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Hélène

Chapitre 34

Vilaine ! première partie

Lesbienne
Vilaine, première partie.
Pierre.
C’est la dernière fois que j’accepte une mission qui finit le week-end. J’ai l’impression qu’on me vole une journée avec Hélène. Le taxi s’arrête devant la maison, je descends et je traverse le jardin jusqu’à la porte.Je pose la main sur la poignée, et au moment où j’appuie, le battant s’ouvre. Dans l’élan, je manque trébucher, et je percute Mel. Dieu merci, la belle est bien pourvue, et je ne me fais pas grand mal.
— Pierre ! Bonjour, quel plaisir de vous voir !— Plaisir partagé, Mel, et que me vaut le bonheur de vous trouver ici.— Vous étiez absent, alors je suis venu tenir compagnie à une pauvre esseulée.— Mais pourquoi ne restez-vous pas ?— Je crois bien qu’Hélène veut avoir un peu d’intimité avec vous, fait-elle en me contournant. Et elle poursuit en posant sa main sur mon bras.— Pierre, il faut que je vous dise. Et elle reprend.— Hélène a été vilaine !!!— Vilaine ? Comment ça ?
Alors la belle poule soulève sa jupe, et dévoile, au-dessus de ses bas, une croupe débarrassée de toute lingerie inutile, mais rougie par une récente flagellation, et marquée d’une cicatrice toute récente.
— Vilaine comme ça, me répond-elle avec un petit sourire mi- coquin, mi- pervers. Et elle ajoute.— Elle vous attend.
Je passe la porte du salon. Effectivement Hélène m’attend...
Flash-back
Récit d’Hélène
Pierre est en mission, alors comme Mel est une bonne copine, elle est venue déjeuner ce dimanche à la maison.Pas de chichis entre nous. La veille, j’ai fait une razzia chez le traiteur libanais, et à midi, nous nous sommes gavés de mezzés et autres pâtisseries orientales.Je sais que c’est gras et sucré, mais une ou deux nuits d’amour avec mon cher et tendre suffiront à brûler ces mauvaises calories.Pour digérer, nous nous sommes installées dans le canapé, elle assise, et moi allongée, les jambes sur ses genoux. Elle caresse distraitement mes mollets, laissant remonter ses mains jusqu’à la limite de mes bas. Je me laisse faire, en rêvassant.
Je ne suis pas lesbienne, j’aime les hommes, enfin surtout un, j’adore sa belle queue quel que soit l’orifice dont il use.Et les femmes ! Je reconnais qu’Odile ou Christine sont jolies, mais elles ne m’inspirent pas vraiment des élans charnels.Mais j’apprécie les matures comme moi, avec des formes féminines.Et il faut bien le reconnaître, Mel a des formes très féminines. Une poitrine opulente, légèrement tombante, une taille bien marquée et un cul magnifique qui surplombe des cuisses pleines et charnues, prolongées de mollet ronds et de chevilles très fines.J’en suis là de ma rêverie quand mon amie me sort de ma torpeur.
— Dis, tu saurais installer le chevalet.— Oui, si tu m’aides, mais pourquoi ?— Pour moi. J’ai envie d’essayer le meuble anglais !!!

Mon Pierre est un bricoleur astucieux, nous n’avons que trois sauterelles à déverrouiller et nous pouvons déposer le plateau du guéridon
— Je vais chercher le matériel, fais-je à Mel.— Et moi, je me prépare.— Non, non, tu m’attends, j’aime te dévêtir.— Tu es vraiment une coquine, me répond-elle.
Je fonce à l’étage, et je rassemble tout un petit matériel dans un sac. De retour au salon, je lui lance.
— C’est bon, j’ai tout le matos.— Je peux voir, fait-elle en se penchant sur ma besace.— Non, vilaine curieuse, c’est une surprise. Puis je reprends.— Laisse-toi faire, je vais te déshabiller.
Mel est élégamment vêtue très BCBG, chemiser gris perle, jupe en cuir au genou, escarpins à talons hauts.La peausserie est tendue sur les cuisses, et mon œil expert discerne sans peine le léger renflement de l’attache du porte-jarretelles qui tend d’élégants bas à couture couleur gorges de pigeon.Pas d’autre marque ; porte-t-elle une large culotte invisible, ou la coquine s’en est-elle passée par coquetterie ou coquinerie ?Je déboutonne le chemisier, et je le tire de la jupe, je le fais glisser sur ses épaules ; sa poitrine généreuse est emboîtée dans un soutien-gorge jaune paille, avec quelques incrustations de dentelle. Elle le défait elle-même. Au moment où elle s’en débarrasse, j’attrape ses seins, chacun dans une main.
