Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 69 J'aime
  • 4 Commentaires

Haut talons et fétichisme

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Sophie déambulait dans les rues marchandes de Paris, à la recherche d’un cadeau d’anniversaire pour son mari. Comme il lui restait plusieurs heures avant le repas, elle prenait son temps pour lécher les vitrines. Au détour d’une rue, elle s‘arrêta devant une boutique de chaussures dont les modèles exposés en vitrine attirèrent son attention ; c’était exactement le style de chaussures qui rendait son mari fou de désir, voilà un cadeau pas banal. Il lui avait récemment avoué son penchant fétichiste pour les chaussures sexy, et surtout les talons hauts. Incidemment, un jour, alors qu’ils s’ébattaient sur leur lit après une longue abstinence, elle avait massé sa verge avec le pied et l’avait fait jouir en quelques secondes à sa grande surprise ; au bout de presque 40 ans de vie commune, ce fut une révélation. Il en avait profité pour lui avouer son vice, et bien qu’intriguée initialement, elle avait décidé de rejouer le jeu plusieurs fois, à la grande satisfaction de son époux.
Depuis, elle achetait des chaussures, sans lui dire qu’elle mettait pour ces occasions lors de leurs week-ends en amoureux qu’ils s’octroyaient de temps en temps à l’étranger. Après plusieurs semaines de séparation, ils se retrouvaient dans un hôtel, comme deux amants, et cela plaisait énormément à Sophie qui avait besoin d’un peu de changement dans sa vie amoureuse. Les modèles exposés en vitrine auraient tous plu à son mari, des sandales a lanières aux talons hauts fermés en passant par les modèles à vous donner le vertige, il y en avait pour tous les goûts. Sophie jeta son dévolu sur une paire de sandales à talons hauts avec de fines lanières entourant les chevilles et le pied au niveau des orteils. Celles-là allaient provoquer des effets dévastateurs chez son mari. Elle entra, toute décidée à les acheter, quel que soit le prix, mais pas avant de les avoir essayés pour juger de l’effet qu’elles produisaient au bout de ses jambes.
Sophie, la cinquantaine passée, se jugeait plutôt sévèrement du côté physique et doutait qu’elle puisse encore inspirer le désir à un quelconque mâle, sauf à son mari qui lui répétait sans cesse qu’il n’était pas le seul à qui elle faisait envie, d’une respectable mère de famille, il avait su au fil des ans la transformer en certaines occasions en une maîtresse experte pour qui seul le plaisir des sens comptait, et dans ces moments-là, elle était capable de tout ! Passée la porte, un jeune vendeur lui proposa son aide, et elle lui montra la paire de sandales sur laquelle elle avait jeté son dévolu, et demanda à l’essayer. Celui-ci, après avoir demandé sa taille, lui offrit un siège dans le salon d’essayage. Il disparut un court instant et revint avec le modèle demandé, tout en la complimentant sur son choix. Il lui fit remarquer le côté très classe du modèle, tout en alliant un je ne sais quoi de coquin qui lui attirerait certainement les regards de la gent masculine.
Il s’agenouilla devant Sophie en écartant les genoux pour se tenir de part et d’autre du coussinet incliné sur lequel il lui posa le pied. Puis prenant son talon d’une main, il lui enfila la chaussure de l’autre, et satisfait de son geste, demanda à Sophie si le modèle lui plaisait. Il était vraiment beau et elle se sentait à l’aise dedans, elle releva le pied, et afin d’admirer toutes les facettes de sa chaussure, pivota son pied plusieurs fois de droite à gauche et de gauche à droite. Ce faisant, elle effleura de la pointe de la sandale le pantalon du vendeur au niveau le plus sensible de sa virilité. Confondue en excuses, elle rougit de honte et recula précipitamment son pied. Le vendeur, avec un large sourire, lui déclara qu’il n’y voyait aucun inconvénient et qu’il serait très flatté si jamais elle l’avait fait intentionnellement, il lui prétendit même qu’avec des pieds pareils, on ne pouvait que lui pardonner toutes les hardiesses.
Troublée par ses propos, Sophie se mit à examiner de plus près le vendeur et s’aperçut très rapidement que non seulement elle ne lui était pas insensible, mais qu’en plus, c’était un beau garçon doté d’un physique plutôt athlétique et d’une insolence propre à la trentaine. La bosse qui gonflait son pantalon en flanelle ne faisait que confirmer ses propos flatteurs. Elle réalisa que lui aussi était un fétichiste des chaussures et des pieds, et quel meilleur endroit qu’un magasin de chaussures pour assouvir ses fantasmes ? Le vendeur la regardait droit dans les yeux d’un regard que connaissait bien Sophie, son mari avait le même quand le désir lui tordait le ventre, délicatement, il reprit son pied chaussé et le rapprocha du bord du tabouret, à quelques centimètres de son entrejambe, puis relâcha sa cheville.
