétuste bouton de mon pantalon tombe sur le terrain escarpé. Il roule, dégringolant la pente sans répit et mon falzar s’aplatit sur mes chevilles.
Étant piégé, je ne peux que contempler ce spectacle, impuissamment, mon attirail dévoilé surplombant la scène. Il s’arrête finalement, coulant à pic dans le lac, mouchetant de gouttelettes ses gambettes. La voilà qui s’affole, cherchant le pourquoi du comment. Elle détaille à la loupe l’allée, refaisant la route de ses prunelles. Constatant ma présence près de la falaise, cette muse s’apaise, me priant de venir en un signe distinct. Instinctivement je m’élance, laissant de côté la réalité très corsée, trébuchant à cause de mon pantalon, je roule aux pieds de ma fée.
Je me redresse avec toute la classe qu’il me reste et tressaille, en sentant cette soudaine proximité. Ma lady me sourit et de ses yeux les plus attendris, je n’arrive plus à m’en décrocher. Je prend dans mes mains son visage apitoyé et appose sur ses lèvres un voluptueux baiser. Elle me répond en parcourant mon dos, de ses mains délicates, en se recroquevillant contre mon torse. Elle me chuchote à l’oreille des mots sensuels, me dévoilant la flamme, qui la malmène depuis que je suis parti loin d’ici.
Vivant un rêve éveillé, elle s’agenouille pour m’adresser toute sa sollicitude. Elle prend mon gland dans son goulot avec mansuétude, me soignant tous mes maux. Puis elle s’arrête brusquement et me tend son anneau, me commandant de la prendre sur le champ. Sans sommation, je lui enfile totalement ma hampe, dans son antre si serré. Ses mouvements oscillants, m’envoient un message transparent.
Cela fait des années, que je la regarde sans pouvoir y toucher. Ce désir brûlant, me pousse à la frénésie, en me régalant de son trou béant. Elle succombe des accoups de mon phallus raidi, À même la mousse de ce petit sous bois, madame se lâche, en se touchant avec les doigts. Manifestant son plaisir en de long rugissement, elle atteint l’apogée. Me retirant hâtivement, au bord de la décharge je la somme, et dans sa gorge je m’abandonne.
De cette chimère est né un amour sincère. Ma voisine devînt ma moitié, éternels voyeurs complices, guettant ensemble toutes les opportunités.
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