— Je les adore.— Tu aimes mes nichons de pouffe ?— Oui, et je vais bien jouer avec.
Je passe derrière elle, et je m’agenouille. Je fais glisser la fermeture éclair et je tire la jupe vers le bas. Elle résiste, et glisse d’un coup. Son cul imposant m’explose à la figure.
— Mais tu n’as pas de culotte !— Jamais, quand je viens chez toi, et puis j’adore sentir le cuir sur mon cul, me répond-elle avec un énorme sous-entendu, et elle continue...— Depuis que tu m’as montré comment m’en passer, j’aime me balader les fesses à l’air.— La prochaine fois, tu en mets une, pour que je puisse te l’enlever.
La jupe est tombée sur ses chevilles, elle l’enjambe avec grâce. Je me recule et je la contemple. Elle se met de profil.La quasi-nudité, en dessous, va bien à Mel. Malgré ses formes, elle a gardé une silhouette élégante, bien mise en valeur par sa serre taille qui tend des bas fumés sur des jambes, certes un peu fortes, mais affinées par la couture de ses nylons et ses escarpins à talons.Le large porte-jarretelles étrangle sa taille et gomme son petit ventre.Les bas à couture affinent le dessin de ces cuisses charnues, quant aux talons, ils la cambrent et mettent en valeur son fessier opulent.Ce n’est certainement pas la beauté d’un mannequin, mais il se dégage d’elle un feeling glamour et sexy.
— Tu es quand même bien foutue.— Tu parles, j’ai un cul de vache, et les mamelles qui vont avec.
Je la guide vers le chevalet. Elle s’allonge sur les bois de son supplice. Je positionne son menton sur le ressaut du meuble. J’installe ses seins de chaque côté du support central. Ensuite, je passe derrière elle. J’écarte ses cuisses et je les lie à ses mollets.Je finis de l’installer en sanglant sa taille d’une large courroie de cuir. En épousant la courbe du meuble, son dos se creuse, exposant sa croupe insolente.Je m’agenouille en face d’elle. Elle est liée, cambrée, menottée, sans défense, disponible, et impatiente de tout ce que je veux lui faire endurer.Je prends ses seins fermes entre mes mains, ils pendent, ronds comme des pomelos, la peau est légèrement transparente, laissant voir une veine bleue. Les aréoles roses sont larges, avec des petits tétons.
— On va bien s’amuser avec ces deux-là, fais-je en la regardant dans les yeux.— S’il te plaît, ne sois pas trop méchante ?— Je vais être délicieusement cruelle, fais-je en lui montrant le premier instrument de ses supplices.— C’est quoi ce truc ?— Laisse-moi faire.— Mets-moi en face du miroir, je veux me voir.
Je fais pivoter le chevalet face à la glace et je lui présente une ventouse cylindrique assez étroite, puis je l’adapte à une petite pompe en forme de pistolet. J’embouche son téton et je le suce pour le mouiller.
Ensuite, je pose l’embout sur son petit bout. Je pompe. Sa framboise grossit jusqu’à coller aux parois du tube. Encore un petit coup d’aspiration, et la tétine commence à s’allonger.Petite pause. La belle a fermé ses mirettes, sa respiration s’est fait plus saccadée. Je ferme la valve et je déconnecte la pompe.Je fais subir le même traitement à l’autre sein.Je reviens au premier, je raccorde mon instrument, et je recommence à aspirer le mamelon.Ma douce a rouvert ses paupières. Je plante mon regard dans le sien, et je reprends mon aspiration.Je peux voir les larmes monter doucement aux coins de ses yeux, sa bouche s’arrondit dans un cri muet.J’actionne à nouveau le petit levier. Elle gémit. Je m’arrête. Le petit bout rose foncé occupe presque tout le tube. Sa tétine s’est allongée jusqu’à une phalange et demie.Je ferme le petit robinet, et je m’attaque à l’autre mamelle.Voilà, la première partie de son supplice est terminé, des larmes coulent doucement sur ses joues.Je passe derrière elle, au centre de ses cuisses écartelées, sa chatte s’est ouverte, je peux voir que ses parois intimes ont rosi, et surtout elles brillent de mouille. Je la fouille de deux doigts et je récupère ses sécrétions intimes.