Emue par cette invitation silencieuse, Sophie décida en un instant de passer outre ses préjugés et ses principes, pivotant la cheville, elle effleurant de nouveau la flanelle et appuyant son geste, imprima un mouvement de va-et-vient sur la colonne qui déformait le tissu. Ce fut le signal qu’attendait le jeune mâle pour donner libre cours à son désir. Il appuya sa main sur le dessus du pied de Sophie pour augmenter la pression de la chaussure. Initialement désarçonnée par la situation, Sophie en reprit vite le contrôle, ce jeune étalon à sa merci était une chose inespérée, elle n’aurait jamais cru pouvoir inspirer autant de désir à un homme aussi jeune, il était là à sa disposition, tordu par le désir, et prêt à tout pour qu’elle le satisfasse. Passé la surprise, elle aussi avait ressenti beaucoup de désir et était bien décidée à s’amuser avec son nouveau jouet.
La promiscuité du lieu ne lui donnerait certainement pas l’occasion de profiter pleinement de son amant, mais elle était bien décidée à en profiter le plus possible. Après quelques instants, il retint le pied de Sophie d’une main et glissa la fermeture éclair de sa braguette de l’autre, puis empoignant son sexe, il l’extirpa à la vue de sa cliente, d’une taille plus que convenable, les veines sur la hampe saillaient, et le gland décalotté laissait apercevoir une couleur cramoisie. Sophie de plus en plus troublée, jeta un coup d’œil aux alentours, les choses prenaient une tournure scabreuse et un relent de pudeur lui dictait de faire attention à ne pas se faire surprendre dans cette situation. Rassurée, elle tendit le pied, et rabaissant le sexe du vendeur, elle le colla contre le coussinet incliné pour entamer une lente caresse le long de la verge.
Elle appuyait les aller et retour lorsque la semelle de sa sandale arrivait à proximité du gland cramoisi, et à chaque fois, celui suintait un peu plus de liqueur transparente. Le contraste de la sandale rouge, des ongles carminés et du velours bleu du coussinet était saisissant, une tache plus sombre marquait le lieu où la liqueur abondamment produite s’épanchait sur le tissu. Le vendeur était aux anges, dès le premier coup d’œil, il avait pressenti une sensualité débordante chez cette femme mûre qui voulait se donner des apparences quelconques. Dès qu’elle avait chaussé ses escarpins, il avait eu envie de ses caresses et avait su réveiller en elle le démon qui l’habitait. Elle était terriblement excitante dans cette pose, la jambe repliée sur le coussinet, habillée de cette sandale tellement sexy sous laquelle sa verge se trouvait. Ses seins lourds moulés par son corsage ballotaient à chacun de ses mouvements.
La jupe légèrement troussée laissait entr’apercevoir une lingerie fine qui lui moulait le sexe. Elle avait l’expérience d’une femme mûre qui sait donner du plaisir et qui sait aussi en prendre. Ses caresses pédestres démontraient une certaine pratique, et l’incongru de la situation rajoutait du piment. Elle accéléra le mouvement de son pied et le désir contenu jusque-là devint de plus en plus intense. Sophie pressentit que son amant allait se lâcher bientôt, aussi décida-t-elle d’accélérer la cadence, elle aussi ressentait les prémices d’un plaisir imminent. Les premiers jets de semence atterrirent sur sa cuisse et son amant retint un râle de plaisir, il se vida abondamment sur le coussinet, Sophie appuyant de plus en plus fort sur la verge pour en extraire le plus de sperme possible. Quelques filets de semence attachés à la semelle de sa sandale s’étirèrent lorsqu’elle décida de se rajuster et de reprendre une pose convenable.
Le vendeur se réajusta rapidement et fit disparaître le coussinet dans l’arrière-boutique. Convaincu de l’effet que sa nouvelle acquisition pouvait provoquer, Sophie acheta les sandales, et encore toute embuée, sortit du magasin, les jambes en coton. Elle trouva un café un peu plus loin et décida de s’y prendre une collation pour se remettre les idées en place. Il lui fallut un certain temps pour reprendre ses esprits, le feu qui lui tenaillait le ventre ne s’était pas éteint depuis son incartade avec le vendeur, un mélange de honte et de désir animait son esprit. Comment avait-elle pu se laisser convaincre de faire une chose pareille en public avec un inconnu, et tout ça, à cause d’une paire de chaussures ?
