New-York, 1982. D’une démarche hésitante, Mia arpentait le Heidi’s avec son plateau de verres, servant des clients assoiffés et pourtant déjà bien saouls. Du haut de ses dix-huit ans, elle venait tout juste de rentrer dans la vie professionnelle, c’était sa première semaine. Elle n’avait jamais su quoi faire après le lycée, l’université étant trop chère, et s’était donc tournée vers ce bar qu’elle connaissait depuis son enfance. Elle n’y était jamais entrée avant la fois où elle y avait déposé sa candidature, mais habitant dans le quartier, elle passait devant tous les jours du temps où elle avait encore des cours. Malgré son salaire loin d’être mirobolant, elle avait trouvé un petit studio à côté du Heidi’s, histoire de s’éloigner un peu du foyer familial. Le bar était grand, avec une pièce principale, immense, et plein de petites salles à l’étage. L’ensemble baignait dans un mélange de fumées de cigare et d’odeur d’alcool, Mia avait du mal à s’y habituer. Pour ses débuts, le patron l’avait assignée au rez-de-chaussée, où elle passait son temps à s’occuper de piliers de bars et de gens peu recommandables. On lui avait dit que si elle faisait ses preuves, elle irait servir les clients de l’étage. Ces clients, elles les voyaient monter et descendre du grand escalier central. Ils étaient tous en costard, très élégants, avec des montres et des chaussures sûrement hors de prix. Elle n’était pas dupe, elle savait très bien de quel genre de personnes il s’agissait. Parmi eux, elle remarqua un homme un peu différent des autres, qui venait tous les jours : plus grand, plus large, encore mieux habillé que les autres. Il semblait toujours au centre du groupe, comme escorté, lorsqu’il se rendait à l’étage. Quelques semaines passèrent, Mia était devenue une serveuse aguerrie et professionnelle. Comme convenu, le patron la promut, il était temps pour elle de découvrir le monde en haut de cet escalier. Chaque petite salle était composée d’un grand canapé en U, entourant une table basse en verre. En seulement quelques jours, elle assista à toutes sortes de choses qu’elle n’avait jamais vues avant. Des hommes sniffaient de la coke, d’autres couchaient avec des femmes à la vue de tous, d’autres encore faisaient les deux en même temps. Elle y croisa nombre de politiciens dont les visages ornaient les affiches municipales. Elle ne les avait jamais vus monter par l’escalier principal, mais réalisa vite qu’un second escalier existait, plus discret, pour éviter que certaines personnes connues ne soient aperçues ici. Parmi ces nouveaux clients, Mia devait également servir cet homme qui l’avait tant marquée lors de son arrivée. En entendant des bribes de conversations à chaque fois qu’elle venait les servir, elle comprit qu’il était effectivement un élément important au sein de la pègre new-yorkaise, et que tous les mafieux à ses côtés étaient bien à ses ordres. Il était beaucoup plus vieux qu’elle, la cinquantaine, mais son visage beau et viril, ses cheveux bien coiffés et sa barbe parfaitement taillée, faisaient leur effet sur Mia. Son air puissant et confiant l’excitait même un peu. Il prenait toujours la même chose, un vieux whisky valant dans les mille dollars la bouteille. Cela n’avait pas du tout l’air d’être un problème pour lui, qui, chaque jour, payait pour lui et ses hommes. Une sorte de tension s’était installée entre lui et elle, il lui avait même donné son prénom : Aaron. Un soir, Aaron ne vint pas avec ses compagnons habituels. Il avait remplacé ses lieutenants par une femme magnifique, blonde, dont la robe rouge contrastait drastiquement avec l’ambiance grisâtre du bar. Comme à son habitude, Mia leur servit un premier verre. Elle revint vingt minutes plus tard, mais en ouvrant la porte, elle vit la femme blonde à quatre pattes sur le canapé, en pleine fellation. Aaron avait juste sorti sa bite de son pantalon, elle était énorme. Mia avait déjà eu quelques relations auparavant, mais jamais elle n’avait vu une queue de cette taille. Pendant qu’il se faisait sucer, il avait relevé la robe de sa partenaire et la doigtait. Elle avait l’air habituée, et n’avait aucun problème à mettre ces trente centimètres de bite dans sa bouche. Les bruits de gorge étaient si forts que Mia parvenait à les entendre malgré la musique tonitruante. Elle avait déjà vu nombre de rapports sexuels à l’étage, mais celui-là la perturba beaucoup. Ne sachant pas quoi faire, elle voulut refermer la porte et les laisser dans leur intimité, mais