— Ouvre, lui ordonné-je et je pousse mes doigts dans sa bouche.— Suce et nettoie-moi. Et j’ajoute.— On continue.— Oui, ma chérie.
Je me place face à elle, à sa hauteur. J’attrape deux pinces reliées par une chaîne, j’ouvre mon chemisier, et je dégage une de mes poupoutes de mon soutien-gorge.Je caresse un de mes mamelons. Ce petit coquin se gonfle, je place une pincette, et je serre, jusqu’à ce que la sensation agréable laisse place à une légère douleur, puis une souffrance soutenue.Je bloque l’écartement. Je règle la deuxième pince de même.
J’ouvre la prise d’air des ventouses, et je libère les tétons de ma douce de leurs tubes de verre.Ils rétrécissent à peine et pendent comme des petites verges.Je veux lui faire mal, je prends un mamelon, j’ouvre largement une pince autour.Et je laisse les deux mâchoires se refermer sèchement sur le pauvre petit téton érigé. Elle hurle, en spammant violemment de la tête aux pieds.Elle pleure. Un instant, je me laisse attendrir, mais mon rôle de domina reprend le dessus et je m’occupe de l’autre sein. Elle spasme à nouveau.
— Tu as mal.— C’est atroce.— On arrête !— Non, va jusqu’au bout, conclut-elle.
Récit de Mel
Je me regarde dans le miroir. Mes seins étirés et pincés me lancent. J’ai pleuré, et des cernes marquent mes orbites. Ma chevelure dégouline en vrac autour de mon visage. Où est passée la bourge, venue déjeuner chez une amie un dimanche ? Et en un instant, je me revois, quelques mois avant, quand je ne connaissais pas encore Hélène, et que je n’étais qu’une épouse potiche, négligée, et maintenant trompée par mon mari. Non finalement, je ne regrette pas d’avoir fait ce chemin qui m’a menée sur le chevalet.Ma domina adorée me présente deux poids, munis d’un crochet. Je n’ai aucun doute sur ce qui m’attend.
— Tu veux ?— Oui ! lui réponds-je dans un souffle.
Elle accroche les deux morceaux de plomb. Je serre les dents. La cruelle les fait danser d’une chiquenaude. Une douleur sourde irradie de mes framboises.Elle passe derrière moi.Je la vois dans la glace, elle tient son martinet et caresse mes fesses de ses lanières. Je croise son regard. Je lui envoie un baiser muet du bout des lèvres. Je sens ma cyprine suinter entre mes nymphes, je mouille d’impatience. Je suis prête. Je bats des cils.Elle lance ses lanières, arrosant ma fesse gauche.
Hélène.
Je fais glisser le martinet sur son cul, puis sur sa chatte ouverte et déjà humide. Elle frétille, comme pour appeler la fouettée.Je la cingle deux fois de suite, elle se cambre sur le chevalet et fait balancer les pesons de ses mamelles. Je stoppe, je la laisse déguster sa souffrance.Le balancement de ses chaînes cesse, elle geint.Je suis fascinée par ses seins. Je les trouve très beaux, bien que sa poitrine tombe un peu. J’adore quand elle les laisse libres sous son chemisier, et que je peux les voir se balancer doucement sous la soie. Et en plus, cette coquine bande très facilement des tétons, le simple frottement du tissu suffit à les faire gonfler.
Je mouille à l’idée de les faire souffrir. C’est juré, la prochaine fois que je peux jouer avec elle, je fouetterais ses nibards insolents.Mais en attendant, je vais m’occuper de ce cul si tentant. J’enchaîne encore quatre cinglées. Elle agite son postérieur et relance la danse de sa poitrine suppliciée.Une petite pause et je reprends ma flagellation, avec quelques arrêts pour qu’elle reprenne son souffle, mais aussi qu’elle puisse jouir des souffrances de sa poitrine et de ses fesses
Mel.