A chaque fois qu’elle les mettrait pour son mari, le souvenir de son abandon ressurgirait, en même temps, le désir qui lui tordait encore le ventre prenait parfois le pas sur la honte ; ce jeune Appolon à sa merci, bandant comme un taureau à la vue de son pied chaussé de cette sandale était une vision troublante, et si les circonstances l’avaient permis, elle était presque sûre qu’elle lui aurait accordé toutes ses faveurs et qu’elle ne se serait pas limitée aux pieds. La vision de ce jeune mâle la pénétrant de son sexe, traversait son esprit avec persistance et lui tordait les tripes. Partagée entre la honte et le désir, elle était sur le point de jeter les chaussures quand elle se remémora certaines conversations qu’elle avait eues avec son mari. Dans le feu de leur désir, celui-ci aimait faire allusion à ses charmes et aux effets qu’ils pourraient encore provoquer chez les autres hommes, particulièrement les jeunes.
Plusieurs fois, il lui avait fait perdre la tête en lui décrivant de jeunes hommes la pénétrant de leurs sexes, il était convaincu, malgré ce qu’elle disait, que de jeunes mâles seraient très attirés par ses charmes, et il cherchait à lui redonner confiance en elle et en ses pouvoirs de séduction. De plus, ses fantasmes l’amenaient souvent à lui décrire des scènes où elle se donnerait à un étranger devant lui, et bien qu’initialement génée par cette vision, elle y avait eu parfois quelques orgasmes fulgurants. Alors peut-être que non seulement les sandales, mais aussi les circonstances dans lesquelles elles furent acquises pourraient provoquer des effets fabuleux sur la libido de son époux, il ne lui suffisait que d’avouer son incartade au bon moment. Elle s’en tint à sa dernière décision, et quelques semaines plus tard, ils se retrouvèrent à Stockholm où son mari devait se rendre pour affaires. Elle le rejoignit le lendemain de son arrivée.
Il neigeait, et son mari, anxieusement, vérifiait les mouvements d’avions pour savoir si le vol de sa femme n’allait pas être annulé au dernier moment. Il adorait ces retrouvailles furtives qui lui rappelaient leurs premières rencontres pendant lesquelles ils passaient des week-ends entiers à faire l’amour sans jamais se préoccuper du temps qu’il faisait dehors, sauf quand ils décidaient d’aller faire des galipettes champêtres. Sophie était parmi les premiers passagers à débarquer et sans tarder, ils rejoignirent l’hôtel. Tout excitée à l’idée de ce week-end, elle avait rempli sa valise de sous=vêtement affriolant. Malgré l’usure des sens avec de si nombreuses années de vie commune, elle ressentait un regain de jouvence à chacun de ces week-ends, néanmoins elle avait une petite appréhension pour celui-ci, car il fallait qu’elle décide si oui ou non, elle devait raconter l’épisode des chaussures à son mari.

Celles-ci étaient dans leur housse, au fond de sa valise, et la semelle gauche était restée tachée de la semence de son amant, et ce, malgré tous ses efforts pour la nettoyer. Décidant de jouer le tout pour le tout, elle chaussa les fameuses sandales pour aller dîner au restaurant de l’hôtel. Habillée d’une robe noire décolletée, les jambes gainées de bas à couture noirs, et perchée sur ses sandales rouges, Sophie fit sensation lorsqu’elle entra dans la salle du restaurant, suivie de son mari habillé d’un costume gris. Celui-ci avait du mal à cacher l’érection qui lui entravait l’entrejambe, elle avait pris forme dans l’ascenseur, quand émoustillé par la tenue de Sophie, il l’avait embrassée longuement tout en lançant une main inquisitrice entre ses cuisses pour vérifier qu’elle avait mis des bas. Non seulement elle mit des bas, mais elle ne s’était pas embarrassée de culotte, ce qu’il découvrit en poussant ses recherches un peu plus haut.
Déjà bien énervé, il avait eu une poussée de désir encore plus forte et n’avait plus qu’une idée en tête, abuser de ce corps provocant. Sophie avait besoin qu’il soit au bord de l’extase pour lui avouer sans trop de risques son incartade, aussi avait-elle décidé de jouer le grand jeu en combinant tous les artifices qui généralement faisaient perdre la tête à son époux. Ils furent placés dans un coin de la salle d’où ils pouvaient apercevoir l’ensemble du restaurant. Les apéritifs furent commandés, et leur cocktail fétiche fut apporté quelques instants plus tard. Sophie fit un toast à leur week-end, et son mari enchaîna par un autre à eux, et à la beauté de sa femme, et au désir qu’elle lui inspire toujours. L’alcool aidant, la conversation commençait à batifoler, et le sujet d’intérêt se concentra sur les sandales qu’il trouvait très sexy et la complimenta pour son choix. A demi mots, il la remercia pour avoir une fois de plus anticipé sur ses désirs et sur ses fantasmes.