il l’interpella : — Mia ! Sers-moi ce second verre, veux-tu ? Elle s’approcha alors, et plaça les verres sur la table. Elle essayait de ne pas regarder la scène, mais n’y arrivait pas, elle était comme hypnotisée. De plus près, elle vit les immenses doigts d’Aaron faire des va-et-vient lents et profonds dans le cul de la demoiselle, qui ne prêtait aucune attention à la présence d’une troisième personne dans la petite pièce. Elle croisa à nouveau le regard du mafieux, qui lui fit un petit sourire satisfait. Mia se retourna en un éclair, et s’éclipsa au plus vite. Mais pas pour longtemps, car, vingt minutes après, elle dut revenir pour le troisième verre. En se rapprochant de la salle avec son plateau, elle entendait déjà les gémissements de la femme. Elle les surprit en pleine sodomie. La blonde était sur Aaron, et avait glissé l’énorme queue dans son cul. Elle bondissait sur lui en poussant de grands cris, lui ne disait rien. Son anus était si étiré, Mia ignorait que c’était chose possible à ce point. Elle laissa les verres et repartit aussitôt. Enfin, elle repassa une quatrième fois, pour le dernier verre. Les deux amants étaient rhabillés, mais Mia remarqua le liquide blanc couler des lèvres rouges de la femme. Il but son whisky cul sec, paya en laissant un énorme pourboire, comme à son habitude, et partit avec sa partenaire. Il ne dit pas un mot de plus, mais fit un petit clin d’œil à Mia. Elle était complètement envoûtée. Deux semaines s’écoulèrent, et Aaron revint tous les soirs, avec sa clique habituelle. Il n’avait jamais reparlé de l’événement à Mia, et elle ne revit jamais la femme en question. Depuis ce fameux soir, Mia avait commencé à rêver de la scène, rêves dans lesquels elle remplaçait la blonde. Chaque fois, elle se réveillait au beau milieu de la nuit, trempée. Puis, un jour, il l’invita à boire un verre avec ses hommes. Prise de panique, elle accepta en bégayant. Elle s’assit juste à côté de lui, il paraissait immense, deux fois plus grand qu’elle. Il passa le bras derrière elle, la main caressant son épaule. Une demi-heure plus tard, alors qu’il était l’heure pour ses hommes de quitter le bar il resta. Mia était toujours à ses côtés. — Tu la veux, n’est-ce pas ?— De... de quoi ?— Ma bite. Elle écarquilla les yeux. Elle se doutait bien qu’il finirait par lui proposer, mais pas aussi vite. Elle fit un sourire un peu gêné, et secoua la tête positivement. Elle n’avait jamais été aussi effrayée et excitée de sa vie. Le regard d’Aaron se porta sur la bosse de son pantalon, lui faisant comprendre qu’il était temps de s’y mettre. Elle le débraguetta, et sortit son énorme queue. Maintenant qu’elle était juste en face d’elle, elle paraissait encore plus grande. Elle commença par la prendre avec ses deux mains, et la branla. Elle lécha timidement son gland. Au bout de quelques minutes, il prit sa tête et lui enfonça sa bite dans la bouche. Beaucoup moins loin qu’avec la femme précédente, mais bien assez loin pour qu’elle s’étouffe avec. Des larmes coulèrent sur ses joues, ruinant son maquillage, elle commençait à avoir tout le bas du visage recouvert de sa salive. Elle n’avait aucun contrôle sur la situation, mais cela lui plaisait énormément. Aaron glissa sa main dans la culotte de Mia, et caressa son anus avec un doigt. Après quelques tours, il rentra dedans. Rien n’était jamais rentré dans ce trou-là, elle poussa un petit cri. Elle le suçait comme elle le pouvait, il se mit à la doigter de plus en plus vigoureusement. Elle avait mal, mais le plaisir était encore plus grand. Elle espérait juste qu’il ne rentrerait pas sa bite dans son cul dès ce soir. Pour se reposer, elle arrêtait parfois de le sucer et léchait ses testicules, avant d’y retourner de plus belle. Mia était complètement trempée, au bord de l’orgasme. Un dernier grand coup de doigt dans le cul, et elle explosa. Elle poussa un grand cri, qui plut beaucoup à Aaron. Elle n’eut à peine le temps de s’en remettre qu’elle dut continuer à le sucer. La fellation ne dura pas très longtemps après ça, il finit par venir aussi, et éjacula. Une quantité impressionnante de sperme remplit sa bouche, elle encaissa tous les jets et réussit, non sans mal, à tout avaler. Aaron se leva, remit sa queue encore dure dans son pantalon, et fit une petite tape sur la joue de Mia :— Tu as l’air d’aimer ça toi, hein ? J’organise une soirée chez moi samedi prochain, viens donc, on s’amusera bien.
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