Je n’en peux plus, mon cul me cuit, mais c’est surtout mes seins qui me font souffrir. A chaque cinglée, je me cabre, et je secoue les poids qui étirent mes pauvres tétons
Hélène.
Dix-neuf, vingt, vingt et un. J’ai enchaîné les trois dernières fouettées à la volée comme le final d’un feu d’artifice. La pauvrette fait valser ses pinces de tous côtés. Elle ne crie plus, mais elle gémit à chaque coup. Elle relève sa tête, son rimmel a coulé, son rouge aussi, ses yeux sont cernés et marqués. Je me pose à genoux à côté d’elle, j’essuie son visage, je la regarde avec tendresse.
— C’est fini ? m’interroge-t-elle.— Oui, je vais te détacher.— Non, s’il te plaît. Laisse-moi dessus. Et elle ajoute.— Regarde dans mon sac.
Je plonge dans son réticule, j’en sors un leurre en verre multicolore, et un harnais à trois brins. Cette coquine garde un gode ceinture à portée de main. C’est un bel objet, pas très gros, deux doigts de large, peut-être quinze centimètres de long. En tout cas, mon chéri est bien mieux pourvu.L’objet est moulé à l’imitation d’un vrai sexe bandé avec ses veines saillantes, le bourrelet de la peau retroussée, et un gland ovale dont le bord fait saillie par rapport à la tige, la matière transparente est parcourue d’un veinage coloré de rouge, de vert et de jaune.C’est un bel objet, très féminin. Je l’imagine rangé dans le tiroir de la table de nuit, ou mieux dessus comme un bibelot décoratif.
Je laisse tomber ma jupe et je me harnache. Je me sens un peu ridicule, avec mes formes marquées de mâture, et ce truc qui pend sous mon ventre.Je me place en face du compas de mon amante et je m’enfonce dans sa chatte.
— Pas par-là, je te veux en sodomie.— Eh bien, ma belle, tu as bien évolué.— C’est de ta faute si je commence à apprécier l’amour anal.

Je prends mon pénis factice en main et je le place en face de l’anus crispé de la belle. Pas besoin de lubrification, la mouille abondante recueillie lors de l’enconnage suffit. Je regarde mon amante dans le miroir, je pousse. Je peux suivre la progression de son enculage sur son visage. Son œillet résiste, elle serre les mâchoires. D’un coup, il cède, et le gland passe le muscle intime, sa bouche s’ouvre comme un O muet. La tige est rentrée, elle laisse échapper un ah de surprise.
MelLe contraste entre la féminité d’Hélène en porte-jarretelles et bas, et la virilité artificielle qui orne son ventre est incroyable.Elle pousse, mon muscle résiste puis lâche. Le gland se fraye son passage en douceur, puis mon sphincter se resserre sur la tige, qui coulisse dans mon rectum. Je ne ressens aucune douleur, au contraire, je suis heureuse de me donner à ma maîtresse adorée de cette façon. Pendant les premiers aller et retour, je n’éprouve qu’une sensation mécanique. Puis doucement, une bulle de chaleur se forme. Hélène me pistonne avec délicatesse. Elle laisse le plaisir s’installer. Je décolle. Je lui ordonne...
— Plus fort.
Je regarde le reflet de notre couple dans le miroir. Hélène croche ses doigts dans la chair élastique de mes hanches.
— Plus fort, Chérie... Et je continue. — Encule ta salope anale.
Je m’étourdis de mes propres motsUn coup d’œil dans la glace. Ma belle est décoiffée, échevelée, une mèche, lui tombe sur l’œil.Elle s’active avec vigueur dans mon cul. Je pars, dans un état second, je lance...
— Défonce ta cochonne soumise.
Hélène
Je lui assène encore quelques coups de boutoir. Elle va partir, je le sens, je me penche sur elle. Je me saisis d’un sein et j’arrache la pince. Elle hurle et se cabre.
MelLa douleur dans mon sein est horrible, elle percute la jouissance montant de mon anus. Je spasme et je perds pied dans un orgasme éblouissant.