Sophie, chauffée par les deux gins tonic qu’elle avait bu, n’avait plus d’appréhension et encore moins d’inhibition, elle passa une main sous la table et la posa sur la cuisse de son mari qui visiblement apprécia. Ce n’est que lorsqu’il entama son troisième Gin tonic, qu’elle ramena la conversation sur l’achat des chaussures, tout en déplaçant la main sur la bosse de son pantalon. En murmurant qu’elle les avait choisis pour s’en servir comme il aimait, elle lui malaxait la verge au travers le tissu. Tout en lui décrivant les différents modèles entre lesquels elle avait hésité, elle lui avoua qu’en plus, le vendeur était plutôt mignon. Son mari, l’esprit embué par l’alcool et le désir, ne loupa pas l’occasion de faire une allusion à son fantasme favori en lui demandant pourquoi elle n’en avait pas profité.
Feignant de ne pas avoir compris, Sophie continua à lui décrire comment elle s’était laissé séduire par le confort des chaussures et leurs lignes, et la gentillesse du vendeur qui lui aussi semblait, d’après ce qu’elle en avait vu, apprécier les belles chaussures. Elle lui avoua avoir remarqué le pli de son pantalon lorsqu’elle avait chaussé le modèle. Conforté dans son avis, son mari lui fit remarquer qu’il l’avait déjà prévenue qu’elle faisait encore de l’effet aux jeunes, tout à son fantasme, il lui murmura qu’il aurait aimé être là pour la voir séduire le jeune. Augmentant sa pression sur son sexe, elle lui dit qu’elle aussi, elle aurait aimé qu’il soit là pour la voir quand elle l’a fait jouir avec sa chaussure. Il mit un certain temps à comprendre ce que sa femme lui disait, il ne savait plus si elle continuait à jouer ou si elle lui décrivait la réalité, toujours est-il que dans les deux cas, son excitation était à son comble.
Pour en avoir la confirmation, il lui dit qu’elle a eu raison d’en profiter et lui demanda des détails sur ce qui s’était passé. Très à l’aise, elle lui raconte par le menu détail son expérience dans le magasin. A la fin du récit, pour seule réponse, il lui empoigna le bras et l’emmena presque de force dans la chambre avant même d’avoir entamé leur repas. Là, s’agenouillant devant Sophie, il lui prit un pied et commença à l’embrasser, celle-ci, de son pied libre, caressa la bosse de son sexe à travers le costume. Très rapidement, le pantalon et le slip se retrouvèrent à l’autre bout de la chambre et les deux escarpins autour de la verge. Sophie imprimait un mouvement lent en prenant soin de décalotter et de recalloter avec ses chaussures le gland. Un long filet argenté s’échappait du méat et glissa le long des pieds de Sophie. Elle avait retroussé sa robe pour se caresser la vulve en défiant du regard son mari.
Oui, elle a branlé un autre homme, oui, elle y a pris du plaisir, et elle en prend encore plus à l’avouer à son homme. Tout excité qu’il était à l’idée que sa femme ait pu faire jouir un autre homme, il regardait les pieds de Sophie qui ont récemment amené un autre à l’extase avec les mêmes chaussures. Elle continua ses caresses, les deux sandales entourant son sexe et son gland disparaissant à intervalles réguliers entre les semelles, le supplice fut intenable, il lâcha pied, et avec un râle sourd, et il se vida en longs jets brûlant sur les pieds et les escarpins. Le flot de sperme ne semblait pas vouloir s’arrêter, il jouit longuement pendant que Sophie atteint également l’orgasme. Cette nuit-là, ils firent l’amour plusieurs fois comme lorsqu’ils étaient de jeunes amants. Sophie reçut quelque temps plus tard un SMS du vendeur lui annonçant l’arrivée de nouveaux modèles à des prix défiant toute concurrence.
