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Hélène

Chapitre 40

Lesbienne
Hélène 40 : Maîtresse, deuxième partie
Elle sanglote doucement. Mais je n’en ai pas fini.On délie ses mains, on la détache de l’anneau. Elle se relève et s’agenouille.Nous nous lions par le regard. Sous sa cagoule, je peux voir que son rimmel a coulé, de même que son rouge à lèvres.J’ai envie de fuir, de la planter là. Mais je lis dans ses yeux comme une supplique. Elle a choisi de se donner à moi. A moi, et à personne d’autre.On pousse sur la scène une petite desserte. Dessus un crochet, et quelques embouts de taille et de design variés. Je choisis une boule d’environ quatre à cinq centimètres de diamètre, que je visse au métal recourbé.Je lui présente l’objet de son supplice. Sans un mot, elle se retourne, se prosterne, et s’écarte, me livrant son orifice le plus secret. Je récupère un peu de sa liqueur intime, et je présente la sphère devant son anus. Je pousse. Son muscle résiste puis cède et enfin gobe la tête de métal. Au passage, j’entends un petit soupir dont je ne sais s’il est de plaisir ou de douleur.
Mel
Par instinct, je me suis d’abord crispée, puis je me suis relâchée. La boule d’acier envahit complètement mon rectum et touche toutes mes muqueuses, stimulant tous mes centres nerveux. Je remercie mon amie de m’avoir initiée au plaisir anal. J’adore être enculée par Hélène, c’est une double jouissance à la fois physique, mais aussi intellectuelle. Je me soumets à mon amante, en lui donnant ce qui est le plus secret en moi.Je sais la douleur qui m’attend, mais je ne peux m’empêcher d’apprécier ce moment de soumission heureuse.
Hélène
Je la menotte dans le dos. J’attrape sa natte, et j’y emmêle un cordon que je relie à l’anneau du crochet. Je tire, elle se redresse et s’agenouille. Je continue ma traction, son dos se creuse. Je continue jusqu’à ce que la minerve bloque tout mouvement. On la pivote pour la placer face à moi. Sa tête est tirée en arrière, son cou, sa gorge sont exposés, offerts. Elle est cambrée, offrant sa poitrine à mes tortures. J’adore ses seins, ils sont ronds, lourds, avec de belles aréoles rosées, j’ai d’abord envie de les sucer, et immédiatement, de les mordre à pleines dents.
Je gante ma main droite et je m’empare d’une poignée de tiges vertes. Je la présente à ma victime. Elle me jette un regard affolé. Elle a reconnu les orties.Avec douceur, je les passe sur la poitrine de ma belle. J’attends un court instant, puis Mel se débat, faisant danser ses seins. Des petites cloques apparaissent, alors, avec cruauté, je flatte les mamelons congestionnés par les bijoux. Mel crie de douleur. Je reprends mes caresses urticantes.
— Ça brule ! Et elle reprend.— S’il te plaît, fouette mes nibards, j’ai trop mal.
C’est la demande que j’attendais. Je pose le bouquet et je m’empare du martinet. Je cingle ses pomelos à la volée. Elle rugit de douleur. Je la laisse récupérer. Elle murmure.

— Merci.— Je continue ?— Oui.
Je reprends ma fouettée, balayant son torse, zébrant la peau si sensible de ses poupoutes adorées.Je les fais valser d’un côté à l’autre. Une petite pause. Elle ne crie plus, elle geint doucement. Je la laisse souffler, et je recommence, couvrant ses mamelles d’une résille rouge.
Elle est épuisée. En se débattant sous la cinglée, elle est tombée sur le côté, elle ne fait plus que gémir.Je n’en peux plus, je laisse tomber mon instrument et je m’écarte. C’est fini, j’arrête, elle a assez donné. Je me penche sur elle, je défais avec douceur le nœud du crochet, et avec une infinie douceur, je retire l’acier qui encombre son anus. Un soupir dont je ne sais s’il est de soulagement ou de plaisir accompagne le passage de la boule. Libérée du lien qui la cambrait, elle se pelotonne.
MelOn m’a délié, tout près de moi, je vois la bottine de ma divine domina. Je me redresse, à quatre pattes, j’approche mes lèvres. Je sors ma langue.
Hélène.Elle tourne la tête vers ma chaussure, elle tend son visage vers mon escarpin, elle va lécher le cuir de mon bottillon.
MelUne main sur mon épaule me retient, elle me redresse, dans le même mouvement, Hélène s’agenouille. A travers nos masques, j’accroche son regard plein de douceur.
— Ma belle, pas de ça entre nous.— Mais ...— Non, jamais d’humiliation.— Alors, marque-moi.
Je me remets debout. Je croise mes mains derrière ma nuque, je pivote pour lui offrir mes fesses.