Hélène
La pauvrette s’est affalée, toute molle, sur le chevalet. Je me dégage. Son œil de bronze ne se referme pas totalement. J’y glisse un index pour le masser, un petit soupir d’aise me répond, le sphincter se resserre autour de ma phalange. Je le retire. Encore un petit gloussement.Je défais la ceinture. Je suis en sueur, ma culotte est trempée de mes sécrétions, je m’en débarrasse et l’envoie valser d’un coup de pied. Je fais rouler le meuble près du canapé. Je masse doucement le sein martyrisé et je desserre délicatement l’autre pince. Elle gémit doucement. Je défais les brides des jambes et la ceinture. Je bascule ma victime sur le canapé. Je repousse le meuble et je m’assois à côté de ses hanches. Elle me prend la main et me tire sur elle.
— Tu m’as fait très mal.— Pauvre petite chose douillette, mais c’est toi qui l’as voulu.— Mais tu m’as fait aussi très plaisir, ajoute-t-elle en m’attirant pour un baiser.
Nous nous sommes douchées ensemble, encore une bonne occasion de se tripoter comme des gamines. Maintenant, c’est le temps de la tendresse, je suis vautrée en peignoir éponge, et Mel s’est lovée contre moi, peau contre peau. De temps en temps, je lui donne une chiquenaude sur un de ses tétons, elle se laisse faire, en gloussant.Elle joue distraitement avec mes anneaux, ça me chatouille.
— Dis tu voudras me faire percer, comme toi.— Et pourquoi donc ?— Je trouve ça joli, et puis...— Et puis.— Je voudrais porter les mêmes marques de soumission que toi.— Tu es folle.— S’il te plaît, dis oui.
Tzzz. Tzzz : un SMS de mon chéri : quelques mots, à l’arrache : Atterrissage... taxi... maison dans une heure...
— Pierre arrive, il faut s’habiller.
Nous remettons nos dessous, en commençant par nos soutiens-gorge, ensuite nous agrafons mutuellement nos serre-tailles. Puis je tends ma jambe vers mon amante, et je lui donne mes bas.Elle me regarde, surprise.
— Tiens soumise, occupe-toi de ta maîtresse ?
Elle s’agenouille et fait glisser le nylon sur ma cuisse, elle fixe les jarretelles. Je lui confie mon autre jambe. J’adore la caresse de ses mains sur ma peau. Elle empaume mes deux fesses et tire mon bassin vers sa bouche. Elle m’embrasse la chatte puis sa langue s’insinue entre mes lèvres et râpe mon clitoris. Je soupire de bonheur.
— Voilà, maîtresse, vous êtes prête.
Elle me tourne le dos et gaine elle-même ses cuisses un peu fortes. Elle ne se prive pas d’onduler du cul pour enfiler sa jupe de cuir. Nous finissons de nous habiller en boutonnant nos corsages.
— Ma chérie, tu as oublié quelque chose ! fait Mel en me tendant la cravache.
Puis elle se tourne, se trousse, et elle se cambre en s’appuyant sur le dossier du canapé.Son beau fessier a pris une teinte rosée, les marques du martinet se sont estompées.Je me sens un peu bête avec ma cravache. En fait, j’aime bien la flagellation comme un jeu, un piment érotique. Mais, fouetter pour fouetter, c’est pas mon truc. J’en suis là de mes réflexions quand Mel m’apostrophe.
— Alors ça vient.— Euh...— S’il te plaît, j’en ai envie.
Et puis d’un coup, je me souviens de mon désespoir quand Pierre m’avait refusé sa marque, avant un départ en mission. Cet après-midi, la situation s’est inversée.
Je lève le bras. Et je le lance. Le jonc frappe en plein milieu du cul de mon amante si docile.Elle se tétanise, se cramponnant au dossier. Elle étouffe son cri, et pousse un feulement inarticulé. Puis son tremblement se calme. Elle se redresse.
— Tu n’y es pas allé de main morte, ma chérie, fait-elle en regardant sa croupe balafrée dans le miroir.— C’est plus ou moins ce que tu voulais, ma belle.— Oui, mais je ne souvenais que c’était aussi intense, me répond-elle en descendant sa jupe. Et elle ajoute...— Ça chatouille quand le cuir passe sur ma cicatrice. Et ce n’est pas si désagréable.
En regardant avec attention ses fesses contraintes par sa jupe, j’ai l’impression que la boursouflure de sa cinglée marque le cuir de son vêtement.
— Bon, il faut que je me prépare pour accueillir dignement mon sultan.— Laisse, je vais t’arranger pour ton homme, me fait-elle avec son sourire le plus coquin...
A suivre...
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