Elle le montra à son mari, qui lui promit avec un petit sourire entendu de l’accompagner la prochaine fois qu’elle irait dans ce magasin pour choisir avec elle.Pour le dernier soir de leur week-end, ils décidèrent de passer la soirée dans une boîte de nuit célèbre pour ses soirées un peu chaudes. Se faufilant à travers la foule, ils s’approchèrent du bar bondé. Il restait un siège de libre et Sophie s’assit sur le tabouret haut en croisant ses jambes gainées de bas à couture et chaussée d’escarpins noirs. Elle avait décidé de jouer le grand jeu pour leur dernier soir, car ils devaient se séparer à nouveau le lendemain pour de nombreuses semaines. Elle fit de l’effet non seulement à son mari, mais également à un jeune plutôt baraqué qui se trouvait entre elle et le bar. Il avait du mal à détacher son regard des cuisses gainées en noir et du corsage en soie largement décolleté que Sophie avait sorti de sa valise juste avant leur soirée. Elle avait assorti l’ensemble d’un soutien-gorge grenat pigeonnant du plus bel effet, le tout complété par un mini-slip en dentelle de la même couleur recouvert par une jupe courte noire.
Son mari, tout en sirotant son verre, l’observait du coin de l’œil, elle faisait semblant de ne pas avoir remarqué le jeune qui la dévorait littéralement des yeux. Les lumières stroboscopiques éclairaient violemment par intermittence la salle, et Sophie pouvait entrevoir les yeux de son mari rivés sur elle. Son jeune voisin faisait tout pour attirer son attention, il s’était planté devant elle en prétendant regarder la piste de danse, et avait entamé un lent mouvement de bassin, qui, bien qu’en cadence avec la musique, prenait une tournure érotique. Le nez dans son verre, sirotant son cocktail avec la paille, d’apparence indifférente, elle ne perdait pas une miette de son manège et jetait des coups d’œil furtifs à son mari qui n’avait rien perdu du jeu auquel il se livrait. Afin de faire monter un peu plus la température, elle décroisa lentement les jambes et les recroisa tout aussi lentement de l’autre côté en faisant crisser ses bas.
Son mari apprécia la vision qu’elle venait d’offrir au jeune. La jupe courte ne cachait que partiellement le compas charnu de ses cuisses à demi couvert par la dentelle grenat et avait laissé entrevoir au jeune, une partie de sa toison rousse. Il venait de réaliser qu’il avait affaire à une vraie rouquine, et son sang ne fit qu’un tour. La réputation sulfureuse des rousses n’est pas volée, elles sont chaudes et passionnées, et sont d’excellentes partenaires sexuelles, son mari avait eu l’occasion de confirmer cela depuis toutes les années où ils avaient vécu ensemble. Apparemment, le jeune connaissait également leur réputation, car son attitude devint plus entreprenante ; il engagea la conversation avec elle et lui offrit un autre verre. La musique rythmée emplissait la salle, et le tempo des basses prenait au ventre certaines de ces musiques qui vous mettent en transe, ce fut le cas pour Sophie dont une certaine langueur bien connue commençait à lui chauffer le ventre.
Prétextant le son un peu fort, le jeune se pencha vers Sophie pour lui parler, et tout naturellement, posa la main sur sa cuisse. Ce contact eut pour effet d’électriser Sophie, elle scruta du regard son mari qui ne semblait pas réagir, elle prit son silence pour un acquiescement. Elle décida donc de se laisser faire, et lentement, la main remontait par étape sous la jupe vers le haut de sa cuisse. Souriante, Sophie put observer l’effet qu’elle produisait sur le jeune mâle ; une bosse généreuse déformait son pantalon en flanelle. Sophie se penchant un peu plus en avant pour écouter le jeune, lui révéla le galbe généreux de ses seins dont les pointes dardaient au travers du corsage. Son soutien-gorge avait du mal à contenir ses globes laiteux parsemés de tache de rousseur, et la finesse de la dentelle peinait à cacher les pointes turgescentes de ses mamelons.
La main se fit plus en plus entreprenante et remontait plus haut, le long des cuisses de Sophie, elle arrêta le jeune impétueux à la lisière de son bas avec une moue réprobatrice, elle n’allait pas se laisser lutiner devant tout ce monde aussi facilement. Elle regarda autour d’elle d’un air inquiet, un peu honteuse de s’être laissée aller aussi loin en public, mais personne ne faisait attention à eux, et la lumière tamisée cachait bien leurs attouchements. Son mari la regardait avec un petit sourire en coin, allait-elle pousser le jeu plus loin, ou y mettre fin ? Il la connaissait bien, rongée par la honte, elle pouvait laisser le jeune en plan soudainement, mais s’il était suffisamment persistant et capable de l’exciter au-delà d’un certain point, alors la honte disparaissait et elle était capable du pire, tant son désir prenait le pas sur son bon sens et ses bonnes moeurs.