Mel frissonne. Ses courbes de mature sont magnifiques. Ma cravache est là, à portée de main.Je lance mon bras à toute volée, le jonc la percute sur les fesses, juste au-dessus de la jonction des cuisses. Elle retient son cri, elle tremble du haut en bas, mais elle reste debout. Les deux hôtesses l’encadrent et la soutiennent au moment où ses genoux la lâchent. Les assistantes emportent Mel. Je veux les suivre, mais Christine m’arrête.
— Non, laisse les faire !— Mais...— S’il te plaît, va plutôt prendre l’air.
Je sors sur le perron, et je respire un grand bol d’air frais, puis je balaie la terrasse du regard.Une silhouette noire est appuyée sur la rambarde. Un faisceau de lumière éclaire une paire de souliers rouge. Je cours et je me jette dans les bras de Pierre.
— Merci, merci d’être venu me chercher.— Ma chatte, je suis venu vous chercher, toi et Mel.— Pourquoi ?— Christine me l’a demandé, j’ai compris que ce serait mieux que je vienne vous chercher toutes les deux.— Pourquoi Mel a-t-elle fait ça ?— C’est à elle de te le dire !

Nous rentrons, Pierre respecte mon silence. Pendant tout le chemin, je lui prends la main, la pétrissant convulsivement. Mon amante somnole derrière.
Arrivés à la maison, nous la couchons, nue dans notre grand lit, puis nous redescendons dans le salon. Je coupe la lumière et je le pousse doucement contre le mur, je moule mes formes contre lui.Ma bouche contre son oreille, je lui murmure.
— Je n’ai rien eu, rien, mon chéri.
Dans la pénombre, il m’entraîne vers le canapé. Pendant qu’il tamise l’éclairage, je m’agenouille sur l’assise. Je me trousse, dévoilant ma culotte. Mon amour la fait glisser le long de mes cuisses puis des mollets. Je la fais voler d’un coup de pied, puis écarte légèrement mes jambes. J’attends. Il me débarrasse de ma jupe, puis il me guide par les épaules et m’allonge. Il guide sa verge dans ma chatte, il se pose sur moi. Je le serre à l’écraser, je noue mes jambes autour de sa taille pour qu’il me prenne au plus profond de moi-même, mais aussi comme un naufragé qui s’accrocherait à sa planche de salut. Je glisse mes mains sous sa chemise pour l’attirer tout contre moi, il pose ses lèvres dans mon cou, me murmure des mots d’amour, m’inonde de sa merveilleuse odeur.
Il me prend avec vigueur. Le film des événements de la soirée passe devant mes yeux fermés. La jouissance montre de mon ventre, puis explose. Je plante mes ongles dans son dos, je crie mon orgasme, puis tout mon corps se relâche. L’étreinte de Pierre a relâché ma tension nerveuse. Enfin, je suis apaisée.
— Hélène, Hélène, s’il te plaît, viens.
Une prière plaintive tombe de l’étage, de notre chambre. Mon chéri s’est déjà relevé, il me redresse, et sans un mot, il me prend la main et m’entraîne vers notre chambre.Nous n’allumons pas la lumière, nous contentant de celle du réverbère qui filtre à travers les volets.Mel est assise sur le lit.
— Je fais des cauchemars, reste avec moi.
Pierre lâche ma main et se dirige vers la porte. Elle l’arrête.
— Vous aussi Pierre !
Mon amant fait glisser ma robe puis dégrafe mon serre-taille, il se met à genoux pour faire glisser mes bas. Il se relève et me débarrasse de mon soutien-gorge.Je déboutonne sa chemise, puis je déboucle sa ceinture, son pantalon tombe, suivi de son boxer.Dans la pénombre, une petite voix rieuse lance...
— Vous êtes plutôt bel homme.
Cette coquine a profité de notre strip-tease involontaire, en ombre chinoise. Et elle ajoute.
— Allez vite, au lit, mes amis, et tous nus.
Nous nous glissons sous la couette, moi, entre mon amante et mon amant.Je couche comme à mon habitude, le cul calé contre son ventre. La situation ne doit pas lui déplaire, il se glisse entre mes fesses et assure sa prise en posant sa main sur mon petit bedon.Mel se pelotonne contre moi, j’ai le nez dans sa chevelure et son visage contre ma poitrineTout doucement, elle embouche un de mes seins et le caresse de sa langue.
— Chérie, je ne suis plus bonne à rien, alors maintenant dodo !!!
Elle s’arrête, mais laisse ses lèvres autour de mon téton.Doucement, nos respirations s’apaisent, je suis la dernière à m’endormir.

MelUn bruit d’eau me réveille, Hélène est penchée au-dessus de moi.
— Bonjour, belle endormie. Et elle poursuit.— Viens, ton bain t’attend. Et elle m’entraîne vers la baignoire à bulles.
Elle me savonne avec douceur. J’en profite pour lui saisir un sein, lui caresser une fesse, mais elle me repousse gentiment. Nous sortons de l’eau, nous nous séchons mutuellement, et nous passons nos peignoirs. Elle pianote un SMS sur son portable.
— Qu’est-ce que tu fais ?— J’appelle mon majordome préféré !
Quelques instants plus tard, Pierre entre, portant un plateau bien chargé et tenant en même temps une bouteille de champagne couverte de buée.
— Brunch sur le lit, ça vous dit Mel, me demande-t-il.— Euh, Oui.— Allez, installe-toi ma belle, m’ordonne Hélène.— Aie, fais-je en m’asseyant.— Tu t’es fait mal ? m’envoie Hélène.— Hier soir, une sadique a abusé de mon corps en général et de mes fesses en particulier.— Pauvre petite chose, répond ironiquement mon amante, et elle poursuit.— On va s’occuper de ton cul, dès que nous aurons fini de manger.
Je n’avais jamais pique-niqué dans un lit, mais je trouve ça très agréable et en plus c’est très coquin, je passe mon temps à essayer de rattraper un bout-de-sein qui cherche à s’échapper pour prendre l’air, quand je m’aperçois qu’Hélène laisse son peignoir entrebâillé jusqu’à la taille. Pour un peu, une de ses poupoutes tremperait directement dans son assiette quand elle se penche pour attraper un sushi.Alors, mise au défi, je dénoue carrément ma ceinture.
— Eh bien, comme tu y vas, on voit le gras de ton bedon, avec des plis, me lance ma belle amie.— Oui, mais c’est du beau gras, bien confortable, lance Pierre.— Et moi alors, je suis une maigrichonne, lui lance Hélène.— Dieu m’en préserve, d’ailleurs, si tu maigris, je te quitte, lui renvoie son homme.— Alors, je prends une assurance contre l’abandon, fait-elle en engouffrant deux mezzés.
Pendant tout le brunch, nous échangeons ces petites plaisanteries coquines, nous mélangeons les plaisirs de la bouche et ceux de la chair.
— Bon ma poule, il va falloir réparer les dégâts d’hier, lance Hélène et continue,— Pierre, peux-tu ranger le plateau, et toi, à plat ventre.
Je m’allonge, la joue sur l’oreiller. Mon amie remonte mon peignoir jusqu’aux épaules.
— Oh la la, il y a du boulot, Chéri, il faut que tu m’aides, je prends le dos et les reins, et toi, tu t’occupes du cul de la pauvrette.
Dès le début, j’adore ce massage ; les mains fraiches et douces de ma brune me caressent le dos, et les paluches de son homme me massent les fesses.
Hélène.
Mon chéri pétrit le croupion de ma copine avec enthousiasme, peut-être même trop d’enthousiasme.Et cette coquine semble apprécier. Chaque fois qu’il la tripote avec un peu plus d’énergie, elle laisse échapper un petit soupir d’aise. Insidieusement, elle ouvre un peu plus son compas. J’imagine la vue qu’elle présente à mon sultan.
MelLes pognes vigoureuses de mon masseur ne me laissent pas indifférente. Je sens comme une humidité qui suinte de mon humidité. Les mains remontent de mes cuisses en poussant un bourrelet de mes chairs alanguies. Ses pouces écartent mes deux globes, découvrant mon orifice caché. Ils sont à deux doigts de ma rosette. En moi-même, j’implore le viol de mon anus.
Hélène
Pierre vient d’ouvrir le cul de Mel comme on ouvre une pêche. Il me lance un regard interrogateur, accompagné de son demi-sourire le plus coquin. J’hésite un instant, mais je secoue la tête en signe de dénégation, pour lui refuser cette caresse. Il me répond avec un franc sourire, et laisse les deux fesses se refermer sur l’œil de bronze de mon amante. Pour le remercier, je lui envoie un baiser muet.Considérant que sa tâche est finie, il s’écarte, récupère le plateau et s’éclipse
— C’est déjà fini, mais j’ai encore mal au cul.— Arrête, ce n’est pas qu’à tes fesses que tu voulais que mon chéri te fasse du bien.— C’est ta faute si je suis devenue anale, me répond ma copine, et elle poursuit.— On m’a aussi maltraité mes seins.— T’inquiète, je vais m’occuper de tes nichons de pouffe, me promet Hélène,

HélèneJ’adore les seins de Mel. On dirait des pamplemousses, mais sans la peau d’orange. J’attrape la mamelle droite à deux mains et je le malaxe avec énergie. La deuxième subit le même sort. Ca ne loupe pas, ses tétons s’érigent et gonflent comme deux belles fraises.