Elle ne s’était jamais laissée aller aussi loin et de surcroit en public, mais son expérience avec le marchand de chaussures quelque temps auparavant lui avait fait découvrir ce délicieux sentiment d’excitation mélangé à la peur d’être surprise, en fermant les yeux, elle revivait la scène et son ventre la tenaillait de plus en plus. En quelques secondes, sa décision fut prise, elle allait pousser le jeu un peu loin, et après, elle verrait bien. Sirotant son cocktail et après s’être assurée une nouvelle fois que personne ne faisait attention à eux, elle reprit la main là où elle l’avait laissée et la fit remonter lentement vers son entrejambe. Son époux ayant suivi le manège, réalisa qu’elle allait franchir le pas en s’exhibant au regard de son entourage, une boule de désir lui tordit l’estomac, il pouvait observer de sa place les doigts hardis du jeune qui après avoir écarté le rempart de tissus, s’inséraient entre les lèvres humides du sexe roux.
Il la regarda dans les yeux et le regard qu’il vit lui fit pressentir qu’elle allait faire des bêtises avec ce jeunot ; celui-ci cherchant à masquer son émoi, se plaça face à Sophie et inséra son buste entre les jambes de celle-ci ; ce mouvement le mit à portée de main de Sophie, qui n’hésita qu’un court instant. Ses doigts agiles caressaient l’entrejambe du jeune étalon. Au contact de ses doigts, il ferma les yeux et laissa échapper un long soupir. Elle enserra la tige de chair protégée par le tissu, et d’un mouvement très lent, commença à aller et venir le long de la verge, ce qui eut pour effet de la rendre encore plus dure. Son émoi n’en fut que plus lancinant, bien que cachée par le tissu, elle avait pu apprécier au toucher la taille de la verge, elle était moyenne et plutôt épaisse, ce dont elle raffolait. Son ventre devenait de plus en plus douloureux de désir, les doigts qui la fouaillaient avaient transformé son sexe en un foyer brûlant.
Ils allaient et venaient entre ses lèvres humides pour finir sur le bouton de son clitoris qu’ils agaçaient par de légères pressions du pouce et de l’index. De temps à autre, elle jetait un regard vers son mari et celui-ci semblait beaucoup apprécier la situation, il ne perdait rien pour attendre. Il était évident qu’il prenait beaucoup de plaisir à la voir caressée par un autre homme et à se comporter comme une libertine. Il aurait aussi pu l’empêcher d’aller plus loin, mais il avait préféré la laisser franchir les limites du convenable, et satisfaire son fantasme. Il la laissait faire, la salope, sans réagir, et ça la perturbait beaucoup, après avoir franchi certaines barrières morales pour exciter son homme, Sophie avait peur maintenant qu’il porte un nouveau regard sur elle et la considère comme une traînée.
Les doigts du jeune eurent finalement raison de ses derniers préjugés, ils coulissaient dans son fourreau humide, et leurs frottements sur le bouton de son clitoris eurent tôt fait de l’amener au bord de l’extase. N’y tenant plus, elle ouvrit la braguette du pantalon et s’emparant du vit, approcha le gland de sa vulve en une invite que le jeune s’empressa d’accepter. Elle rapprocha son bassin du bord du tabouret afin de faciliter la pénétration, ce qui eut pour effet de trousser sa jupe plus haut. Maintenant, la verge entre son pouce et l’index au bord des lèvres, elle était fascinée par les veinures qui parcouraient la hampe. Gonflée par le désir, chaque détail de sa verge paraissait amplifié, exerçant une pression du pouce à la racine du gland, Sophie provoqua un afflux de liquide suintant du prépuce, de longs filets argentés s’étiraient du méat vers le sol.
Elle exerça la pression plusieurs fois avec le même effet, et les barreaux de son tabouret furent maculés de ce liquide préséminal. Le mâle était prêt pour la saillie, écartant un peu plus le slip d’une main, elle inséra le bout du gland entre ses lèvres tout en décalottant le prépuce, et le promena de haut en bas lentement, prenant soin à chaque fois de toucher son bourgeon gonflé. Le contact de ses yeux du gland dans sa vulve aiguisa terriblement son envie, dans une sorte de brouillard, elle entraperçut son mari qui la guettait les yeux mi-clos, tenaillé par un désir intense. Celui-ci s’était rapproché afin de voir le jeune bouc lutiner sa chère épouse, de son emplacement, il pouvait voir tous les gens autour du couple, visiblement ne se doutant de rien de ce qui se passait tout près d’eux, et la colonne de chair plantée dans la toison rousse.