— Mords-les, m’ordonne-t-elle.
Je ne me fais pas prier. En même temps, je m’aventure dans sa fente. Du pouce, j’excite son petit bourgeon, mais une fois enduite de sa mouille, je glisse jusqu’à son œillet. Elle se laisse faire avec des petits gémissements. Je la pénètre d’un doigt, puis d’un deuxième.Je tourne mon index et mon majeur pour ovaliser son muscle intime. Puis j’ajoute mon annulaire. Elle râle.
— Plus fort.
Je serre mes dents.Mes phalanges lui pistonnent l’anus avec vigueur. Elle m’appuie la tête sur son sein.Elle va venir. J’accélère mon enculage. Elle plaque mon visage sur son aréole. Je mords son fragile bourgeon jusqu’à l’écraser. Elle se cambre, son anneau se crispe autour de mes doigts, puis se relâche. Elle laisse échapper un long soupir de bonheur.
La belle tripotée reprend ses esprits. Une goutte de sang perle de son sein, je me penche et je le lèche. Puis je l’essuie avec la soie de mon peignoir.Nos corps sont apaisés. Nous nous allongeons l’une contre l’autre. Mel s’installe confortablement, la tête posée sous mes seins.
— Pourquoi tu as fait ça, pourquoi t’es-tu donnée à ma cravache ?— Après cette soirée, j’ai été bouleversée. J’ai essayé de te parler, mais comme tu ne décrochais pas, j’ai cru que c’était fini entre nous.— Mais après, je t’ai appelée et tu n’as pas répondu.— J’avais tellement honte. Tous les matins, en pensant à toi, je me traitais de salope. Et puis, j’ai décidé de me punir. Je suis allé voir Christine.— Christine, comment tu l’as connue ?— Tu m’avais raconté ta première performance. Alors je suis allé voir Pierre, dans son bureau, pour avoir l’adresse.— Pierre t’a aidée ?— À contrecœur, il ne voulait pas, il m’a dit que c’était idiot, qu’il suffisait que j’aille te voir à ta boutique. Mais moi, je voulais absolument expier. Alors j’ai menacé de m’adresser à n’importe qui, sur internet. Il a vraiment eu peur que je tombe dans un traquenard. Il a pris son téléphone, il l’a appelée. Et il m’a passé son portable. Et puis Christine a tout organisé.— Alors mon chéri était dans la combine.— Ne l’accable pas, il l’a fait pour moi, je l’ai vraiment forcé. Et il était sincèrement triste de notre brouille, et d’en être la cause.
Je laisse passer un silence, puis je reprends
— Au fait, qu’est-ce qui t’est passé par la tête ?— J’ai cru que je pouvais le faire. Que vous étiez libertins. Vous m’aviez accueillie une fois dans votre lit. Alors j’ai cru que c’était permis. Et puis ça faisait tellement longtemps que je m’étais agenouillée devant un homme. C’est quand tu es partie en pleurant dans ta chambre que j’ai compris.
En écoutant cet aveu, je suis bouleversée de savoir à quel point Mel tient à moi. Et puis, moi aussi, j’ai quelque chose sur la conscience.
— Moi aussi, je ne suis pas nette dans cette histoire. Au début, j’ai été folle de jalousie, j’ai voulu crier de vous arrêter, que Pierre était à moi seule. — Et puis, j’ai senti quelque chose de trouble à vous regarder. J’aurais voulu être à côté de toi, à prendre sa verge, mais aussi ta bouche. Alors j’ai fermé les yeux, je me suis imaginée en train de te saisir la tête, et de t’avancer et de te reculer. Je te transformais en sex toy pour mon homme.— Quand j’ai craqué dans les bras de mon homme, c’était la jalousie, mais aussi la honte de ce plaisir malsain de voyeuse. J’étais furieuse contre moi, alors j’ai voulu me venger de vous deux.— Tu as puni ton sultan ?— J’ai essayé, j’ai tenu une semaine, et je lui ai tout pardonné sur l’oreiller. J’ai été si heureuse.
Elle me sourit, et se colle à moi, ouvrant mon peignoir de soie. Peau contre peau, elle pose sa tête contre mon ventre, sa main se glisse dans mon entrecuisse. Comme par distraction, elle joue avec mes lèvres annelées.
— Alors, je suis pardonnée.— Oui ma chérie.— Et puis ... fait-elle en décalottant mon clitoris.— Et puis quoi ?
Elle glisse vers mon ventre.
— Tu me prêteras Pierre ? fait-elle en levant les yeux vers moi.— Comme tu y vas !
Elle ne me répond pas, mais pose ses lèvres sur mon bourgeon et l’aspire. Je frémis du haut en bas.
— S’il te plaît, répète-t-elle.— Oui, ma chérie...
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