Le contraste érotique était saisissant, elle, sagement assise sur le tabouret, jetant des coups d’œil furtifs aux alentours, sans aucune trace d’émotion sur le visage, et lui, se tenant devant elle entre ses cuisses, son verre toujours à la main, besognant lentement cette respectable mère de famille en public. Autant d’aplomb et de sensualité de la part de sa femme le perturbaient un peu, il découvrait une nouvelle facette de sa compagne après pratiquement quarante ans de vie commune, il était délicieusement choqué! Sophie était agacée, depuis quelques instants, elle essayait de faire pénétrer le sexe de son amant plus profondément dans son ventre, mais il se dérobait et continuait à frotter son gland à l’entrée du vagin, ce qui ne la satisfaisait pas du tout. Elle avait envie d’avoir ce sexe profondément planté en elle, de sentir les palpitations de sa verge distendre les parois de son intimité.
Elle l’agrippa par la taille pour l’enfoncer un peu plus en elle, ce fut le moment qu’il choisit pour se répandre dans sa toison, maculant son slip et le tabouret de sa semence, elle en fut encore plus frustrée, il l’avait laissée sur sa faim et disparut presque aussitôt. Totalement exposée aux regards, Sophie resserra vivement les cuisses pour se cacher, son mari réalisant la situation, se déplaça rapidement et prenant la place de son amant fit écran de son corps pour permettre à son épouse de se réajuster discrètement. Il lui tendit un mouchoir pour qu’elle s’essuie les cuisses et l’embrassa tendrement sur la bouche. Ce baiser la fit fondre, il l’avait par ce simple geste rassurée sur ses sentiments vis-à-vis d’elle, il lui offrit un autre verre et ils restèrent à regarder les danseurs sur la piste. Le tempo de la musique afro-cubaine combiné avec l’alcool eut tôt fait de raviver le feu qui sommeillait dans le ventre de Sophie.
Son mari était toujours en forme, il n’avait pas débandé depuis le début de leur soirée et comptait bien, à un moment où à un autre, conclure. Prenant un air de sainte-nitouche, elle passa son bras autour de la taille de son mari et l’approcha de son ventre. Elle avait de nouveau écarté les cuisses et elle pressa son pubis sur le bas-ventre de son homme. Dans la précipitation, elle n’avait pas réajusté sa culotte en dentelle, et sa toison frottait sur le pantalon en crissant. Ce bruit électrisa son homme, elle put sentir à travers l’étoffe, le raidissement de son sexe. Bien décidée à ne pas se louper une autre occasion, elle fit descendit le zip de sa braguette, et comme il n’avait pas mis de slip, elle put extraire sans peine la verge tendue par le désir.
Elle l’avait rarement vue aussi bandée, toutes les veinules courant le long de la hampe étaient gavées de sang, le gland cramoisi luisait de lubrifiant, et des filets d’argents s’échappaient du méat avec profusion, des battements convulsifs l’animaient. Sophie était aux anges, avec une telle forme, elle allait enfin avoir sa récompense, à savoir un bel orgasme qui allait apaiser ses sens. Agrippant à pleine main la hampe, elle promenait son pouce en petits mouvements circulaires sur le bout du gland, lubrifiant à chaque passage sur le méat le reste de la pointe. Il jetait des coups d’œil furtifs sur les doigts carminés qui lui infligeaient ce délicieux supplice, il adorait cette caresse, mais son excitation était encore plus intense à l’idée qu’il allait bientôt être englouti par ce sexe qui avait appartenu à un autre quelques minutes plus tôt.
Sophie, émue par le désir persistant de son homme après cet intermède scabreux, était bien décidée à lui faire le grand show et à en profiter pleinement. Elle ressentait l’objet de son désir grossir de plus en plus entre ses doigts, il n’avait jamais été aussi gros, l’excitation de la situation combinée avec l’expérience candauliste y était pour beaucoup, elle avait amené son mari au comble de l’excitation par sa conduite totalement scandaleuse. Elle aussi n’avait pas ressenti un désir aussi fort depuis très longtemps, l’intermède avec le jeune, bien qu’un peu frustrant, l’avait sérieusement chauffée, son ventre en demandait plus. Défiant l’entourage du regard, elle dégagea les bourses du pantalon et les malaxa doucement. Elles étaient lourdes et gonflées, le désir bouillonnait à l’intérieur, ils ne s’étaient pas vus depuis quelques semaines et elles étaient encore bien pleines.
Sophie ressentit un effluve de désir à l’idée de toute cette semence qui allait bientôt se répandre dans son ventre. Elle adorait ressentir le sperme chaud gicler au fond de son vagin. N’y tenant plus, elle guida le gland à travers sa toison entre ses lèvres gluantes, son mari sans demander son reste, s’enfonça d’un coup de reins et immobilisa son bas-ventre contre son pubis. Elle était comblée, la hampe de chair profondément enfoncée lui remplissait le ventre, chaque parcelle de son fourreau humide enserrait étroitement le sexe masculin, elle faillit chavirer de plaisir. Il l’avait pénétrée sans aucune résistance, la semence de son prédécesseur servant de lubrifiant ; le contact humide et gluant avait aiguisé encore plus son désir, il repossédait sa femme après qu’elle ait été troussée par un étranger.
Quelques coulées de sperme suintaient entre les lèvres, chassées par la progression du vit dans le vagin, elles dégoulinaient le long de ses bourses et finissaient sur le sol entre ses pieds. Jamais il n’avait été aussi excité, et pourtant, il restait immobile, enfoncé en elle jusqu’à la garde en murmurant des mots crus à son oreille. Emoustillée, elle lui répondait combien elle avait aimé se faire prendre devant lui et combien elle avait apprécié cette queue jeune et vigoureuse dans sa chatte. Au fur et à mesure qu’elle lui décrivait ses sensations et le plaisir qu’elle avait eu à faire la salope pour lui, elle sentait la verge et le gland battre dans son ventre de plus en plus vite, comme animé d’une vie indépendante.
Elle lui promit de recommencer l’expérience avec un autre inconnu dès qu’il lui demanderait, et elle avait hâte qu’il la laisse recommencer, tellement elle avait été excitée qu’il l’observe pendant ses ébats avec le jeune bouc, particulièrement quand il l’avait aspergée de sa semence. Il avait de plus en plus de mal à se contenir, sans bouger, il sentait la sève monter inexorablement de ses bourses en feu, elle l’amenait doucement, mais sûrement à l’extase. Sophie, empalée sur le tabouret, continuait à siroter son cocktail tout en chuchotant des cochonneries ponctuées de sourires enjôleurs, elle défiait la foule alentour du regard en dévisageant tous les mâles qui les entouraient, s’ils s’étaient doutés de ce qu’elle était en train de subir, elle aurait vraisemblablement déclenché la panique dans toutes les braguettes.
Elle trouvait la situation vraiment très excitante, ils avaient déjà fait l’amour en public, mais toujours à l’abri des regards, soit sur un balcon d’hôtel la nuit tombée, ou dans la mer à quelques mètres d’autres nageurs, mais jamais comme cela, et avec deux hommes de suite de surcroit. La pointe de ses seins dardait au travers de la soie de son corsage moulé par sa poitrine lourde, il aurait aimé les empoigner à pleine main, mais étant donné les circonstances, cela aurait éveillé l’attention de leurs voisins immédiats. Suivant son regard, Sophie devinant l’objet de son intérêt, balança sa poitrine de droite à gauche, imprimant un mouvement de balancier aux deux globes laiteux, ce qui pour eut effet de carrément hypnotiser son homme. C’était un de ses nombreux points faibles, il aimait les grosses poitrines et elle en profita pour lui décrire comment elle ferait jouir son prochain amant entre ses seins tout en étalant sa sève sur ses tétons.
C’en fut de trop, une langue de feu partit du fond de ses reins et il se vida en longues giclées de sperme dans le ventre de Sophie, elle fut presque aussitôt fauchée par un orgasme fulgurant et faillit tomber du tabouret, son mari la rattrapa de justesse. Toute cette agitation attira l’attention sur eux et les obligea à garder un contact corporel étroit pour masquer leur tenue. Le contact étroit de leur corps raviva presque aussitôt l’envie de son homme dont elle sentait le volume de sa verge reprendre de l’ampleur. Cherchant à se désaccoupler, Sophie eut toutes les peines du monde à convaincre son mari de se retirer, il voulait un autre round ! Jamais, même quand il était jeune homme, il n’avait été aussi en forme, en général, lui fallait un petit quart d’heure pour récupérer. Il était temps pour eux de rejoindre l’aéroport d’où ils allaient se séparer de nouveau pendant quelques semaines.
Ils prirent un taxi et sur le chemin, se sentant un peu coupable de l’état dans lequel il se trouvait encore, elle le prit dans sa bouche et avala toute sa sève pour la première fois de leur vie de couple, et ce afin de ne pas tacher les fauteuils. Décidément, les petits week-ends entre amoureux leur réussissaient, ils avaient ravivé la flamme de leur désir. Ils se quittèrent sur un long baiser au goût salé, puis en guise d’au revoir, elle lui demanda si une séance similaire sur skype aurait autant d’effet sur sa forme, et avant qu’il ait eu le temps de répondre, tourna les talons et s’éloigna en ondulant des hanches avec un grand salut de la main.
Diffuse en direct !
Regarder son live